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(10/04/2007 18:21:35)
Marvell licencie la technologie 10 Gbit Ethernet de Sun
Sun Microsystems vient d'accorder à Marvell, une licence pour l'exploitation de sa technologie réseau Ethernet 10 Gigabit (10 GbitsE Networking Technology) basée sur les processeurs UltraSPARC. Annoncée en février dernier, cette technologie, plus connue sous le nom de Neptune, est destinée à optimiser les performances des applications en dopant le débit des entrées/sorties dans les environnements utilisant des threads parallèles. En offrant un environnement CMT (Chip Multithreading Environment) haute performance complet sur l'ensemble de la pile de réseau (depuis le système d'exploitation Solaris jusqu'aux câbles), Sun entendait ainsi répondre aux besoins de services comme le datawarehousing, la reprise après incident ou encore la virtualisation. La technologie accélère également les performances des systèmes x64 tournant sous Linux ou Windows, la tendance du marché des serveurs étant de doubler le nombre de coeurs de processeur par socket. Marvell va également fournir Sun en équipements basés sur la nouvelle technologie. Les deux fabricants envisagent ensuite de développer ensemble des produits multithreads grimpant jusqu'à 40, voire 100 Gigabit/s. Cet accord est le premier signé depuis le retour dans le giron le 27 mars du constructeur du Scalable Systems Group, le département microprocesseurs de Sun, à l'origine de la technologie SPARC. Ce dernier avait joui d'une certaine indépendance sous la houlette de David Yen, un des architectes des processeurs UltraSPARC. Il vient d'ailleurs d'être nommé vice président de Sun Microelectronics, nouvelle version. D'autres accords de licence avec d'autres fabricants pourraient être signés d'ici peu. (...)
(10/04/2007 17:33:01)TomorrowNow, peu bavard sur les accusations d'Oracle
Deux semaines après l'offensive juridique d'Oracle contre SAP, TomorrowNow, filiale de SAP au coeur de la polémique, a décidé de commenter l'affaire dans un très succinct, et plutôt vide, communiqué de presse. La filiale de l'Allemand réaffirme ce que SAP, sa maison-mère, a déclaré : nous allons nous défendre agressivement. "Nous sommes toujours en train d'analyser les faits et à moins que nous ayons la possibilité de mieux comprendre les allégations [d'Oracle, ndlr], il se serait pas prudent de commenter le litige en instance, autrement qu'en précisant à nos clients, nos prospects, nos investisseurs, nos employés et nos partenaires que SAP se défendra agressivement contre les attaques d'Oracle." Le 22 mars, Oracle déposait une plainte contre SAP et sa filiale TomorrowNow, les accusant d'avoir volé des données depuis le système de support client d'Oracle. Parmi les larcins constatés par Oracle, un au moins était dirigé depuis la société TomorrowNow. (...)
(10/04/2007 17:18:13)Salesforce.com fait son entrée dans la gestion de contenus
Salesforce.com, l'éditeur d'applications en ligne de GRC (gestion de la relation client), s'introduit sur le marché de la gestion de contenu en proposant sur sa plate-forme et sous sa bannière les applications qu'il a acquises avec le rachat de Koral Inc, une start-up de neuf personnes. La transaction s'est opérée le mois dernier. « A partir d'aujourd'hui, nous sommes un acteur de la gestion de contenus », a déclaré Bruce Francis, vice-président de Salesforce. Sous le nom de Salesforce Content, l'éditeur va proposer à ses utilisateurs, d'une part Salesforce ContentExchange, un service Web 2.0 pour gérer les contenus d'entreprise (informations structurées et non structurées) et, d'autre part, Apex Content, une extension à sa plate-forme de développement. Cette extension permettra aux éditeurs indépendants qui conçoivent des logiciels complémentaires à Salesforce d'ajouter à leurs applications des fonctions de gestion de contenus. Salesforce ContentExchange permet de stocker des informations en ligne, de partager des documents avec des collègues, des partenaires ou des clients, d'effectuer des recherches sur les contenus et d'organiser la mise à jour de ces informations (par synchronisation des données). Il est possible d'attribuer des mots-clés à certains contenus, d'y ajouter des commentaires, de s'abonner à des documents, thèmes ou auteurs. Un nouveau débouché pour les éditeurs dans la gestion de contenu Pour Bruce Francis, le logiciel a été conçu pour rendre la recherche d'informations plus aisée et plus rapide qu'avec les produits concurrents. Il cite notamment ceux d'EMC Documentum ou encore le portail SharePoint de Microsoft. « Dans Salesforce, on ajoutera un mot-clé à un document aussi simplement qu'on le fait sur des images dans Flickr ou des vidéos sur YouTube. » Le prix et la disponibilité de ContentExchange et Apex Exchange n'ont pas encore été communiqués. Pour Rob Bois, analyste du cabinet d'études AMR Research, l'entrée de Salesforce sur le terrain de la gestion de documents pourrait amener des éditeurs ayant recours à un mode de distribution traditionnel à s'intéresser d'un peu plus près au modèle SaaS (software as a service), par exemple pour toucher de nouvelles populations d'utilisateurs. Rappelons que Salesforce.com est l'un des leaders du marché SaaS. Il héberge lui-même ses applications de GRC (gestion des contacts et des opportunités commerciales, automatisation des actions de marketing et gestion du service au client) et propose à ses clients de les exploiter en ligne, sur la base d'un abonnement mensuel. Autour de son offre s'est constituée une communauté de développeurs qui bâtissent des fonctions complémentaires à exploiter sur la plateforme Salesforce.com. (...)
(10/04/2007 15:05:41)Dadvsi : l'autorité de régulation des mesures techniques voit le jour
C'était au Journal Officiel du 6 avril : l'Autorité de régulation des mesures techniques (ARMT) est officiellement créée. L'institution est une conséquence directe de l'adoption de la loi Dadvsi (droits d'auteur et droits voisins dans la société de l'information), en juillet 2006, et participera à l'applicabilité de la loi, tant décriée au moment de sa discussion. L'une des principales missions de l'ARMT s'attachera à la copie privée. Le texte législatif avait fait grincer des dents en ne prévoyant pas de nombre minimum de copies autorisées par les mesures techniques de protection (MTP). L'autorité sera chargée de combler ce vide en fixant l'étendue et les limites du droit à la copie privée et, de façon plus générale, en en définissant les exceptions. Autre secteur d'intervention de l'ARMT : l'interopérabilité des MTP. L'autorité veillera à sa mise en oeuvre et pourra prononcer des injonctions aux éditeurs ou constructeurs pour les favoriser. En cas de non respect, elle sera en mesure de décider de sanctions pécuniaires à l'encontre des récalcitrants. Enfin, les consommateurs et les associations disposeront d'un droit de saisine dont les modalités restent encore peu claires. L'ARMT se compose de six membres, nommés pour six ans : Tristan d'Albis (président de la Commission de rémunération pour la copie privée), Christian Saguez (président de la Commission des technologies de l'information et de la communication de l'Académie des technologies), Patrick Bouquet (Cour des comptes), Jean Musitelli (conseiller d'Etat), Marie-Françoise Marais (Cour de cassation) et Pierre Sirinelli ( Conseil supérieur de la propriété littéraire et artistique). (...)
(10/04/2007 13:20:30)Restructuration en vue chez AMD
La guerre des prix a fait une victime : AMD. Le numéro deux du processeur estime réaliser 1,225 Md$ de chiffre d'affaires pour son premier trimestre fiscal 2007, bien en dessous du 1,7 Md$ attendu par les analystes financiers, et en net recul par rapport au 1,33 Md$ réalisé à la même période l'année passée. Ces mauvais résultats sont dus aux méventes de son processeur Opteron, qui souffre depuis novembre de la concurrence du Xeon « Woodcrest » d'Intel. Dans un communiqué publié lundi dernier, AMD a annoncé son intention de se restructurer. Le but est de diminuer ses dépenses pour 2007 de 500 M$, en limitant notamment les embauches qui ne seront réservées qu'aux postes critiques. La société présentera son plan de restructuration la semaine prochaine lors de l'annonce officielle de ses résultats. (...)
(10/04/2007 13:14:56)Philips se retire complètement de la téléphonie mobile
Philips vient d'annoncer la cession totale de ses activités dans la téléphonie mobile au Chinois CEC (China Electronics Corporation). Cette opération - qui avait fait l'objet d'une lettre d'intention en octobre 2006 - vient de recevoir l'aval du gouvernement chinois, par ailleurs actionnaire principal de CEC. Le montant de la cession n'a pas été dévoilé. Philips a toutefois précisé que la branche téléphonie mobile avait généré un CA de 55 M€ au premier trimestre 2007, contre 100 M€ au premier trimestre 2006. Selon les termes de l'accord, CEC pourra utiliser la marque Philips pendant 5 ans. La société fournissait Philips en téléphones portables depuis 2002. Les deux entreprises avaient d'ailleurs créé Shenzhen Sanfei Consumer Communications, une coentreprise qui avait notamment hérité des activités R&D du Néerlandais, jusqu'alors basées au Mans. CEC occupe une position prédominante sur le marché chinois des microprocesseurs. Il compte parmi ses clients des entreprises comme Microsoft, IBM ou NEC. (...)
(10/04/2007 11:29:30)Alcatel-Lucent décroche un contrat UMTS majeur avec SFR
Alcatel-Lucent vient de signer un contrat avec SFR pour lui fournir des équipements UMTS, en France. L'équipementier déploiera des solutions UMTS/HSPA dès le mois de septembre prochain. Il s'agit du premier contrat en Europe de l'Ouest pour le Franco-américain, depuis l'acquisition des activités 3G de Nortel, en janvier 2007. «Ce contrat renforce la position de premier plan d'Alcatel-Lucent au niveau mondial dans le haut débit mobile, position acquise notamment grâce à l'acquisition des activités 3G/UMTS de Nortel», a déclaré Olivier Picard, président de la région Europe du Sud d'Alcatel-Lucent. Selon le quotidien Les Echos, Alcatel-Lucent aurait remporté ce contrat au terme d'une compétition très forte avec le chinois Huawei. L'équipementier devient ainsi le deuxième fournisseur de SFR derrière Nokia-Siemens Networks. Par ailleurs, SFR et Alcatel-Lucent ont conclu un partenariat technologique selon lequel l'opérateur de téléphonie mobile bénéficiera d'un accès privilégié au centre de compétences mondial 3G de l'équipementier. (...)
(06/04/2007 16:41:13)Le « contre-bilan social » du Munci
Le bilan du Syntec Informatique vient à peine de paraître que déjà des voix s'élèvent pour dénoncer un panorama trop optimiste dans le secteur des logiciels et services. Parmi les contestataires, le Munci qui revient sur quatre points principaux : taux de chômage de 2,5% dans la branche logiciels et services ; 42% des personnes ont plus de 40 ans ; 95% des personnes employées dans ce secteur sont en CDI et deux tiers des entreprises connaissent des difficultés pour recruter. Sur le premier point, la réaction est virulente : « Le Syntec triche ! Ce chiffre farfelu est calculé à partir du nombre d'informaticiens demandeurs d'emplois dont le dernier employeur était une SSII ou un éditeur (environ 8000) rapporté aux effectifs de la branche (environ 300 000 salariés) », indique le Munci. 6,4% étant, selon le Munci, « le vrai taux de chômage moyen des informaticiens fin 2006. » Et de le démontrer : « selon les chiffres de la Dares, on dénombre fin décembre 2006 entre 25 598 demandeurs d'emplois en informatique (catégorie 1) et 38 400 (toutes catégories), soit un taux de chômage de la profession compris entre 5,1% et 7,7%, l'estimation la plus objective (catégories 1+4+6) étant d'environ 32 000 demandeurs d'emplois en informatique, soit 6,4% des informaticiens en France, si l'on s'appuie sur une base de 500 000 informaticiens que donne l'Anpe. Ce taux reste encore supérieur au taux de chômage moyen des cadres en France qui se situe vers 4,5% puisque 75% des informaticiens sont cadres, le taux d'emploi cadre le plus élevé parmi tous les groupes de métiers. » Une inadéquation entre les chiffres du Syntec Informatique et le vécu de l'emploi sur les forums Autres sujet de discorde : l'emploi des seniors. Régis Granarolo, représentant du Munci indique : « je suis extrêmement méfiant. Je serais curieux de connaître la méthode de calcul du Syntec pour arriver à un taux de 42% ayant plus de 40 ans et étant en poste, car dans un document sur le site du ministère de l'Emploi intitulé « L'évolution des sorties d'emploi vers la retraite et la préretraite, une approche par métiers », le secteur informatique est celui où le taux d'activité des plus de 50 ans est de 10%. C'est même le plus faible de tous les secteurs étudiés. De plus, sur notre forum spécial demandeurs d'emploi, on peut lire des témoignages qui viennent du terrain et relativisent le bel optimisme du Syntec. Je vous cite l'un d'entre eux : « J'ai 45 ans. Bac+4 Cnam, anciennement développeur Delphi et SGBD (Oracle/SQL-Server). J'ai suivi une formation de 3 mois en 2005 à l'Afcepf sur J2EE. Très bonne formation avec les technologies satellites. La meilleure du marché et la plus longue. Mais les employeurs (SSII principalement) n'ont pas suivi (...) ». » « Le Syntec Informatique devrait se poser les vraies questions sur le manque d'attractivité dans notre secteur » Quant aux 95% de CDI dans le secteur, le Munci estime que ce chiffre est en légère baisse (il était de 97% précédemment) et qu'il serait utile de s'interroger sur la progression des contrats précaires dans la branche : selon le Munci, désormais 26% des recrutements se font en en intérim ou CDD, pour 74% de recrutements en CDI. Enfin, pour ce qui est du taux de 66% des entreprises « ayant eu des difficultés à recruter », là encore le Munci n'y croit pas dans de telles proportions et souligne la « bulle médiatique » qui accompagne ces chiffres. Et Régis Granarolo d'asséner un dernier coup en guise de conclusion : « Le Syntec mène des campagnes pour sensibiliser les jeunes aux métiers de l'informatique. C'est très bien, mais il faudrait peut-être se poser les vraies questions. Pourquoi les SSII ont-elles des problèmes de recrutement ? Pourquoi n'ont-elles pas une bonne image ? Et surtout, pourquoi les utilisateurs n'ont pas de problème de recrutement, en tous cas pas dans les mêmes proportions ? » Sur le même sujet : -Le Syntec Informatique table sur une croissance de 6% à 8% pour 2007 -Le Syntec Informatique propose un pacte au futur Président de la République -Les SSII proposent aux 15-24 ans de changer le monde (...)
(06/04/2007 16:20:20)Verisign prévoit d'augmenter les tarifs des .com et .net
Verisign a annoncé hier jeudi 5 avril qu'il envisageait d'augmenter les prix d'enregistrement des .com et .net dès octobre, dans le but d'améliorer son infrastructure. Ces hausses tarifaires sont les premières que Verisign, société qui à la charge de gérer les extensions .com et .net, est autorisé à appliquer aux registrars (organismes accrédités pour l'enregistrement des noms de domaine), à travers l'accord qui le lie à l'Icann (Internet corporation for assigned names and numbers) jusqu'en 2012. Un accord passé en février 2006 qui, à l'époque, avait occasionné une levée de bouclier chez les registrars et chez certains membres du congrès américains. Une des clauses de l'accord doit notamment limiter à 7% par an la hausse des prix des extensions. Selon Verisign, le prix d'un .com passera de 6$ à 6,42$ - le maximum autorisé par l'accord avec l'Icann. Celui d'un .net, de 3,50$ à 3,85$ (+10%). Fin 2006, le nombre de .com et de .net s'élevait à 65 millions et augmentait de plus de 2 millions chaque mois, selon les chiffres de Verisign. (...)
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