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(13/04/2007 16:37:10)
XP prendra sa retraite chez les constructeurs en janvier 2008
Il faut laisser la place à Vista. Microsoft a confirmé hier jeudi 12 avril 2007 qu'il stoppera la commercialisation OEM de Windows XP le 31 janvier 2008, pour les constructeurs les plus importants (comme Dell, HP, ou Toshiba). Poussant ces derniers à basculer définitivement leurs machines vers Vista. Vista a été lancé en fanfare par Microsoft en janvier 2007, pour le grand public. L'éditeur a depuis vanté continuellement les mérites de son nouvel OS, en dépit de problèmes, encore non officiellement réglés, d'incompatibilités avec de nombreuses applications et de nombreux pilotes. Récemment, le DSI du ministère américain aux transports avait proscrit toute migration de XP vers Vista, prétextant notamment des soucis de compatibilités et de coûts de mise à jour. En décembre 2006, l'éditeur avait par ailleurs publié une liste de compatibilités pour Vista, les utilisateurs réclamant plus d'informations et de transparence. Dell, de son côté, réagit. Et publie sur son blog Direct2Dell un billet indiquant qu'il poursuivra la commercialisation de machines sous XP jusqu'à cet été, uniquement pour les petites entreprises. Un segment du marché qui "a besoin de plus de temps pour migrer vers un nouveau système d'exploitation". Pas de concession en revanche pour les PC grand public, dont la cible généralement plus encline à adopter rapidement les dernières technologies. Pas d'arrêt du support Si l'achat de PC sous XP ne sera plus possible à partir de janvier 2008, les actuels utilisateurs de l'OS conserveront toutefois le support du système. Selon la dernière feuille de route, un SP3 de XP devrait d'ailleurs voir le jour à partir de juin 2007. Un sortie qui fixe la date d'arrêt du support du SP2 à partir de juin 2009. Microsoft a stoppé le support du SP1 de XP le 10 octobre 2006. (...)
(13/04/2007 16:24:16)Sun rachète SavaJe
Sun Microsystems a annoncé son intention d'acquérir SavaJe Technologies, entreprise spécialisée dans les plateformes mobiles Java. Les deux sociétés seraient tombées d'accord sur les modalités de cette opération qui ne sont toutefois pas dévoilées. On sait simplement que le montant serait relativement faible, ce qui n'impose pas au constructeur d'obtenir l'aval préliminaire de ses actionnaires. On sait aussi que la vente devrait être finalisée avant la fin du 4e trimestre (qui a débuté le 2 avril) de l'année fiscale 2007 et que les équipes de SavaJe rejoindront Sun. L'annonce officielle de la transaction devrait avoir lieu à l'occasion de la JavaOne Conference qui se tiendra à San Francisco du 8 au 11 mai. Installée à Chelmsford, dans le Massachusetts, SavaJe est une spin off de Lucent, créée avec l'appui de capitaux risqueurs, parmi lesquels on trouve Ridgewood Capital, et le soutien d'opérateurs européens comme Vodafone, T-Mobile ou Orange. Elle dispose d'ailleurs d'un bureau européen à Cambridge en Grande-Bretagne. Le premier fabricant à avoir installé l'OS SavaJe sur un téléphone mobile est cependant le Coréen LG. La société a noué des partenariats stratégiques aussi bien avec Intel, qu'avec Texas Instruments ou ARM. Le rachat de SavaJe s'inscrit dans la logique puisque l'OS SavaJe repose sur le Java développé par Sun Microsystems. (...)
(13/04/2007 15:43:03)Annuels Infosys : « rien ne vient contrarier la croissance », selon Ovum
Résultats exercice 2007 : Chiffre d'affaires : 3,1 Md$ (+44%) Bénéfice net : 850 M$ (+53%) D'une année à l'autre, l'ébouriffante santé des acteurs indiens de l'offshore ne se dément pas. En témoignent les résultats annuels publiés par Infosys, l'un des trois géants du secteur avec Tata Consultancy Services et Wipro. Sur l'exercice clos le 31 mars, Infosys a réalisé un chiffre d'affaires de 3,1 Md$, en progression spectaculaire de 44%. Même ordre de progression pour le bénéfice net : il bondit de 53%, à 850 M$. Des résultats d'autant plus spectaculaires qu'ils s'inscrivent dans un contexte de parité roupie/dollar défavorable pour la monnaie indienne, d'augmentation du coût du travail dans le sous-continent et d'un ralentissement de certains segments de l'IT aux Etats-Unis. Autant de facteurs qui ne contrarient en rien la vitalité des grands acteurs de l'externalisation. Wipro et Tata devraient, eux aussi, publier dans les prochains jours d'excellents chiffres. La comparaison avec les entreprises européennes oeuvrant dans le secteur des TIC est, bien évidemment, peu flatteuse pour le Vieux continent. « Si on ne regarde que la marge opérationnelle, commente Dominique Raviart, analyste chez Ovum, on atteint 8 ou 10% en Europe contre 27,6% pour Infosys. Soit environ trois fois plus. Même chose en ce qui concerne la croissance des revenus : 44%. Ca n'existe pas en France ». Et cette progression des revenus est encore spectaculaire du fait qu'elle ne résulte pas d'acquisitions mais presque exclusivement de croissance interne. Si le coeur de métier d'Infosys réside dans les services applicatifs, le groupe entend diversifier ses activités. Cependant, « sa velléité de grandir dans d'autres secteurs n'a pas entravé la croissance dans son métier d'origine », explique Dominique Raviart. De même, « on pensait que les marchés américains ou britanniques tendaient à être saturés, or on constate qu'Infosys continue d'y croître ». A croire qu'aucune difficulté ne pourrait entraver la marche en avant du groupe. Le turnover élevé ne devrait pas être un problème Une ombre pourrait se profiler : celle des difficultés de recrutement. « Infosys compte 72 000 salariés, soit 20 000 de plus qu'il y a un an, observe Dominique Raviart. En une année, il sont passés de la taille d'Atos à celle de Capgemini ». Alors qu'on pourrait penser qu'avec un tel rythme de croissance, les SSII indiennes pourraient facilement s'approprier des groupes européens (on pense à Atos, dont les rumeurs de rachat enflent), les acquisitions ne semblent pas être une priorité pour l'instant : « les responsables des grands groupes indiens nous explique qu'avec 40% de croissance organique ils sont incapables de gérer des opérations de croissance externe importantes. Leur problématique, en permanence, est liée au recrutement ». De fait, le taux de turnover est d'environ 10 à 12% dans les secteurs d'activité d'Infosys. Et il atteint 40% pour les salariés des centres d'appels. Pour autant, l'analyste d'Ovum ne considère pas ces données comme un frein au rythme de croissance d'Infosys : « les gros acteurs déjà implantés ont la capacité de recruter. Le problème se pose essentiellement pour les groupes indiens de taille plus restreinte ou pour les étrangers récemment installés ». Pour Infosys comme pour ses principaux concurrents, la marge de progression reste donc intacte : « je ne vois rien qui, à court terme, pourrait contrarier la croissance d'Infosys », résume Dominique Riviart. Signe que le baromètre est au beau fixe du côté de Bangalore : Infosys prévoit de réaliser un chiffre d'affaires d'environ 4 Md$ cette année, soit une progression de 28 à 30%. (...)
(13/04/2007 12:00:03)HP lance des copieurs multifonctions à jet d'encre
HP, numéro un dans le domaine des imprimantes bureautiques, avait déjà mis le pied dans le secteur des imprimantes multifonctions, avec des modèles d'entrée de gamme pour ce secteur. Aujourd'hui, le constructeur franchit un nouveau pas avec le lancement d'une gamme de copieurs multifonctions (« MFP » dans le langage de la profession) performants, au format A3. Curiosité technique, ces imprimantes-copieurs en couleur n'ont pas recours à la traditionnelle technologie laser utilisée pour ce type de matériel, mais à une technologie à jet d'encre, revisitée par les ingénieurs de HP. S'attaquant aux acteurs historiques du copieur, comme Ricoh - NRG ou Xerox, HP reprend leurs méthodes de commercialisation. Les Edgelines Color série CM8000 ne sont vendues qu'assorties d'un contrat prévoyant un paiement à la page, le prix à la page étant lié pour une partie à un engagement de volume. Et pour éviter d'effrayer les entreprises sur le coût de l'impression couleur, HP innove en permettant d'imprimer, au sein d'une page en monochrome, une toute petite partie en couleur (moins de 0,5% de la surface de la page), comme un logo ou quelques mots à faire ressortir. Ce type de page sera facturé comme une page en monochrome et non comme une page en couleur. En couleur, on trouvera deux modes, l'un pour une qualité optimale, l'autre, environ 30% moins cher, avec des noirs profonds mais avec des couleurs allégées. Une qualité suffisante pour les documents internes, par exemple. (...)
(13/04/2007 11:40:20)Technorati signe son premier rachat
Première opération de croissance extérieure d'un symbole du Web 2.0. Technorati, moteur de recherche de blogs, annonce le rachat de Personal Bee, plateforme de collecte de contenu personnalisable par les utilisateurs. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé. Personal Bee offre la possibilité aux internautes de publier et gérer des actualités et des sites en les classant par rubriques, et de créer autour de ce contenu des communautés d'intérêts. Dave Sifry, PDG de Technorati, explique sur le blog de la société que "la plateforme Bee devrait étendre le Conversational Marketing System, son produit qui aide les marques à toucher leur audience". Technorati a indexé plus de 72 millions de blogs en cinq ans d'existence. (...)
(12/04/2007 13:04:30)IBM facture le System i au nombre d'utilisateurs
IBM veut donner un coup de jeune au System i, autrement dit le vénérable AS/400, en proposant un prix d'entrée à moins de 8 000 €, avec une facturation en fonction du nombre d'utilisateurs. On connaît les immenses vertus du System i : un serveur vendu complet, avec en particulier sa base de données dB2 intégrée, sa capacité à supporter plusieurs systèmes d'exploitation et surtout son incroyable fiabilité. Si l'on ne parle - presque - jamais du System i, c'est qu'il n'y a rien à dire : il tourne comme une horloge et exige un minimum d'administration. Bref, une machine idéale pour les PME. Et, malgré son âge (le premier AS/400 a été lancé il y a dix-neuf ans), il reste un serveur moderne. Il disposait par exemple d'un système de virtualisation, bien avant que le monde Wintel n'en découvre les vertus. Aujourd'hui donc, avec le System i 515 Express, IBM propose un modèle à 7 895 € hors taxes, dans une configuration d'entrée de gamme mais utilisable (un gigaoctet de mémoire vive, deux disques durs de 70 gigaoctets), avec une licence pour cinq utilisateurs. Le processeur est quant à lui un excellent Power5+ à 1,9 Ghz. Le moteur de virtualisation, optionnel, est facturé environ 500 €. Jusqu'à présent, le modèle le moins cher, le i520 Express, était vendu 11 500 € (avec deux disques de 35 gigaoctets seulement, mais avec un système de sauvegarde sur bande), pour des performances inférieures (600 CPW, l'unité de mesure d'IBM pour calculer la « charge de travail commerciale », contre 3800 sur le i515). Bref, IBM propose au meilleur prix une machine performante. Et espère que, la satisfaction de l'entreprise utilisatrice aidant, il pourra ensuite vendre des extensions de licence : 1 300 € pour cinq utilisateurs supplémentaires. « Si l'entreprise cliente a une augmentation de ses besoins, il lui suffit d'acquérir des extensions de licence et, éventuellement, d'augmenter les capacités du System i, par l'ajout de mémoire et d'un deuxième processeur, argumente Thomas Stoltz, directeur System i. Le System i supportera sans difficulté l'augmentation de la charge. Les coûts d'administration, eux, ne bougent pas. Dans d'autres solutions, on vous proposera d'acheter de nouveaux serveurs. Mais la multiplication des serveurs augmente la complexité, et donc le coût de l'administration ». Le System i515 supporte jusqu'à 40 utilisateurs. Ensuite, le i525, autre nouveauté, prend le relais, avec un système de facturation analogue. (...)
(12/04/2007 12:43:08)Actimagine réussit sa percée sur le marché américain
Trois mois à peine après l'ouverture de son bureau américain, le français Actimagine fait partie des 200 finalistes sélectionnés pour le « Red Herring 100 North America » - dans une liste comportant plus de 800 entreprises du secteur. Pour établir ce classement, le Californien analyse la santé financière des entreprises, mais également leur innovation, leur modèle économique et leur management. Spécialisée dans la compression et les technologies multimédias destinées aux téléphones mobiles, Actimagine a vu le jour en 2003 sous l'aile protectrice de Télécom Paris. Actimagine a notamment fourni à Adobe sa solution Interactive Video Technologies que l'on retrouvera bientôt dans la version vidéo streaming de Flash Lite (Flash Lite 3). Il y a deux semaines, Red Herring publiait sa liste annuelle des 100 entreprises européennes les plus innovantes dans le domaine des NTIC. Parmi les lauréats, on trouvait 14 entreprises françaises. Le top 100 sera révélé au Red Herring Spring qui se tiendra du 1er au 3 mai à Monterey en Californie. (...)
(11/04/2007 16:23:24)Iona reprend les développeurs d'ActiveMQ et ServiceMix
Iona a mis la main sur LogicBlaze, un petit éditeur privé spécialisé dans les outils Open Source pour les architectures orientées services (SOA). Les développeurs de LogicBlaze sont parmi les principaux contributeurs aux projets Apache ActiveMQ (un bus de messages) et ServiceMix (un bus de services, ou ESB). La plateforme de LogicBlaze, Fuse, ne survivra peut-être pas telle quelle à l'absorption par Iona. Larry Alston, vice-président d'Iona, explique que l'éditeur fera en sorte d'assurer une continuité pour la vingtaine de clients de LogicBlaze, mais qu'il est probable que les produits seront dispatchés dans les solutions d'Iona. « Et s'il s'avère qu'il s'agit d'un produit que nous pensons ne pas pouvoir supporter à long terme, nous ne le ferons pas. » L'acquisition est en effet davantage liée aux compétences internes de LogicBlaze qu'à son portefeuille produit ou client. Iona utilise des éléments de Fuse, et pourra ainsi accroître son expertise technique. Au début du mois dernier, Iona avait racheté une autre société privée, C24, pour ses capacités de gestion de données, qui viendront compléter son middleware Artix. (...)
(11/04/2007 12:57:24)Le patron de Wallix s'indigne de l'indignation de Mandriva
Après la récente polémique soulevée par le patron de Mandriva suite au choix d'Ubuntu pour équiper en Linux les PC des députés, Jean-Noël de Galzain, patron de Wallix et IFR Linux Conseil, essaie de siffler la fin de la récréation. Au risque de relancer la polémique, mais rouvrant un débat utile sur le modèle économique des SSLL et éditeurs du Libre, Jean-Noël de Galzain a adressé à la presse une « lettre ouverte aux membres de la communauté des logiciels libres » où il demande - sans le nommer - au PDG de Mandriva François Bancilhon de « ranger les sarcasmes » et de « contribuer à créer l'écosystème ». Joint par la rédaction, Jean-Noël de Galzain explique sa réaction par la publicité négative engendrée par ce type de polémique : « Je me suis décidé à écrire cette lettre lorsque j'ai vu une deuxième lettre ouverte sur le site de Mandriva qui revenait sur cette affaire. Je ne comprends pas qu'on puisse se critiquer dans un monde en pleine création. On a quelques acteurs qui commencent à être en mesure de se positionner sur des appels d'offres, à montrer la crédibilité du logiciel libre, et face à ça, on a des réactions qui donnent l'image d'une cour de récréation. » Jean-Noël de Galzain estime que si Mandriva a perdu l'appel d'offres de l'Assemblée nationale face à Linagora (qui préconisait Ubuntu), c'est parce que l'éditeur n'a pas cherché à nouer de partenariat spécifique avec les acteurs du Libre. Sur les sociétés que Wallix fréquente à l'association de défense et de promotion du logiciel libre April, « pas une ne travaille avec Mandriva », dit-il. Si Mandriva ne passe pas d'accord avec des SSLL, « il risque de disparaître, au moins sur le marché professionnel ». Réponse de François Bancilhon : les SSLL ne jouent pas le jeu Jean-Noël de Galzain appelle donc à dépasser les querelles de personnes (entre François Bancilhon et Alexandre Zapolsky, le patron de Linagora) : « Ce sont les mêmes personnes qui depuis quelques mois se font la guéguerre. On a compris qu'il y avait un problème entre Linagora et le reste du monde. Mais dans le monde du Libre, il y a des acteurs qui travaillent, qui bâtissent des offres. Lorsque nous voulons faire des choses ensemble, nous dire des choses, nous prenons le téléphone. Et ainsi on remporte des marchés tous les jours. » « C'est une très bonne idée, répond François Bancilhon. Mais je ne peux pas me rapprocher de quelqu'un qui veut ma peau pour m'acheter pour rien. » Comme le souligne Jean-Noël de Galzain, « il n'y a pas que Linagora, il y a d'autres acteurs (qui font éventuellement plus de chiffre d'affaires, même si c'est Linagora qui communique le plus) ». Mais François Bancilhon estime de son côté que les SSLL ne sont pas prêtes à jouer le jeu, en laissant à l'éditeur une part du service. « Si on doit travailler avec eux, il faut que notre contribution soit autre chose que de fournir un logiciel gratuit pour lequel ils ne payent aucun support, dit-il. La logique du Libre veut que nous équilibrions nos investissements dans le logiciel avec le service fourni. Si les SSLL s'appuient sur l'éditeur pour fournir le support, c'est bien. S'ils considèrent qu'il s'agit juste de prendre un logiciel gratuit - financé par un milliardaire - afin de casser les prix, je n'appelle pas ça un modèle économique. » (...)
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