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(18/04/2007 12:18:42)
IDF : le Penryn 40% plus véloce que les Intel Core 2 Extreme (Mise à jour)
Le Penryn est incontestablement la vedette de l'Intel Developer Forum, qui ouvre ses portes aujourd'hui à Pékin (une première, voir notre encadré ci-dessous). Le fabricant de puces a mis de côté son discours actuel sur les puces moins gourmandes et autres composants plus écologiques et économiques pour revenir sur le terrain de la performance pure, avec cette puce gravée en 45 nm, contre 60 nm pour son champion actuel, le Core 2 Extreme QX6800. D'après Sean Maloney, vice-président exécutif d'Intel en charge des ventes et du marketing, le Penryn accroîtra de 40% les performances des PC par rapport au Core 2 Extreme QX6800, une puce quadri-coeur cadencée à 2,93 GHz. Le Penryn, attendu pour fin 2007 ou début 2008, recourt à un nouveau matériau pour l'isolation, le « high-k metal gate » (composant à haute constante diélectrique), qui permet de réduire la finesse de gravure sans provoquer d'échauffement fatal au comportement de la puce. Ce changement de matériau constitue, selon Sean Maloney, la plus grande avancée dans les technologies de puces électroniques depuis 40 ans. En savoir plus Lire le tableau comparatif entre Penryn et le Core 2 Extreme qx6800 (en PDF) (...)
(18/04/2007 12:02:17)IDF : Intel développe un super-processeur multi-coeur compatible x86
Dans la foulée de Terascale. A l'occasion de sa conférence développeur (IDF, Intel Developer Forum), Intel a confirmé qu'il développe actuellement un prototype de processeur multi-coeurs compatible avec les instructions X86. Baptisée Larabee, la prochaine génération de puce reposera sur le principe de l'architecture parallèle - une technologie que le constructeur qualifie de "critique"- et sera capable d'effectuer mille milliards d'opérations à la seconde. En février 2007, Intel a fait la démonstration de sa puce Terascale (Polaris), douée d'une puissance de calcul de 2 teraflops, délivrée par 80 coeurs. Terascale ne repose pas sur le jeu d'instructions X86, architecture de base des puces de la marque, mais sur l'architecture VLIW (Very Long Instruction Word), "plus simple à utiliser". Selon le groupe, Terascale reste ainsi non commercialisable. A l'inverse, Intel destine Larabee aux marchés des applications de calculs de haute performance, notamment dans le secteur de la recherche ou de la finance. Le constructeur prévoit d'en faire la démonstration en 2008. (...)
(18/04/2007 12:00:41)Trimestriels IBM : les logiciels et les services dopent la croissance
Résultats premier trimestre 2007 : Chiffre d'affaires : 22 Md$ (+6,6%) Bénéfice net : 1,84 Md$ (+8%) A la faveur de ventes solides dans le secteur des logiciels et d'une amélioration sur le créneau des services, IBM a publié des résultats corrects marqués par l'amélioration de la marge et une faible activité en Amérique. Pour le premier trimestre de son exercice 2007, clos le 31 mars, Big Blue a reporté un bénéfice net en progression de 8% sur un an, à 1,84 Md$. Le chiffre d'affaires croît de 6,6% et atteint 22 Md$. Deux indicateurs qui dépassent le consensus des analystes. Par ailleurs, le groupe a enregistré une progression de sa marge brute : elle atteint 40,2 % du CA, contre 39,1% pour la même période de l'année précédente. Alors que les revenus s'inscrivent en forte hausse dans la zone Emea - ils progressent de 13%, à 7,6 Md$ - la hausse est bien plus faible sur le continent américain. IBM y réalise un chiffre d'affaires de 9,1 Md$, soit une croissance de seulement 1%. Dans la région Asie-Pacifique, le CA progresse de 10%, à 4,5 Md$. Les services, qui ont connu des difficultés au cours des trimestres précédents - il y a un an, l'activité reculait d'1% - recouvrent une certaine vitalité. Les divisions Global business services et Global technology services progressent respectivement de 9% (4,2 Md$) et de 7% (8,3 Md$). Du côté du matériel, la division Systems & Technology enregistre une croissance de ses revenus de 2%, due à un recul des ventes des serveurs System x et i. Comme lors des trimestres précédents, l'activité logicielle continue à bien se porter : elle progresse de 9% sur un an pour atteindre 4,3 Md$. Le middleware représente 3,2 Md$ sur ce total, soit 10% de plus qu'il y a un an. (...)
(17/04/2007 17:17:38)Annuels Tata : si loin devant les SSII européennes
Résultats exercice 2006-2007 : Chiffre d'affaires 4,3 Md$ (+41%) Bénéfice : 950 M$ (+43%) Quelques jours après la publication par Infosys de ses résultats annuels, c'est au tour de Tata Consultancy Services, un autre géant de l'offshore indien, d'annoncer ses performances pour l'exercice clos le 31 mars. Dans les deux cas, les taux de croissance tournent autour de 40%, à la fois pour les revenus et pour les bénéfices. Tata a ainsi réalisé un chiffre d'affaires de 4,3 Md$, soit 41% de plus qu'au cours de l'exercice précédent. Le bénéfice progresse de 43%, pour atteindre 950 M$. Infosys avait publié, la semaine dernière, des revenus en croissance de 44%, et des profits en hausse de 53%. Les deux acteurs ont su doper leur rythme de progression en dépit d'un contexte a priori peu favorable : le coût du travail en Inde augmente considérablement, la parité roupie/dollar ne profite pas à la monnaie indienne et l'activité ralentit aux Etats-Unis. Une gageure que rêveraient de surmonter bien des acteurs français et, dans une plus large mesure, européens. Il n'est qu'à regarder les différentiels de croissance entre les SSII du Vieux continent et les géants indiens pour mesurer le monde qui les sépare : alors que Tata ou Infosys flirtent avec les 50%, les acteurs occidentaux peinent à dépasser la barre des 10%. « Les sociétés françaises souffrent d'une taille de marché peu extensible, explique Mathieu Poujol, consultant chez Pierre Audoin Consultants (PAC). A partir d'un certain niveau, il faut racheter des parts de marché pour croître. Le potentiel de progression des SSII traditionnelles est dont limité. » A l'inverse, les acteurs indiens, Infosys, Tata et Wipro en tête, « disposent d'une double opportunité : d'un côté leur marché national est émergent, donc propice à voir se dérouler une forte croissance ; de l'autre, ils réalisent environ les deux tiers de leur activité à l'étranger, notamment en Amérique du Nord. Or, quand on met en place un business model aux Etats-Unis, on peut le déployer sur 350 millions de personnes et y ajouter 60 millions de Britanniques. Soit plus que le marché d'Europe continentale, avec une seule langue à maîtriser. » "Les SSII françaises doivent se spécialiser pour rivaliser" Avec une telle différence de progression et de taille, les SSII françaises doivent-elle considérer les acteurs du Sous-continent comme des concurrents ? « Si les petites structures ne jouent clairement pas dans la même catégorie, répond Mathieu Poujol, les grandes considèrent les Indiens comme des compétiteurs. Les problèmes les plus délicats concernent les entreprises de taille moyenne : elles doivent trouver une spécialité intéressante pour rivaliser ; en un mot, il leur faut se différencier. C'est ce qu'a su faire Sopra en misant sur l'édition de logiciels et ainsi pénétrer d'autres marchés. A l'inverse, GFI, qui est resté trop généraliste, a peiné pendant longtemps. » Au-delà du risque concurrentiel que fait peser la vitalité des spécialistes indiens de l'offshore sur les acteurs français, ces derniers pourraient pâtir « de l'énorme valorisation des Tata ou Infosys : bien que les Indiens aient peur du risque, ils ont largement de quoi se payer des spécialistes étrangers. Il y a beaucoup de sociétés intéressantes, qui font entre 500 M€ et 1 Md€ de CA en France, en Europe du Nord ou en Allemagne et on peut penser qu'il va y avoir des gros rachats. Au final, on devrait se retrouver avec trois ou quatre géants indiens. » Sur le même sujet : -Annuels Infosys : "rien ne vient contrarier la croissance", selon Ovum -Le revenu indien de l'externalisation progresse de 33% (...)
(17/04/2007 16:34:19)Oracle lance AIA, son offre d'applications composites
Oracle s'est officiellement lancé sur la voie des applications composites. L'éditeur a annoncé AIA (Application integration architecture) à la conférence utilisateurs Collaborate '07, à Las Vegas. Le principe d'AIA est de fournir des processus prêts à l'emploi sous forme de packs, s'appuyant à la fois sur l'offre progicielle d'Oracle et sur son middleware Fusion. C'est donc très proche de ce que SAP propose depuis longtemps avec ses xApps (ou Cross Apps) : relier divers modules fonctionnels, à l'aide notamment d'un outil de gestion des processus métier (BPM) et d'un bus de services (ESB) afin de construire des applications dites composites, collant davantage aux besoins des clients. « Cela a la même ambition, confirme Lionel Dubreuil, responsable marketing techno pour les applications chez Oracle France. Sauf que pour nous, les applications composites peuvent s'appuyer sur notre offre, celle de nos partenaires mais aussi sur toutes les applications que nous avons rachetées. » Lionel Dubreuil explique par ailleurs qu'AIA s'inscrit dans la stratégie d'évolution des produits qu'Oracle avait déjà annoncée. De fait, avec toutes ces technologies à intégrer (Oracle a procédé à plus de 20 Md$ d'acquisitions en un peu plus de deux ans), seule l'option SOA (architecture orientée services) est valable : exposer des fonctionnalités en tant que services, et orchestrer ces derniers à l'aide d'un outil de BPM. L'effort d'intégration qu'Oracle doit réaliser se situant alors au niveau de la définition des objets métier des applications. A partir du moment où les différentes applications partagent un vocabulaire XML, il est possible de recourir à un référentiel commun et d'assembler les services reposant sur ces objets. Oracle souligne que les clients comme les partenaires peuvent ainsi réaliser leurs propres applications composites, tout reposant sur des standards. De même, le recours à XML permet de mettre à jour les applications tout en conservant la personnalisation des objets métier. Dans sa présentation aux Etats-Unis, Oracle a même employé la notion de « sustainable integration » (intégration durable). Oracle veut faire d'AIA une opportunité pour les partenaires Un pack AIA fournit les outils nécessaires à la réalisation et à la personnalisation de l'intégration d'un processus métier. Une licence AIA comprend notamment l'outil Aris pour la modélisation des processus métier, et un droit d'utilisation de la SOA Suite. Néanmoins, rares seront les clients qui n'ont aucun élément middleware en interne. « Un client qui aurait déjà fait un choix tiers pourra utiliser son produit, mais ne bénéficiera pas du côté 'prêt à l'emploi', commente Lionel Bubreuil. Nous avons déjà des clients qui utilisent notre offre BPEL [le moteur d'exécution des processus métier, NDLR] avec un autre ESB. » Il est cependant légitime de penser qu'il sera plus simple d'utiliser le moteur BPEL d'Oracle avec un ESB tiers, plutôt que l'inverse. Les packs AIA pourront aussi être utilisés pour se connecter à des services fournis par des applications non-Oracle. Un appel du pied d'Oracle envers les éditeurs et SSII, appelées à constituer, comme pour SAP, un écosystème. « Les partenaires pourront développer leurs propres objets, venant en complément de l'offre Oracle ou s'y substituant, explique Lionel Dubreuil. Par exemple pour intégrer du Salesforce à la place de Siebel OnDemand ou du back-office SAP à la place du nôtre. » Les deux premiers packs livrés sont justement des processus reliant le progiciel E-Business Suite d'Oracle à son offre de gestion de la relation client Siebel CRM. Les suivants viendront entre autres compléter l'intégration de Siebel avec ses offres de facturation et de gestion de la distribution, mais aussi avec des modules de l'offre JDEdwards EnterpriseOne. (...)
(17/04/2007 09:36:35)Après la TV, Google vend des spots de pub pour la radio
Après s'être allié avec EchoStar Communications pour diffuser de la publicité à la télévision américaine, Google décroche cette fois-ci un contrat avec Clear Channel pour vendre des spots publicitaires sur tout le réseau radiophonique de ce dernier aux Etats-Unis. Le partenariat ouvre à Google les quelque 675 stations de radio qui émettent sur les ondes FM et moyennes fréquences. Les spots publicitaires seront vendus par tranches de 30 secondes. Autre clause du contrat, les sociétés s'engagent à connecter leur systèmes publicitaires respectifs, AdSense Audio pour Google et Viero, pour Clear Channel. Google est entré de plain pied dans la vente de pub pour la radio avec le rachat en janvier 2006 de dMarc Broadcasting, qui développe une plateforme automatisé de pub pour la radio. Hier, lundi 16 avril, le moteur de recherche se payait, pour 3,1 Md$, Doubleclick, régie publicitaire mondiale, spécialisée dans les formats classiques (comme les bannières) de réclames en ligne. (...)
(16/04/2007 15:27:23)Microsoft recrute des partenaires pour fournir des logiciels en ligne
Microsoft démarre aujourd'hui un programme à destination des hébergeurs de services sur Internet. L'objectif est de les aider à constituer des offres permettant à des éditeurs indépendants de proposer leurs logiciels en ligne, en mode SaaS (software as a service). Dans ce programme, baptisé Centre d'incubation SaaS, Microsoft fournit l'infrastructure et les services qu'un hébergeur peut offrir à des éditeurs pour les aider à transformer leurs applications en solutions SaaS, a précisé Michael van Dijken, l'un des responsables marketing de Microsoft. Ce faisant, l'éditeur regroupe en fait un ensemble de solutions qu'il proposait déjà aux hébergeurs mais qu'il formalise afin de développer l'offre SaaS de ses partenaires éditeurs. Microsoft veut en effet contribuer à mettre en contact les hébergeurs avec les intégrateurs et les éditeurs qui ont rejoint son réseau de partenaires et développé des logiciels autour de son offre. Déjà quatre hébergeurs partenaires en Europe Côté infrastructure, le programme Centre d'incubation SaaS de Microsoft comprend un bundle logiciel appelé Microsoft Solution for Windows-based Hosting for Applications (incluant les produits Windows Server, SQL Server, Microsoft Operations Manager et Microsoft Provisioning System). Il comporte également des exemples de scripts pour faciliter la mise en place d'offres SaaS et des prestations de conseil. Ces prestations consisteront à accompagner les hébergeurs dans leur approche des éditeurs, tant sur la compréhension du marché SaaS que sur les opérations de marketing. Microsoft a déjà signé des accords avec huit hébergeurs, quatre aux Etats-Unis (Opsource, Affinity Internet, NaviSite et Wizmo) et quatre en Europe (NTT Europe Online, 7global, Siennax et Visionapp GmbH). Parallèlement, Microsoft a également annoncé la deuxième phase de son programme « SaaS On-Ramp », lancé en novembre dernier. Celui-ci propose des licences à prix réduit aux éditeurs souhaitant permettre l'exploitation de leurs logiciels en ligne. Désormais, ces éditeurs peuvent se procurer ces licences à prix réduit chez tous les hébergeurs partenaires du programme et plus uniquement auprès de Microsoft. Il est prévu que le programme SaaS On-Ramp se poursuive jusqu'en 2008. Un modèle qui se développe concrètement Les logiciels commercialisés sur le modèle SaaS sont installés chez un prestataire externe et non pas dans l'entreprise. Accessibles aux utilisateurs à partir d'une connexion Internet, les logiciels sont ainsi fournis aux utilisateurs comme un service, et payés sur la base d'un abonnement mensuel ou annuel. Le prestataire héberge les applications sur des serveurs installés dans des locaux sécurisés et gère l'ensemble de l'infrastructure matérielle (disponibilité et maintenance des serveurs, sauvegarde des données, procédures de sécurité...). La maintenance du logiciel est assurée par l'éditeur qui, selon les cas, peut être aussi l'hébergeur. Microsoft, notamment, s'apprête à proposer sous cette forme son application de gestion de la relation client (GRC) Dynamics Live CRM, après l'avoir redéveloppée afin qu'elle puisse être partagée en ligne. Ce mode d'usage des applications se développe désormais, après avoir vaincu de nombreuses réticences de la part des entreprises qui ont longtemps rechigné à stocker leurs données hors de leurs murs. Il présente l'avantage de soulager les départements informatiques de la gestion interne des serveurs et des applications. Un modèle qui convient autant à la grande entreprise qu'à la petite PME. Un acteur comme Salesforce.com, dans le domaine des logiciels de GRC, a exclusivement basé son activité d'éditeur sur ce modèle. Sa base installée compte aujourd'hui 640 000 utilisateurs. Plus récemment, Google a également lancé Google Apps, une suite bureautique à exploiter en ligne qui, en France, intéresse un groupe comme Essilor. En s'investissant résolument sur ce marché, Microsoft témoigne de l'intérêt du modèle et de ses perspectives de développement. (...)
(16/04/2007 14:17:19)Serveurs écolos : IBM remplace un disque dur par de la mémoire Flash
Tout à sa stratégie de répondre à l'engouement écolo dans les serveurs, IBM annonce la sortie de serveurs lames plus économes en électricité et en émission de CO2 - "low carb" selon le constructeur. Les modèles, qui agrandiront les gammes BladeCenter et Systems x, reposent ainsi sur les processeurs basse consommation d'Intel et d'AMD : le Dual Core Xeon (35 et 40 watts) et le Quad Core Xeon (68 watts), pour l'un; l'Opteron bi-coeur (50 watts), pour l'autre. En option, il sera également possible de remplacer l'un des disques durs de ces serveurs par une mémoire flash à 4 Go, "pour y installer une partition Linux ou pour y stocker des données", indique IBM dans un communiqué. Selon le constructeur, ce type de mémoire consommerait 95 % d'électricité en moins qu'un disque classique. Autre élan écologique mis en place par IBM, l'ajout de connexions réseaux telles qu'Infiniband et de l'Ethernet à 10 GHz pour faciliter la virtualisation, et donc réduire le nombre final de serveurs. Les serveurs lames à base d'Opteron à 1,8 GHz sont commercialisés à partir de 1 979 $, ceux à base de Dual Core Xeon, à partir de 2 809 $, et ceux à base de Quad Core Xeon, à partir de 3 067 $. (...)
(16/04/2007 10:52:47)Neuf Cegetel dément avoir racheté Club Internet
Alors que nos confrères des Echos, citant des sources industrielles, affirment ce matin que Neuf Cegetel a mis la main sur Club Internet pour « 430 à 460 M€ », l'emportant contre Free qui aurait proposé « 380 à 400 M€ », l'opérateur a fait parvenir aux rédactions un communiqué ce matin pour démentir : « Suite aux informations publiées ce matin dans un quotidien économique français, le groupe Neuf Cegetel précise qu'il n'a, à ce jour, conclu aucune transaction concernant l'acquisition de Club Internet. » Le groupe de télécoms ne dément pas en revanche être en négociations. Suite, donc, prochainement. (...)
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