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(27/03/2007 16:34:55)
Plus de 20 millions d'unités vendues en un mois pour Vista
Pari en passe d'être tenu pour Microsoft qui se targue d'avoir dépassé les 20 millions d'unités commercialisées en un mois pour Vista. Lancé en fanfare le 30 janvier dernier, le système d'exploitation a pu profiter tout à la fois du support massif des constructeurs, d'un marché des ordinateurs en croissance régulière, et également du système de coupons qui permet à un acheteur récent d'un PC sous Windows XP de le transformer dans la foulée en une version sous Vista. De quoi en tout cas rassurer Microsoft qui avait vu ses résultats financiers pour le compte de son 2e trimestre fiscal 2007 (clos le 31 décembre 2006) chuter de 28%. Les incertitudes sur la sortie - et les nombreux reports - et l'attentisme des consommateurs avaient alors lourdement pesé. (...)
(26/03/2007 16:00:37)Joe Tucci admet avoir surpayé RSA
Lors d'une visite en Australie, Joe Tucci, PDG d'EMC, a déclaré qu'il "plaidait coupable" d'avoir surcoté le rachat de RSA pour 2,1 Md$ fin juin 2006. Répondant aux questions de la presse locale, Joe Tucci a affirmé qu'il avait "probablement" trop payé pour cette acquisition. "A cette époque, la valeur du marché de RSA était d'environ 1,6 Md$ et nous avons payé 500 M$ de plus, mais c'était dans une procédure de rachat très disputée entre nous et une autre société", a-t-il lancé, sans toutefois préciser le nom de cette deuxième société. Et se tournant vers les analystes douteux du montant de l'acquisition, a déclaré qu'il restait confiant que certains analystes changeraient d'avis dans un futur proche. Tout en concluant sur le sujet: "Le temps nous prouvera que RSA est un bon élément et que son rachat est une bonne opération." (...)
(23/03/2007 16:25:56)Forrester : IBM, Oracle et Microsoft restent les maîtres du Web 2.0 pour les entreprises
Quitte à suivre les nouvelles tendances, autant le faire avec des partenaires connus et qui ont les reins solides. Tel pourrait être, en résumé, le point de vue des 119 responsables informatiques de sociétés de plus de 500 salariés interrogés par Forrester Research à propos du Web 2.0. Ceux-ci semblent particulièrement intéressés par certaines de ces techniques. Presque tous utilisent au moins l'une d'entre elles, principalement parce que cela améliore l'efficacité de leur entreprise. « Les responsables informatiques ont tendance à considérer les réseaux sociaux et les blogs comme du superflu, tandis que les technologies Web 2.0 qui ont un bénéfice utilisateur clair comme le RSS, les wikis et l'étiquetage de contenu les intéressent plus » indique l'étude de Forrester. Pourtant, il n'est pas question pour ces entreprises de s'adresser à des nouveaux venus spécialistes du sujet comme NewsGator ou MindTouch. Les sociétés préfèrent à 61 % avoir une suite « tout-en-un » conçu par un éditeur reconnu tel Microsoft, Oracle ou IBM. Car elles veulent pouvoir intégrer ces outils directement dans les applications qu'elles possèdent déjà. Cela tombe bien. IBM, SAP, Microsoft, Oracle ou BEA Systems ont annoncé leur intention d'intégrer des technologies 2.0 dans les prochaines versions de leurs logiciels. Une analyse qui vient compléter celle fournie par Gartner en mai 2005. Le cabinet expliquait que d'ici à 2008, nombre d'entreprises basculeront bien vers les technologies liées au Web 2.0, mais pour la plupart manqueront d'adapter leurs modèles économiques sur ces nouvelles pratiques sociales et collaboratives. Ce qui pouvait, selon lui, déboucher sur quelques troubles dans l'écosystème. IBM, Microsoft et Oracle, par leur service de conseil et support, pourront alors y jouer leur carte, nous confirme Forrester. (...)
(23/03/2007 15:05:44)La Commission juge "inacceptable" l'attitude de Microsoft
La Commissaire européenne Neelie Kroes sort une nouvelle fois de ses gonds, et qualifie d'"inacceptable" le fait que Microsoft poursuive sa quête de parts de marché en usant de stratégies condamnées par la Commission en 2004. A l'époque, Microsoft avait dû verser la somme de 497 M€, pour abus de position dominante sur le marché des OS. "Microsoft gagne constamment des parts de marché et c'est ce qui est inquiétant sur le marché des serveurs professionnels", a-t-elle déclaré devant un parterre de parlementaires. Et de leur préciser que les parts de marché de Microsoft sur ce segment ont continué de croître depuis le procès de 2004. Selon elle, quand la Commission a commencé à enquêter sur l'éditeur de Redmond en 1999, il détenait entre 35% et 40% du marché. En 2004, ses parts de marché s'élevaient à 60% et maintenant il en détient entre 70% et 75%. En juillet dernier, la Commission européenne avait de nouveau condamné Microsoft à verser une amende de 280,5 M€ pour ne pas s'être conformé au jugement de 2004. Neelie Kroes, excédée, indiquait déjà ne plus tolérer qu'une telle conduite illégale se poursuive indéfiniment. (...)
(23/03/2007 15:03:31)Oracle poursuit SAP pour le vol de milliers de logiciels
La rivalité entre Oracle et SAP s'exacerbe avec la plainte déposée, ce jeudi, par le premier contre le second. Selon Oracle, le groupe allemand se serait rendu coupable de vol « à grande échelle » en procédant à des « accès systématiques et illégaux » au système de support informatisé destiné aux clients Oracle. Des accès dont le plaignant se serait rendu compte à la fin novembre 2006. Dans sa plainte de 44 pages déposée en Californie, Oracle vise SAP, sa division américaine et sa filiale TomorrowNow, une entité qui fournit notamment le support technique pour les applications Oracle des familles de produits estampillées PeopleSoft, Siebel et JD Edwards. Oracle estime que SAP a violé plusieurs dispositions légales en « copiant et récupérant sur ses serveurs des milliers de logiciels et de données confidentielles » afin de constituer « une bibliothèque d'applications Oracle soumises au droit d'auteur ». Au total, la plainte porte sur onze éléments, dont la concurrence déloyale et le vol de propriété intellectuelle. Oracle explique avoir réalisé en novembre 2006 que les accès et les téléchargements sur ses serveurs ne correspondaient pas au volume d'activité habituellement constaté. Selon le plaignant, des employés de SAP auraient, à ce moment, utilisé les identifiants de clients Oracle pour télécharger des centaines de logiciels et de données. Et Oracle de citer l'exemple de quatre journées consécutives au cours desquelles « SAP a téléchargé en moyenne 1800 éléments par jour (alors que le nombre de téléchargements est en moyenne de 20 par mois) ». Selon Oracle, les téléchargements illégaux provenaient originellement d'une adresse IP attribuée à la filiale de SAP TomorrowNow. Une adresse directement reliée au réseau SAP, explique la plainte. Quand Oracle a suspendu l'accès de cette adresse IP, une autre a pris le relais pour reprendre les téléchargement. La seconde IP émanait également de SAP. SAP n'a, pour l'heure, fourni aucun commentaire, se contentant d'indiquer avoir été avisé du dépôt de plainte et examiner les griefs qui lui sont faits. Des griefs qui, en plus de lister de supposés agissements illégaux, s'attardent sur la rivalité opposant les deux groupes et les stratégies mises en place. Le plaignant indique ainsi que « SAP n'a pas de réponse aux nouvelles propositions faites aux entreprises par Oracle à travers ses nouvelles offres (...) Non seulement de nombreux clients de SAP utilisent les bases de données d'Oracle, qui sont supérieures, mais Oracle propose en plus une gamme de produits pour entreprise plus large afin de concurrencer SAP ». Et de poursuivre « plutôt que d'améliorer ses propres produits, SAP a réfléchi à la façon de miner Oracle. (...)
(23/03/2007 14:15:51)Roaming : les députés européens moins exigeants que la Commission
Les membres de la Commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs du Parlement européen ont adopté un texte fixant les tarifs du roaming (itinérance d'un réseau à l'autre) entre opérateurs mobiles. Le coût d'un appel passé depuis l'étranger, que ce soit vers le pays d'origine ou à l'intérieur du pays visité, ne devrait plus dépasser 0,5 € la minute hors taxe tandis que le montant facturé pour un appel reçu ne franchirait plus la barre des 25 centimes. Ces tarifs sont en phase avec ce qu'avait laissé entendre la commissaire européenne Viviane Reding la semaine dernière à Hanovre à l'occasion du Cebit. Toutefois, ces mesures ne s'appliqueraient automatiquement qu'aux nouveaux clients. Les autres devront en faire la demande pour en bénéficier. On est donc loin du projet de réglementation initial qui plafonnait pour tous les clients les appels de l'étranger vers le pays d'origine à 0,49 €, les appels à l'intérieur du pays visité à 0,33 € et les appels reçus à 0,16 €. C'est ce qui explique que le texte amendé n'a bénéficié que d'une très courte majorité (22 voix contre 21), le rapporteur du projet, le socialiste maltais Joseph Muscat, votant même contre. Il n'est donc pas exclu que les eurodéputés, qui devront se prononcer sur ce sujet le 10 mai, n'adoptent pas le texte en l'état. On attend aussi avec intérêt l'avis de la Commission de l'industrie qui va se prononcer sur le projet le 12 avril. Le Bureau européen des unions de consommateurs, qui regroupe 18 associations dont l'UFC-Que Choisir, déplore que l'Europe s'apprête « à laisser la majorité des consommateurs européens sans protection et à la merci des opérateurs télécoms ». L'association française, très active sur le sujet, a de son côté publié un communiqué de presse. « Si personne ne conteste la légitimité des opérateurs à faire des gains importants, comment justifier qu'un règlement européen les autorise à pratiquer des marges de 357% », peut-on y lire. Rappelons que la France, par la voix du ministre délégué à l'Industrie François Loos, s'est prononcée contre une baisse drastique des tarifs, adoptant ainsi le point de vue de la GSM Association, qui regroupe l'ensemble des opérateurs mondiaux ainsi que les équipementiers. Cette dernière n'a pas hésité à accuser la Commission européenne de violer les principes de proportionnalité, de subsidiarité et de non-discrimination et de ne pas avoir réalisé d'étude d'impact. (...)
(22/03/2007 17:36:08)Annuels Cegid : l'éditeur met l'accent sur la rentabilité opérationnelle
Résultats exercice 2006 : Chiffre d'affaires : 228,2 M€ (+1,7%) Résultat net : 16,2 M€ (+65,3%) Cegid a réalisé sur son exercice 2006, clos le 31 décembre dernier, un résultat opérationnel courant de 29,1 millions d'euros, en hausse de 36,6% par rapport à l'exercice 2005. La rentabilité opérationnelle courante s'établit ainsi à 12,8% du chiffre d'affaires contre 9,5% en 2005. Rappelons que le chiffre d'affaires 2006 de Cegid, déjà communiqué en janvier dernier, s'est établi à 228,2 millions d'euros, avec une modeste progression de 1,7% par rapport à 2005, à périmètre courant, c'est-à-dire en incluant les rachats effectués dans l'année (PMI Soft, GTI Industries et I&C). L'éditeur lyonnais de progiciels de gestion pointe l'amélioration de sa marge brute et la maîtrise de ses coûts fixes qui ont contribué à multiplier par deux, en deux ans, son résultat opérationnel, à périmètre courant, par rapport aux 12,7 millions d'euros enregistrés fin décembre 2004. Sur la même période, il souligne l'augmentation de quatre points de sa rentabilité opérationnelle. Quant à son résultat net, en augmentation de 65,3 % par rapport à l'an dernier, il s'élève à 16,2 millions d'euros. Rappelons que si le chiffre d'affaires de Cegid n'a que modestement progressé en 2006, cela tient principalement à la baisse de son activité de vente de matériel, en diminution de 10 millions d'euros sur l'exercice. Souhaitant se recentrer sur son métier d'éditeur et réduire ses coûts fixes, Cegid a donc annoncé, en février dernier, qu'il cédait à la société SCC cette activité de vente directe de matériel et de prestations associées. Celle-ci a généré en 2006 un chiffre d'affaires de 4,9 millions d'euros et concernait 120 collaborateurs de Cegid. Dans le même mouvement, l'éditeur a également confié à SCC la sous-traitance de l'installation et de la maintenance de matériel. Pour 2007, Cegid table sur le développement de ses trois catégories de solutions : ses progiciels de gestion intégrés (Cegid Business déclinés à la fois pour les petites structures et pour les moyennes et grandes entreprises), ses progiciels verticalisés par métiers (mode, distribution, industrie, négoce, BTP, services et professions comptables), ainsi que la mise à disposition de ses offres en mode hébergé (Cegid On Demand). (...)
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