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(29/03/2007 17:28:15)
Sondage flash : un certain pessimisme sur la capacité d'Oracle à tout digérer
Vous avez été exactement 400 à répondre à notre 'sondage flash' sur la capacité d'Oracle à intégrer les technologies de ses acquisitions. Si l'on en croit ses résultats (qui ne prétendent pas être scientifiques), en plus de son travail technique d'intégration de tous les produits et modules technologiques dont il est maintenant propriétaire, Oracle devra faire attention à savamment expliquer sa démarche à ses clients et aux entreprises clientes d'une façon générale. Car 61,3% d'entre vous se déclarent « plutôt inquiets », contre 38,8% « plutôt confiants ». Nous avions publié ce sondage à la suite du dernier rachat d'Oracle, Hyperion, que Larry Ellison s'est approprié pour 3,3 Md$ au début du mois. Cette vingtième acquisition en moins de deux ans portait le montant total des rachats effectués par Oracle à plus de 20 Md$. Oracle est donc engagé dans un énorme travail d'intégration. Même si à l'instar de ce qui se fait chez SAP, l'intégration repose sur un socle middleware et des standards et protocoles ouverts (les services Web), le travail de fusion opéré par Oracle (le programme Fusion) sera évidemment de longue haleine. Ce qui semble inquiéter nos lecteurs. (...)
(29/03/2007 15:29:13)Retour à la vieille garde pour SAP après la démission de Shai Agassi
Les dents longues de Shai Agassi, qui se voyait déjà patron de SAP, se sont heurtées à un os. Hasso Plattner, fondateur de l'éditeur et président du Conseil d'administration, a demandé au directeur général (CEO) Henning Kagermann de rester en poste jusqu'en 2009, alors qu'il devait partir dès cette année. Shai Agassi a donc préféré annoncer son départ du groupe, un départ fixé au 1er avril. « J'avais partagé avec Shai mon plan, explique Hasso Plattner. Il devait succéder à Henning Kagermann en tant que co-CEO de SAP. Avec l'extension à 2009 du contrat d'Henning, il est devenu évident que cela ne plaisait pas à Shai de consacrer [à SAP] une période de 10 à 15 ans, cela ne coïncidait pas avec son plan de carrière. » Intervenant dans une conférence de presse téléphonique afin de préciser ce communiqué, Hasso Plattner a ajouté : « Il [Shai Agassi] m'a dit que ce n'était pas la dernière chose qu'il comptait faire dans sa vie. » Néanmoins, les deux se seraient quittés en bons termes, Shai Agassi disant qu'il se consacrerait à des projets personnels en rapport avec les problèmes d'environnement, les sources d'énergie renouvelable et le futur d'Israël (son pays natal), et Hasso Plattner expliquant combien la société lui était redevable. Agassi à la tête du développement technologique dès 2003 De fait, c'est Shai Agassi qui, en tant que président du Product & Technology Group de SAP, a élaboré et mené la stratégie de transformation du groupe. Sous son impulsion, SAP est passé d'un éditeur de progiciel à la structure monolithique à un éditeur d'une solution respectant les principes d'une architecture orientée services (SOA, ou ESA, Enterprise services architecture, dans le jargon SAP). Shai Agassi est entré chez SAP à l'occasion du rachat de sa société TopTier en 2001, un éditeur d'outils de création de portails. Il a rapidement monté les échelons, Hasso Plattner lui abandonnant dès 2003 son dernier rôle opérationnel dans SAP : la direction du développement technologique. C'est donc Shai Agassi qui a piloté l'élaboration de Netweaver, la plateforme middleware qui sert aujourd'hui de socle technologique à l'offre SAP. C'est également lui, jeune et brillant orateur, qui a parcouru le monde pour expliquer ce changement de stratégie afin d'inciter les clients et les partenaires à s'engager de nouveau avec SAP. Outre Netweaver, c'est lui aussi, plus récemment, qui a porté la stratégie On Demand, de fourniture d'applications en ligne, rappelle Denis Pombriant, analyste principal de Beagle Research. « Ces deux éléments sont absolument critiques pour le succès de SAP, dit-il. S'il n'est pas là pour pousser ces initiatives, je me demande si quelqu'un d'autre pourra le faire. » Leo Apotheker devient co-CEO immédiatement Le pire qui puisse arriver, indique de son côté David Bradshaw, analyste principal chez Ovum, est que Shai Agassi décide maintenant de s'impliquer chez un concurrent : « Interrogé afin de savoir si le contrat de Shai Agassi contenait une clause de non-concurrence, Hasso Plattner a fait une réponse qui semble vouloir dire qu'il n'y en a pas. » En revanche, le fondateur de SAP a insisté sur le fait que Shai Agassi conservait un bureau dans les locaux de R&D du groupe à Palo Alto, et serait dorénavant « consultant spécial » pour le conseil de surveillance. Le départ de Shai Agassi profite en tout cas à Leo Apotheker, président du groupe 'solutions & opérations clients' qui devait devenir co-CEO avec Shai Agassi. Il est immédiatement nommé CEO adjoint, en charge du marketing, des PME, et de la politique envers les partenaires. Henning Kagermann dirigera les équipes de développement du logiciel (Netweaver, CRM, Business Suite...). Pour Denis Pombriant, « on dirait que la nouvelle garde se fait mettre dehors par la vieille garde ». (...)
(28/03/2007 18:01:12)Dell se lance dans le data center sur mesure
Dell ne se contente plus de vendre des serveurs. Le fabricant texan veut aller plus loin dans son offre de « sur-mesure » informatique, en créant une division dédiée aux salles de serveurs, baptisée Data Center Solutions. Elle devra fournir aux clients une solution « clé-en-main » pour leur salle de serveurs : conception de l'infrastructure physique des salles (alimentation électrique, climatisation) ; fourniture du matériel informatique, y compris des serveurs « prototypes » adaptés aux besoins du client ; fourniture de composants customisés pour chaque client ; et même la mise à disposition du personnel approprié pour maintenir ces salles, si le service informatique du client n'est pas assez étoffé. Avec cette division, Dell vise la nouvelle cible marketing de l'informatique : les sociétés Web 2.0, c'est-à-dire, selon le communiqué de Dell, « des sociétés qui ont besoin d'une puissance de calcul sur une large échelle, et où le déploiement en infrastructure se mesure en millions de serveurs, d'équipements réseau et de stockage ». Forrest Norrod, directeur de la division Data Center Solutions de Dell, précise : « Nous visons des sociétés où les technologies de l'information sont au coeur de leur business. Celles-ci ont besoin de déployer 1000 serveurs par mois, et doivent gérer leur parc tout en gardant un oeil sur leur TCO [Total Cost of Ownership, coût total d'exploitation, NDLR] ». Pour l'instant, Dell propose déjà ce type de services à une douzaine de clients. (...)
(28/03/2007 14:14:58)Les DSI privilégient les relations clients dans le choix d'un opérateur
Dans son étude annuelle réalisée pour le compte de l'opérateur Vanco auprès de 219 DSI européens (dont 42 en France), ICM Research note une évolution des priorités en matière de réseaux chez ces derniers. Ainsi, la réduction des coûts n'est plus citée en tête que par 21% des DSI contre 28% en 2006. Figurent ensuite les solutions de sécurité réseau avec 13% de mentions (16% en 2006) et l'augmentation de la bande passante qui n'est plus souhaitée que par 10% de responsables (15% en 2006). La flexibilité, la disponibilité, la qualité de service ainsi que la gestion du réseau et de la relation client/partenaire figurent désormais parmi les raisons principales du choix d'un opérateur. « Il est intéressant de noter que de plus en plus de DSI européens commencent à accorder plus d'importance aux questions relationnelles », constate Michael Piddock, directeur marketing groupe de Vanco. Pour compléter le panel, ICM Research a également interrogé des responsables américains, australiens et asiatiques. Il en ressort qu'au niveau mondial, le facteur clé pour le choix de l'opérateur réseau reste le coût pour 74% des DSI (contre 76% en 2006). L'offre de service la plus large, avec 28% de citations, occupe pour la première fois la deuxième place de ce classement. La couverture géographique est toujours un facteur de choix important puisqu'elle est citée par 25% des DSI au niveau mondial (31% en 2006). Curieusement, la stabilité financière des fournisseurs ne préoccupe plus que 6% des personnes interrogées. Enfin, c'est en France, en Italie et en Australie que l'on constate le plus grand nombre d'entreprises désirant externaliser leur WAN. (...)
(28/03/2007 12:31:33)Le marché du BPM dépassera le milliard de dollars cette année
Un milliard de dollars dès cette année et 2,6 Md$ en 2011, le marché des logiciels de BPM (Business process management, gestion des processus métier) devrait faire partie des secteurs dont la croissance sera la plus rapide, prédit Gartner. Le cabinet d'études, qui tient en ce moment son Gartner BPM Summit à Londres, explique cette envolée par la façon dont Internet change la façon de faire des affaires, en plaçant le client au centre. Et donc en forçant les entreprises à accélérer la modernisation de leurs processus. De 2006 à 2011, le taux de croissance annuel moyen pour les suites de BPM devrait se situer à 24%. Janelle Hill, vice-présidente de Gartner, estime que « le BPM gagne la triple couronne : économiser de l'argent, économiser du temps et ajouter de la valeur. Le BPM procure à la fois un retour sur investissement rapide et de la valeur à long terme. » Le BPM, poursuit Gartner, est une composante majeure des architectures orientées services (SOA), et une raison essentielle pour y passer. Une étude de l'an passé indique que les entreprises devraient dépenser 22% de leur budget IT sur les SOA, les services Web et les initiatives 2.0. Côté éditeurs, le marché devrait encore se réduire. Gartner identifiait 50 acteurs du BPM en 2003, et ne comptait en 2006 que 25 éditeurs offrant une suite de BPM. Et Gartner s'attend à ce qu'au moins quatre d'entre eux soient rachetés par les éditeurs majeurs, tels qu'IBM, SAP et Oracle. (...)
(28/03/2007 12:08:38)Sun (re)lance une division dédiée aux processeurs
Sun vient d'annoncer la création d'une division baptisée Microelectronics, spécialisée dans les processeurs. Dirigée par David Yen, ex-responsable de la division stockage, cette unité aura pour charge de développer des processeurs pour réseaux, pour la cryptographie et pour le calcul haute-performance. Et les commercialisera également à d'autres fabricants que Sun. Pour Jonathan Schwartz, PDG de Sun, cette création est une évidence commerciale : « Comme pour nos logiciels, détacher notre silicium d'un support strict des systèmes Sun augmente nos profits et nos opportunités commerciales dans leur ensemble. » À condition de ne pas se tromper. Dans les années 90, Sun avait déjà tenté de créer une filiale spécialisée dans l'électronique. Mais elle l'avait réintégrée dans son sein lorsqu'il était apparu que le seul client pour les processeurs Sun était la société elle-même. (...)
(28/03/2007 11:56:42)Microsoft dispose de 20 jours supplémentaires pour répondre à la Commission
20 jours supplémentaires. La Commission européenne vient d'octroyer à Microsoft un délai supplémentaire afin que celui-ci puisse répondre aux dernières accusations et éviter une nouvelle astreinte. Le 2 mars, la Commission avait envoyé à Microsoft une "communication de griefs" dans laquelle elle accusait l'éditeur de surfacturer à ses rivaux les protocoles de ses serveurs et les informations s'y rapportant. Ne respectant pas ainsi, selon elle, les mesures imposées suite au procès de 2004. La Commission avait alors fixé la date butoir du 3 avril, date à laquelle Microsoft devait fournir un réponse. Ce délai a hier été décalé au 23 avril, à la demande de Microsoft, comme l'a confirmé Jonathan Todd, porte-parole de la Commission, à nos confrères de Computerworld (Groupe IDG). Le 23 mars, la Commissaire européenne Neelie Kroes jugeait "inacceptable" le fait que Microsoft gagne encore des parts de marché sur le segment des serveurs en usant de pratiques condamnées lors du procès de 2004. Selon elle, quand la Commission a commencé à enquêter sur l'éditeur de Redmond en 1999, il détenait entre 35% et 40% du marché. En 2004, ses parts de marché s'élevaient à 60% et maintenant il en détient entre 70% et 75%. (...)
(28/03/2007 11:10:19)IBM France s'apprête à licencier
La direction d'IBM France a annoncé le 22 février au comité central d'entreprise son intention de supprimer 150 postes dans ses services administratifs et aux clients entre 2007 et 2008. Selon les syndicats, les suppressions d'emplois pourraient s'élever à 450 postes, dont 192 dès le mois de mai par procédure de licenciement économique. A l'heure actuelle, IBM France dispose d'un effectif de 11 000 personnes. Dans un communiqué, la CGT estime qu'« au cours des deux dernières années, sous couvert de l'accord GPEC, la direction française a supprimé près de 2000 emplois, soit 20% de ses effectifs : 1400 supprimés en 2005 et 450, en 2006 ». (...)
(27/03/2007 17:17:22)SFR décline son offre fixe+mobile pour les entreprises
En parallèle à l'extension de son offre Happy Zone pour les particuliers (un forfait unique pour ADSL, fixe et mobile), SFR lance une offre entreprise, Office Zone. Le principe est simple : le nombre d'appels émis par les collaborateurs, depuis les téléphones mobiles et sur les sites de l'entreprise (mono ou multi-sites) est illimité, sous certaines conditions. L'offre est un forfait d'appels illimités, vers tous les fixes et les mobiles SFR de l'entreprise 24h/24 et 7j/7, vers les fixes nationaux en semaine, de 8h à 20h et vers l'international Zone 0 en semaine de 8h à 20h (Europe des 27, Suisse, Norvège, Taiwan, Singapour, Australie, USA, Chine et Canada). Le service est facturé 30E HT par mois et par ligne. Au delà des sites de l'entreprise, SFR propose des pack allant de 50 minutes pour 6E à 800 minutes pour 72E. Ce crédit temps est mutualisé entre tous les collaborateurs. Enfin, l'opérateur inclut nativement l'option PABX Mobile à l'offre Office Zone. Elle permet de retrouver les fonctionnalités du poste fixe sur le terminal mobile : transfert d'appel, gestion des appels entrants, mise en conférence, renvoi d'appel ou encore gestion de groupes d'appels. (...)
(27/03/2007 16:44:30)Le PDG de SAP réfute les accusations d'Oracle
Henning Kagermann, PDG de SAP, a déclaré à l'occasion d'une conférence à Munich qu'il niait en bloc les accusations d'Oracle, nous apprend Reuters. Et que sa société n'avait pas volé des codes d'accès d'utilisateurs pour pénétrer le système Oracle. "Nous respectons la propriété intellectuelle des autres", a-t-il déclaré ce lundi. Vendredi 23 mars, Oracle a déposé une plainte contre SAP et sa filiale TomorrowNow pour vol à grande échelle, l'accusant de s'être introduit illégalement dans le système de support informatisé destiné aux clients Oracle. Ce même jour, SAP, tout en réservant sa réponse à Oracle, affirmait qu'il allait mener une véritable contre-offensive, et se "défendre agressivement" contre les accusations d'Oracle. (...)
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