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(22/03/2007 16:54:28)
Dell lance des PC à très bas prix en Chine
Dell vient de lancer un PC à bas prix destiné aux consommateurs chinois. Soucieux de gagner des parts de marché dans un pays qui constitue un gigantesque réservoir de clients, le constructeur texan a choisi d'équiper sa machine - l'EC280 - de Windows XP, d'un Celeron à 1,2 GHz et d'un écran CRT 15', pour un prix équivalant à environ 250€. Dell propose également aux acheteurs chinois le Dimension C51-n, doté d'un Athlon64 3200, d'un OS Linux et d'un écran LCD 17', pour moins de 400€. L'idée de Dell est de profiter des opportunités de croissance qu'offre la Chine et, plus généralement, l'ensemble des marchés émergents. Comme le soulignait récemment l'institut Gartner, ces marchés doperont la progression mondiale des ventes de PC en 2007, comme ils l'ont déjà fait l'année dernière. William Amelio, l'ancien patron de la branche Asie-Pacifique du constructeur, indiquait ainsi, en 2006, que son groupe souhaitait cibler les "pays en voie de développement" comme la Chine, le Brésil, l'Inde et la Russie. (...)
(22/03/2007 13:28:39)Gartner liste les principaux acteurs mondiaux de l'externalisation
A l'occasion de l'Outsourcing Summit de Dallas, la grand messe organisée par Gartner du 19 au 21 mars à Dallas, l'institut estime qu'environ 60 pays sont impliqués dans l'externalisation IT dans le monde. Gartner classe ces acteurs en trois catégories : ceux qui dominent le marché (Inde, Argentine, Russie), les participants actifs (Vietnam, Egypte, Chili, etc.) et les pays qui commencent seulement à s'engager dans cette voie. Parmi les nations que Gartner classe comme étant susceptibles de devenir des acteurs de l'externalisation IT, citons l'Algérie, le Kenya, Madagascar, Malte, l'Arabie Saoudite ou l'Ouganda. A ces pays, on peut ajouter Cuba : selon Frances Karamouzis, analyste au Gartner, Cuba, avec ses 11 millions d'habitants, constitue un candidat intéressant grâce à ses programmes éducatifs axés sur les mathématiques et l'informatique. Autant de compétences susceptibles de fournir au pays les clés de l'industrie IT externalisée. Subsiste cependant un obstacle de taille. Selon Eric Driggs, chercheur à l'Institut d'études cubaines et cubano-américaines de Miami, le gouvernement cubain considère l'IT comme une menace pour la sa sécurité. La récente nomination de Ramiro Valdes, ancien responsable de la sécurité, au ministère de la Communication confirme que les dirigeants cubains n'entendent pas lâcher du lest sur le contrôle du Web et des nouvelles technologies en règle générale. (...)
(21/03/2007 18:06:11)Ventes de PC : pas d'effet Vista en 2007 selon Gartner
La sortie de Vista, en janvier 2007 pour le grand public, n'impactera pas les ventes de PC cette année, le nouvel OS de Microsoft « ne dopant, au mieux, que de façon limitée » les quantités qui seront écoulées en 2007, selon le Gartner. L'institut table sur une progression des ventes en volume de 10,5% par rapport à 2006, soit 255,7 millions d'unités de machines. Gartner révise donc sa précédente estimation, publiée fin 2006, dans laquelle il estimait la croissance à 9,9%. La hausse des revenus devrait s'avérer, en revanche, moindre : le Gartner n'anticipe qu'une progression de 4,6%, à 213,3 Md$. Comme en 2006 donc, la guerre des prix que se livrent les constructeurs aidera les ventes à bondir en volume mais affectera leur valeur. Selon le cabinet d'études, seule une petite part des consommateurs et des PME se laissera séduire par la sirène Vista, préférant adopter l'OS au fur et à mesure du renouvellement de leurs machines au cours des années à venir. Si Vista renferme des fonctionnalités intéressantes, elles ne sont pas suffisantes, explique Gartner, pour inciter les utilisateurs à s'équiper d'une nouvelle machine. Du côté des grandes entreprises, le constat est encore plus simple : Vista n'aura « virtuellement aucun impact » sur les ventes de PC en 2007. Les professionnels travaillant dans les grandes structures devraient reporter les migrations d'envergure à 2008, et ainsi prendre le temps de s'assurer de la comptabilité de l'ensemble de leurs applications avec Vista. Enfin, les marchés émergents et les PC portables continueront de constituer les meilleures opportunités de croissance. (...)
(21/03/2007 17:09:52)Ellison : Unbreakable Linux va bien
"Notre programme de support de Red Hat Entreprise Linux connaît un très bon départ", a déclaré Larry Ellison, à l'occasion d'une conférence entre analystes financiers. Ellison a inauguré son offre Unbreakable Linux 2.0 en octobre à l'occasion d'OpenWorld à San Francisco et, depuis, s'était refusé à commenter sa progression ainsi que le nombre d'utilisateurs intéressés. Unbreakable Linux propose une version recompilée de l'OS de Red Hat ainsi qu'une offre de support associée pour un prix inférieur à celui proposé par Red Hat. "Et ce n'est qu'un début. Nous n'allons pas bâtir un marché Linux du jour au lendemain, mais [assurément, ndlr], nous y parviendrons. Nous sommes déterminés à offrir le meilleur support au monde ", martèle-t-il. Puis d'avancer quelques exemples. Yahoo, présent à OpenWorld, a déjà basculé et pris Oracle comme fournisseur de support pour Red Hat. Et de citer aussi Dell et HP, présents au travers d'enregistrements vidéos, qui pourraient redistribuer l'offre d'Oracle. Sans citer d'autres grands comptes, Ellison souligne que certains contrats de supports Linux signés par Oracle avoisineraient les 500 000$. (...)
(21/03/2007 17:05:39)DNV inaugure sa filiale IT consacrée à la gestion du risque
DNV, le spécialiste norvégien de la gestion du risque opérationnel, lance ce 21 mars son pôle IT Global Services, consacré à la maîtrise des risques informatiques. La branche est basée à Paris et emploie quelque 300 consultants à travers l'Europe, avec des petites équipes aux Etats-Unis et en Chine. Le nouveau pôle est le fruit d'une série d'acquisitions commencée en 1996 avec la moitié des parts de Q-Labs, un spécialiste de l'amélioration de processus. En 2006, DNV se paye la totalité du capital de Q-Labs et met la main sur le Hollandais Cibit (gestion des informations et des connaissances), l'Allemand Tireno (amélioration des processus) et l'Anglais Echelon (sécurité de l'information). Une vague d'achats destinée à accélérer le passage de DNV vers le monde IT « car cela aurait pris trop de temps d'acquérir nous-même les connaissances nécessaires », confie Henrik Madsen, le PDG de DNV, au mondeinformatique.fr. DNV IT Global Services s'adresse à cinq grands segments de marché avec celui de la finance, qui représente un quart des activités du pôle lancé ce jour. Le secteur IT et Télécoms pèse pour environ 20%, le reste étant partagé à parts égales entre le secteur public/défense, l'aérospatial et l'automobile. En 2007, le pôle IT de DNV devrait réaliser un chiffre d'affaires d'environ 40 M€ et dégager un bénéfice opérationnel. Il s'appuiera pour cela sur ses clients basés un peu partout dans le monde : « nos clients cibles sont les grands acteurs implantés dans plusieurs pays », explique Henrik Madsen. Citons, parmi eux, EDF, Nokia, KLM, Alcatel ou encore Total. DNV entend adopter un rythme de croissance rapide : « notre but est de doubler le chiffre d'affaires d'ici à 2010 », indique le PDG du groupe. Une ambition qui s'appuiera sur le développement en interne des activités, et sur de nouvelles acquisitions, probablement l'année prochaine. Dans trois ans, DNV IT Global Services devrait compter plus de 500 salariés. (...)
(21/03/2007 17:38:48)PGI : RWD Technologies fait le pari de diminuer les coûts de ses clients de 35%
Se situant « entre le grand cabinet de conseil et la SSII », RWD Technologies (ex-Cadra), société en conseil autour des PGI (progiciels de gestion intégrés), préconise une stratégie différente de celles développées traditionnellement, pour permettre à ses clients d'économiser environ 35% de leur note globale. « Nous voulons révolutionner le marché, il est fini le temps des grands projets et de l'opulence », annonce en préambule Lionel Vigne, directeur Business Unit de RWD Technologies France. Et de développer sa stratégie en 3 points dont le maître mot est pragmatisme. « Nous maîtrisons parfaitement 'l'événement métier' par l'ingénierie pédagogique, l'implication de la direction générale et la formation de 'super-users'. Par expérience, nous savons que la nature humaine n'aime pas beaucoup le changement et que dans les PGI, le risque de rejet est très élevé. Notre démarche opérationnelle place donc l'utilisateur final au centre du dispositif ; nous identifions les changements induits et élaborons un plan pour projeter l'utilisateur dans l'avenir. » Le but est de bien préparer les formations et d'éviter aux formateurs de revenir, situation trop souvent classique au coût non négligeable pour le client. Deux autres outils pour maîtriser les coûts : Info Pak et un « performance center » situé en France Pour éviter la multiplication d'errances dues aux nouveaux SI, à la formation de base, succèdent d'autres périodes. Ainsi, « Info Pak », sur SAP principalement, est destinée à développer et pérenniser la compétence des utilisateurs de PGI. Elle permet notamment d'industrialiser la création de la documentation utilisateurs (outil et métier) et de la rendre disponible sous forme d'aide en ligne. « C'est une documentation conçue sur-mesure pour les métiers de l'entreprise. Avec l'aide en ligne contextuelle, l'utilisateur peut s'autoformer dans le contexte de sa société », souligne Lionel Vigne. Autre avantage : RWD Technologies travaille en permanence avec SAP pour faire évoluer l'outil, sans que les entreprises soient dans l'obligation de changer constamment de système ou imposent à leurs utilisateurs de nouveaux et fastidieux apprentissages. Enfin, pour travailler à distance avec ses clients afin d'éviter les frais de déplacement qui peuvent monter jusqu'à 15% du total d'un projet, RWD Technologies réinvente le « performance center ». « Nos consultants peuvent travailler en amont sur le site, créer la documentation, intervenir à distance lorsque c'est possible. Des plateformes d'autoformation à distance par exemple sont envisageables, tout comme les phases de tests ou les simulations. Le client fait une économie notable sur les consultants et les déplacements. De notre côté, après une mission, nous apprécions que notre personnel se retrouve dans les murs de son entreprise. En termes de ressources humaines, ce n'est pas négligeable », indique Lionel Vigne qui insiste également sur l'aspect local du site, et non pas dans une perspective d'offshore déguisée. Cette analyse, doublée d'un intéressant chiffrage économique, rompt avec les codes de nombreuses SSII qui militent en faveur du « tout consultant » par la multiplication de missions en régie, et qui prennent le double risque de favoriser le turn-over d'un personnel parfois démotivé et en perte de repères, ainsi qu'une augmentation des coûts pour le client final. Reste à déterminer quelles évolutions permettra ce modèle économique, qui devrait prochainement être testé à plus grande échelle. (...)
(21/03/2007 12:13:15)La Belgique invente le virement SMS sécurisé
La Belgique se lance à fond dans le paiement par SMS sécurisé. Nos voisins peuvent même choisir entre deux systèmes, tous deux agréés par les banques. Le premier, baptisé Tunz, est une évolution du porte-monnaie électronique puisqu'il faut charger le téléphone par virement ou par carte de crédit. Le client dispose alors d'une somme de 150 € maximum qu'il peut utiliser à sa guise. S'il souhaite effectuer un achat, il envoie un SMS comportant le montant de la transaction, le numéro de téléphone du vendeur ainsi que le code confidentiel fourni par Tunz. Si le bénéficiaire est un nouvel utilisateur, Tunz lui créera automatiquement un porte-monnaie qu'il pourra à son tour utiliser instantanément. Chaque SMS est facturé entre 0,15 et 0,40 € par l'opérateur mobile. Les versements entre porte-monnaie peuvent toutefois se faire gratuitement à partir du site Internet de Tunz. L'autre système, proposé par Banksys (m-banxafe), est réservé aux titulaires d'un compte courant dans une banque belge. Ici c'est le commerçant qui initie l'opération. L'acheteur reçoit ensuite un SMS comportant le montant de la transaction. Il lui suffit alors d'entrer son code secret pour accepter le paiement. Quelques secondes après, les deux parties reçoivent un SMS de confirmation. Comme il s'agit d'une opération entre comptes, le montant maximum est celui associé à la carte bancaire, soit généralement 2 500 €. Chaque opération est facturée 0,25 € TTC pour le client et 0,49 € HT pour le commerçant. Cette somme est ensuite répartie entre l'opérateur, les banques et Banksys. M-banksafe est également disponible sur Internet pour les titulaires de compte ne disposant pas de carte bancaire. Tunz et m-banksafe fonctionnent sur les réseaux des trois opérateurs mobiles belges : Proximus, Mobistar et Base. (...)
(21/03/2007 10:50:53)Selon l'Afom, la croissance des opérateurs mobiles français ralentit
L'association française des opérateurs mobiles (Afom) publie les résultats d'une étude visant à «mesurer la contribution du secteur de la téléphonie mobile à l'économie française en général et l'apport aux consommateurs en particulier». Cette première édition a notamment été l'occasion pour l'Afom de faire un point sur l'évolution du marché de la téléphonie mobile. Plus de 51 millions de français détiennent aujourd'hui un téléphone portable, contre 500 000 en 1992. Depuis 2001, la croissance évolue à un rythme moyen de 7% par an, soit près de 3 millions de nouveaux abonnés chaque année. Même si le marché arrive à saturation en termes de pénétration, sa croissance est tirée vers le haut grâce aux innovations technologiques, telles que les offres HSDPA, convergentes ou encore illimitées ainsi que l'introduction des opérateurs mobiles virtuels (MVNO). Un paysage concurrentiel plus dense En 2005, Bouygues Telecom, SFR et Orange se partageaient le marché de la téléphonie mobile. Ils sont aujourd'hui 30 acteurs. Les MVNO représentent 63% de l'augmentation du parc de clients en 2006. La part de marché de ces nouveaux acteurs augmente de 1 point en moyenne par trimestre, depuis ces 18 derniers mois. En plus de l'arrivée des nouveaux opérateurs mobiles virtuels, les offres technologiques et les modèles économiques évoluent. Tant attendue, la convergence fixe-mobile se matérialise avec les terminaux dual-mode GSM / WiFi. De plus, les offres illimitées prolifèrent et de nouveaux services (télévision, musique, paiement, etc.) sont désormais accessibles. Vers un ralentissement de la croissance En 2006, le chiffre d'affaires consolidé du secteur est estimé par l'Idate à 21 Md€, dix fois plus qu'il y a dix ans. Entre 1995 et 2006, les opérateurs ont investi 30 Md€ au total. Parallèlement, ils ont dépensé plus de 2 Md€ par an (10% du chiffre d'affaires consolidé du secteur) pour acquérir de la clientèle d'une part, et réduire le taux de désabonnement d'autre part. Malgré ces résultats et investissements, la croissance ralentit. Elle était de 1,4% entre 2005 et 2006. C'est la plus faible augmentation enregistrée depuis plus de dix ans. Entre 2000 et 2005, elle était en moyenne de 10,6% par an. L'utilisateur français mieux loti que ses voisins européens Globalement, la mutation du marché de la téléphonie mobile s'est faite à l'avantage du consommateur, indique le rapport de l'Afom (qui n'allait pas dire le contraire, de toute façon). Le prix moyen de la minute «voix sortante» aurait baissé de 26% entre 2002 et 2006. Aujourd'hui, le budget mensuel mobile d'un ménage est de 24,1€ HT par mois, hors achat de terminaux et services à valeur ajoutée. L'Afom conclut son rapport en précisant que «le consommateur français bénéficie d'une position dans l'ensemble avantageuse par rapport aux autres grands pays européens (Allemagne, Royaume-Uni, Italie et Espagne)». Peut-être aussi parce que le Conseil de la concurrence veille ? (...)
(20/03/2007 17:33:01)Annuels GFI : bons résultats sur fond d'ouverture du capital contestée
Résultats exercice 2006 : Chiffre d'affaires : 633,1 M€ (+16%) Résultat net : 18,9 M€ (+69%) Comme GFI Informatique l'avait annoncé en février, ses revenus ont atteint 633,1 M€ au cours de l'exercice 2006, soit 16% de plus qu'un un auparavant, ou 7,4% en organique. GFI profite des acquisitions d'Adelio et d'Actif pour doper sa croissance, même si l'ajout de ces filiales a pesé sur la marge opérationnelle, qui recule très légèrement à 7,3%. Sans tenir compte des deux filiales nouvellement acquises, la rentabilité aurait représenté 8% du chiffre d'affaires. GFI se félicite cependant de l'amélioration de la marge de ces deux entités : alors qu'elles réalisaient une marge de 2,2% au premier semestre, celle-ci passait à 4,8% sur la deuxième moitié de l'année. L'international représente environ le tiers de l'activité du groupe, et progresse de 11,7%. Enfin, le résultat net bondit de 69%, à 18,9 M€. L'heure est désormais à l'augmentation de capital, d'une hauteur de 56 M€, qui doit être discutée lors de la prochaine assemblée générale. Une levée d'actions, à 8 € le titre, qui profiterait à Apax Partners et que Jacques Tordjman, le PDG de GFI, présente comme étant susceptible d'offrir « des leviers sur [la] croissance organique, sur [la] politique d'acquisitions et sur [la] profitabilité ». Néanmoins, plusieurs actionnaires minoritaires se montrent pour le moins sceptiques devant cette augmentation de capital, jugeant la valorisation du titre trop faible. (...)
(20/03/2007 17:30:37)Marché des portables : HP confirme sa première place
DisplaySearch vient de publier les chiffres des ventes de PC portables pour le dernier trimestre 2006. Les 78,8 millions d'unités écoulées au cours de la période (+27,7% sur un an) confirment la tendance esquissée l'année dernière par les principaux instituts de recherche pour l'ensemble des ordinateurs - PC de bureau et portables : Dell est bel et bien devancé par HP. Les deux constructeurs affichent du reste des dynamiques très contrastées. Alors que HP s'arroge 20% de parts de marché et voit ses ventes s'envoler de 29% par rapport au quatrième trimestre 2005, Dell affiche des ventes en recul de 2% et n'occupe que 15% du marché. Sur la troisième marche du podium, Acer confirme qu'il est l'acteur en forme du moment. Le constructeur progresse de 29% en volume et se paye le luxe de dépasser pour la première fois la barre des 3 millions d'unités vendues. Il talonne désormais Dell avec 13,3% de parts de marché. (...)
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