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(19/03/2007 17:23:18)

Citrix s'offre un outil de test de montée en charge

Citrix a racheté un éditeur écossais, ThinGenius, qui avait commencé en 2002 à développer un outil de test de montée en charge pour les environnements Citrix. TLoad Technology peut simuler un nombre variable d'utilisateurs, afin de tester le dimensionnement d'une architecture ICA (le protocole utilisé par Citrix pour déporter les interfaces applicatives sur les postes utilisateurs). Citrix ne disposait jusqu'à présent que d'un outil de surveillance, EdgeSight. Par ses capacités de simulation, TLoad offre la possibilité de réaliser des tests en amont, avant la première mise en production, puis avant toute modification de la configuration. (...)

(19/03/2007 15:52:10)

Annuels Devoteam : les prévisions sont dépassées

Résultats exercice 2006 Chiffre d'affaires : 266,7 M€ (+34%) Bénéfice net : 16 M€ (+29%) Devoteam boucle son exercice fiscal 2006 en publiant un chiffre d'affaires supérieur aux attentes des analystes et à celui que le groupe prévoyait de réaliser à la fin du premier semestre. Le revenu s'élève ainsi à 266,7 M€ et progresse de 34% sur un an. La SSII profite notamment de l'arrivée dans son giron de nouvelles filiales acquises à l'étranger dont Tertio et Guidance en Angleterre et au Benelux, ainsi que d'autres sociétés situées en Scandinavie et au Maroc. Autant d'acquisition qui permettent aux activités réalisées à l'étranger de représenter 35% du chiffre d'affaires total, contre 25% un an plus tôt. L'exercice 2006 est également marqué par une progression de la rentabilité : la marge d'exploitation s'élève à 22,4 M€ - soit 57% de plus qu'en 2005 - et représente 8,4% des revenus, contre 7,2% au cours de l'exercice précédent. Même tendance en ce qui concerne le résultat net : il s'affiche en hausse de 29%, à 16 M€. Devoteam débute son exercice 2007 en estimant que « le contexte favorable du marché se poursuivra » au cours de l'année. La SSII table sur une progression de son chiffre d'affaires d'au moins 20%, et de sa marge opérationnelle de 25%. (...)

(19/03/2007 14:34:52)

Cebit 2007 : les organisateurs se félicitent d'une affluence en hausse

Irrités de voir la presse titrer sur un éventuel déclin du Cebit, les organisateur de la grand-messe de Hanovre ont tenu à faire le point à mi-parcours. Intervenant lors d'une conférence de presse, Ernst Raue, du conseil d'administration de la Deutsche Messe, a indiqué qu'avec bien plus de 200 000 visiteurs en trois jours, le Cebit avait déjà battu un record d'affluence par rapport à l'an dernier : « Nous sommes heureux de vous dire que le Cebit a démarré de façon très forte. Nous avons un bon nombre de visiteurs, 10% de plus qu'au même moment l'année dernière. » L'absence de certains grands noms de l'industrie ainsi que l'annonce d'un plan de restructuration par les organisateurs ont pu laisser penser que le Cebit allait suivre la même voie que d'autres expositions géantes comme le Comdex, qui ont fini par imploser de leur gigantisme ; à force de tout embrasser, le Comdex de Las Vegas avait fini par perdre son positionnement professionnel et donc toute légitimité aux yeux des principaux exposants. Les exposants se disent agréablement supris A quelques heures de l'ouverture du salon, le Dr Sven-Michael Prueser, vice-président senior du Cebit, avait confié à Network World (groupe IDG) que les exposants indiqués comme « manquants » étaient en réalité présents au travers des différents stands de leurs partenaires. Et que si certains salons comme le 3GSM de Barcelone étaient bons pour y faire la fête, le Cebit restait le lieu pour faire de vraies affaires. Avis partagé par des acteurs locaux qui ont choisi d'être présents. « Pour être vraiment honnête, quand nous avons pris la décision de nous rendre au Cebit cette année, nos attentes n'étaient pas immenses, car d'après ce que nous lisions dans la presse, nous pensions que ce serait moins animé que l'an dernier, raconte Stefan Engel, directeur général d'Acer Allemagne. Mais quelques jours sont passés, et ils ont été bien plus occupés que l'année dernière. » « C'est le salon le plus grand et le plus important pour le marché européen, ainsi que de loin le plus grand salon du monde, donc nous restons ici, explique Achim Berg, directeur général de Microsoft Allemagne. Pour nous, ainsi que pour nos clients et nos partenaires, c'est très important d'être là. » « Beaucoup de journalistes sont ici, tous les revendeurs importants sont là, il y a beaucoup de public, plus que ce à quoi nous nous attendions, indique de son côté Franck Bolten, directeur général de Shard Allemagne. Le Cebit 2007 est plutôt une réussite pour nous. » Pas un lieu pour annoncer de nouveaux produits Stefan Engel reconnaît toutefois que le Cebit devient davantage un lieu pour rencontrer des clients potentiels que pour lancer de nouveaux produits. Si des habitués nous confiaient en effet voir beaucoup moins de monde lors des premiers jours, plutôt réservés aux professionnels, les allées se sont noircies dès le samedi matin, par une foule venue tester les derniers jeux vidéos, voir les derniers téléphones mobiles ou lecteurs MP3, et faire le plein de « goodies », ces petits objets promotionnels distribués par poignées entières. Sharp dit avoir attiré énormément de monde grâce à sa télévision LCD Full HP de 108 pouces, « la plus grande du monde » dans cette technologie. En 2008, le Cebit se tiendra sur six jours, soit un jour de moins, et, au lieu de commencer le jeudi, démarrera le mardi pour se terminer le dimanche. (...)

(16/03/2007 17:51:49)

Cebit 2007 : WebEx offre le Saas et les PME à Cisco

« Le travail ne fait que commencer. » Quelque 24 heures après l'annonce du rachat de WebEx pour 3,2 Md$, Cisco, encore très discret, lève un coin du voile sur les modalités de l'acquisition. Et à l'occasion d'une conférence de presse sur le thème de la téléprésence, donnée dans le cadre du Cebit 2007 à Hanovre, David Hsieh, directeur des technologies émergentes de l'équipementier, a livré quelques clés sur la stratégie du constructeur au mondeinformatique.fr. « D'un point de vue techno, WebEx possède des services basés sur les réseaux, et s'harmonise ainsi avec la volonté de Cisco d'utiliser les réseaux comme une plateforme complète pour diffuser des offres de communications et des services. WebEx dispose d'une base très solide et notre but n'est pas de déranger leurs clients existants », souligne-t-il, tout en confirmant que WebEx, au terme de la transaction, deviendra une division de Cisco. Autre précision : WebEx couvre bien des domaines sur lesquels Cisco n'était pas ou peu présent et ouvre des nouvelles perspectives de modèle de diffusion au constructeur. « WebEx a de bonnes technologies pour le marché de la téléprésence par exemple. Et nous voulons que tout le monde utilise la télépresence, mais ce n'est pas toujours possible. Il y a tout une partie qui ne peut toujours pas y avoir accès [avec des technologies d'autres éditeurs, NDLR]. Et ceux là utilisent WebEx », poursuit David Hsieh. Profiter de la maîtrise de WebEx dans le Saas pour PME pour l'appliquer ailleurs Le patron des technologies émergentes insiste ensuite sur la spécialisation PME de WebEx et sur le modèle SaaS (Software as a service) de l'éditeur. « D'un point de vue marché, WebEx a une importante expertise en termes de vente, notamment auprès des PME, la cible principale de WebEx. Il a également développé une forte expertise dans la diffusion d'applications en tant que services, selon un modèle à l'abonnement. Ce qui intéresse beaucoup Cisco, notamment en termes de compétences. Ils disposent d'une équipe qui maîtrise bien le fonctionnement de ce modèle et nous pensons qu'ils peuvent l'appliquer à d'autres secteur ». Enfin, quid de la fusion des gammes de produits ? « Nous pensons que les technologies de WebEx seront intégrées dans notre portefeuille d'applications Unified Communications », souligne-t-il, sans préciser de feuille de route, le rachat étant, selon lui, « bien trop récent ». Pour Florence Catel, directrice de communication de Genesys, acteur de la téléconférence, cette acquisition démontre une nouvelle fois que le marché est en pleine concentration, et marque l'arrivée de nouveaux entrants, tels qu'IBM et Microsoft, par le biais d'acquisitions. Alcatel-Lucent disait de son côté ne pas pouvoir commenter le rachat depuis le Cebit. (...)

(16/03/2007 16:07:04)

Il faut sauver la filière Télécoms

Hier, jeudi 15 mars, le ministre délégué à l'Emploi, au travail et à l'insertion professionnelle des jeunes, Gérard Larcher, et son homologue délégué à l'Industrie, François Loos, ont mis en place le tant attendu groupe de travail sur les perspectives du secteur des télécommunications en France et en Europe. Initié par le gouvernement suite à l'annonce du vaste plan de restructuration d'Alcatel-Lucent, ce groupe de travail a pour objectif de dresser un état des lieux du secteur et d'exprimer un certain nombre de recommandations stratégiques, visant notamment à ancrer les emplois de R&D du secteur sur le territoire européen. Il est présidé par Pascal Faure, vice président du conseil général des Technologies de l'Information, et est constitué de 14 membres. Y siègent des représentants des équipementiers (Nortel, Alcatel-Lucent, Nokia, Ericsson), des syndicats (FO, CDFT, CGT, CFE-CGC) et des experts du secteur (IDATE, SUPELEC, HSBC, EICTA..). Le premier rapport est attendu pour le 12 avril. L'Etat entend ainsi jouer un rôle moteur face aux mutations du secteur ; il n'envisage pas de rester inactif, sans pour autant se substituer au dialogue social. Ce n'est qu'avec des acteurs forts, opérateurs et équipementiers, que l'Europe numérique pourra se construire. (...)

(16/03/2007 12:33:49)

Steve Ballmer tacle la stratégie de Google

Steve Ballmer, le PDG de Microsoft, estime que la stratégie mise en place par Google, reposant presque exclusivement sur les revenus publicitaires de la recherche en ligne, n'est pas la bonne. Au contraire, il loue Microsoft d'avoir su se réinventer plusieurs fois tout au long de son histoire. Lors d'une conférence, donnée ce 15 mars à l'Université américaine de Standford, Steve Ballmer a expliqué qu'une entreprise réellement entreprenante se doit d'inventer quelque chose, de bâtir une activité autour de cette trouvaille et de lancer un cercle vertueux. Ce que, d'après le patron de l'éditeur de Redmond, Google n'a pas su faire, le moteur restant cantonné à la recherche et aux revenus publicitaires inhérents. A l'inverse, explique Steve Ballmer, Microsoft a commencé avec un système d'exploitation puis s'est tourné vers les serveurs, Internet et, plus récemment, l'électronique grand public avec la Xbox. Au cours d'un entretien accordé à nos confrères d'IDG News Service, le PDG de Microsoft reconnaît toutefois que l'acquisition de YouTube par Google en 2006 pourrait constituer une seconde vague d'innovations. Et d'ajouter, un brin ironique : « Bravo à eux d'essayer de commencer une seconde activité. Mais c'est une activité liée à la première, et pas une totale nouveauté ». On ne critique que ceux qu'on craint et l'homme fort de Microsoft semble oublier que Google tend à chasser sur les terres du géant du logiciel. Notamment avec le lancement, il y a quelques jours, de la suite logicielle Google Apps Edition Premium. Si Microsoft estime que cette offre ne vient pas concurrencer la suite Office - de fait, les fonctionnalités du produit Microsoft sont bien plus vastes - Google lance son offre à destination des grandes entreprises et ne se contente plus des particuliers ou des plus petites structures. Steve Ballmer a également critiqué la volonté de Google de croître trop rapidement. Alors qu'il a fallu plus de vingt ans à Microsoft pour atteindre 75 000 salariés, le pantagruélique moteur « veut doubler de taille en un an ». Un but « insensé », aux yeux du patron de Redmond, qui se modère toutefois, ajoutant : « ça ne veut pas dire qu'ils ne vont pas y arriver ». (...)

(16/03/2007 10:33:15)

Cebit 2007 : pas de dirigeants d'Alcatel-Lucent après la défection de Vince Molinaro

Si nombre d'acteurs ont choisi de bouder l'édition 2007 du Cebit - principal salon mondial de l'informatique d'entreprise - ce n'était pas le cas d'Alcatel-Lucent dont la direction européenne a cependant dû annuler la conférence de presse prévue pour l'occasion. En proie à la tourmente sociale consécutive au plan de restructuration en cours, l'équipementier doit également faire face à la défection de Vince Molinaro, récent patron de l'activité nord-européenne et néanmoins démissionnaire, qui devait animer la présence du groupe à Hanovre. Officiellement il a choisi de regagner les Etats-Unis - dont il est originaire - pour des motifs personnels. Il est remplacé par le français Christian Reinaudo, chez Alcatel depuis 29 ans et en charge - avec son homologue chez Lucent Janet Davidson - du pilotage de la fusion entre les deux groupes. Il conservera ce poste en sus de ses nouvelles responsabilités opérationnelles continentales (Royaume-Uni, Irlande, Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Russie ainsi que les pays d'Europe de l'Est)... et n'a pu honorer le rendez-vous d'Hanovre du fait d'un agenda très chargé. (...)

(15/03/2007 20:02:10)

Cisco va racheter WebEx pour 3,2 milliards de dollars

Cisco est retombé dans son péché mignon : les rachats à plusieurs milliards de dollars pour diversifier son activité. Le fabricant de routeurs vient d'annoncer vouloir racheter WebEx Communications pour 3,2 Md$. Son précédent gros rachat remonte à janvier dernier, où Cisco avait pris le contrôle d'Ironport, un spécialiste des solutions de sécurité de messagerie pour 830 M$. Cette fois, Cisco mettra la main sur une offre d'outils de téléconférence et de collaboration pour les petites et moyennes entreprises. L'offre WebEx, vendue sous forme de service, permet d'échanger en temps réel ou de façon asynchrone au travers d'Internet. Charles Giancarlo, responsable du développement de la société, a expliqué que Cisco allait utiliser les technologies WebEx pour concevoir une combinaison plus solide de plateformes de communication et de collaboration. Pour Scott Sinclair, analyste au sein de Technology Business Research, ce rachat s'inscrit dans une stratégie entamée il y a plus d'un an dans le domaine de la collaboration. Il lie notamment ce mouvement aux rachats (plus modestes) d'outils de réseaux sociaux, tels que Tribe.net et Five Accross. C'est aussi un bon moyen, dit-il, d'étendre son activité à des entreprises auxquelles Cisco ne s'adresse pas directement d'habitude. Les conseils d'administration des deux sociétés étant d'accord, la fusion n'attend plus que le feu vert des autorités antitrust. Cisco espère pouvoir conclure l'affaire vers la fin de son année fiscale, soit cet été. (...)

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