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(15/03/2007 16:30:03)

Des fonds d'investissements lorgnent sur Atos

Atos Origin fait de nouveau l'objet de rumeurs de rachat. Quelque six mois après le bruits qui faisaient état de l'intérêt du fonds d'investissement Blackstone pour la SSII, c'est au tour des fonds Permira et Centaures d'être au coeur des discussions. Selon Reuters, une offre aurait même été évoquée, qui valoriserait le titre Atos à 58 €, alors qu'il cotait à peine 40 € mercredi soir. Dans la foulée de cette rumeur, le cours de l'action s'est envolé et a dépassé 48 € avant que la cotation ne soit suspendue à la demande du groupe. Ce dernier nie avoir reçu la moindre offre, tout en reconnaissant l'existence de « manifestations d'intérêt ». Atos pourrait constituer la cible d'un rachat par un fonds d'investissement en raison de la fragilité qu'il affiche depuis plusieurs trimestres. Pour l'exercice 2006, le groupe, mis à mal par ses filiales italiennes et britanniques, a déclaré une perte nette de 264 M€, contre un bénéfice de 235 M€ l'année précédente. Une contre-performance qui a conduit les dirigeants à mettre en place un plan de redressement. Pour l'heure, Atos « se concentre sur [son] exécution ». (...)

(15/03/2007 12:51:17)

Un appel pour une approche environnementale de la technologie

Le gouvernement américain va-t-il passer au vert ? C'est en tout cas ce que lui demande le lobby TechNet, qui regroupe des PDG américains de l'IT, tant démocrates que républicains. Plus spécifiquement, ils demandent trois éléments : que le gouvernement double ses investissements dans la recherche énergétique, qu'il augmente les avantages fiscaux liés à l'utilisation d'énergies non polluantes et qu'il crée une agence fédérale pour chapeauter l'ensemble des recherches énergétiques. Sans une véritable politique environnementale, les membres de TechNet craignent que les Etats-Unis ne laissent échapper le pactole des technologies énergétiques au profit d'autres pays plus sensibilisés. David Pearce, PDG de Miasolé et membre de TechNet, rappelle ainsi que si les panneaux solaires sont une invention américaine, c'est l'Allemagne qui est désormais leader sur ce marché, tant en production qu'en utilisation. Sur le même sujet : -HP prêt pour le futur label Energy Star 4.0 -Un consortium pour que les datacenters passent au vert -De la terre et des arbres pour réduire les coûts de refroidissement des datacenters -2006 : l'année écolo pour les processeurs serveurs (...)

(15/03/2007 12:45:06)

Deux versions plus économiques du Xeon quadricoeurs

Intel vient de lancer deux processeurs quadricoeurs Xeon de 35 à 60% moins gourmands en énergie que leurs prédécesseurs. Chaque coeur des Xeon L5320 et L5310 ne consommera que 12,5 W alors que sur les modèles précédents ils consommaient entre 20 et 30 W. Ces deux processeurs contiennent chacun 2 Go de mémoire cache de niveau 2 par coeur, soit 8 Go au total. Ils sont aussi cadencés aux plus basses fréquences de la famille Xeon quadricoeurs, avec respectivement 1,8 GHz pour le L5320 (519 dollars l'unité par lot de mille) et 1,6 GHz pour le L5310 (455 dollars l'unité par lot de mille). Il sont compatibles avec le châssis Bentley pour serveur et peuvent y remplacer n'importe quel autre processeur bi- ou quadri-coeur. (...)

(15/03/2007 12:23:13)

Cebit 2007 : la grand-messe accueille un espace consacré aux SOA

Le Cebit de Hanovre accueille pour la première fois cette année un village appelé « SOA World », afin de populariser les architectures orientées services. Au coeur du hall 4, consacré aux processus métier, SOA World est loin d'égaler en taille les espaces occupés alentour par SAP, Microsoft ou Software AG. Chacun de ces acteurs poussant d'ailleurs largement son offre en la matière sur son propre stand. Mais l'idée de partager cet espace « semblait un bon moyen de mettre en avant cette thématique », explique Gerald Zwerger, de l'organisation de la Deutsche Messe. Le salon et Software AG, principal sponsor de cet espace SOA, ont donc pris sur eux de monter ce concept « pour aider les entreprises à gérer de façon plus rapide leurs processus à l'avenir, continue Gerald Zwerger, car pour l'heure les bénéfices de la SOA restent encore très théoriques ». Le coup d'envoi a été donné à 10 heures ce matin, avec une conférence s'achevant par l'intervention du spécialiste du secteur chez Gartner, Massimo Pezzini. Pour Software AG, c'est aussi un bon moyen de montrer à tous le recentrage de la société, d'une part sur l'édition de logiciels (le service devenant une branche accessoire), d'autre part sur la SOA. L'éditeur a ainsi légèrement retouché son logo - une révolution pour cette vénérable société qui n'y avait pas touché depuis sa création en 1969. Software AG a également effacé sa « baseline », le petit texte « the XML company » qui était apparu lors du lancement du broker d'applications basé sur XML et de la base de données native XML Tamino. Un recentrage en ligne avec celui de Software AG Pour Philippe Lerer, PDG de la filiale française, cette baseline a eu un impact plutôt négatif sur les clients historiques de l'éditeur, inquiets de voir leur fournisseur s'éloigner de son coeur de métier. Désormais, les deux piliers sont bien identifiés : la SOA, avec la nouvelle offre Crossvision, et la modernisation, qui repose sur l'offre historique Natural et Adabas mais qui rejoint finalement la première dès lors qu'il s'agit de repenser l'architecture du système d'information. Ce recentrage, explique Philippe Lerer, est l'oeuvre de Karl-Heinz Streibich, PDG du groupe depuis octobre 2003, qui a engagé un vaste plan de restructuration de la société. Qui porte apparemment ses fruits, « puisque des anciens clients reviennent nous voir », indique Philippe Lerer. Karl-Heinz Streibich a eu en tout cas tout loisir de l'expliquer, une heure avant l'ouverture de l'espace SOA World, à Viviane Reding, commissaire européenne à la société de l'information. On la connaissait active sur divers fronts (grid, roaming, protection des données personnelles...), la voilà experte en SOA. En-dehors de Software AG, ont participé au financement de l'espace SOA un partenaire « platinum », IBM, et plusieurs partenaires « gold », dont Microsoft, IDS Scheer, Mega, Iona, T-Systems ou Webmethods. (...)

(15/03/2007 12:19:47)

HP : Patricia Dunn relaxée

Patricia Dunn, l'ancienne présidente du conseil d'administration de HP, vient d'être relaxée par la justice californienne. Elle comparaissait, aux côtés de trois autres accusés, dans le cadre de l'affaire d'espionnage orchestrée par HP à l'encontre d'administrateurs du groupe et de journalistes. Patricia Dunn avait notamment recruté des détectives privés pour remonter des fuites émanant du conseil d'administration ; les barbouzes avaient par la suite utilisé des méthodes illégales pour parvenir à leurs fins, endossant notamment des identités d'emprunt pour obtenir des informations. Chacun des accusés risquait jusqu'à trois ans d'emprisonnement. Une peine à laquelle Patricia Dunn, pourtant présentée comme l'instigatrice des pratiques mises en place, échappera. La Cour a préféré tenir compte de l'état de santé de l'ancienne présidente du conseil d'administration - Patricia Dunn souffre d'un cancer - plutôt que de juger les faits. Les trois autres personnes poursuivies - dont l'ancien responsable de l'éthique de HP - n'auront qu'à effectuer 96 heures de travaux d'intérêt général. (...)

(15/03/2007 10:19:22)

Etude : les pratiques commerciales sur Internet vues par la DGCCRF

La DGCCRF (Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes) vient de publier deux enquêtes, l'une concernant les pratiques commerciales de l'hôtellerie en ligne, l'autre les comparateurs de prix. La DGCCRF précise que de nombreux problèmes sont rapportés par les consommateurs dans le domaine de l'hôtellerie mais qu'ils ne sont pas "spécifiques à la vente en ligne". En revanche ils sont "aggravés par ce canal (...) l'internaute ne gardant pas toujours une trace de l'offre correspondant à l'achat qu'il a effectué en ligne, il éprouve de réelles difficultés à démontrer qu'il a été victime de publicité mensongère, faute de brochures ou autres documents dont bénéficient les consommateurs qui se rendent en magasin". Sur 266 sites Internet contrôlés, la moitié a fait l'objet de rappel de réglementation. Parmi les problèmes récurrents accentués par l'utilisation d'Internet, on note le classement de l'hôtel (14 hôtels annonçaient un nombre d'étoiles supérieur à leur classement officiel), et un écart entre les prestations annoncées et les prestations réellement délivrées. Certains problèmes sont "spécifiquement liés à l'utilisation d'Internet" : l'information sur les disponibilité, des grilles tarifaires insuffisamment claires, et des conditions de vente mal définies. Les comparateurs de prix L'enquête sur les comparateurs de prix avait pour objectif de "vérifier la transparence de l'offre apportée par ces sites aux cyberconsommateurs". La DGCCRF précise en effet que "50 % des consommateurs consultent un site comparateur" avant d'effectuer un achat en ligne. Sur douze sites contrôlés, onze ont fait l'objet de rappels de réglementation. Ainsi, il ressort que "le panel des sites référencés est souvent présenté à tort comme exhaustif", "les conditions de vente sont parfois incomplètes sur le volet tarifaire, avec une imprécision sur les modalités de référencement et de rémunération des sites marchands" et que "les règles de facturation ne sont pas toujours respectées". La DGCCRF précise que l'imprécision des informations relatives au prix n'est pas forcément due au site comparateur : elle provient du "manque d'homogénéité des informations transmises par les sites marchand (prix TTC incluant ou non les frais de port, de livraison, de garantie complémentaire)...". Ainsi ces deux enquêtes sur les pratiques commerciales sur Internet révèlent de vrais dysfonctionnements. Dans les deux cas, la DGCCRF déclare qu'elle maintiendra sa vigilance. (...)

(15/03/2007 10:15:06)

Iliad confirme la bonne santé de Free

En complément des chiffres publiés il y a un mois (un CA record de 950 M€), Iliad annonce un résultat net consolidé de 124 M€ pour l'année 2006. Ce chiffre est en hausse de 80% par rapport à l'année dernière. La maison mère de Free affiche également un résultat d'exploitation consolidé de 331,6 M€, en progression de 47,8%. En 2006, Iliad a recruté 683 000 nouveaux abonnés, un record jamais atteint par l'opérateur. Il détient désormais un parc de 2,278 millions d'abonnés, se positionnant, selon ce critère, comme le premier opérateur alternatif adsl. Parmi ces clients, ils sont 1 730 000 à être dégroupés, dont 1 003 400 le sont totalement. La marge brute moyenne par abonné dégroupé est quant à elle supérieure à 20 euros. Les perspectives d'Iliad à court terme sont claires : le groupe veut «dépasser les 2,8 millions d'abonnés adsl à la fin 2007 tout en continuant d'accroître la proportion d'abonnés dégroupés jusqu'à 80% au 31 décembre 2007». Concernant son projet FTTH, l'investissement s'élèvera à 150 millions d'euros cette année. Ce budget est dédié au déploiement parisien ainsi que dans quelques autres villes. Enfin, la maison mère de Free maintient son intérêt pour la quatrième licence UMTS, remettant toutefois en cause leurs conditions d'attribution. Seule ombre au tableau, la branche téléphonie traditionnelle qui poursuit son déclin. Onetel, filiale d'Iliad, a perdu 78 000 abonnés en un an, à 220 000 clients. Les revenus de ce pôle d'activité chutent de 27,3% entre 2005 et 2006, à 108 M€. Iliad se trouve à la croisée des chemins. Après 7 ans de bons et loyaux services à la tête de Free, Michaël Boukobza quittera le groupe Iliad d'ici à cet été. Une des figures nationale du haut débit s'en va la tête haute. Il souhaite se consacrer à des projets personnels... à suivre de près. Il sera remplacé par Maxime Lombardini, actuel directeur général de TF1 Production. Et l'opérateur alternatif qui a su s'imposer, derrière les grosses capitalisations que sont France Télécom et Cegetel, pourrait dans les mois qui viennent être la cible d'un rachat. Il y a un mois la Lettre de l'Expansion annonçait que le fonds d'investissements Cinven souhaitait lancer une OPA amicale, via le câblo-opérateur Numericable Noos dont il est l'actionnaire majoritaire. (...)

(14/03/2007 12:36:08)

Microsoft sur la piste de TellMe, spécialiste des technologies vocales

Microsoft serait sur le point d'acquérir le spécialiste de la reconnaissance vocale TellMe. Indépendant, ce dernier développe notamment des services d'Internet mobile et d'accès automatisé à des annuaires d'entreprises, par exemple dans le cadre d'une flotte mobile. Des développements sont actuellement en cours pour permettre l'accès à la voix, via les téléphones, à des données Internet. De son côté Microsoft n'a jamais caché son intérêt pour les technologies liées aux usages mobiles, notamment la téléphonie dont les développements laissent entrevoir de plus en plus de services convergents. TellMe compte aujourd'hui 320 employés dirigés par un ancien de Netscape et qui pourraient grossir les équipes de Microsoft. (...)

(14/03/2007 12:22:53)

Viacom poursuit YouTube et réclame 1 Md$

Viacom, l'un des géants des médias américains, poursuit YouTube - et sa maison mère, Google, pour violation massive et intentionnelle du droit d'auteur. Le site de partage communautaire aurait diffusé 160 000 vidéos dont les droits appartiennent à Viacom, lesquelles auraient été visionnées plus d'un milliard et demi de fois. En réparation, le plaignant réclame 1 Md$ à YouTube, site que Google s'est payé pour 1,65 Md$ en octobre 2006. Le mois dernier, Viacom enjoignait le tentaculaire moteur de recherche de retirer 100 000 clips de YouTube. Une requête à laquelle Google semblait vouloir accéder. Mais le propriétaire de MTV et Paramount Pictures n'a pas souhaité attendre un éventuel signe de bonne volonté de Google et a préféré porter l'affaire devant les tribunaux, soulignant l'existence de négociations improductives. « YouTube a bâti une activité lucrative en exploitant l'attachement d'admirateurs à la création des autres afin de s'enrichir. Leur modèle économique, basé sur le trafic et la vente de publicité reposant sur un contenu non autorisé, est clairement illégal et va manifestement contre les lois sur le droit d'auteur », estime Viacom dans son dépôt de plainte. De son côté, Google estime que "YouTube offre aux détenteurs des droits l'opportunité d'interagir avec les utilisateurs, de promouvoir leur contenu auprès d'une audience jeune et grandissante, et de se positionner sur le marché de la publicité en ligne". Un marché sur lequel repose la fortune de Google via les liens sponsorisés commercialisés par sa régie. Et Google de poursuivre : "Nous ne laisserons certainement pas cette affaire venir distraire la croissance continue et les solides performances de YouTube ni sa capacité à attirer davantage d'utilisateurs, davantage de trafic et à bâtir une communauté plus solide". En novembre 2006, soucieux d'éviter l'écueil d'un dispendieux procès comme celui intenté par Viacom, les dirigeants de Google avaient multiplié les contacts avec les représentants des médias traditionnels afin de signer des accords de diffusion, quitte à y laisse quelques centaines de millions de dollars. Viacom faisait partie de la liste des entreprises avec lesquelles les VRP de Google s'étaient entretenus. En dépit de l'extraordinaire succès dont jouit YouTube, il est légitime de s'interroger sur la pertinence de l'opération qu'a réalisée Google en se payant le site de partage de vidéos. La somme dépensée n'était-elle pas démesurée au regard du mode de fonctionnement "limite" de YouTube et des onéreuses conséquences judiciaires susceptibles d'en découler ? D'autant que les recettes publicitaires ne semblent pas à la hauteur des espérances : alors que Google espérait pouvoir tirer 100 à 150 M$ de son acquisition en 2006, le cabinet Bear Steams a récemment estimé que YouTube n'aurait rapporté que 15 M$ à son nouveau propriétaire. (...)

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