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(28/11/2006 16:32:05)

Ingres fête ses 30 ans à Berkeley

Les créateurs d'Ingres se retrouveront demain 29 novembre à Berkeley, sur le lieu mythique de naissance de la base de données, pour fêter ses 30 ans. Michael Stonebraker, Eugene Wong, Jerry Held, et Peter Kreps y feront lecture du guide de conception et d'implémentation qu'ils ont écrit. L'anniversaire est sponsorisé par Ingres, qui a récemment repris son autonomie, et poursuit sa réorganisation partout dans le monde en tant qu'éditeur Open Source. La filiale française, dirigée par Eric Soares (ex-Critical Path et ex-Novell), nommé vice-président Europe du Sud en juin dernier, compte désormais « 15 personnes, dont 10 ingénieurs ». Son principal challenge aujourd'hui est de convaincre les PME qu'Ingres n'est « pas seulement destiné aux applications critiques des grands comptes », et qu'elles peuvent aussi s'y intéresser, « maintenant qu'il n'y a plus la barrière du prix ». L'autre objectif est de séduire les partenaires ; Ingres leur donne rendez-vous sur le salon Solutions Linux fin janvier. (...)

(27/11/2006 17:48:36)

Altran secoué par le départ de son COO, après ceux du PDG et du DRH

Après le départ le 24 septembre dernier de son éphémère président Christophe Aulnette Altran est à nouveau secoué par un départ de poids, puisque François-Xavier Floren, son COO (Chief Operating Officer, l'équivalent d'un directeur général) vient de présenter sa démission pour "se consacrer à la réalisation d'un projet personnel". François-Xavier Floren avait été nommé COO et membre du Directoire du groupe en juin dernier. Il avait notamment pour mission d'améliorer l'efficacité opérationnelle du cabinet de conseil. Avec le départ de Floren le directoire d'Altran n'est plus composé que de Yves de Chaisemartin, le président, et de Eric Albrand, le directeur financier du groupe . Il est à noter que ce dernier avait fortement été critiqué en juin dernier après avoir annoncé une marge opérationnelle de 8% au premier semestre, peu de temps avant la publication d'un avertissement sur résultat. Le départ de Floren, qui suit de peu ceux de Christophe Aulnette, et d'Hervé Hannebicque, le DRH, confirme la reprise en main des manettes du groupe par Yves de Chaisemartin, nommé en remplacement Christophe Aulnette, avec le soutien des fondateurs et principaux actionnaires du groupe, Alexandre Kniazeff et Hubert Martigny, toujours mis en examen dans l'affaire de la falsification des comptes de l'entreprise en 2001 et 2002 . (...)

(27/11/2006 17:47:08)

L'action Google passe le cap des 500 $

L'action et les revenus de Google, c'est un peu la loi de Moore - en mieux - appliquée à la finance. Le titre du pharaonique moteur vient en effet, à peine plus de deux ans après son introduction en bourse, de franchir le cap des 500 $. L'action Google a rejoint la liste des cotations en août 2004. Elle valait alors 85 $ : elle a donc bondi de plus de 488%. Une croissance qui déjoue tous les modèles économiques et s'avère maintes fois plus rapide que celle des principaux concurrents. A titre de comparaison, le titre Microsoft est resté proche des 30 $ au cours des trois dernières années. Certes, le géant de Redmond dispose d'une capitalisation largement supérieure à celle de Google - 290 Md$ pour Microsoft - mais le moteur de recherche est parvenu à peser plus de 150 Md$ en moins de deux ans et demi, se hissant ainsi à la troisième place des valeurs technologiques, derrière le groupe de Redmond et Cisco. Notons que si l'action Google a dépassé les 500 $, sa valeur, à l'heure où nous écrivons ces lignes, est redescendue sous ce cap symbolique. En fin de journée, le titre Google se négociait ainsi à 493 $ à New-York. (...)

(27/11/2006 17:43:01)

Swift transfère illégalement des données personnelles à Washington

L'Union européenne, par la voix d'un comité chargé du respect des données personnelles, met en cause Swift (Society for Worldwilde Interbank Financial Telecommunication), une société belge spécialisée dans les échanges de données informatisées entre institutions financières internationales. Selon les représentants de Bruxelles, Swift aurait violé les dispositions normatives communautaires - et belges - sur la protection des données personnelles en fournissant confidentiellement certaines informations au Trésor américain. Cette mise en cause met une nouvelle fois en exergue - après les débats sur les transferts des données passagers - les crispations existant entre l'Europe et les Etats-Unis. Là où ces derniers entendent prendre toutes les mesures prétendument nécessaires à la lutte contre le terrorisme, les émissaires européens brandissent en bouclier le respect de la vie privée. C'est précisément cette dichotomie qu'on retrouve dans la bisbille entourant Swift. Au lendemain des attentats du 11 septembre 2001, Washington enjoint la société belge - qui gère plus de onze millions de transactions par jour pour près de 8000 banques dans 200 pays - à lui communiquer secrètement un certain nombre de données relatives à de potentiels terroristes. Une pratique qui soulève l'ire des représentants des 25 : "aucune mesure prise pour lutter contre le crime et le terrorisme ne pourrait et ne doit diminuer les standards de protection et les droits fondamentaux qui caractérisent les sociétés démocratiques", estiment-ils. De fait, en acceptant de fournir des données aux autorités américaines, Swift a violé la réglementation européenne. Celle-ci interdit en effet le transfert d'éléments personnels en dehors des 25 vers des pays offrant un moindre degré de protection des données. "Pas le choix", se défend Swift Swift se défend de toute malice en soulignant, par la voix de son porte-parole, que "les gens ont faussement compris que le gouvernement américain a accès à la totalité de notre trafic". Selon lui, les données communiquées ne concerneraient que quelques cas particuliers et seraient basées sur des requêtes judiciaires. Surtout, l'institution financière se défend d'avoir eu le moindre choix à faire, Washington la menaçant de sanctions pécuniaires en cas de refus. Des arguments qui n'émeuvent pas Bruxelles. Le comité chargé de la protection des données personnelles entend étendre le champ de ses investigations à l'ensemble des institutions financières du Vieux Continent. Il pourrait leur être reproché une responsabilité partagée en tant qu'utilisateurs des services de Swift. Bruxelles veut également faire la lumière sur le rôle joué par la Banque Centrale européenne. Son gouverneur, le français Jean-Claude Trichet, reconnaît ainsi avoir eu connaissance de l'existence des transferts de données. Mais il se défend d'avoir pu intervenir pour les empêcher. Conjointement, la BCE et Swift en appellent à l'ouverture de négociations américano-européennes pour trouver une issue légale au problème. (...)

(24/11/2006 17:19:39)

Microsoft évite de justesse une nouvelle astreinte de 3 millions d'euros par jour

C'est dans les délais que Microsoft vient de présenter la nouvelle série de documents réclamée par Neelie Kroes, la commissaire européenne à la concurrence. Le 15 novembre dernier, cette dernière avait accordé une semaine à l'éditeur pour compléter la documentation qui doit permettre à ses concurrents d'assurer l'interopérabilité de leurs produits avec Windows. A défaut de respecter ce délai, Microsoft risquait une astreinte quotidienne d'un montant de 3 M€. Interrogé par IDG News Service (groupe IDG, éditeur de lemondeinformatique.fr), Jonathan Todd, le porte-parole de la Commission européenne, a indiqué que la documentation fournie par Microsoft mérite désormais d'être mise à l'épreuve. La documentation de l'éditeur va maintenant être examinée par ses licenciés. Si cet examen n'est pas jugé satisfaisant, le géant de Redmond pourrait être sanctionné d'une amende correspondant à 3 M€ d'astreinte quotidienne entre la date à laquelle Bruxelles a menacé Microsoft de cette astreinte, en juillet dernier, et ce 23 novembre, soit plus de 300 M€. Cette somme viendrait s'ajouter à l'amende de 280,5 M€ déjà infligée par la Commission européenne à Microsoft en juillet dernier, pour ne pas s'être conformé au jugement de 2004. Ce jugement pour abus de position dominante avait déjà valu à l'éditeur une amende record de 497 M€. Microsoft a fait appel de ce jugement. (...)

(24/11/2006 17:03:27)

Brocade termine 2006 sur des résultats records

Année fiscale 2006 Chiffre d'affaires : 750,6 M$ (+ 30,7%) Bénéfices nets : 67,6 M$ (+ 56,8%) Brocade Communications vient de terminer son année fiscale 2006 sur des résultats records avec un chiffre d'affaires trimestriel de 208,8 M$, en hausse de 44% sur un an, et un bénéfice net de 20 M$ contre 1,1 M$ à la même époque l'an passé. Ces résultats sont encore meilleurs que ceux prévus précédemment, sachant que le fabricant de produits SAN (réseaux de stockage) avait déjà revu une fois ses prévisions à la hausse. Pour l'ensemble de l'exercice 2006, la société affiche un CA record de 750,6 M$ - à comparer à 574,1 M$ en 2005 - et un bénéfice net de 67,6 M$, contre 43,1 M$ l'an passé. Lors de la publication de ses résultats, Brocade a confirmé qu'il espère achever l'acquisition de son rival McData dans le courant du mois de janvier. McData, qui a publié ses résultats au début novembre, a vu son CA reculer en 2006, notamment sous la pression de Cisco et de sa gammes de directeurs. En fusionnant avec McData, Brocade espère enrayer la progression de Cisco sur le marché des commutateurs SAN et s'imposer définitivement comme le grand spécialiste du SAN et des technologies de stockage en réseau... (...)

(24/11/2006 15:58:39)

Flach Film assigne Google pour contrefaçon et parasitisme

L'Europe réussit mal à Google. Le moteur de recherche ainsi que sa branche française viennent d'être assignés par Jean-François Lepetit (Flach Film), producteur du film "Le monde selon Bush", pour contrefaçon et parasitisme, devant le Tribunal de Commerce de Paris. Selon lui, Google France aurait distribué sans autorisation et gratuitement le film complet sur son service Google vidéo, alors que des accords commerciaux avaient été signés au préalable avec un autre organisme de diffusion. Réalisé par William Karel en 2004, Le monde selon Bush dépeint les rouages de l'administration Bush ainsi que la vie familiale du président George Bush. Pour financer son projet, Jean-François Lepetit s'est entouré de partenaires, tel que les Editions Montparnasse, qui diffuseront le film sur une plate-forme de vidéo à la demande. Des partenaires "qui ont pris le risque de financer un film, comme moi", commente-t-il. Pas question dès lors de laisser Google profiter de cela, il a donc demandé il y a un mois à Google d'ôter les liens pointant vers la vidéo. "S'il en ont retiré certains, d'autres restaient", poursuit-il. De source Google, le film aurait été téléchargé ou visionné en streaming plus de 43 000 fois. Jean-François Lepetit estime le montant du préjudice à plus de 500 000 euros. "Le film a été téléchargé presque 50 000 fois, sans compter les copies qui en ont été faites dans la foulée." Un manque à gagner que le producteur compte récupérer en demandant réparation. Chez Google France, on a pris connaissance des faits, et la porte-parole de la société Emmanuelle Flahault affirme que l'affaire est prise très au sérieux car il s'agit d'une atteinte au copyright d'auteurs. "Ce qui nous est reproché est la mise à disposition d'une oeuvre protégée, commente-t-elle. Nous sommes [en effet] une plate-forme, pas un média. Mais on demande aux utilisateurs de posséder les droits du contenu qu'ils mettent en ligne". Un argument que Maître Olivier Chatel, l'avocat de Flach Film, essaiera de démonter "en mettant en jeu la responsabilité de Google", non pas en tant qu'hébergeur de contenu, mais bien en tant que diffuseur. Google a-t-il un rôle d'hébergeur ou d'éditeur ? Google tient à préciser qu'à l'annonce de l'assignation, la vidéo du "Monde selon Bush" a été retiré des serveurs. Ce qu'il fait "traditionnellement" lorsque du contenu illégal lui est signalé, "et sans brandir la menace d'un procès". Un autre argument que Google avait usé lors du litige qui l'opposait au Gifam (Groupement interprofessionnel des fabricants d'appareils d'équipements ménagers) en juillet dernier. Reste que "cette attitude est irresponsable et malhonnête de la part de Google, enrage Jean-François Lepetit. Si on ne trouve pas de vidéo à caractère pédophile ou raciste, c'est qu'ils ont un contrôle sur le contenu, jouant ainsi un vrai rôle d'éditeur. Ils ne peuvent pas dire qu'ils ne savaient pas quand ils voient arriver un film d'une heure et demie avec un générique et ses auteurs". En Europe, Google est la cible de nombre de producteurs de contenus en ligne. En Belgique, ce sont les journalistes qui ont fait fléchir Google News pour violation de droits d'auteur. En France, les éditions de La Martinière, et plus tard l'ensemble des éditeurs français (SNE - Syndicat national de l'édition), avaient assigné Google pour contrefaçon de droits d'auteur, accusant le moteur de recherche d'avoir publié illégalement des extraits d'oeuvres depuis son service Google Books. Depuis le rachat de YouTube, Google cherche ainsi à multiplier les contacts avec les diffuseurs de contenus vidéo. Et serait prêt à dépenser de fortes sommes pour "sécuriser" légalement la diffusion, ainsi que le partage de vidéo. En France, le problème semble déjà posé. (...)

(23/11/2006 17:57:25)

Aux Etats-Unis, Vista est conforme aux exigences anti-trust

Lavé de tout soupçon d'abus de position dominante, Vista, le successeur de Windows XP l'est au moins outre-Atlantique. En effet, selon un rapport déposé auprès de la cour de justice de Washington, le gouvernement américain et les états impliqués dans l'accord conclu avec Microsoft en novembre 2002, à la suite de poursuites pour abus de position dominante, ont mené des « tests complets » des différentes pré-versions de Vista et d'Internet Explorer 7 pour s'assurer de leur conformité avec les termes de l'accord. Selon le rapport, Microsoft aurait fait d'importants efforts pour rendre ses documentations techniques plus intelligibles et renforcé sa collaboration avec le comité technique de la cour de justice pour s'assurer de la capacité des éditeurs tiers à interfacer leurs produits avec les siens. Une trentaine d'éditeurs profiterait actuellement de ces efforts. En Europe, Vista est toujours sous le microscope de la Commission européenne. Inflexible, Bruxelles menace actuellement Microsoft d'une nouvelle astreinte. (...)

(23/11/2006 17:57:01)

Cray et IBM retenus par la DARPA pour bâtir les supercalculateurs du futur

IBM et Cray ont été retenus par l'agence des projets de recherches avancées de la défense américaine, la Darpa (Defense Advanced Research Projects Agency), pour élaborer la prochaine génération de supercalculateurs. L'agence a finalement décidé de ne pas retenir la proposition du troisième participant au projet, Sun Microsystems. Les deux contrats ont été conclus dans le cadre du projet HPCS (High Productivity Computing Systems) de la Darpa, un programme initié en 2002. L'objectif du projet, qui verra IBM recevoir 242 M$ de fonds et Cray 250 M$, est de concevoir, d'ici à 2010, des systèmes capables d'afficher des performances de 2 à 4 petaflops par seconde. Le système le plus performant de la planète est actuellement le cluster BlueGene dont la puissance est de 360 teraflops. Au delà de l'élaboration de leurs systèmes IBM et Cray ont aussi pour mission de développer de nouveaux outils logiciels de programmation capables de tirer partie au mieux de leurs nouvelles architectures. L'un des buts est notamment de permettre des gains de productivité d'un facteur de 10 dans le développement d'applications de calcul. Parmi les agences fédérales américaines susceptibles d'utiliser les recherches d'IBM et Cray figurent la NSA, le département de l'énergie et l'agence de sûreté nucléaire américaine. Il est à noter que Sun a indiqué qu'il entend poursuivre ses travaux de recherches qui portent notamment sur une technologie de communication de puce à puce baptisée "Proximity" et sur un langage de programmation parallèle connu sous le nom de code "Fortress" . (...)

(23/11/2006 16:34:55)

T-Systems anticipe ses réductions d'effectif avec 500 embauches

T-Systems, SSII filiale de Deutsche Telekom, affiche, en France, son ambition de recruter 500 ingénieurs informaticiens d'ici à l'été 2007. Du consultant en assistance à maîtrise d'ouvrage, en intégration SAP ou en informatique décisionnelle jusqu'au jeune scientifique formé au développement, en passant par le chef de projet connaissant les secteurs de la banque, de l'assurance et des caisses de retraite, la palette des profils recherchés est classique. Ce qui l'est moins, c'est que ce plan d'embauche s'insère dans une redistribution des forces, induite notamment par la fusion T-Systems (1200 personnes en France) et Gedas (600 personnes). Fusion qui sera légalement entérinée au 1er janvier 2007. Sachant que Gedas (née en 1983 de l'externalisation de l'informatique de Volkswagen) reste essentiellement positionnée sur les marchés d'infogérance (ingénierie de services, production). Cette fusion déjà bien amorcée n'est pas sans effet de concentration/réduction: des trois sites en région parisienne, les équipes de Saint-Germain (une centaine de personnes dédiées aux activités d'infogérance) sont amenées à se regrouper sur les sites de La Défense et de Villepinte. De source syndicale, et implicite dans l'annonce du plan d'embauche de la DRH, les 500 embauches devraient aboutir à une augmentation d'effectif de 250 salariés, compte tenu des démissions; mais aussi des départs en retraite face auxquels "le plan ambitieux de T-Systems prend les devants" (dixit la DRH France). Sans compter la cession (en voie de régularisation) de certaines activités par transfert (article L122-3) de l'équipe de Strasbourg de T-Systems à Osiatis. (...)

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