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(23/11/2006 12:47:52)

L'Europe consacrera 12,7 Md d'euros aux entreprises innovantes des TIC d'ici à 2013

L'Europe prévoit d'investir 9,1 Md€ dans les TIC (Technologies de l'information et de la communication) jusqu'en 2013, dans le cadre du 7e programme cadre de recherche et développement (PCRD). En comptant les 3,6 Md€ du programme cadre pour l'innovation et la compétitivité (CIP), lui aussi établi de 2007 à 2013, ce sont donc 12,7 Md€ que l'Union européenne prévoit d'investir pendant les six prochaines années dans les technologies et services innovants. Un montant en forte hausse par rapport aux programmes précédents : le 6e PCRD s'élevait à 3,6 Md€ (il est vrai pour la période 2003-2006). « Les deux programmes sont nettement mieux dotés que leurs prédécesseurs », commente Edith Launey-Heymann, responsable de l'Euro Info Centre d'Ubifrance, l'agence française pour le développement international des entreprises. Explication de cette emphase mise sur les TIC : il s'agit de se conformer à l'agenda de Lisbonne, signé en 2000, qui prévoit de faire de l'Europe « l'économie la plus compétitive et la plus dynamique au monde » à l'horizon 2010. « Ces deux programmes sont faits pour aider les entreprises européennes à relever ce défi », indique Edith Launey-Heymann. Le 7e PCRD sera axé plus particulièrement sur des secteurs où l'Europe dispose d'un avantage concurrentiel tel que les systèmes et architectures logicielles, les solutions de communications électroniques, et autres secteurs de pointe. Il s'appuiera en partie sur les JTI (Joint Technology Initiative) ou initiatives technologiques conjointes. Il s'agit d'entreprises communes financées par des ressources à la fois publiques et privées. D'ores et déjà, on peut mentionner Artemis sur les systèmes embarqués, ISI sur la communication par satellite, Europ sur la robotique ou encore Eniac sur la nanoélectronique. Au nombre de neuf, ces plates-formes technologiques européennes spécialisées dans les TIC auront un double objectif : capter de nouveaux investissements supplémentaires pour la recherche et soutenir le lancement de nouvelles technologies. Une part importante pour les PME et petites structures Une partie des investissements du PCRD sera consacrée aux TIC capables d'améliorer les soins médicaux. « D'ici 2050, 40% de la population de l'UE aura plus de 65 ans », indique dans sa présentation Khalil Rouhana, chef de l'Unité pour la stratégie de la recherche et le développement dans les TIC à la Direction générale de la société de l'information et médias à la Commission européenne. L'objectif de l'UE avec ce PCRD est de voir les TIC pour les dépenses de santé atteindre « jusqu'à 5% du budget total de santé de l'UE » en 2010, contre 1% en 2000. Les objectifs sont notamment de faciliter l'accès aux « quantités énormes d'informations sur la santé », de développer des produits communicants de surveillance de la santé des gens, de modéliser un « homme physiologique virtuel », et d'aider les entreprises européennes à « devenir des opérateurs mondiaux principaux dans les nouvelles TIC pour l'industrie de santé ». Une part du budget PCRD sera également consacrée à l'amélioration de la sécurité physique et énergétique. Par exemple, un des objectifs est de développer des « véhicules intelligents » afin d'éviter les « 40 000 morts sur les routes de l'UE chaque année ». Le CIP, quant à lui, se place en aval, notamment afin d'aider les PME à commercialiser des produits et services innovants. Cet aspect services est important, souligne Edith Launey-Heymann : il n'existait pas dans les versions précédentes de ces programmes, qui ne voyaient que l'aspect technologie. Le CIP viendra aussi en aide à des programmes répondant à la thématique des « éco-technologies », en sus de l'instrument financier dédié à ce secteur, Life+. Cela ouvre de nouvelles perspectives, surtout dans la mesure où les programmes du CIP sont aussi ouverts aux petites structures, qui n'ont pas forcément un statut d'entreprise, indique Edith Launey-Heymann, qui désigne par exemple les artisans ou les associations universitaires. En revanche, la multitude de programmes d'aide peut aussi amener les structures en recherche de financement à se fourvoyer ou à abandonner. « Attention de ne pas se tromper de programme, avertit Edith Launey-Heymann. Il ne faut pas hésiter à frapper à plusieurs portes, avoir toute la panoplie des instruments financiers à l'esprit avant de s'embarquer. » (...)

(22/11/2006 18:26:36)

Serveurs : Sun, Dell et IBM profitent de la méforme d'HP

Les résultats Gartner du marché mondial des serveurs confirment le renouveau de Sun au troisième trimestre 2006. Dopé par le succès de ses nouveaux haut de gamme Unix, mais aussi par la montée en puissance de son offre x86, le constructeur a enregistré un bond spectaculaire de 24,7 % de son chiffre d'affaires serveurs par rapport à l'an passé, passant de 1,05 Mds$ à 1,31 Md$. Dans le même temps, les ventes d'IBM ont progressé de 7,4 % et celle de Dell de 10,9 % tandis que le CA serveurs d'HP reculait de 6%, malgré des ventes en unités en hausse de 7%. Au classement mondial, IBM reste le leader en revenus avec 1,38 Md$ de CA, devant Hewlett-Packard (3,29 Md$), Dell (1,4 Md$), Sun (1,31 Md$) et Fujitsu-Siemens (634 M$). Seule consolation pour HP, le constructeur californien a réussi à conserver sa place de n°1 mondial en terme de livraisons avec près de 540 000 serveurs livrés devant Dell et ses 460 000 serveurs. Au classement Européen, le succès de Sun est encore plus éclatant. Au cours du trimestre écoulé les ventes du constructeur ont bondi de 36%, une croissance bien supérieure à celles de Dell (+13,1%) et d'IBM (+12,8%) et qui contraste singulièrement avec les reculs d'HP (-6,2%) et de Fujitsu-Siemens (-11,1%). HP et Bull attendent le décollage des serveurs armés de Montecito Sur un marché des serveurs Unix plutôt dynamique, Sun a regagné du terrain sur ses concurrents. Ses ventes ont progressé de 20% tandis que celles d'IBM croissaient de 12%. HP de son côté a vu ses ventes reculer de 21% tandis que Fujitsu-Siemens reculait de 10% et que Bull reculait de 12%. HP et Bull ont sans nul doute pâti de la transition vers les puces Itanium 2 bi-c?urs Montecito d'Intel. Leurs nouveaux serveurs équipés de la puce ne sont en effet disponibles que depuis peu. Il sera intéressant de voir s'ils connaissent un quatrième trimestre plus florissant... Il est enfin à noter qu'IBM a enregistré une progression de ses ventes de mainframes System z mais qu'il a vu ses ventes de minis, la gamme System i (ex- AS/400), reculer au cours du trimestre. (...)

(22/11/2006 18:08:57)

Junior-entreprise de l'Efrei : 20 ans et un partenariat avec le Celsa

Sepefrei, junior-entreprise (JE) de l'Efrei (école d'ingénieurs des technologies de l'information et du management) fête ses 20 ans. Classée parmi les 30 meilleures JE de France selon la CNJE (confédération nationale des junior-entreprises), elle a aussi été cette année finaliste du « Label Ingénieur », concours qui récompense la meilleure étude ingénieur. Sepefrei fêtera cet anniversaire avec Junior Communication, sa jumelle du Celsa (école des hautes études en sciences de l'information et de la communication), 20 printemps elle aussi. Les deux JE ont signé en 2002 un partenariat qui leur permet de proposer des prestations complètes et de plus grande ampleur, puisque Sepefrei assure la partie technique, tandis que Junior Communication s'occupe de la charte graphique et du design. Au-delà de cette association originale, elles souhaitent mutualiser davantage leur réseau car leurs clients respectifs seront regroupés sur un même lieu, le 23 novembre prochain. (...)

(22/11/2006 17:01:48)

Accord Novell/Microsoft : l'OIN rejette l'argument de la protection juridique

L'accord conclu entre Microsoft et Novell continue de faire couler de l'encre. L'Open Invention Network (OIN), fondé en 2005 par IBM, NEC, Novell, Philips, Red Hat et Sony, a décidé de dénoncer à son tour cet accord. Dans un communiqué, l'OIN relève que le récent soutien de Microsoft à Linux est associé à des affirmations « sans fondement » selon lesquelles « les utilisateurs [de Linux] auraient besoin d'être protégés contre d'éventuelles poursuites pour violation de propriété intellectuelle. » Et de souligner que « en fait, Linux n'a jamais fait l'objet d'une telle poursuite » et que, « en accumulant les brevets qui pourraient être utilisés pour protéger l'écosystème Linux, [...] l'OIN a rendu inutile toute offre de protection de tiers. » L'OIN assure avoir racheté, depuis sa création, une centaine de brevets « stratégiques » dans le but de protéger les utilisateurs de Linux contre d'éventuelles procédures judiciaires pour violation de propriété intellectuelle. (...)

(22/11/2006 16:30:00)

Dell veut rassurer avec ses résultats préliminaires

Contraint de reporter la publication de ses résultats définitifs par une enquête de la SEC, Dell a tout de même tenu à rassurer les marchés en publiant des résultats préliminaires pour le troisième trimestre de son exercice fiscal 2007, clos le 3 novembre dernier. Le constructeur revendique ainsi un chiffre d'affaires de 14,38 Md$ assorti d'un bénéfice net de 677 M$ pour la période. C'est mieux qu'au trimestre précédent et que l'an passé à la même époque. En effet, au second trimestre de son exercice fiscal en cours, Dell s'est contenté d'un bénéfice net de 502 M$ pour un chiffre d'affaires de 14,1 Md$. Au troisième trimestre de son exercice fiscal 2006, le constructeur avait réalisé un chiffre d'affaires de 13,9 Md$ pour la même période, assorti d'un bénéfice net de 606 M$. Dans le détail, Dell a enregistré une progression de 12 % sur un an de ses ventes de serveurs à 1,5 Md$. A peu près stable, son activité stockage a réalisé un chiffre d'affaires de 577 M$. Les ventes de solutions de mobilité de Dell ont progressé de 17 % à 3,9 Md$ mais celles d'ordinateurs de bureau ont reculé de 5 % à 4,7 Md$. Dans un communiqué, Dell souligne le lancement récent de ses premières machines animées par des processeurs AMD. Mais ce lancement est peut-être trop récent pour avoir un impact perceptible sur les résultats du constructeur. (...)

(22/11/2006 12:33:21)

EDS cède son activité européenne de services techniques à une SSII allemande

EDS a vendu à l'Allemand A&O Systems + Services une de ses branches européennes, EDS Global Field Services (EDS GFS), active dans l'intégration de solutions d'infrastructures. EDS GFS compte environ 5000 collaborateurs (pour un chiffre d'affaires de 320 ME), dont 680 en France, d'après son site Web. De son côté, l'acquéreur évoque l'intégration de « 3000 nouveaux employés », ce qui laisse supposer une diminution drastique, ces derniers temps, de la taille d'EDS GFS. Guère prolixe sur le sujet, la société de services américaine s'est contentée de signaler l'opération à la SEC, le gendarme de la Bourse américaine. Sa note laconique précise que l'accord sur la vente est intervenu le 15 novembre dernier, avec un effet immédiat. Officiellement, « EDS souhaitait se désengager depuis un certain temps déjà de ce métier, qui devient de plus en plus un métier de logisticien ». Pour les employés d'EDS GFS, le passage chez A&O devrait être particulier, la SSII allemande faisant moins de deux fois sa taille. Toutefois, A&O a signé un accord de partenariat « à long terme » avec EDS, ce qui devrait lui assurer une certaine continuité. Avec cette transaction, estime dans un communiqué Michael Müller, directeur général d'A&O, la SSII allemande, « qui est entrée sur le marché il y a trois ans comme fournisseur de services après-vente, deviendra le leader en Europe des services techniques ». EDS reste présent en France avec environ 3000 personnes oeuvrant sur trois créneaux : l'infogérance, les services applicatifs et le consulting. (...)

(21/11/2006 17:52:07)

L'accord Novell/Microsoft continue d'alimenter la polémique

Cette fois-ci, ce n'est ni l'équipe Samba, ni Red Hat, mais Microsoft et Novell eux-mêmes qui alimentent la polémique autour de leur accord conclu au début de ce mois de novembre. En effet, les deux partenaires viennent de livrer à un jeu de ping-pong faisant suite aux récentes déclarations de Steve Ballmer sur l'exploitation de la propriété intellectuelle de Microsoft par Linux. Dans une lettre ouverte publiée sur son site Web, Novell a tenu à prendre ses distances par rapport au PDG de Microsoft, exprimant ouvertement son désaccord : « Nous sommes en désaccord complet avec les récentes déclarations de Microsoft concernant Linux et les brevets. Surtout, notre accord avec Microsoft ne constitue en rien l'aveu d'une violation de la propriété intellectuelle de Microsoft par Linux. Affirmer le contraire serait semer le doute et l'inquiétude et empêcherait une concurrence loyale. » La réponse du géant de Redmond ne s'est pas faite attendre : dans un communiqué, Microsoft a indiqué « respecter le point de vue de Novell sur la question des brevets, y compris si [son] propre point de vue est différent. » Ménageant la chèvre et le chou, l'éditeur conforte son partenaire - en assurant que l'accord ne constitue en effet pas un aveu de violation de brevet - sans pour autant renier son propos : « nous avons conduit notre analyse [...] et conclu qu'il était nécessaire et important de créer une convention sur la propriété intellectuelle pour les utilisateurs de ces produits. » Lors d'une conférence téléphonique, Novell et Microsoft ont réaffirmé leur partenariat. (...)

(21/11/2006 17:50:33)

Alcatel poursuit Microsoft pour violation de brevets

Alors que tous les regards étaient tournés vers Adobe et son PDG Bruce Chizen, qui a déclaré ce week-end à un quotidien allemand qu'il ne rejetait pas la possibilité de poursuivre Microsoft, l'équipementier français Alcatel traîne à son tour l'éditeur de Redmond devant les tribunaux pour violation de brevets. Alcatel accuse Microsoft de violer sept de ses brevets déposés aux Etats-Unis, couvrant notamment des méthodes d'implémentations de fonctions d'avance et de retour rapides sur de la vidéo en ligne diffusée en temps réel (streaming). Les deux sociétés avaient développé conjointement une technologie similaire pour la plate-forme de TV par IP, Microsoft TV IPTV Edition. Parmi les autres brevets au coeur du procès, deux traitent d'un service d'authentification d'utilisateur et un autre d'une méthode pour faciliter la communication Pair-à-Pair. Fin septembre, Adobe avait fait pression sur la Commission européenne pour qu'elle interdise à Microsoft d'intégrer à Vista un outil susceptible de concurrencer le PDF. (...)

(21/11/2006 13:03:31)

CheckPoint débarque sur le marché de la protection de postes clients

Le géant israélien de la sécurité CheckPoint Software Technologies a annoncé hier l'acquisition de l'éditeur suédois Protect Data pour 586 M$. Protect Data est notamment connu pour sa ligne de logiciels PointSec qui permet de sécuriser et chiffrer les données contenues sur les portables, les PC, les PDA et les smartphones. L'acquisition permet à CheckPoint de sortir de son marché habituel, qui consiste à fournir des solutions réseaux (Firewall, VPN, passerelles de sécurité), pour s'attaquer au marché de la protection des postes clients. Ce dernier est en plein bouillonnement du fait de l'intérêt croissant des entreprises pour la protection des données sur les postes clients, mais aussi des récents mouvements sur le secteur. Ainsi Microsoft propose désormais une technologie de chiffrement de disque dans Windows Vista avec BitLocker, tandis qu'EMC met en avant le DRM et le cryptage depuis ses rachats de RSA et Authentica. Symantec s'intéresse aussi au secteur dans le cadre de sa stratégie End-to-End (marquée par exemple par le rachat de Sygate). Sur ce marché, l'un des avantages de PointSec est que sa technologie est multi-plateformes. L'éditeur suédois a réalisé un CA de 52,4 M$ au cours des trois derniers trimestres (en hausse de 92% sur un an) et la société a vu ses bénéfices bondir à 8,3M$. Sa technologie est notamment basée sur le produit File Crypto développé à l'origine par F-Secure et cédé à PointSec en 2003. (...)

(21/11/2006 11:43:33)

Le business s'approprie la SOA, estime le cabinet GCR Custom Research

Près de 60% de l'argent dépensé dans les projets SOA vient directement des départements fonctionnels. Voilà l'un des enseignements d'une étude menée par la cabinet GCR Custom Research sur les architectures orientées services (SOA), à la demande de BEA Systems. GCR a interrogé 150 décisionnaires ou influenceurs en matière de SOA dans des grands entreprises aux Etats-Unis, au Canada, au Royaume-Uni, en France et en Allemagne. Un des premiers constats est donc l'implication des directions métier dans la mise en oeuvre des stratégies SOA. Une des raisons de cette implication tient au montant dépensé : près de la moitié des gens interrogés avaient déjà dépensé plus d'un million de dollars dans leur projet SOA. On retrouve donc de plus en plus souvent à la tête des projets SOA des CIO (DSI), plus proches de la direction générale que les responsables informatiques. En Europe, les principaux décisionnaires sont les CFO (directeurs financiers). Cette particularité européenne se retrouve dans les buts des projets SOA. En Europe, dit l'étude, il s'agit surtout de réaliser des économies, tandis qu'en Amérique du Nord, l'intention est plutôt de pouvoir développer l'agilité pour lancer de nouveaux services. « Les sociétés américaines sont promptes à saisir les nouvelles opportunités de générer du chiffre d'affaires, commente l'évangéliste senior de BEA, Martin Percival. En Europe, les gens sont plus prudents, ils veulent d'abord s'assurer que tout fonctionne correctement. » Conséquence logique, les entreprises européennes sont 95% à avoir mis en place des métriques pour vérifier la bonne réalisation des objectifs, tandis que ce taux n'est que de 76% en Amérique du Nord. Côté technologies, les ESB (bus applicatifs), les logiciels de sécurité et les outils de gestion de données représentent les premiers postes de dépenses. Néanmoins, souligne Martin Percival, les entreprises sont bien conscientes des besoins en termes de ressources humaines : si 40% des dépenses s'effectuent en technologies, 54% de l'argent des projets SOA est destiné à former les gens et à embaucher. Des centres de compétence se mettent en place... lentement Désormais entièrement focalisé sur les SOA, BEA explique que ce type d'enquête est nécessaire pour « comprendre ce que font les entreprises, et être sûr que nous délivrons le bon produit ». Elle est également utile, précise Martin Percival, dans la mesure où « elle montre des résultats positifs », à même d'encourager les entreprises qui n'ont pas encore franchi le pas à le faire. Sachant que « les innovateurs » ont déjà largement défriché le terrain. En revanche, on pourra également observer dans cette étude la faible proportion d'entreprises ayant réinventé leur modèle d'organisation. En particulier, si « des sortes de centres de compétences ont été mis en place pour encourager la réutilisation », cela reste encore minoritaire : cela concerne la moitié des 85% d'entreprises ayant déclaré la réutilisation comme une métrique critique. Quant aux « business process owners », ces responsables métier propriétaires de leurs processus décrits par les cabinets d'expertise comme la pierre angulaire de l'entreprise agile, cela reste une denrée rare. « Nous avons atteint un point où cela a du sens, commente Martin Percival. Mais jusqu'à présent, les gens n'ont pas réfléchi de cette façon. » (...)

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