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(04/12/2006 12:53:10)
Business Objects rachète Nsite pour renforcer son offre "on-demand"
Business Objects a annoncé l'acquisition de Nsite Software, un fournisseur de services logiciels à la demande basé à Sunnyvale en Californie. L'éditeur franco-américain d'outils de décisionnel prévoit d'utiliser la plate-forme de services de Nsite pour fournir des services hébergés d'analyse de données et de reporting. Ces services viendront enrichir l'offre à la demande de Crystal Reports, lancée en avril et qui compterait près de 7000 clients . Nsite fournit aujourd'hui des applications de gestion de devis, d'appel d'offres et de gestion de canaux de vente à près de 27 000 entreprises. Ces applications sont interfacées avec les services "on-demand" de Salesforce.com et Siebel. La technologie de Nsite fait un usage massif de technologies Web 2.0, et notamment d'Ajax, pour fournir une interface riche sur le poste client. BO entend réutiliser ce savoir-faire pour offrir des services de Business Intelligence à la demande via le web. BO indique également qu'il va continuer à supporter les applications actuelles de Nsite et les enrichir de services de décisonnel. Le prix de l'acquisition de la start-up n'a pas été communiqué par BO. Nsite avait déjà levé près de 12 M$ de fonds et compte une cinquantaine de salariés. BO figurait déjà parmi ses partenaires. (...)
(01/12/2006 16:56:32)Alcatel/Lucent, naissance officielle d'un géant
Le premier décembre 2006 est dorénavant une date historique dans le monde des télécoms. Alcatel et Lucent officialisent leur fusion, donnant ainsi vie à un géant de 18,6 Md€ de revenus annuels. Huit mois après leur rapprochement, après avoir successivement obtenu le feu vert des actionnaires, des autorités antitrust américaines et européennes, et de Georges W. Bush, les deux équipementiers donnent naissance à un acteur de poids, capable de distancer Nokia Siemens, Ericsson Marconi, Nortel ou Cisco. En Europe, le groupe ainsi constitué truste la première place des solutions pour les entreprises. A sa tête : Patricia Russo (directrice générale), ex-PDG de Lucent. Serge Tchuruk, ex-PDG d'Alcatel, est quant à lui nommé président du conseil d'administration. Le siège social est fixé à Paris. Un acteur mondial doté d'une offre complète Ce nouvel ensemble de dimension mondiale (130 pays, 79 000 salariés) affiche un portefeuille complet de solutions de communications : VoIP, IPTV, IMS, NGN, 3G... découpé en 5 groupes d'activités : fixe, mobile, convergence, entreprise et service. Près de 23 000 salariés travaillent en R&D. Le groupe dispose de 25 000 brevets et se présente comme une société dédiée à l'innovation. «Alcatel-Lucent sera pour nos clients un partenaire qui aura la dimension et la capacité de concevoir, construire et gérer des réseaux de plus en plus complexes qui offrent aux utilisateurs les usages et les services convergents de communications les plus avancés » conclut Serge Tchuruk. Voilà de quoi rassurer les clients, mais pas les salariés qui, comme fruit de la fusion, s'attendent à des coupes claires dans les effectifs. (...)
(01/12/2006 16:13:07)Haut débit : le parlement allemand protège Deutsche Telekom
La chambre basse du parlement allemand vient, ce jeudi 30 novembre, d'adopter une proposition de loi autorisant l'opérateur historique local, Deutsche Telekom, à ne pas ouvrir à ses concurrents le réseau de fibre optique qu'il est en train de construire pour un montant évalué à 3 Md€. La réaction de la Commission européenne ne s'est pas faite attendre : selon Bloomberg, Viviane Reding, la commissaire européenne à la concurrence, a indiqué ce vendredi 1er décembre, qu'une procédure à l'encontre de l'Allemagne serait engagée « très vite et sans concession ». Début novembre, la Commission européenne avait menacé le gouvernement allemand de poursuites si cette disposition en faveur de Deutsche Telekom, vue de Bruxelles comme une entrave à la concurrence, était adoptée. La proposition de loi allemande doit encore être examinée par la chambre haute du parlement le 15 décembre prochain. Les développements de ce dossier seront probablement suivis avec attention à Paris. En effet, France Télécom, soutenu par le ministre délégué à l'industrie François Loos, s'oppose à la régulation de son réseau de fibre optique, contre l'avis de l'Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes. (...)
(30/11/2006 17:31:54)IBM rachète Vallent
IBM s'apprête à faire l'acquisition de Vallent. Big Blue entend utiliser l'offre logicielle de cet éditeur pour répondre aux besoins des fournisseurs de services de communications « filaires, sans fil, IP et sur des infrastructures convergentes fixe/mobile ». Plus précisément, IBM entend intégrer les outils de Vallent à la gamme de logiciels d'administration de réseau Netcool de son offre Tivoli afin de l'enrichir « de capacités de gestion des défaillances, des performances et de la qualité de service pour un grand nombre de technologies, d'équipements et d'applications d'éditeurs tiers. » La gamme Netcool est issue des solutions de l'éditeur Micromuse dont IBM a finalisé le rachat en février dernier, pour un montant de 865 M$. Parmi ses clients, Vallent compte des opérateurs tels que Brasil Telecom, China Mobile Communications, Cingular Wireless ou encore KPN et O2, mais aussi des équipementiers dont Alcatel, Lucent et Motorola. Le montant du rachat n'a pas été communiqué. L'opération devrait être finalisée d'ici la fin du premier trimestre 2007, sous réserve de l'aval des autorités de régulation. (...)
(30/11/2006 12:31:53)Microsoft lance en fanfare Windows Vista
"Welcome to a New Day". C'est par cette laconique formule que Nick White, chef de produit chez Microsoft, annonce le lancement de Vista sur le blog consacré à l'OS. Si cette sortie ne concerne, pour l'heure, que les revendeurs et les entreprises détentrice d'une licence en volume - les particuliers et les entreprises dépourvues d'une licence en volume devront attendre le 30 janvier 2007 -, elle marque une étape d'une importance capitale pour l'éditeur de Redmond, cinq ans après le lancement de Windows XP. En même temps que Vista, débarquent également le gestionnaire de courriels Exchange Server et la suite bureautique Office, toutes deux également frappée du sceau 2007. De fait, Microsoft réalise là, en combinant ces trois produits, le plus important lancement de son histoire. D'autant que le géant du logiciel tire l'extrême majorité de ses revenus des seuls Windows et Office. Pour l'heure, Vista est d'ores et déjà disponible en Asie et en Océanie et Microsoft célèbrera en fanfare l'arrivée de ses produits phares en Europe et en Amérique du Nord tout au long de la journée. Des événements sont ainsi prévus à Munich, Londres, Paris, Toronto et New York. Un long fleuve pas tranquille La feuille de route du lancement de Vista n'a toutefois pas été un long fleuve tranquille et fut émaillée de plusieurs obstacles. A commencer par le décalage, annoncé en mars, de la date de commercialisation. Initialement, en effet, les versions destinées aux particuliers devaient leur parvenir avant 2007. Un retard qui avait conduit IDC à rectifier à la baisse ses prévisions de ventes de PC. En mai, c'était au tour de Gartner d'évoquer la quasi-impossibilité pour Microsoft de tenir les délais et prédisait un lancement entre avril et juin 2007. Les prophéties du cabinet se sont donc révélées fausses. Les inextricables différends opposant Microsoft et la Commission européenne ont également perturbé les préparatifs de la sortie de Vista. En septembre, Bruxelles soulevait le risque de muselage de la concurrence que faisaient courir les nombreuses fonctions de sécurité incluses dans l'OS. Microsoft réagissait aussitôt en accusant l'exécutif européen de s'acharner contre lui et de concourir à retarder le lancement de Vista. Dans la foulée de la Commission, certains éditeurs - Symantec et Adobe en tête - ont également accusé Microsoft de profiter de sa position dominante pour écraser encore un peu plus un marché qu'il domine outrageusement. Soucieux de rassurer - et surtout de sortir so produit dans les temps - l'éditeur de Redmond consentait, en octobre, à en modifier le code pour contenter à la fois les éditeurs de solutions de sécurité et Adobe. Un accueil incertain Reste une question de taille. Quel accueil sera réservé à Vista ? Si Microsoft se montre bien évidemment optimiste - il envisage une adoption deux fois plus rapide que pour les précédentes versions de Windows - les positions varient du tout au tout d'un cabinet d'analystes à l'autre. Forrester prévoit ainsi une adoption lente de l'OS, alors qu'Ovum prédit "la migration la plus rapide à ce jour". Gartner table sur un rythme poussif conduisant à ce que 10% des PC soient équipés de Vista d'ici à la fin 2007 et IDC estime que 90% des machines vendues aux particuliers l'an prochain seront fournies avec une des éditions familiales de Vista. Selon ce dernier institut, l'adoption par le milieu professionnel sera plus lente en revanche : à peine plus d'un tiers des PC vendus aux entreprises en 2007 seront équipés de Vista. Au-delà des divinations des analystes, des éléments objectifs existent et contribuent à entretenir quelques doutes sur le succès de Vista et d'Office. Là où Microsoft dominait sans partage il y a cinq ans, l'écosystème a changé et l'éditeur doit composer avec ces bouleversements. Le monde de l'Open Source est, par exemple, plus présent. Google a fait son apparition et est devenu l'un des concurrents pantagruéliques de Microsoft. Reste que le principal obstacle à l'adoption de Vista pourrait être Microsoft lui-même, les utilisateurs de Windows XP ou 2000 étant susceptibles de ne pas voir l'intérêt de changer un système d'exploitation qui fonctionne plutôt bien (du moins largement mieux que 98). (...)
(29/11/2006 17:25:17)Le Français Sequans soutenu par Alcatel et par Motorola
Le français Sequans vient conclure un partenariat avec Alcatel pour la production de masse de terminaux d'accès WiMAX économiques, dès le second trimestre 2007. Ces terminaux utiliseront notamment les antennes d'Alcatel associées à la puce WiMAX mobile (802.16e-2005) SQN1110 de Sequans. Dans un communiqué, Sequans, qui a présenté sa première puce WiMAX mobile début octobre, indique viser tout particulièrement les marchés émergents avec des terminaux conçus pour répondre « aux besoins croissants en accès large bande des pays en développement. » Par ailleurs, Sequans vient de faire l'objet d'un « investissement substantiel de la part de Motorola, via Motorola Venture. » Ce nouvel apport de financement, dont le montant n'a pas été communiqué, vient la levée de fonds de 24 M$ bouclée en juillet dernier par le français. (...)
(29/11/2006 17:26:21)Porté par ses acquisitions, Sage vante aussi sa croissance organique
Résultats exercice fiscal 2006 Chiffre d'affaires : 935,6 M£ (+22%) Bénéfice : 221,2 M£ (+14%) Sage a réalisé un chiffre d'affaires de 935,6 M£ au cours de son exercice fiscal clos le 30 septembre dernier, 22 % de mieux que pour l'exercice précédent, assorti d'un bénéfice net avant impôts de 221,2 M£ en progression de 14 %. Dans un communiqué, le directeur général de Sage, Paul Walker, reconnaît l'impact des acquisitions passées dans cette progression : « ça a été une année importante pour Sage avec un nombre significatif d'acquisitions élargissant autant nos offres de services que de produits à destination des PME». Ses nombreuses acquisition de l'année écoulées - dont Adonix en France ainsi que Verus et Emdeon aux Etats-Unis, notamment -, pour un total de 618 M£ selon Ovum, ont apporté à Sage 87,6 M£ de chiffre d'affaires mais, Paul Walker souligne tout de même une croissance organique estimée à 7 %. Reste à savoir dans quelle mesure Sage parvient à profiter pleinement de ses acquisitions. En effet, le cabinet Ovum relève une performance « décevante » outre Atlantique, avec une croissance limitée à 3 % - ou 6 % selon Sage hors effets de change - et indique souhaiter « voir des preuves de sa capacité à [y] faire progresser plus fortement ses activités. » Le cabinet souligne en outre une performance « passable » en Europe, avec une croissance de 5 % et, en ligne de mire, les marchés français et allemand. Néanmoins, Ovum s'attend à ce que Sage cherche à profiter « d'une croissance plus forte » outre-Rhin avec de nouvelles acquisitions. (...)
(28/11/2006 17:50:03)Oberthur Card System perd son DG
Oberthur Card Systems a annoncé le départ de son directeur général Pierre Barberis. Nommé à la tête du second fournisseur mondial de cartes à puces il y a 4 ans, Barberis quitte officiellement la groupe pour "raisons personnelles", afin de rejoindre l'Asie du Sud-Est où il continuera à prodiguer ses conseils à la société pour son développement dans la zone. Le départ de Barberis s'effectue alors que le marché de la carte à puce est sous pression. La fusion Gemplus Axalto, qui a donné lieu à la création de Gemalto, le poids lourd du secteur, a chamboulé la donne sur un marché qui n'avait jusqu'alors pas de vrai leader. Jusqu'alors 1,5 fois plus petit que son concurrent immédiat, Oberthur CS est désormais quatre fois plus petit que Gemalto. Dans un contexte de forte pression sur les prix, cette situation est préoccupante pour le groupe. L'un de ses principaux marchés historiques, celui des cartes bancaires, est stagnant, les grands pays européens ayant achevé leur migration vers le standard EMV. Sur le marché de l'identité (passeport et cartes d'identité), Oberthur est confronté à une féroce concurrence de Gemalto qui vient d'emporter plusieurs marchés clés. Enfin, sur le marché des cartes SIM, les prix sont en chute libre. Certains acteurs comme Sagem Orga utilisent en effet l'arme des prix pour gagner des parts de marché, tandis que la bascule de la demande vers l'Asie, et plus particulièrement la Chine et l'Inde, se traduit par des prix moyens de vente bas du fait de l'agressivité de producteurs locaux, comme WatchData, EastComPeace ou Datang. Dans ce contexte peu propice, le départ de Barberis pourrait donc aussi s'expliquer par son inaptitude à enrayer la baisse des marges d'Oberthur. Il est d'ailleurs le second départ d'importance pour le groupe en moins de six mois puisque le directeur financier, Cyril Malher, a quitté la société en juillet dernier pour être remplacé par François Rivière -qui dirigeait jusqu'alors Wilson Gestion (dont Barberis est le président du conseil d'administration). Oberthur a déjà choisi le remplaçant de Barberis et devrait officialiser sa nomination au mois de janvier 2007. Son principal défi sera sans doute de restaurer la rentabilité de la société. (...)
(28/11/2006 17:49:07)Rumeur : Intec pourrait être racheté par Oracle
Intec Telecom Systems pourrait être la prochaine proie d'Oracle. Le quotidien britannique Times fait en effet état de discussions préliminaires en ce sens entre les deux sociétés, dans son édition du 27 novembre dernier. Intec développe, déploie et supporte des systèmes de gestion de services opérateurs (BSS/OSS) pour réseaux fixes, mobiles et IP. Selon le cabinet Ovum, le rachat d'Intec permettrait à Oracle d'acquérir un portefeuille client conséquent en matière de facturation de détail. Le cabinet relève en outre la « bonne réputation des produits de médiation et de facturation de gros » d'Intec. Pour autant, Ovum souligne que le rachat d'Intec, survenant alors que celui de Metasolv n'est encore finalisé, pourrait s'avérer difficile à absorber par la nouvelle division Communications Business d'Oracle. Selon l'agence AFX News, Intec Telecom Systems aurait démenti toute négociation de rachat. (...)
(28/11/2006 16:33:22)Informatica veut absorber Itemfield pour accéder aux contenus non structurés
Pour Noël, Informatica voudrait pouvoir accéder aux contenus non structurés ou semi-structurés sans plus avoir à payer de licence à Itemfield, dont il reprend la technologie en OEM dans ses outils. L'éditeur de PowerCenter, une des principales solutions d'intégration de données (avec Ascential/IBM et SAS), propose donc 55 M$ pour racheter cette société privée. Informatica souligne que selon diverses estimations, 80% du contenu des entreprises serait sous forme de formats non structurés, tels que des documents Word, Excel ou PDF. Les fichiers semi-structurés désignent pour leur part les formats de type XML, où le contenu est encadré par des métadonnées. La transaction a d'ores et déjà été approuvée par les conseils d'administration des deux sociétés. (...)
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