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(10/11/2006 15:26:12)
AMD veut rassurer ses distributeurs
AMD tente de calmer le jeu avec ses distributeurs. Le constructeur, englué dans des problèmes d'approvisionnement de ses partenaires en processeurs récents, avait été récemment accusé de favoriser Dell au détriment des distributeurs. Soucieux de ne pas provoquer de rupture avec le réseau de ses partenaires, AMD a tenu à clarifier les zones d'ombre. Selon le fondeur, l'accord passé avec Dell n'explique en rien la pénurie touchant les processeurs X2 : le partenariat entre les deux groupes serait trop récent pour avoir une incidence sur les stocks. De plus, le constructeur texan distribue essentiellement des serveurs construits autour des CPU AMD, et vient seulement de commencer à livrer des machines destinées au grand public. La véritable raison des soucis d'AMD tiendrait en réalité à la demande, nettement plus importante que prévu. En dépit des analyses indiquant le report des décisions d'achats en attendant qui la sortie de Vista, qui celle des cartes graphiques DirectX10, la chute des prix des PC a conduit nombre de consommateurs et de professionnels à s'équiper. Et, partant, à ce que les estimations réalisées plus tôt dans l'année par AMD soient dépassées. L'autre facteur d'explication avancé par le concurrent d'Intel tient à une très forte demande en PC portables. Une demande qui "dépasse de loin toutes les prévisions des analystes". Pour lever les derniers doutes que les revendeurs pourraient entretenir, AMD assure que les commandes des grands constructeurs en prévision des fêtes ont d'ores et déjà été satisfaites. De fait, le groupe va pouvoir commencer à porter davantage d'attention à son réseau. (...)
(10/11/2006 14:47:20)Bull se rapproche de Microsoft pour offrir des solutions de calcul aux PME
Habituellement, les constructeurs font le choix de passer leurs solutions serveurs sous Linux, en mettant en avant les économies pour leurs clients. Bull opère la démarche inverse. Le constructeur vient de nouer un partenariat avec Microsoft pour proposer ses clusters de calcul Novascale sous Windows Compute Cluster Server 2003 (CCS). De façon à pouvoir séduire « les PME qui n'ont pas forcément les moyens d'avoir un administrateur Linux, ou à qui, pour une raison ou une autre, Linux fait peur », explique Olivier David, responsable des relations avec les éditeurs de logiciels pour Bull HPC (l'entité high-performance computing du constructeur). L'annonce a été faite hier, au cours du Forum Fluent à Paris, salon consacré aux « simulations numériques des écoulements de fluides et transferts thermiques ». Bull, déjà bien présent dans le secteur de la recherche, désire en effet « se diversifier en allant sur le marché de l'industrie », commente Olivier David. Les PME visées sont celles qui se sentent frustrées avec les performances de leurs stations de travail en termes de puissance de calcul, mais n'ont pas les moyens ou la volonté de migrer à Linux. Bull leur offre alors une solution intégrée, avec un système d'exploitation préinstallé et des applications préconfigurées, « sans nécessiter d'intervention hyper pointue de la part d'un administrateur », souligne Olivier David. Tarifs identiques pour les configurations sous Windows ou Linux La différence avec les solutions sous Linux est essentiellement à ce niveau puisque, sur le plan de la tarification, Bull assure que les prix des configurations identiques sous Linux ou Windows sont les mêmes. Il faut ainsi compter « quinze à vingt mille euros pour une configuration de base à quatre n?uds, selon la mémoire ou la technologie d'interconnexion », indique Olivier David. Le choix se fera donc sur la nature du système d'exploitation et les compétences en place, le cluster, sous Windows, s'intégrant dans le reste du système d'information Windows de l'entreprise. Windows CCS est en effet une déclinaison de l'édition 64 bit de Windows Server 2003, conçue uniquement dans ce but. « Elle est limitée à cet usage, donc beaucoup moins chère que la version standard, explique Eric Nataf, responsable de l'offre HPC chez Microsoft France. Elle inclut en revanche des outils spécifiques, liés par exemple à la sécurité, à l'ordonnancement des tâches ou à l'administration du cluster. » Microsoft disposait déjà d'accords similaires avec d'autres constructeurs. Pour ces derniers, être OEM de Microsoft signifie qu'ils peuvent préinstaller le système d'exploitation, bénéficier de l'expertise de Microsoft sur le sujet, et de son aide au niveau du marketing. « Cela permet également de discuter à trois avec les éditeurs partenaires », rappelle Olivier David. Côté Microsoft, l'accord lui permet de renforcer sa visibilité sur un marché plutôt orienté Linux en règle générale (l'offre HPC de Bull avec les serveurs Itanium reste sous Linux uniquement), et lui procure une certaine visibilité en France et en Europe, les « marchés dominants » de Bull. (...)
(10/11/2006 14:37:32)France Télécom souhaite racheter Silicomp
Après le rachat de groupe Diwan, l'acquisition de Neocles Corporate, France Télécom voudrait maintenant mettre la main sur le groupe Silicomp (conseil et intégration). Les actionnaires de référence, détenant 56% du capital, ont reçu une offre de l'opérateur à 20 euros par action. Aucun protocole d'accord n'a pour le moment été signé. Les deux groupes viennent tout juste d'engager des discussions pour une période de quinze jours. Ces rachats rentrent dans la stratégie du groupe, expliquée par Barbara Dalibard, VP Executive d'Orange Business Services. « BT Global Services est plus agressif que nous sur la partie IT, tout comme Deutsche Telekom. En ce qui nous concerne, nous ne sommes pas Cap Gemini. Nous sommes plutôt dans une logique de partenariats. Cependant, nous réalisons des acquisitions pour des applications critiques, comme la sécurité ». Le rachat de Silicomp, et le contrat de la Communauté Européenne gagné conjointement avec HP, valide donc cette ligne de conduite. (...)
(10/11/2006 12:43:03)Lenovo régresse hors de Chine
On a beau être le troisième constructeur mondial de PC, et écouler pour plus de 3,5 Md$ de produits au cours d'un seul trimestre, on peut néanmoins estimer que l'on n'occupe pas la place qui devrait être la sienne. Il en va ainsi pour le Chinois Lenovo, repreneur des activités PC d'IBM il y a deux ans, et qui peine à s'imposer au-delà de la Grande muraille. "Nous ne sommes toujours pas là où je voudrais qu'on soit, et je m'impatiente", déplore le PDG du groupe, William Amelio. Devant faire face à "un marché difficile et violemment concurrentiel", Lenovo n'a vu ses revenus progresser que d'un maigre pourcent lors du trimestre clos le 30 septembre, pour atteindre 3,7 Md$. Pire : les bénéfices ont fondu de 17% sur un an, et s'alignent à 38 M$. Si le groupe parvient à tirer son épingle du jeu dans l'Empire du Milieu - les ventes y représentent 39% de l'ensemble du chiffre d'affaires -, la situation n'est guère reluisante une fois les frontières passées. En Europe et en Amérique, l'activité régresse ainsi de près de 10%. "Nos opérations hors de Chine restent un chantier en cours", résume pudiquement William Amelio, qui rappelle le lancement d'un programme visant à toucher davantage les consommateurs et les petites entreprises à travers le monde et plus particulièrement aux Etats-Unis. Au final, "nous réduisons l'écart [entre la Chine et l'international, NDLR] mais cela prendra quelques trimestres et beaucoup de travail supplémentaire". L'une des sources des difficultés de Lenovo concerne la chaîne de fabrication qui a montré ses limites lors du deuxième trimestre fiscal, souffrant notamment d'un SI daté et trop complexe. Pour y remédier, le groupe indique qu'il a procédé à de lourds investissements et mis à jour son SI, en y incluant par exemple des outils développés par SAP. La modernisation de la chaîne devrait se poursuivre jusqu'en 2008 selon William Amelio, qui refuse de communiquer le montant de l'investissement consenti. Parallèlement, Lenovo devrait réduire le nombre de modèles commercialisés et changer le processus de fabrication de façon à utiliser moins de composants issus d'un même fournisseur. (...)
(09/11/2006 16:41:06)Trimestriels Sopra : le conseil renoue avec la croissance
:Résultats troisième trimestre Chiffre d'affaires : 205,2 M€ Evolution : +14,4% La SSII, qui sort d'un bon premier semestre, a publié un chiffre d'affaires de 205,2 M€ au troisième trimestre, en hausse de 14,4% sur un an, et de 7,3% en croissance organique. Si l'activité d'intégration de systèmes et de solutions dans l'Hexagone continue de constituer la plus importante source de revenus, avec 119,1 M€, elle déçoit cependant par une croissance organique de seulement 3,5%. Un recrutement "plus tendu", notamment dans les secteurs banque et industrie & services, explique ce glissement d'après le groupe qui attend un rebond sur la quatrième période de l'année. La bonne nouvelle vient de l'activité conseil. Après un recul de 4,9% sur le premier semestre, elle renoue avec la croissance et progresse ainsi de 3,8% en organique, à 8,3 M€. Pour l'ensemble de l'exercice, Sopra vise un chiffre d'affaires dépassant 890 M€, soit une croissance organique de près de 8%, et une marge opérationnel qui pourrait dépasser 8%. (...)
(09/11/2006 11:28:13)Cisco entame son nouvel exercice fiscal sous de bons auspices
Résultats 1er trimestre Chiffre d'affaires : 8,2 Md$ (+24,9%) Bénéfice net : 1,6 Md$ (+27,5%) Cisco vient d'achever, le 28 octobre dernier, le premier trimestre de son exercice fiscal 2007 avec un chiffre d'affaires de 8,2 Md$, en progression de 24,9 % sur un an, assorti d'un bénéfice net de 1,6 Md$, soit 27,5 % de mieux qu'au premier trimestre de l'exercice précédent. Selon John Chambers, le PDG Cisco, la croissance est répartie de manière équilibrée sur l'ensemble des produits et des implantations géographiques de son groupe. Les équipements pour réseaux sans fil auraient néanmoins enregistré une croissance des commandes de 40 % et le routeur pour fournisseur de services CRS-1 de 500 %, pour un montant de 150 M$. Ce dernier serait porté par l'accroissement du trafic réseau ainsi que par la mise en chantier d'offres dites « quadruple-play », associant téléphonie fixe et mobile, Internet, et télévision. John Chambers attribue plus généralement ces bons résultats à la justesse de « sa vision du réseau comme une plate-forme pour les communications et le système d'information, sous toutes leurs formes. » Affichant son optimisme, John Chambers estime que Cisco est positionné pour « profiter des changements [en cours sur le marché des réseaux] » et poursuivre sa croissance. Concrètement, il prévoit une croissance de 24 à 25 % du chiffre d'affaires de son groupe pour le second trimestre de son exercice fiscal 2007, par rapport à la même période l'an passé. Dennis Powell, vice-président senior et directeur financier de Cisco, envisage quant à lui une croissance de 15 à 20 % pour l'ensemble de l'exercice en cours. Pour l'exercice précédent, Cisco avait déclaré cet été un chiffre d'affaires de 28,5 md$ en progression de 15 %. (...)
(08/11/2006 17:38:08)Trimestriels Nortel : retour dans la zone rouge
Résultats troisième trimestre Chiffre d'affaires : 2,96 Md$ (+17%) Perte nette : 99 M$ (-27%) Malgré une progression de ses ventes, et après avoir renoué avec les bénéfices au deuxième trimestre, Nortel déçoit sur la troisième période de l'année en repassant dans le rouge. Le chiffre d'affaires à 2,96 Md$ dépasse légèrement les attentes des analystes et s'inscrit en hausse de 17% sur un an. Du côté des profits, en revanche, les chiffres annoncés déçoivent. Alors que le groupe avait renoué avec les bénéfices au T2, il retombe dans le rouge. La perte nette s'élève ainsi à 99 M$. C'est certes mieux que le déficit de 136M$ reporté il y a un an, mais cette simple constatation ne suffit pas à rassurer les investisseurs. Nortel a pâti d'une pression sur les prix, insuffisamment compensée par une cession d'actifs de 16 M$ et une modification des plans de bénéfices réservés aux salariés nord-américains, ayant permis d'économiser 43 M$. D'autant que les charges de restructuration continuent de peser pour 39 M$ sur les bénéfices. Pour l'ensemble de l'exercice, les prévisions sont revues à la baisse. Le groupe table désormais sur une progression de l'activité comprise entre 5 et 10%, alors qu'il indiquait en août viser une croissance proche des 10%. Dans la foulée de cette annonce, l'action Nortel perdait 10% à Wall Street. (...)
(08/11/2006 17:40:02)Microsoft se prépare au plus grand lancement de produits de son histoire
Microsoft va procéder à une série de lancements de nouveaux produits sans équivalent au cours des 12 à 18 prochains mois. C'est ce qu'a expliqué Ron Markezich, un vice-président de Microsoft lors de la conférence DevConnections à l'occasion du lancement de la suite bureautique Office 2007 et du Framework .Net 3.0. Au cours des prochains mois, le géant de Redmond va lancer la nouvelle mouture de son OS Windows, Windows Vista, puis des mises à jour pour SharePoint et Exchange. Il devrait également lancer la prochaine version de Windows Server, pour l'instant connue sous le nom "LongHorn Server" Au cours du premier semestre 2007, Microsoft prévoit aussi de publier la version bêta de Visual Studio "Orcas". Markezich a enfin profité de son intervention pour promettre le lancement d'une solution complète de Business Intelligence signée Microsoft dans les 18 mois. (...)
(08/11/2006 17:39:21)HP et SAP vont collaborer sur la virtualisation
Les organisations R&D de Hewlett-Packard et SAP vont travailler ensemble sur les questions de virtualisation logicielle et matérielle. C'est ce que les deux sociétés on annoncé hier sans toutefois préciser le montant qu'elles comptent investir dans leurs recherches. Selon l'accord conclu entre HP et SAP, les HP Labs anglais et américains travailleront de concert avec les laboratoires de recherche de SAP en Australie, en Allemagne et en Irlande du Nord afin de lier plus étroitement les technologies Adaptive Infrastructure d'HP avec les architectures SOA des futures révisions de SAP. Le projet est officiellement baptisé Adaptive SAP. HP et SAP devraient aussi conduire des recherches communes sur d'autres thèmes comme la sémantique SOA, l'analyse de processus métiers ou les technologies RFID. Ils devraient aussi collaborer en matière de gestion applicative, notamment sur des aspects comme la gestion des performances ou la gestion du changement, suite aux récentes acquisitions par HP de Mercury Interactive ou de Peregrine. HP et SAP sont des partenaires de longue date puisqu'il collaborent depuis près de 17 ans. La moitié des clients du géant allemand utilisent des serveurs HP pour leurs déploiements. Adapté d'un article en anglais de China Martens, IDG News Service Boston (...)
(08/11/2006 12:42:02)Microsoft devra payer 308 M$ à son nouvel ami Novell
308 M$: c'est la somme que devra débourser Microsoft selon les termes de l'accord scellé avec Novell en fin de semaine dernière. Novell a levé un coin du voile sur le volet financier du surprenant partenariat qui lie les deux parties, dans un document remis à la SEC, le gendarme de la Bourse américaine. Jeudi 2 novembre, les deux éditeurs avaient annoncé un accord d'interopérabilité portant sur Suse Linux et Windows, couvrant également des aspects juridiques, marketing et commerciaux. L'éditeur de Redmond, dans un premier temps, devrait verser 240 M$ à Novell en guise de redevances d'abonnements ("subscriptions certificates") à Suse Linux Enterprise Server. Une somme qui lui permet, selon Novell, de revendre et de redistribuer l'OS pendant la durée de l'accord (5 ans) et qui donne accès aux utilisateurs au support Novell. A cela s'ajoutent 94 M$ supplémentaires portant sur la promotion des "scenarii de virtualisation Linux et Windows" (60 M$) et sur la formation d'une branche commerciale dédiée aux offres communes (34 M$). Enfin, selon les termes de l'accord portant sur les échanges de brevets, Novell et Microsoft sont parvenus à un compromis. L'éditeur de Redmond versera une première salve de 108 M$ à Novell qui, de son côté, reversera à Microsoft 40 M$ par an, calculés sur le pourcentage des revenus générés par Open Platform Solutions et Open Enterprise Server. (...)
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