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(07/11/2006 17:53:16)
Placeojeunes, le bras armé du Syntec pour l'offre de stages des SSII
Sous la marque "Syntec Informatique Campus", la chambre professionnelle des SSII relaye en ligne les propositions de stages des entreprises, ainsi que les postes ouverts à l'apprentissage et les postes à l'étranger (volontaires pour l'international ou VIE). Une première dans le monde des chambres syndicales, sachant que ce nouveau service gratuit met les chargés de recrutement des SSII en contact avec 335 écoles et cursus universitaires, et avec 82 centres de formation par apprentissage (CFA) qui opérent dans la filière informatique. Le service mis au point par l'équipe de Placeojeunes est conçu pour qu'une saisie unique de chaque proposition de poste (stage, apprentissage) soit diffusée instantanément vers les cursus ciblés (système d'aide sur fond de sélection de formation en fonction du domaine, du lieu, de la date et de la durée du stage), en accord avec le calendrier des stages de ces établissements; et pour qu'en retour, les étudiants concernés puissent postuler en ligne et comparer. (...)
(07/11/2006 17:39:11)La mobilité représente le tiers du budget R&T des entreprises européennes
Si les résultats de l'étude "la mobilité dans les entreprises européennes en 2006" ne constituent certainement pas une révolution, ils contribuent néanmoins à souligner l'intérêt que portent les professionnels nord-américains et européens aux technologies mobiles. S'il ne fallait qu'un chiffre pour s'en convaincre, ce serait sans aucun doute la part des budgets télécoms et réseaux consacrée à la mobilité : elle a atteint 32% en 2006. Si le principal poste de dépenses reste le réseau terrestre voix et données, la mobilité s'octroie donc néanmoins un tiers de l'ensemble des débours. Dans la même veine, Forrester indique que 70% des entreprises utilisent une application mobile. Trois raisons principales expliquent le goût des entreprises pour la mobilité. Et l'étude Forrester de s'appuyer sur l'exemple de British Telecom pour les illustrer. Au cours des dix dernières années, BT a mis en place une solution flexible à travers des VPN distants et des accès haut débit. En retour, l'opérateur historique a enregistré une progression de la productivité de ses salariés de 31% - et une augmentation de 8% de la satisfaction de ses clients. BT a également pu compter sur une réduction de ses coûts de 270M€. Enfin, la motivation de ses salariés a crû de 14% et l'absentéisme a reculé de 63%. Si ces données peuvent sembler par trop idylliques et ne méritent certainement pas d'être prises comme argent comptant, elles illustrent néanmoins quels types d'avantages peuvent retirer les entreprises d'une utilisation des technologies mobiles. Une priorité critique pour 16% des entreprises Les sociétés ne s'y trompent d'ailleurs pas et sont 48% à avoir augmenté leurs dépenses dans ce domaine cette année. A titre de comparaison, elles étaient 44% à l'avoir fait l'an passé. Le chiffre est encore plus important lorsqu'on considère uniquement la progression des dépenses liées aux données mobiles : 58% des entreprises ont accru ce poste de dépenses, contre 40% un an plus tôt. Pour autant, dépenser plus ne signifie pas dépenser n'importe comment. Les entreprises sont ainsi 32% à prévoir la mise en place d'une stratégie (choix des appareils, des applications, etc.) et d'une politique mobiles (sécurité, spécification d'usage, etc.). Pour 16% d'entre elles, il s'agit même d'une priorité critique. De même, l'engouement pour la technologie mobile ne va pas sans inquiétudes quant aux coûts qu'elle risque d'engendrer et à sa fiabilité. Paradoxalement, cette attention portée sur les coûts est susceptible de conduire à l'adoption des technologies les plus récentes. Il en va ainsi des téléphones associant GSM et WiFi, qui sont plébiscités par 58% des entreprises. Logique quand on sait que la moitié des appels sont en fait passés depuis un bâtiment. (...)
(07/11/2006 12:05:51)Un éditeur d'adwares condamné à trois millions de dollars
Les éditeurs d'adwares (outils publicitaires clandestins) ou de spywares (outils d'espionnage) n'ont plus qu'à bien se tenir. Car la FTC (Federal Trade Commission), le gendarme américain du commerce, vient de faire plier Zango, l'une des plus grosses sociétés spécialisées dans l'installation de logiciels espions, traceurs et autres pop-up. Pour arrêter les poursuites judiciaires lancées à son encontre, Zango devra verser trois millions de dollars au gouvernement américain et sera, en outre, tenu d'informer l'utilisateur de l'installation de ce genre de programme, tout en proposant un moyen de les désinstaller. Depuis 1999, Zango établit des contrats avec différentes sociétés commerciales avides d'informations sur les habitudes des internautes afin de faire passer de la publicité via l'ouverture de fenêtres intempestives. Zango (issue de la fusion en juin dernier de 180Solutions et Hotbar) propose en téléchargement de petits logiciels gratuits, de types jeux, économiseurs d'écran, etc. qui installent automatiquement, à l'insu et sans le consentement de l'utilisateur, ces adwares et spywares. A noter que les logiciels de Zango sont listés et reconnus comme des produits non désirés par la plupart des logiciels anti-virus et anti-spyware. (...)
(06/11/2006 17:26:36)Les distributeurs AMD privés d'approvisionnement
Les processeurs AMD seraient-ils sur le point de devenir une denrée rare ? C'est en tout cas ce que semble indiquer une grande partie du réseau de distributeurs pour lesquels il s'avère difficile de se fournir en CPU récents. C'est notamment le cas pour les Athlon 64 X2, ou plus généralement pour l'ensemble de la gamme de processeurs à base de socket AM2. Les difficultés auraient commencé à la fin du deuxième trimestre avant d'aller crescendo et de culminer en cette fin d'année. Déjà, des voix s'élèvent pour blâmer l'accord passé entre AMD et Dell. Selon certains partenaires, le fondeur aurait délibérément choisi de privilégier le constructeur texan au détriment de son propre réseau de distribution. Plus généralement, certains se demandent si les fabricants ne sont pas en train de prendre le pas sur les revendeurs. Si AMD a reconnu le problème touchant l'approvisionnement de ses processeurs, il a néanmoins refusé d'aborder la question d'une éventuelle priorité donnée à tel ou tel. En France, le problème semble aussi prégnant que dans les exemples rapportés par la presse d'outre-Atlantique. « Lorsque mes clients me commandent des configurations à base de processeurs AMD, je les préviens d'emblée que je ne peux garantir aucun délai », déclare ainsi un gros faiseur national. Et contrairement à ceux qui prétendent que ces pénuries ne concernent que les processeurs double c?ur X2 du fondeur, notre intégrateur assure que toute la gamme d'AMD est concernée. Pour lui la meilleure preuve de l'existence d'un problème chez AMD, c'est le silence radio de son contact commercial attitré, qui n'a plus donné de nouvelles depuis le mois de juillet, alors qu'en temps normal, les échanges sont quasi-hebdomadaires. Quant à savoir si cette pénurie s'explique par une capacité de production insuffisante, due notamment à la signature du juteux contrat avec Dell, notre interlocuteur reste dubitatif. Pour lui, il s'agit plus d'un problème de répartition de la production que de production tout court. A ce titre, il prédit que la plupart des processeurs introuvables sur le marché européen aujourd'hui dans les canaux officiels le seront rapidement, demain, chez les traders notamment asiatiques. (...)
(06/11/2006 17:25:44)Le fondateur de Peoplesoft lance Workday, un PGI en ligne
Presque deux ans après avoir subi le rachat de Peoplesoft, qu'il avait fondé en 1987, par Oracle, Dave Duffield revient sur le devant de la scène en présentant officiellement son nouveau bébé : le PGI Workday. A la manière de ce qu'il avait fait avec Peoplesoft, Dave Duffield entend séduire les entreprises avec un produit façonné ex nihilo, sans rachat ni partenariat. Workday tentera de se démarquer des deux Goliath du progiciel de gestion intégré que sont SAP et Oracle en s'appuyant exclusivement sur une offre hébergée. Fini, donc, les briques installées sur les postes des entreprises et place à l'utilisation à la demande et en ligne à la manière de Salesforce. Sur son site, Workday affiche ainsi la couleur : "les applications pour entreprise n'ont pas été conçues pour l'environnement dynamique d'aujourd'hui". Comprendre : Oracle et SAP reposent sur des technologies datées. A la place, le dernier né de Dave Duffield utilise des technologies et concepts en vogue : services Web, XML, SOA. Au final, quatre entités devraient voir le jour. La première d'entre elles, théoriquement disponible dans les prochains jours, concernera les ressources humaines. Elle sera suivie, en 2007, par les briques de gestion financière (comptabilité, dépenses, budget, etc.), gestion des ressources puis des revenus (ventes, factures, comptes clients, etc.) Dave Duffield ne sera pas seul dans cette aventure puisque l'entoure la fine fleur de l'équipe qui dirigeait Peoplesoft avant l'offensive d'Oracle. Ameel Bhusri, le cofondateur de Workday, s'occupait ainsi de la stratégie de l'éditeur entre 1993 et 2004 ; Ken Morris, CTO de Workday, avait cofondé Peoplesoft avec Dave Duffield ; Mike Duffield, vice-président ventes, était déjà en charge des ventes chez Peoplosoft ; et Stan Swete, vice-président produits et technologie, dirigeait le développement des applications financières et GRC. (...)
(06/11/2006 09:51:05)La ToIP jugule l'hémorragie du fixe
L'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes) publie son observatoire du marché des services de communications électroniques en France au 2ème trimestre 2006. Les trois principaux segments de marché, à savoir la téléphonie fixe, mobile et internet, affichent dans leur ensemble une progression de 2,3% par rapport au deuxième trimestre 2005, pour atteindre 7,9 milliards d'euros. La baisse du fixe jugulée par la ToIP Alors que le fixe enregistrait en moyenne une baisse de 4% par an, l'hémorragie semble aujourd'hui jugulée... grâce à la ToIP. En effet, le trafic RTC continue de dégringoler de 10,2% mais le trafic IP compense cette lourde chute. La voix sur IP représente maintenant 17% des volumes de téléphonie fixe. Alors que le nombre d'abonnements RTC chutait de 1 million en un an, le nombre d'abonnements ToIP progressait lui de 3 millions. Il atteint désormais 13% des abonnements fixes. L'Internet haut-débit en forme Belle santé aussi du dégroupage qui totalise 3,4 millions de lignes, dont 1,2 million en dégroupage total. La croissance du dégroupage pèse sur la présélection, moins intéressante. Elle baisse de 2,1% en un an. L'ADSL a engrangé plus de 3 millions d'abonnements en un an, portant le parc à 10,5 millions. Le nombre total d'abonnements à l'internet haut débit dépasse aujourd'hui les 11,1 millions de connexions. Le bas débit décline, rien d'étonnant ! Au total, les revenus de l'internet se montent à 917 millions d'euros au 2ème trimestre. Croissance soutenue du trafic mobile Question mobile, nous sommes 49 millions à posséder un terminal (+8,1% en un an). Et nous consommons toujours plus (+15,5% en volume). L'Arcep souligne que ces fortes croissances sont à mettre en partie au crédit des MVNO (opérateurs de réseaux virtuels) d'une part et des forfaits illimités lancés par les opérateurs, d'autre part. Par contre, la croissance des revenus mobiles ralentit (+4,7% contre +6,1% en 2005). La facture mensuelle par client baisse (-3,2% à 28,3 euros). Les nouveaux clients ne sont donc pas de gros consommateurs. Les opérateurs s'arrachent les cheveux pour faire augmenter l'ARPU (revenu moyen par usager). Morosité des renseignements téléphoniques Pour finir, l'Arcep relève une baisse sensible du volume d'activité des services de renseignements. La lutte active et désordonnée que se livrent les successeurs du 12 aura eu un impact négatif. Les revenus trimestriels sont en baisse de 21% (37 millions d'euros) et le nombre d'appels chute de 22% à 41 millions d'appels. Les acteurs sont nombreux, le gâteau se réduit. Free a été forcé de jeter l'éponge, il y aura d'autres morts ! (...)
(06/11/2006 09:48:13)Oracle se renforce sur le secteur public avec SPL
Oracle semble insatiable et poursuit les acquisitions à un rythme impressionnant. Après Stellent ce jeudi 2 novembre, c'est au tour de SPL WorldGroup de passer dans le giron du groupe de Larry Ellison. SPL WorldGroup édite des logiciels de gestion opérationnelle et financière pour industries de l'eau et de l'énergie notamment, ainsi que des outils de gestion fiscale pour les administrations. Dans un communiqué, Oracle indique que cette acquisition va lui permettre de proposer « la première solution de bout en bout pour la gestion opérationnelle et financière des entreprises de services d'utilité publique [NDLR: fourniture d'eau, de gaz, d'électricité, etc.], privées et publiques. » Selon l'éditeur, les solutions conventionnelles de ce type, « personnalisées, se sont révélées inefficaces, peu flexibles et coûteuses. » Les conditions du rachat n'ont pas été communiquées. (...)
(03/11/2006 17:51:18)Novell et Microsoft concluent un vaste accord d'interopérabilité
Novell et Microsoft ont signé hier un large accord de coopération portant sur l'interopérabilité entre la distribution Suse Linux et les technologies Windows et Office. L'annonce est un tournant pour les deux sociétés qui ont passé une large partie des quinze dernières années à s'affronter sur le marché (avec le résultat que l'on sait pour Novell) puis dans les tribunaux. Il est particulièrement symbolique pour Novell, dont Microsoft a été la Némésis, et qui n'a eu de cesse, quelque soit son CEO, de faire du géant de Redmond son principal concurrent. Un accord technologique Avec l'accord signé hier, cette page est désormais (ou du moins provisoirement) tournée. Microsoft et Novell vont désormais collaborer sur trois domaines techniques clés: virtualisation, services Web et Open Document, afin d'assurer l'interopérabilité de leurs solutions. L'objectif affiché par les deux sociétés est de permettre une cohabitation harmonieuse entre les environnements Linux et Windows au sein des datacenters. Par exemple, Microsoft supportera pleinement Windows sur l'implémentation Xen de Suse, alors qu'il se refuse à le faire pour VMware et les autres distributions Linux... De même, "toutes les technologies de type Samba ou Mono sont couvertes par l'accord" explique Bernard Ourghanlian, le CTO de Microsoft France. Avec toutefois une exception notable : WINE dont la technologie est considérée comme une tentative de clonage par Microsoft et qui de ce fait est exclue du champ de l'accord. Une protection juridique contre la violation des brevets Microsoft Un autre aspect essentiel de l'accord porte sur la propriété intellectuelle. Selon les termes de l'accord Novell a acquis une licence des brevets essentiels de Microsoft et l'éditeur de Redmond s'engage à ne pas exercer "ses droits" sur toute technologie incorporée dans Suse Linux. De la même façon, les développeurs à but non commercial et les utilisateurs individuels sont protégés de toute poursuite par l'accord. Bien évidemment, le parapluie juridique de Microsoft se limite à la distribution de Suse et ne concerne pas les autres distributions. De fait, fort de l'accord avec Novell, Microsoft, et son directeur des affaires juridiques, Brad Smith, continuent d'agiter le chiffon rouge de la propriété intellectuelle en direction des autres partisans de Linux. Le géant continue de suggérer que Linux enfreint certains de ses brevets et contrevient à sa propriété intellectuelle, même si lors de la conférence, Brad Smith s'est bien gardé de répondre à la question de savoir si Red Hat viole la propriété intellectuelle du géant de Redmond. En fait il y a un pas entre les rodomontades de l'éditeur et d'éventuels actes contre des éditeurs ou utilisateurs de distributions Linux. Le jeu des brevets et de la propriété intellectuelle est tel dans le monde du logiciel que sa mise en pratique relève largement de la destruction mutuelle assurée. Et on voit mal comment Microsoft pourrait s'en prendre à IBM, Red Hat ou Oracle, et au travers d'eux à quelques millions de sociétés qui sont aussi ses clientes sans courir le risque d'être accusé d'abuser de sa position dominante dans plusieurs pays. Un risque de fragmentation de la communauté Linux ? Bruce Perens, un avocat bien connu des solutions libres, estime en revanche que l'accord comporte une menace plus voilée de fragmentation de la communauté du libre. Pour lui le risque est le suivant :"[Ce que dit Microsoft est que] vous devez achetez la distribution Linux de Novell comprenant la licence des technologies Microsoft, ou il y aura une menace implicite que Microsoft vienne frapper à votre porte pour faire valoir ses droits". Pour Perens, l'accord signé avec Novell mérite d'être analysé en détail car il pourrait "être en violation de la licence GPL". En fait, Novell qui jusqu'alors faisait front commun avec les autres acteurs du Libre sur le sujet des brevets, a préféré mettre ses propres intérêts et ceux de ses clients en avant, plutôt que de poursuivre sur la ligne communautaire. Une position dont il faudra voir à l'usage quel impact elle aura sur l'attitude des développeurs libres vis à vis de la firme, surtout si Novell conserve en interne certaines des technologies marquées du fer Microsoft. Chez Red Hat, où l'on se remet déjà difficilement de l'annonce par Oracle de sa propre offre de support, la "trahison" de Novell clôture une semaine difficile. Reste désormais à savoir si l'appui de Microsoft suffira à Novell pour regagner des parts de marché face à Red Hat. Notons enfin pour terminer que l'accord signé entre Microsoft et Novell n'affecte pas les poursuites antitrust engagées par Novell contre le géant de Redmond au sujet de WordPerfect. On peut être amis et conserver quelques désaccords. (...)
(03/11/2006 17:59:16)L'ex-dirigeant de CA condamné à douze ans d'emprisonnement
Les portes du pénitencier, bientôt vont se refermer, doit chantonner Sanjay Kumar, l'ancien PDG de Computer Associates. Il lui reste en effet un peu plus de trois mois de liberté. Le 27 février 2007, il devrait rejoindre la geôle dans laquelle il passera les douze prochaines années. C'est la peine qu'un tribunal de Brooklyn vient de lui infliger en répression des fraudes financières et de l'obstruction à la justice dont il s'est rendu coupable alors qu'il portait encore la casquette de dirigeant de CA. Sanjay Kumar avait contribué à gonfler les revenus du groupe de 2,2 Md$ entre 1999 et 2000. En complément de sa peine d'emprisonnement, il devra également payer 8 M$ d'amende. Il pourra se consoler en se répétant que la longue décennie qu'il passera enfermé n'est que la moitié de la peine infligée à Jeffrey Skilling, l'ex-dirigeant d'Enron. Stephen Richards, l'ancien directeur des ventes, également poursuivi, attend le prononcé de sa condamnation le 14 novembre. Les deux hommes avaient plaidé coupable en avril 2006. Ces décisions donnent l'occasion à CA de tourner symboliquement la page : "nous sommes une organisation radicalement différente de ce que nous étions il y a plus de deux ans, quand M.Kumar a quitté la société", a ainsi assuré la porte-parole de CA. (...)
(03/11/2006 08:12:53)Microsoft recommande Suse aux amateurs de Linux
Microsoft et Novell ont tenu hier une conférence de presse pour annoncer un accord d'interopérabilité sans précédent, aux termes duquel l'éditeur de Windows recommandera Suse aux entreprises "désirant utiliser simultanément des solutions Windows et Linux". Les deux entreprises s'entendent également sur l'administration de leur environnement respectif, et ont conclu un accord sur l'utilisation des technologies brevetées. Pour simplifier, les clients de Suse seront protégés de tout risque lié à une possible violation de brevets Microsoft. Bien sûr, Steve Ballmer, CEO de Microsoft, a tenu à rappeler qu'il ne s'agissait pas de sa part d'encourager à acquérir plus de Linux, mais bien de respecter la volonté de choix des clients. "Si vous voulez quelque chose, a-t-il dit, je continuerai de vous dire Windows, Windows, Windows." Davantage de détails dans la journée. (...)
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