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(15/11/2006 11:38:14)

Le DVD de 300 Go fait ses débuts

Hitachi va présenter cette semaine au International Broadcast Equipment Exhibition de Tokyo un disque optique holographique (HVD) d'une capacité de 300 Go. Et, dans un mois, un panel de consommateurs pourra à son tour se forger une opinion avant une commercialisation vers les professionnels début 2007. C'est la société InPhase Technologies, issue en 2000 des laboratoires Bell, qui produit le Tapestry HDS-300R. Aucun prix n'a été officiellement communiqué mais le produit devrait se monnayer aux alentours des 100 à 125 $ (entre 80 et 100 €), un prix proche des Maxell Tapestry actuels. Ces galettes de 300 Go constituent la première génération à vocation commerciale mais InPhase espère une montée en puissance dans les deux ans pour faire du HVD (Holographic Versatile Disc) un format standard. Lisa Dhar, vice présidente du département développement média, a expliqué que le produit serait d'abord destiné à l'industrie du divertissement pour sa rapidité et ses hautes capacités de stockage propices aux films notamment, mais aussi dans le monde professionnel pour les opérations d'archivages par exemple. Le disque de 300 Go atteint en effet les 20 Mo/s en transfert. En 2008, InPhase prévoit des disques réinscriptibles de 800 Go avec des taux de transferts de 80 Mo/s, une capacité qui pourrait doubler en 2010 avec 1,6 To ! Les Blu-Ray et HD-DVD n'ont qu'à bien se tenir. (...)

(14/11/2006 17:17:55)

NetApp rachète l'éditeur d'outils de réplication Topio

Network Appliance vient de faire l'acquisition de Topio, un éditeur spécialisé dans les outils de réplication de données. Cette opération s'inscrit dans la stratégie actuelle de développement de Network Appliance. En effet, comme le précise le constructeur dans un communiqué, ce rachat lui permet d'élargir son offre de protection des données à destination des entreprises et, ainsi, de se renforcer face à EMC, HP et HDS. NetApp espère notamment que ce rachat aidera les entreprises à prendre la décision de migrer de systèmes de stockage onéreux comme les Symmetrix DMX d'EMC vers ses systèmes plus économiques. C'est d'ailleurs le support d'iSCSI et du stockage externe en plus du plus onéreux Fibre Channel qui a orienté NetApp vers Topio plutôt que vers Kashya, racheté en mai dernier par EMC. Pour autant, Topio n'est pas un nouveau venu dans la galaxie NetApp; l'éditeur faisait déjà partie des partenaires stratégiques du constructeur. Le rachat, effectué entièrement en numéraire pour un montant de 160 M$, devrait être finalisé en décembre. (...)

(14/11/2006 15:55:44)

SAP ouvre sa division PME

SAP a créé une division dédiée aux petites et moyennes entreprises : Global small and midsize enterprise. Cette initiative reflète la volonté du groupe allemand - qui s'adressait encore, il y a quelques années, uniquement aux grands comptes - de porter davantage son attention sur les structures de moindre taille. Celles-ci représentent déjà 65% de l'ensemble de ses clients et l'éditeur prévoit que ce ratio devrait encore augmenter. A titre de comparaison, SAP revendiquait un tiers de son activité liée aux PME en juin 2005. Il faut toutefois savoir que pour SAP, une PME est une entreprise dont le chiffre d'affaires ne dépasse pas 1 Md€. Pour cela, la division nouvellement créée assumera seule la gestion des ventes, du marketing et de l'ensemble des opérations, et disposera en outre de ressources propres. Elle sera présidée par Hans-Peter Klaey, jusqu'alors président de SAP Asie-Pacifique, qui dépendra directement de Léo Apotheker, membre du bureau exécutif. En mai 2006, SAP avait annoncé l'ouverture de centres de collaboration dédiés aux PME et reposant sur la régionalisation. Le groupe avait également signé un accord avec IBM afin de distribuer aux petites et moyennes entreprises une version allégée de mySAP Business Suite. (...)

(14/11/2006 12:45:19)

Trimestriels Steria : les revenus progressent de 11%

Résultats troisième trimestre Chiffre d'affaires : 298,4 M€ Evolution : +10,9% Steria continue de confirmer la bonne santé des SSII françaises. Après avoir séduit les observateurs sur l'ensemble du premier semestre, le groupe publie un chiffre d'affaires supérieur au consensus sur la troisième période de l'année. Les revenus atteignent ainsi 298,4 M€ et progressent de 10,9%, en croissance organique, sur un an. Surtout, les trois principales régions dans lesquelles Steria est présente se montrent dynamiques. Il en va ainsi de la France qui, avec 123,1 M€ de chiffre d'affaires, progresse de 9,9 % en organique. La progression des activités dans l'Hexagone profite tant de l'infogérance (+13,4 %) que du conseil et de l'intégration de systèmes (+7,4%). La croissance est encore plus important au Royaume-Uni. A la faveur d'importants contrats signés à la fin 2005, les revenus du groupe y progressent de 28,7% pour atteindre 78 M€. Enfin, alors que Steria enregistrait des revenus stables en Allemagne au cours du trimestre précédent, le chiffre d'affaires bondit de 11,9%, à 50,2 M€ grâce aux investissements consentis lors du premier semestre. Pour l'ensemble de l'exercice, Steria réaffirme son objectif d'une marge opérationnelle supérieure à 7%. La SSII vise également une croissance plus rapide que celle du marché des services informatiques. (...)

(14/11/2006 09:54:03)

Désaccord Arcep-France Télécom sur la fibre optique

Le gouvernement s'est donné comme objectif d'amener le haut débit à 4 millions de foyers en France. La question de la régulation de la fibre optique commence à agiter les esprits. Selon notre confrère Les Echos, deux visions s'affrontent. Celle de France Télécom qui estime qu'il n'est pas nécessaire de réguler de suite le marché mais qu'il faudra apporter une réponse claire d'ici à 2008, et celle de l'Arcep qui souhaite de suite mettre en place des outils de régulation afin d'éviter que ne se bâtisse rapidement un monopole de fait. Le quotidien relate le point de vue de Jacques Champeaux, qui pense qu' « avant de réguler, il faut laisser le marché agir et voir ce qui se passe ». Le directeur exécutif de France Télécom estime ainsi qu'il faut laisser une marge de manoeuvre aux câblo-opérateurs. Gabrielle Gauthey, membre de l'Arcep, souhaite quant à elle éviter « d'avoir un seul réseau de fibres sur 80% du territoire ». Elle enchaîne : « Là, l'opérateur devra donner accès à ce réseau, mais dans des conditions raisonnables afin de ne pas décourager l'investissement. Nous disposons d'outils de régulation gradués. Il n'a jamais été question d'imposer une location à prix coûtant comme pour le dégroupage ». L'Arcep propose donc une série de mesures afin de mutualiser le génie civil, mesures applicables avant 2007. Selon les textes, la location devra se faire pourtant à prix coûtant. France Télécom semble « raisonnablement coopératif ». Des tests sont en cours sur certaines zones d'activités, afin d'évaluer la faisabilité et la bonne volonté de l'opérateur historique. (...)

(13/11/2006 17:04:06)

Microsoft entend séduire davantage les pays émergents

Microsoft doit intensifier sa présence dans les marchés émergents et y déployer davantage d'efforts afin de réduire le piratage. C'est ce que Steve Ballmer, le PDG du groupe, a indiqué au Financial Times. Selon l'homme fort de Microsoft, si les pays en voie de développement constituent la partie de l'activité rencontrant la plus forte croissance, ils représentent encore une part trop faible du chiffre d'affaires et concentrent un taux important de piratage. Nos confrères britanniques estiment la contribution des pays les plus pauvres à 20% de l'ensemble des revenus du groupe. Pour améliorer cette performance et réduire le recours au piratage qui y est fait, Microsoft a lancé une version allégée de Windows, XP Starter Edition, ainsi qu'un PC payable à l'usage, Flexgo. Mais ces initiatives restent insuffisantes selon Steve Ballmer. De même, il doute de l'efficacité du programme du Massachusetts Institute of Technology visant à commercialiser un PC à 100$. Le problème ne résiderait en effet pas tant dans le prix de la machine, mais dans celui de l'accès au Web : "même en Inde, il faut payer plus de 100$ par an pour se connecter à Internet", explique le PDG de Microsoft. (...)

(13/11/2006 17:01:53)

Les élections US illustrent le problème des machines à voter

Les élections américaines, qui se sont tenues le 7 novembre dernier, sont loin d'avoir levé toutes les incertitudes planant sur le vote électronique. Pour la première fois, l'usage des machines à voter électroniques s'est effectué à grande échelle et le moins que l'on puisse dire est que cela ne s'est pas fait sans souci. Pannes au démarrage et problèmes de "vote flipping" [le candidat sélectionné n'est pas celui que valide la machine] ont causé des problèmes dans de nombreux districts. Les questions sur l'audit des résultats restent de plus largement sans réponse. Selon les experts, environ 39% des votes se sont effectués sur des machines électroniques, pour la plupart des systèmes à écrans tactiles. Un certain nombre de problèmes sont apparus dès les premières heures du vote dans le Colorado, au Texas, en Floride, dans l'Utah et en Pennsylvanie. Les comtés de Broward et Miami-Dade, qui avaient connu leur heure de honte lors de l'élection qui a porté George Bush au pouvoir, ont rapporté un curieux fonctionnement de leurs machines, connu sous le nom de vote-flipping. Dans certains cas, les électeurs ont eu à sélectionner jusqu'à 4 fois le candidat démocrate avant que la machine n'accepte leur vote au lieu d'afficher le candidat républicain. Officiellement, un problème de calibration d'écran lié à une mauvaise manipulation des opérateurs des bureaux de vote. Dans plusieurs comtés de l'Ohio et de l'Indiana, les machines ont tout simplement refusé de démarrer, obligeant dans certains cas des juges à retarder l'heure de clôture des bureaux pour permettre aux électeurs de voter. Dans un des comtés de l'Indiana, les cartes d'activation des machines avaient été mal programmées. A Denver, dans le Colorado, les électeurs ont dû patienter parfois plus de deux heures du fait de problèmes de performance avec la base de données des électeurs. Le gros point noir : l'absence de trace papier Malgré ces problèmes, aucun effondrement généralisé n'a été noté et aucune preuve d'un piratage d'une machine n'a été mise en avant. Mais pour Bruce Schneier, un expert en sécurité, CTO de Counterpane Internet Security, là n'est pas la question. Pour lui, le problème principal des machines à voter est qu'elles rendent impossible tout recomptage en cas de doute du fait de l'absence de trace papier. La solution pour Schneier : maintenir le vote papier mais recourir à des machines à lecture optique pour accélérer le comptage des votes. En cas de doute, il reste ainsi possible de procéder à un décompte manuel. Cela ne sera pas possible en Virginie, l'état pivot de l'élection sénatoriale, ou le candidat démocrate a devancé son prédécesseur républicain de 7000 voix, assurant le contrôle du Sénat aux Démocrates. Dans cet Etat, deux tiers des votes ont été enregistrés par des machines électroniques sans aucune trace papier. De ce fait, tout recomptage sera impossible alors que la loi prévoit la possibilité d'un recomptage si l'écart entre les deux candidats est inférieur à 1% du nombre de votants (ce qui est le cas). A moins d'être convaincu de l'infaillibilité et de l'inviolabilité des machines, le doute pourra donc subsister. (...)

(13/11/2006 16:29:00)

Oberthur annonce une « surchauffe des rémunérations dans le secteur informatique »

S'appuyant sur les réponses de 130 sociétés et passant au crible 44 000 salaires (chiffre représentant près de 10% des informaticiens qui travaillent), Oberthur Consultants donne, deux fois par an, un panorama très complet des rémunérations dans l'informatique (sous-panels SSII, banque/assurances, entreprises utilisatrices). Le crû de septembre 2006 vient de tomber. Premier enseignement : si les augmentations de salaires de l'ordre de 4,1% sont à peu près équivalentes à celles de 2005 (4,3%), l'écart avec le taux d'inflation s'est en revanche nettement creusé puisqu'il est de presque 3 points (indice Insee de septembre 2006 : 1,2%). Autre constat : un rattrapage des salaires. Certes, les augmentations sont moindres cette année dans la banque et l'assurance (3,6%) par rapport aux entreprises utilisatrices (3,8%) et surtout aux SSII, éditeurs et constructeurs (4,3%). Mais ce secteur était jusqu'alors en retard sur les autres et l'étude souligne qu'il montre les plus fortes disparités, avec des taux d'augmentation qui varient de -0,3% à +5,3%. Taux de démission en forte hausse : 11% en région parisienne pour les SSII Dernier point qui corrobore ces augmentations de salaire : le nombre de démissions a doublé en deux ans. Les salariés courtisés lorsqu'ils maîtrisent des technologies recherchées font désormais jouer la concurrence et n'hésitent plus à partir. L'appel d'air profite également aux jeunes diplômés. Ce taux de démission est de 7,6% sur l'ensemble de la France (plus 2 points par rapport à 2005) et de 8,4% en région parisienne. La situation est plus tendue encore pour les SSII : le taux dépasse 10% sur le plan national et 11% à Paris et en région parisienne. Les salaires des informaticiens sont donc bons, même si la précédente crise reste ancrée dans les mémoires et que l'on se refuse à tout emballement. Pascal Poiget, DG d'Oberthur Consultants, souligne que « les entreprises et les salariés se souviennent des années 2000 ». Il conclut : « le marché de l'emploi semble aujourd'hui plus mature que dans la période qui a précédé l'explosion de la bulle Internet. Sans anticiper la période qui arrive et qui devrait continuer sur la lancée à laquelle nous assistons, personne n'est à l'abri d'un retournement de tendance, et c'est pourquoi l'ensemble des acteurs joue, pour l'instant, la prudence. » Tous les chiffres de l'enquête Oberthur et l'analyse d'Hélène Truffaut dans le numéro 1136 du Monde Informatique, à paraître le 24 novembre. (...)

(13/11/2006 15:30:23)

HP : l'ex responsable de l'éthique plaide non coupable

Kevin Hunsacker, responsable de l'éthique chez HP pendant la crise d'espionnite qui a secoué le groupe, vient de plaider non coupable devant la cour californienne chargée de le juger. Il est, avec Patricia Dunn - l'ex-présidente du conseil d'administration - et trois détectives privés, l'une des cinq personnes poursuivies pour le rôle qu'elles ont joué dans le psychodrame ayant touché le groupe. Kevin Hunsacker, qui avait refusé de démissionner avant d'être licencié, avait notamment reçu un email émanant d'un whistleblower*, dans lequel ce dernier lui faisait part de ses doutes sur la légalité des manoeuvres en cours. Il comparaît pour usage d'un prétexte frauduleux ou mensonger en vue de l'obtention d'informations confidentielles, utilisation fallacieuse de données informatiques et vol d'identité. Les cinq protagonistes devraient reparaître devant la cour le 17 novembre. Ils encourent jusqu'à trois ans d'emprisonnement. *Un whistleblower est un rôle, inconnu en France, que l'on pourrait traduire par "membre d'une ligue éthique" (littéralement "sonneur d'alarme"). Son rôle : pointer du doigt les comportements illégaux de l'entreprise à laquelle il appartient. (...)

(10/11/2006 17:06:51)

Le conseil d'administration de Prosodie secoué par l'offre d'Apax

Marc Fiorentino souffle le chaud et le froid sur Prosodie, démissionnant de ses fonctions d'administrateur le 27 octobre avant d'être réintégré ce 10 novembre. La démission de Marc Fiorentino visait à protester contre la décision prise par Alain Bernard, le PDG de Prosodie, de céder l'ensemble de ses titres au fonds d'investissement Apax au prix de 20 € par action. Or, le conseil d'administration n'avait pas été consulté sur cette opération et, de fait, "les administrateurs [n'avaient pas] été mis en position d'en analyser les termes et conditions au préalable", a expliqué Marc Fiorentino. Lequel reprochait également à cette opération de ne pas respecter les intérêts des actionnaires minoritaires. Le cours du titre lui semblait par trop sous-valorisé. D'autant qu'une offre de 27 € aurait été faite au groupe, certaines sources évoquant British Telecom comme en étant à l'origine. Mais, ce 10 novembre, Marc Fiorentino indique que la tempête est passée et, qu'à la demande du conseil d'administration, il est rétabli dans ses fonctions d'administrateur. Il assure ainsi avoir reçu du PDG l'assurance que le droit des minoritaires serait respecté dans le cadre de la cession de sa participation. Une explication certes laconique. Marc Fiorentino n'a pu être joint pour davantage de précisions. (...)

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