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(10/10/2011 16:18:39)

Scott McNealy : « J'aurais dirigé HP si on me l'avait demandé »

L'ancien PDG de Sun Microsystems a confié qu'il aurait accepté la direction de Hewlett-Packard si on lui avait demandé de la prendre. A 56 ans, il figurait parmi les candidats ayant été pressenti pour le poste qui est finalement revenu à Meg Whitman, ancienne dirigeante d'eBay. « On m'a demandé de venir pour un entretien et je leur ai dit que je ferais le travail s'ils ne pouvaient pas trouver de candidat approprié », a confié mercredi dernier Scott McNealy aux journalistes venus à son domicile découvrir l'activité de la start-up qu'il vient de créer, WayIn.

« Leurs bureaux sont à trois miles de chez moi. Je connais le travail, j'ai une armée de collaborateurs de Sun qui seraient venus m'aider », a-t-il ajouté. Toutefois, diriger HP ne l'emballait pas particulièrement. « J'ai abandonné un très bon travail il y a six ans, a-t-il rappelé, faisant référence à son départ du poste de PDG de Sun Microsystems en 2006. Mais j'aurais accepté le poste, en partie par loyauté vis-à-vis de la Valley ».

Le conseil d'administration de HP a essuyé des critiques pour les décisions relatives à ses choix de PDG ces dernières années. L'an dernier, il a mis dehors Mark Hurd à la suite d'une plainte pour harcèlement sexuel, puis recruté Leo Apotheker, ancien PDG de SAP, qui présentait un bilan mitigé. Le choix de Meg Whitman, qui n'a jamais dirigé de grands constructeurs, a aussi fait lever quelques sourcils. Scott McNealy l'a publiquement soutenue, malgré tout, indiquant qu'elle apporterait au poste une stabilité bien nécessaire.

Plus facile il y a un an

Scott McNealy a co-fondé Sun Microsystems en 1984, avec Andy Bechtolscheim, Vinod Khosla et Bill Joy. Il a dirigé la société pendant 22 ans, ce qui en fait l'un des plus anciens PDG de l'histoire de la Silicon Valley. Jonathan Schwartz l'a ensuite remplacé à ce poste alors que lui-même devenait président du conseil d'administration de la société qui fut ensuite rachetée par Oracle. « Je suis resté environ deux jours » après l'acquisition d'Oracle, a-t-il indiqué mercredi dernier. Scott McNealy a fait de Sun une entreprise de plusieurs milliards de dollars, profitant de la vente des serveurs Unix durant le boom des « dot.com ». Malgré tout, sous sa direction, Sun a réagi lentement aux changements du marché IT et la bonne fortune de Sun a décliné à mesure que les serveurs à base de processeurs Intel et de systèmes Open Source ont gagné en popularité.

Interrogé sur le défi que pouvait représenter le poste de PDG de HP, Scott McNealy a reconnu que « cela aurait été beaucoup plus facile il y a un an ».

Illustration : Scott McNealy, chairman de la start-up WayIn qu'il vient de créer (crédit photo : James Niccolai, IDG News Service / San Francisco)
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(10/10/2011 11:23:18)

Témoignage : Pernod-Ricard fédère ses Active Directory avec Quest Software

Jean-François Bernard, CTO de Pernod Ricard, rentre rapidement dans le vif du sujet : « Notre organisation est très décentralisée. Il s'agit d'une stratégie volontaire du groupe permettant les prises de décision rapides et adaptées aux problématiques locales ». Il est donc logique qu'en matière de client de messagerie, Pernod Ricard se soit interrogé sur une mutualisation des services, afin de respecter les principes de décentralisation du groupe. Lors des travaux sur la migration de Lotus vers Exchange, une réflexion a été menée sur la façon de fédérer les différents Active Directory qui répertorient les éléments d'un réseau administré tels que les comptes des utilisateurs, les serveurs, les postes de travail, les dossiers partagés, les imprimantes, etc. « Nous avons commencé par l'Europe avec une trentaine d'Active Directory en cherchant un outil de fédération/synchronisation pour avoir un socle commun, tout en gardant une souplesse et une flexibilité pour les filiales », explique Jean-François Bernard.

Pour ce faire, le groupe de vins et spiritueux a choisi les solutions de Quest Software pour créer son Active Directory Groupe. Pernod Ricard a utilisé également un outil de migration de Novell vers Active Directory. Active Role Servers, de Quest, a permis l'automatisation de l'activation et du paramétrage des comptes utilisateurs. Enfin,  un SSO commun pour Sharepoint a été créé. « Il a été nécessaire de monter un Active Directory Groupe, de remapper les attributs des Active Directory locaux, de mettre en place les mécanismes de l'authentification unique pour Sharepoint », relate le CTO.

Rapidité de déploiement et ambition dans les communications unifiées

Sur le plan du timing, le projet a débuté en juin 2010 avec des réflexions sur le design de la solution. La date de réalisation avait été choisie pour le mois d'avril 2011. « En sachant que pendant les trois premiers mois, nous avons observé les différents outils qui nous étaient proposés. Quest a été capable d'aller vite, quasiment en moins de 6 moins pour déployer la solution », indique le CTO de Pernod-Ricard. « Il ne s'agissait pas uniquement de faire de la synchronisation, mais aussi de la migration de structure Exchange », ajoute-t-il. Aujourd'hui, cela représente selon lui 8 à 9 000 boîtes mails qui ont évolué vers ce système sur 15 000. Si le montant de l'opération n'a pas été dévoilé, Jean-François Bernard estime qu'en matière de prestations, Quest a facturé un nombre de jours très inférieur à celui proposé par la plupart des concurrents.

L'objectif est atteint, mais les pensées se tournent vers l'avenir. En effet, Jean-François Bernard voudrait à terme aller vers des applications management. « Il faut donner la possibilité à des non-informaticiens de pouvoir créer eux-mêmes leur boîte aux lettres, leur gestionnaire de compte. Par ailleurs, d'ici avril 2012, le groupe de vins et spiritueux va déployer Lync, la solution de communications unifiées de Microsoft pour l'ensemble des employés du groupe.

Illustration : Jean-François Bernard, CTO de Pernod-Ricard

Crédit Photo: D.R

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(10/10/2011 10:46:19)

Dane-Elec refinance sa dette

Dane-Elec fabricant et distributeur de mémoire, qui contrôle aussi le distributeur Intervalle, a été refinancé par ses banques.  La dette financière brute se monte à  14,6 millions d'euros, elle sera échelonnée jusqu'à octobre 2017. Par ailleurs, la filiale américaine a obtenu le renouvellement et l'extension  de sa ligne de crédit.

La société a par ailleurs remanié ses activités, s'est déployée dans certains pays et a entamé un plan de revitalisation.

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(10/10/2011 17:47:37)

Ciel accompagne les TPE à découvrir Google Adwords

L'éditeur de logiciels de gestion lance une campagne d'animation des ventes originale. Il s'associe en effet à Google pour proposer aux clients acquéreurs de ses ERP un crédit de 100 € sur une campagne Google Ad Words, le programme d'achat de mots clés aux enchères du moteur de recherche. « Les TPE sous-estiment encore l'impact des actions de communication en ligne pour leurs sites web. Un montant de 100 € n'est qu'un coup de pouce, mais cela leur permettra de tester le principe des adwords de Google et d'en estimer l'impact », explique Christophe Poissonnier, Directeur Marketing Communication de Ciel.

Avoir une meilleure visibilité sur le web

L'offre en question est valable jusqu'à la fin 2012 dans tous les canaux de distribution de Ciel, à la fois chez ses partenaires de la grande distribution et les 3000 revendeurs qui commercialisent plus ou moins régulièrement ses produits. « Un certains nombre de nos partenaires conçoivent eux-mêmes des sites web ou travaillent en étroite collaboration avec des agences web. Avec notre offre promotionnelle, nous leur fournissons un argument commercial supplémentaire pour amener les clients à souscrire à leurs prestations », conclut Christophe Poissonnier.

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(10/10/2011 09:59:31)

UrbanDive de Pages Jaunes se ressource dans le cloud d'Amazon

Pages Jaunes est bien sûr connu pour ses annuaires téléphoniques. Or son modèle économique repose sur les publicités passées par les entreprises répertoriées. L'intérêt de l'entreprise est donc de multiplier les occasions de faire voir des publicités par ses utilisateurs. Dans ce cadre, Pages Jaunes a réalisé un site de navigation immersive avec réalité augmentée, UrbanDive. L'internaute se déplace donc dans une ville et peut accéder à des informations publicitaires sur les enseignes présentes sur son parcours (en plus d'autres types d'informations d'intérêt général). Aujourd'hui, 150 villes sont répertoriées et il y aura 200 villes pour 50 To de données à la fin 2011.

Des besoins en ressources à géométrie variable

Or un tel service très innovant ne pouvait pas monopoliser des ressources informatiques importantes et surtout de façon continue alors qu'aucune certitude n'existait quant au trafic sur le service. Pages Jaunes a donc décidé de profiter de la souplesse offerte par le cloud computing.

L'architecture technique a été réalisée par la SSII spécialisée Ysance dans le cadre de son offre Ycloud. L'hébergement en lui-même a été confié à Amazon. Ces choix permettent de garantir une évolutivité des moyens techniques en toute souplesse mais aussi en garantissant la qualité des ressources.

Le coût du projet n'a pas été révélé.

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(10/10/2011 09:45:41)

Aquitaine Informatique acquiert Option Productique et complète son ERP

C'est un mariage entre bordelais. Aquitaine Informatique, éditeur national  spécialiste du BTP rachète Option Productique, autre éditeur spécialiste, lui, de logiciels pour menuiseries et ateliers. Les deux sont basés près de Bordeaux. Racheter Option Productique présente en fait un double avantage. La société est sur un créneau complémentaire à celui d'Aquitaine Informatique, les menuisiers,  et elle a développé ses logiciels en mode web, c'est-à-dire en accès par le web, en nomadisme.

Option Productique commercialise plusieurs logiciels : Prox-e-Clac un configurateur de chiffrage (chiffrage en ligne et dessin pour opérations de menuiseries), gestion des temps atelier (l'opérateur est muni d'une puce RFID pour que son activité soit analysée) et d'un logiciel de gestion des stocks. Ces logiciels seront interfacés avec l'ERP d'Aquitaine Informatique, Onaya, qui assure déjà : l'étude de prix, la facturation, le suivi de chantiers, le planning.

Elargir son portefeuille

Ces logiciels issus d'Option Productique pourront intéresser toute sorte d'ateliers (électriciens, serruriers, bureaux d'études), pas seulement ceux des menuisiers, c'est l'un des paris commerciaux d'Aquitaine Informatique.

Aquitaine Informatique est née en 1977. Aujourd'hui, elle compte 40 salariés et a réalisé 3,3 millions d'euros de CA en 2010. Pour 2012, avec le rachat d'Option Productique, elle compte atteindre les  4 millions d'euros. L'éditeur réalise entre 5 et 10% de croissance annuelle par an. La société  compte trois agences : Nantes, Ile-de-France (Champs-sur-Marne)  et Est (Champagne au Mont d'or près de Lyon).  Elle devrait réaliser d'autres opérations de croissance externe.

 

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(06/10/2011 08:12:35)

Eric Haddad : Les trois ambitions de Google dans le cloud, SaaS, PaaS et DaaS

Le responsable de l'activité entreprise chez Google France, Eric Haddad dresse un premier bilan de son arrivée récente au sein de l'éditeur. Google Apps, App Engine, stratégie Device as as Service, les sujets ne manquent, ni les ambitions.

Pouvez-vous nous faire un point sur les activités de Google Entreprise sur le marché français ?


Nous ne communiquons pas de chiffres sur le marché français, mais sur le plan mondial, nous disposons de 4 millions d'entreprises clientes. Je remarque que nos marchés (le SaaS avec Apps et le PaaS, App Engine) ont timidement démarré il y a 3 à 4 ans avec quelques réalisations importantes, comme la signature d'un contrat avec Valeo (38 000 utilisateurs de Google Apps). Ces pionniers nous ont beaucoup apporté en retour d'expérience. Mais depuis quelques mois, je ressens dans mes dialogues avec les DSI Français, une phase de prise de décision beaucoup plus importante.

Comment expliquez-vous ce changement ?


Il existe plusieurs facteurs. Ainsi, les investissements massifs, rigides sont de plus en plus difficiles à faire passer au sein des entreprises. Nos solutions sont rapides à installer et s'adaptent aux évolutions des sociétés. En deuxième lieu, est-ce que le DSI doit être le patron de la messagerie ? Ce n'est pas sûr, il est peut-être là pour la gouvernance de l'IT. Enfin, la consumérisation des usages fait que l'utilisateur veut retrouver au sein de l'entreprise son environnement de messagerie et collaboratif.

Avec ces paramètres, nous nous attendons à une accélération de la signature des contrats pour les Google Apps. (...)

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