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(21/09/2006 12:24:28)

Jet Multimedia déçoit au premier semestre

Résultats premier semestre Chiffre d'affaires : 129 M€ (+15%) Bénéfice net : 2,1 M€ (-29%) Jet Multimedia, le spécialiste du contenu et des services pour téléphone mobile, sort d'un premier semestre délicat, marqué par une dégringolade du résultat opérationnel et du résultat net. Au chapitre des bonnes nouvelles, le chiffre d'affaires progresse de 15% en organique et atteint 129 M€. Sur les seules activités de Jet Multimedia (c'est à dire en excluant TJM - filiale commune avec TF1, crée fin 2005 - et Mediaplazza), l'activité du groupe progresse de 16%, à 121,4 M€. Le constat est moins réjouissant en ce qui concerne la profitabilité. Le résultat opérationnel chute ainsi de 37% pour atteindre 3,6 M€. Il pâtit d'une perte de 1,2 M€ dans la filiale TJM - un chiffre conforme aux attentes - et d'une forte concurrence sur le secteur d'activité de Mediaplazza. Ce dernier, spécialisé dans la distribution de contenu pour mobile, souffre également "d'un retard dans le déploiement de nouvelles technologies permettant de proposer de nouveaux services", explique le groupe. En conséquence, la filiale perd 1,3 M€ sur la période. Si l'on ajoute à ce constat des charges exceptionnelles sur stock-options de 1,4 M€, le résultat net s'inscrit à 2,1 M€, soit 29% de moins qu'un an auparavant. En dépit de ces médiocres chiffres, le groupe se veut rassurant pour la suite de l'exercice. Il prétend ainsi que Mediaplazza retrouvera l'équilibre dans la seconde moitié de l'année et que "la montée en puissance de TJM devrait lui permettre d'atteindre l'équilibre d'exploitation avant la fin de l'année". (...)

(20/09/2006 18:05:05)

Oracle fête un bon premier trimestre sur un air d'arrogance

Résultats premier trimestre Chiffre d'affaires : 3,6 Md$ (+30%) Bénéfice net : 670 M$ (+29%) Oracle démarre très fort son exercice fiscal 2007 en rendant une copie pour le premier trimestre qui dépasse à la fois ses propres prévisions et les attentes des analystes. Le bénéfice net atteint 670 M$, soit une progression de 29% sur un an et le bénéfice par action s'aligne à 0,13 $. En laissant de côté les impacts des récentes acquisitions - Oracle a dépensé environ 20 Md$ au cours des trois dernières années en croissance externe en se payant notamment Peoplesoft et Siebel - le bénéfice croît de 26%, à 930 M$. Heureux actionnaires, leur titre leur rapporte 0,18 $ hors exceptionnel, soit davantage que les 0,16 $ escomptés par Oracle et les analystes. Enfin, le chiffre d'affaires du groupe bondit de 30%, à 3,6 Md$. Les observateurs tablaient sur un revenu de 3,47 Md$ et Oracle avait annoncé en juin une progression seulement comprise entre 19 et 20%. Le groupe a su profiter d'une spectaculaire croissance des ventes de nouvelles licences (+80% en valeur), celles-ci représentant 22% du CA global. Les mises à jour et le support ont, pour leur part, généré 54% des revenus du groupe, à 1,9 Md$. Enfin, les services complètent le tableau avec 846 M$. Un bon trimestre qui rend arrogant Forts de ces bons résultats, les dirigeants d'Oracle n'ont pu se contenter de se taper dans le dos en se félicitant. Ils ont également jugé bon de fanfaronner et de faire preuve de ce que d'aucuns qualifieraient d'arrogance à l'égard de leur principal concurrent, SAP. La première salve est tirée par Charles Philippe, le co-président du groupe, qui précise qu'Oracle a remporté 88 contrats au cours du trimestre pour lesquels il était placé en situation de concurrence frontale avec l'éditeur allemand. Le PDG, Larry Ellison, prend le relai en affirmant que la partie middleware de Fusion - la suite d'applications construite à partir des produits Oracle, Siebel et Peoplesoft - est "à des années [devant]" NetWeaver de SAP, un produit qui reste "relativement nouveau et incomplet". Poursuivant sur le même ton, Larry Ellison s'en prend ensuite à la stratégie de SAP et plus particulièrement à la décision de l'Allemand de ne sortir une nouvelle version de son PGI mySAP ERP qu'en 2010. "Ils auront deux années entières de retard sur la sortie de Fusion", explique Ellison. La réaction de SAP ne s'est pas faite attendre. Par la voix du vice-président Bill Wohl, l'éditeur rappelle que si la partie middleware de Fusion est disponible, le développement de l'ensemble de la suite applicative - nommée Project Fusion - doit théoriquement toucher à son terme en 2008. Et que ces futurs développements n'existent à l'heure actuelle "que sur PowerPoint". Pire encore, l'éditeur d'Outre-rhin accuse à demi-mot son concurrent de tromper son monde sur l'état d'avancement de Fusion. "En janvier, Oracle prétendait qu'il avait développé la moitié de Fusion et, il y a deux semaines, il affirmait qu'il n'en avait pas encore terminé la moitié. Oracle doit se fixer sur une version de la vérité et être honnête sur son état d'avancement". (...)

(20/09/2006 18:11:15)

Avec Connect, Adobe ouvre le PDF à la conférence en ligne

Coup de frais sur le PDF. Adobe rénove sa gamme Acrobat (en version 8), ligne de produits au centre du sacro-saint format PDF (Portable Document Format). Tout à sa stratégie de digérer progressivement les technologies acquises avec le rachat de Macromedia, l'éditeur donne naissance à Connect, service de conférence en ligne intégrée au PDF, dernier né de la famille Acrobat, et nouvelle étiquette de Breeze (solution de conférence en ligne de l'ex-Macromedia). "Connect donne la possibilité d'aller beaucoup loin dans le partage de fichiers", commente Jimmy Barens, directeur technique d'Adobe. En un seul clic depuis Acrobat, l'utilisateur peut lancer une session et ouvrir une conférence en ligne, invitant les participants (en nombre illimité) au partage de fichiers, à l'annotation de PDF et de présentations et de conduite de réunion en ligne, notamment. "Le système connecte rapidement Acrobat à Breeze et sa technologie Flash", explique Jimmy Barens. Et c'est sur ce dernier point qu'Adobe compte faire la différence. En couplant le PDF à la conférence en ligne, Adobe entre en concurrence directe avec Live Communication Server de Microsoft et son client de messagerie instantanée. "Outre les similitudes fonctionnelles évidentes, Connect devrait séduire par son côté multi-plateformes avec le Flash Player [ndlr, dans sa version 6]. Ce qui implique zéro installation sur le poste client et zéro plug-in", assène Jimmy Barens. Un pari d'autant plus risqué que le service sera intégré à l'interface d'Office, via un simple bouton. La gamme Connect se compose de trois solutions: d'abord Connect commercialisé en mode hébergé (800 euros par an et par utilisateur) ou sous forme de licence (de 15 à 20 000 euros). Acrobat Connect Pro qui "créé une passerelle entre Acrobat et Breeze et fonctionne de pair avec Connect ou du temps Connect". Enfin, une troisième déclinaison, Acrobat Connect (un "Connect light"), pour l'heure uniquement lancé aux Etats-Unis, entre 35 ou 40 $, utilisable notamment à l'événement, et limité dans les fonctionnalités. Acrobat 8 se verticalise Dans sa refonte, Adobe a également privilégié les options verticales. L'éditeur s'est d'abord tourné vers les messageries d'entreprises. Outlook se voit alors outillé d'une fonctionnalité d'archivage automatique d'email et de dossiers en PDF. Puis, c'est au tour de Lotus Notes, solution de travail collaboratif d'IBM, de recevoir ses options de conversions PDF. L'éditeur précise que l'outil d'archivage automatique n'y est pas inclus. Toujours tourné vers les entreprises, la gestion des formulaires électroniques a été étendue à la capture des champs de formulaires statiques ainsi qu'à la simplification de leur distribution via un assistant. Ce dernier se connecte à l'annuaire LDAP, y récupère les droits et privilèges liés à chaque compte pour procéder aux envois. A noter également la possibilité depuis le Reader de sauvegarder offline les données d'un formulaire, ainsi que celle d'y apposer une signature numérique. Enfin, Acrobat 8 autorise désormais l'agrégation de documents (ou parties de documents) verrouillés au sein d'un unique PDF, tout en maintenant les capacités de sécurité de chaque fichier. Outre un lifting en profondeur de l'interface utilisateur, désormais orientée "objectifs" (et moins "fonctionnalités") - un peu à l'image du "ruban" du prochain Office 2007- Acrobat 8 inaugure également un nouveau moteur OCR (reconnaissance optique de caractère), issu d'un partenariat avec IRIS . Disponible dès la mi-novembre, Acrobat 8 Pro est commercialisé 559 euros (HT) et 189 euros (HT) pour la mise à jour. Il faudra compter 349 euros (HT) dans sa version Standard et 115 euros (HT) pour sa mise à jour. (...)

(20/09/2006 12:35:13)

EMC rachète Network Intelligence

EMC va dépenser 175 millions de dollars pour acquérir le fournisseur de solutions de sécurité Network Intelligence. Cette société vend des appliances qui permettent de sonder le réseau et d'en faire une analyse de sécurité et de conformité. Ce rachat souligne l'intérêt grandissant qu'EMC accorde aux aspects sécurité du stockage. L'équipementier espère vendre plus de sécurité via son portefeuille de produits grandissant. Selon les analystes, les entreprises spécialisées dans la sécurité vont avoir de plus en plus de mal à évoluer seules sur le marché, face aux géants comme Microsoft, Cisco et IBM. Le mois dernier, IBM a d'ailleurs annoncé qu'il serait prêt à investir 1,3 milliards de dollars pour acquérir Internet Security System (ISS). (...)

(20/09/2006 12:37:19)

Antitrust : Bruxelles "ne mène pas de vendetta" contre Microsoft

La Commissaire européenne à la concurrence, Neelie Kroes, « ne mène pas une vendetta contre Microsoft ». Une réflexion qui tombe comme une réponse qui vient faire enfler un peu plus l'opposition Redmond/Bruxelles. "Loin de poursuivre une vendetta contre Microsoft, les actions de la Commissions sont guidées par le désir de créer le climat économique le plus propice à l'innovation au bénéfice ultime du consommateur européen" a écrit la Commissaire dans une tribune au Financial Times. Au début du mois de septembre, Microsoft avait mis en cause la Commission européenne, laquelle participait prétendument au retard de Vista par son action antitrust intentée à l'encontre de l'éditeur. Selon ce dernier, l'exécutif communautaire ne donne pas suffisamment d'indication sur la capacité de Vista à satisfaire aux règles antitrust européennes. Microsoft a également présenté les résultats d'une étude montrant que des centaines d'emplois dans l'industrie IT pourraient dans le cas d'un lancement tardif du futur OS. Autant d'arguments qui concourent à brosser un portrait négatif de la Commission selon Neelie Kroes. "Par exemple il est dit que la Commission chercherait à empêcher Microsoft d'améliorer la sécurité de son système d'exploitation, écrit la Commissaire. Catégoriquement, ce n'est pas le cas". (...)

(20/09/2006 12:36:59)

Oracle signe un premier trimestre dépassant toutes les prévisions

Résultats premier trimestre Chiffre d'affaires : 3,6 Md$ (+30%) Bénéfice net : 670 M$ (+29%) Oracle démarre très fort son exercice fiscal 2007 en rendant une copie pour le premier trimestre qui dépasse à la fois ses propres prévisions et les attentes des analystes. Le bénéfice net atteint 670 M$, soit une progression de 29% sur un an et le bénéfice par action s'aligne à 0,13 $. En laissant de côté les impacts des récentes acquisitions - Oracle a dépensé environ 20 Md$ au cours des trois dernières années en croissance externe en se payant notamment Peoplesoft et Siebel - le bénéfice croît de 26%, à 930 M$. Heureux actionnaires, leur titre leur rapporte 0,18 $ hors exceptionnel, soit davantage que les 0.16 $ escomptés par Oracle et les analystes. Enfin, le chiffre d'affaires du groupe bondit de 30%, à 3,6 Md$. Les observateurs tablaient sur un revenu de 3,47 Md$ et Oracle avait annoncé en juin une progression seulement comprise entre 19 et 20%. Le groupe a su profiter d'une spectaculaire croissance des ventes de nouvelles licences (+80% en valeur), celles-ci représentant 22% du CA global. Les mises à jour et le support ont, pour leur part, généré 54% des revenus du groupe, à 1,9 Md$. Enfin, les services complètent le tableau avec 846 M$. Pour le deuxième trimestre, Safra Catz, la directrice financière, table sur une croissance du bénéfice net comprise entre 13 et 17% et sur un chiffre d'affaires en hausse de 22 à 24%. (...)

(19/09/2006 17:42:45)

Monster propose des sociétés à reprendre et à créer

Commerçant franchisé, responsable de magasins, manager gérant, etc.? Reprendre un commerce peut constituer un débouché attractif pour les âmes d'entrepreneurs qui souhaitent se reconvertir et retrouver leur région de c?ur. Pour répondre à ce type d'aspiration, le site de recrutement Monster élargit son offre. Il vient de lancer - en s'appuyant sur fusacq.com , spécialiste des fusions et acquisitions - un portail dédié à la transmission et à la reprise d'entreprises. L'objectif est de faciliter la rencontre entre les candidats inscrits sur Monster ambitionnant de devenir entrepreneur ou franchisé avec les cédants. Pour cela, des offres de franchise y sont proposées et bientôt des offres concernant des entreprises à reprendre. Les premières sont gratuites, les secondes seront payantes. La mise en relation unitaire avec l'annonceur sera facturée entre 20 et 50 euros hors taxe en fonction de la taille (chiffre d'affaires) de la société. Les candidats auront aussi la possibilité de souscrire des forfaits de mises en relation valables un an, à des prix variant entre 75 ( 5 mises en relation) et 300 euros (mises en relation illimitées). Avec cette offre, Monster surfe sur le phénomène du papy-boom qui devrait toucher les entrepreneurs comme les salariés. Dans les quinze prochaines années, 900 000 dirigeants pourraient ainsi céder leurs entreprises, annonce l'américain. Il ajoute que ce service vise aussi à limiter le nombre de sociétés qui disparaissent -15000 chaque année - faute de repreneur, sachant que 20 000 entreprises par an sont cédées ou rachetées par des salariés ou par des personnes à la recherche d'un emploi. (...)

(19/09/2006 17:42:15)

Red Hat sort une pile applicative intégrée pour les développeurs J2EE

Red Hat a dévoilé aujourd'hui sa première pile serveur d'application Open Source basée sur les composants acquis après le rachat de Jboss. La pile Applicative de Red Hat se compose du serveur Red Hat Enterprise Linux, de JBoss Application Server, de JBoss Hibernate et d'une base de données à choisir entre MySQL et PostgreSQL. Destinée aux développeurs Linux et Java faisant tourner moins de 10 serveurs, l'offre de Red Hat sera proposée prochainement en ligne via le Red Hat Network pour un prix approximatif de 1999 $ par serveur (licence illimitée avec support). Avec sa nouvelle offre, Red Hat espère séduire les utilisateurs actuels des serveurs d'applications J2EE de BEA Systems et IBM, les deux leaders du marché des serveurs d'applications Java. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si l'annonce tombe à la veille de l'ouverture de BEAWorld à San Francisco, et si Red Hat nargue IBM en ajoutant que ses prochaines annonces porteront sur des offres à destination de marchés verticaux. (...)

(19/09/2006 17:39:15)

HP lance une offre tout en un NAS et SAN iSCSI pour PME

Hewlett-Packard a dévoilé hier à Barcelone, une nouvelle ligne de serveurs de stockage combinant des fonctions de partage de fichiers (NAS) de stockage en réseau iSCSI (SAN) ainsi que des fonctions de protection de données. Conçue pour les TPE et les PME, la gamme StorageWorks All-in-One (AiO) s'appuie sur la dernière génération du système d'exploitation Windows Storage Server R2 Standard Edition de Microsoft et incorpore le composant cible iSCSI WinTarget racheté ce printemps par le géant de Redmond à String Bean Software. Elle utilise aussi une interface utilisateur à base d'assistants conçue par HP au-dessus de l'interface standard de Windows Storage Server. Selon HP, les nouveaux StorageWorks AiO peuvent être installés en moins de 10 clics de souris, une affirmation que nous avons pu vérifier en testant l'un des modèles annoncé hier par le constructeur. En fait, HP a simplifié les tâches les plus communes (création d'un partage CIFS, création d'un volume réseau iSCSI pour une base Exchange ou SQL Server...), de telle sorte qu'un administrateur Windows n'a pas besoin de compétence avancée pour paramétrer l'appareil. Les assistants développés par la firme de Palo Alto se chargent d'automatiser les tâches les plus techniques (création de volume, allocation de ressources, gestion des droits, protection de données)... Les StorageWorks AiO sont construits sur la même architecture que les serveurs Intel Proliant de la marque et ils disposent de l'ensemble des fonctions d'un serveur de stockage sous Windows Storage Server R2 avec le Feature Pack iSCSI (SAN, NAS, snapshots...). Ils incorporent également le logiciel Data Protector Express d'HP pour la gestion des sauvegardes. HP propose deux modèles, dont un d'entrée de gamme au format rack, l'AIO400 et un modèle plus haut de gamme, disponible en format rack 5U ou Tour (AiO600). L'AIO 400 s'appuie sur un processeur Pentium D 930 (3GHz) et est proposé à partir de 4400 E pour une capacité de 1To (4 disques SATA de 3,5 pouces). L'AiO600 peut accueillir jusqu'à deux puces Intel Xeon bi-c?ur et jusqu'à 6 disques SATA ou SAS selon le niveau de performance souhaité. Avec ces machines HP espère banaliser les SAN iSCSI dans les PME et il a clairement en ligne de mire la gamme Clariion AX d'EMC Insignia (dépourvue de fonctions NAS) ainsi que la gamme Storevault de NetApp (un peu plus chère et pour l'instant indisponible en Europe). Reste à savoir si les développements effectués par HP au-dessus de Windows Storage Server lui permettront de se démarquer des solutions plus économiques de concurrents tels que Fujitsu-Siemens ou d'assembleurs tels que Digital Storage ou Transtec. (...)

(19/09/2006 17:43:45)

Google News taclé par la justice belge

Une pierre dans le jardin de Google. Le pantagruélique moteur a été condamné par le tribunal de première instance de Bruxelles à retirer le contenu des journaux belges francophones de son fil d'informations Google News. La décision fait suite à une plainte déposée par l'Association des journaux francophones belges pour violation du droit d'auteur et relayée par Copiepresse, un organisme représentant les plus prestigieux titres du Plat pays (La Libre Belgique, Le Soir, etc.). A cette condamnation s'ajoute une éventuelle astreinte quotidienne d'un million de dollars en cas de manquement. Selon D.J. Collins, un porte-parole du pharaonique moteur, "Google a une politique claire et respecte les souhaits des propriétaires du contenu [qu'il diffuse]. Si un journal ne veut pas apparaître dans Google News, nous retirons son contenu de notre index. Il suffit de demander. Les procédures judiciaires et les coûts afférents sont inutiles". L'affaire rappelle l'action intentée en mars 2005 par l'Agence France Presse (AFP) contre le même Google. Un conflit qui attend toujours d'être arbitré. (...)

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