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(19/09/2006 17:45:01)

83 technologies clés pour la compétitivité de demain

Le ministre de l'Industrie, François Loos, a présenté hier le rapport "Technologies clés 2010", concentrant les domaines sur lesquels la France doit miser pour assurer son développement et son excellence économique. Parce que "les pays occidentaux, et la France en particulier, ne peuvent rester compétitifs qu'à la condition de mettre en avant leur maîtrise des systèmes complexes", une centaine d'experts a planché sur les technologies porteuses d'avenir et censées répondre aux besoins des acteurs locaux du développement économique et technologique. Au total, ils ont dégagé 83 technologies clés répondant aux huit grands enjeux des prochaines années : sécurité, changement climatique, ressources en eau, chocs énergétiques, ressources minérales et minières, vieillissement démographique, emploi et compétitivité économique. Parmi elles, 17 entrent dans la catégorie des TIC pour laquelle " la France doit intensifier ses efforts pour rester compétitive par rapport à des pays tels que les Etats-Unis" (l'effort de R&D ramené au PIB est de seulement 0,31%), note le rapport. Troisième rapport de ce genre, après ceux de 1995 et 2000, "Technologies clés 2010" n'est pas un programme politique ni un engagement de dépenses de l'Etat. Il constitue plutôt une feuille de route, un éclairage lancé aux décideurs : "il appartient maintenant aux responsables locaux, s'ils le souhaitent, de se saisir de ce rapport pour en faire un outil au service du développement économique local et construire des actions tant de soutien à l'innovation que de diffusion des technologies les plus modernes dans les entreprises pour en accroître la compétitivité et la création d'emploi", indique le ministre. (...)

(18/09/2006 18:01:21)

La France : bon 2e du dégroupage en Europe, selon l'Idate

Si la plupart des pays européens ont commencé la mise en oeuvre du dégroupage en l'an 2000, peu de changement ont été perceptibles avant 2004. Selon un nouveau rapport de l'Idate consacré à ce sujet, c'est à partir de la mi-2004 que le nombre de lignes dégroupées a fortement augmenté. Sur l'ensemble des pays de l'Europe de l'ouest, ce nombre serait en effet passé de 800 000 lignes dégroupées à plus de 2 millions en l'espace de deux semestres. En 2005, le nombre de lignes a doublé pour atteindre 9 millions. En 2010, l'Idate prévoit un parc de 23 millions de lignes dégroupées, soit 27 % des lignes DSL. Les disparités sont marquées entre les pays de l'Union européenne. La France arrive en deuxième position derrière la Suède, mais devant la Norvège et les Pays-Bas, avec 30 % des lignes DSL en situation de dégroupage en 2005. Mais l'Idate ne prévoit pas de progression très marquée de cette proportion à l'horizon 2010 : d'ici 4 ans, 35 % des lignes DSL de l'hexagone devraient être dégroupées, plaçant la France à la première place de l'Union. Globalement, en 2010, la plupart des pays européens devraient avoir atteint les 25 % de lignes dégroupées. L'Idate relève enfin que le dégroupage constitue « une option de plus en plus utilisée par les opérateurs alternatifs pour fournir des services Internet et qui nourrit l'émergence de la VoIP ». (...)

(18/09/2006 18:04:00)

Atos assure la tierce maintenance applicative des services en ligne du musée du Louvre

Atos Worldline, filiale d'Atos Origin, a été retenu par le musée du Louvre pour assurer la tierce maintenance applicative (TMA) de son infrastructure de services en ligne pendant trois ans. Ce contrat constitue, pour la SSII, le prolongement naturel la prestation d'hébergement qu'il effectue pour le musée depuis près de quatre ans. Signée en mars dernier, le contrat de prestation de TMA commence à porter ses fruits. Julien Brossard, responsable commercial du département secteur public chez Atos Worldline indique que la prestation a mis un mois à véritablement démarrer : « le premier mois a été consacré à l'initialisation de la prestation, avec la reprise de tout le patrimoine applicatif développé précédemment, la formation des équipes aux outils et aux solutions et enfin la prise d'indépendance par rapport aux équipes de l'intégrateur précédent. Depuis, nous avons assuré des évolutions techniques ou fonctionnelles mineures de l'ensemble du système. » Plusieurs évolutions majeures sont en préparation. L'infrastructure de services en ligne du Louvre s'appuie sur le système de CRM de Blue Martini Software, fourni gracieusement par l'éditeur, épaulé par des développements spécifiques, notamment pour les couches applicative et de présentation. Les services en ligne du Louvre supportent de 30 000 à 40 000 connexions par jour, réparties de manière très linéaire sur la journée en raison d'accès venus des Etats-Unis et du Japon. Ces services sont supportés par une vingtaine de serveurs. Le montant du contrat de TMA remporté par Atos Wordline n'a pas été communiqué. (...)

(18/09/2006 18:04:22)

Les pays émergents, des pépites pour Acer

Métamorphose du marché des ordinateurs, les pays émergents ne sont plus la dernière roue du carrosse. Les analystes le répètent à l'envi, les marchés mûrs arrivent à saturation. Le manque de nouvelle technologie, l'attente de Windows Vista sont autant de raisons de cet essoufflement. Alors pour certains comme Emmanuel Accolla, responsable de la zone EMEA chez Acer, « les marchés émergents sont parmi les plus prometteurs ». Ce week end, le constructeur taiwanais tenait sa conférence mondiale de presse annuelle à Monaco. L'occasion pour lui de rappeler qu'Acer est numéro 4 sur le marché des PC après Lenovo, HP et Dell et numéro 3 sur celui des portables après Dell et HP selon des chiffres Gartner. Acer donc a le vent en poupe dans la zone EMEA (Europe, Moyent-Orient, Afrique) qui représente 55% de ses revenus au premier trimestre 2006. Parmi les pépites, Emanuele Accolla a noté : le marché turc en pleine explosion, l'Egypte pour les portables et l'Afrique du Sud pour les écrans LCD et les portables. Et ce sont certainement ces marchés qui ont permis à Acer un taux de croissance supérieur à beaucoup de ses concurrents. Alors que le marché mondial s'est contenté d'une croissance de 9,8% au deuxième trimestre 2006 selon IDC, le Taiwanais a annoncé une progression de 35,7% sur la même période. L'Europe préfère les portables Acer se porte bien même s'il reconnaît que ses résultas trimestriels sont légèrement inférieurs aux attentes. En Europe, bien que les ventes baissent progressivement, la marque reste leader sur les ventes de portable. Le PC de bureau est d'ailleurs largement délaissé en Europe de l'Ouest où l'ordinateur nomade obtient la préférence. Reste que pour l'avenir Acer, comme les autres, devront trouver des moyens de redynamiser les pays occidentaux. « Je ne pense pas que nous intégrerons le marché des téléphones portables », a annoncé ce week end Gianfranco Lanci, le président d'Acer. Le Taiwanais restera donc dans son coeur de métier, les utra-portables et les lignes Ferrari en lice pour séduire. (...)

(18/09/2006 18:02:16)

L'Afnic soulève les dangers du slamming

Slamming. Voilà un terme auquel il va falloir s'habituer. Mis en lumière par l'Afnic (Association française pour le nommage Internet en coopération), il regroupe l'ensemble des manoeuvres visant à vendre des services non sollicités aux détenteurs de noms de domaines. A la limite de l'abus de confiance, reposant sur l'utilisation d'une dialectique jargonnante, le slamming cible potentiellement tous les détenteurs d'un nom de domaine visible sur les listes Whois. L'association établit trois familles d'arnaques aux propriétaires de noms de domaine, toutes basées sur une exploitation de la crédulité et/ou du manque de connaissance des victimes. "Des pratiques pour lesquelles on note une recrudescence des cas, que ce soit quantitativement ou qualitativement", note Loïc Damilaville, adjoint au directeur général de l'Afnic. "Quand on évoque ce sujet autour de nous, on tombe systématiquement sur des personnes qui ont été victimes de tentatives de slamming. Et cela concerne aussi bien des entreprises que des particuliers, sous .fr ou sous .com", poursuit-il. Premier type de slamming, la fausse facture de renouvellement se concrétise par l'envoi, par un "prestataire" peu scrupuleux d'un avis d'expiration au titulaire d'un nom de domaine. Celui-ci est invité, dans des termes choisis, à se délester d'une rondelette somme pour voir perdurer son nom de domaine. En fait de quoi le malheureux client paraphe une demande de transfert de son compte vers le prestataire qui l'a sollicité. La pression psychologique, deuxième cas de slamming identifié par l'Afnic, prend pour cible les entreprises. Un prestataire peu connu contacte une société et l'engage à déposer son nom - à un tarif prohibitif - afin de le protéger contre d'hypothétiques et vils cybersquatteurs. Le démarchage s'accompagne d'une pression mise sur l'entreprise qui, contactée par téléphone, est placée dans une situation d'urgence et sommée de prendre une décision immédiate. Enfin, troisième forme de slamming - en réalité simple application au web des classiques arnaques aux sociétés - les inscriptions dans de faux registres consistent à convaincre une entreprise de l'obligation qui lui est faite de figurer dans un annuaire. Bien entendu, à un prix faisant pâlir le moins scrupuleux des usuriers. L'adjoint au directeur général de l'Afnic cite ainsi des factures dépassant 800€ pour une simple mention dans un annuaire distribué à peu d'exemplaires. Les actions judiciaires semblent vaines pour endiguer le slamming. "Pour l'instant, il n'existe pas de jurisprudence sur ces trois variantes", souligne Loïc Damilaville. La seule vraie mesure pour éviter le piège repose sur la prévention. "Adressez-vous à votre prestataire, conclut le représentant de l'Afnic. Lui saura vous dire quoi faire...ou plutôt ne pas faire". (...)

(18/09/2006 18:03:08)

Freescale racheté pour 17,6 Md$

La rumeur de ces derniers jours vient de se trouver confirmée. Freescale a trouvé un acheteur. Le montant de la transaction est supérieur aux 16 Md$ attendus et atteint 17,6 Md$. Ce montant représente une prime d'environ 36 % sur les cours moyens du fondeur. Le fond d'investissement qui remporte le marché est mené par Blackstone et regroupe Carlyle Group, Permira Funds et Texas Pacific Group. Freescale peut encore recevoir des propositions concurrentes durant une période de 50 jours. Cette précision est peut-être un appel du pied pour faire monter les enchères. Cela dit, la somme indiquée est la plus importante jamais observée pour un rachat dans ce secteur industriel. Jusqu' ici les investissements nécessaires à la fabrication des puces semblaient rebuter les fonds d'investissement. Ce rachat, qui fait suite à celui de la division Philips, pourrait marquer le début de la consolidation d'un secteur encore très morcelé. (...)

(15/09/2006 17:40:19)

De la PAO au PGI, visite guidée d'Apple Expo

Certaines mauvaises langues parlent de l'événement en le nommant iPod Expo. Pourtant, si le baladeur relifté est présent dans chaque allée - et presque sur chaque stand - les professionnels trouvent aussi leur compte en parcourant les travées de l'Apple Expo. Il y a d'abord les habitués du Mac, les enseignes incontournables, les grosses machineries. Quark est de ceux-là. Le spécialiste de la PAO, s'il avait snobé jusqu'à peu les rendez-vous mondains, agglutine les visiteurs autour de son espace où est présenté le dernier né Xpress 7. « Nous organisons des sessions de formation toutes les heures, sur 22 postes, explique Jean-Marc Emery, responsable des relations avec la presse pour l'Europe du Sud. Depuis le début du salon, toutes les places sont occupées ». Cet enthousiasme n'est pourtant pas l'apanage des grands. L'américain SeeFile, éditeur d'un outil de partage de fichiers pour les petites structures, est ravi d'avoir fait le déplacement depuis Boston. « Nous sommes enthousiasmés par le salon, confie Patrice Gouttebel, chargé de la collaboration franco-américaine. En seulement deux jours nous avons rassemblé plus de contacts que nous en espérions pour la semaine ». Même son de cloche pour la start-up Ubistorage. Son PDG, Gil Utard, a presque du mal à réaliser le succès d'estime dont jouit, auprès des visiteurs, son système de sauvegarde de données dématérialisé : « c'est notre premier salon et on n'arrête pas. On a pris 150 contacts en deux jours, on n'en revient pas ». Au détour d'une autre allée, on trouve aussi des éditeurs de PGI pour Mac-addicts. Evidemment, leur audience est moins démentielle que celle du stand FileMaker, à seulement quelques enjambées. Mais les hérauts d'Archoffice et d'Equapro semblent heureux d'être présents : « j'ai fait le tour du salon, nous ne sommes que deux sur le créneau des solutions de gestion. Alors, si quelqu'un veut s'équiper sur Mac, il viendra sur le salon et tombera sur nous. C'est pour cela que j'y suis », note Marc Fournier, ingénieur commercial pour Equation (éditeur d'Equapro). Les deux éditeurs revendiquent entre 20 et 40% de leur clientèle équipée en Mac (leurs produits sont multi-plateformes) et attendent avec impatience les premières retombées du Mac-Intel, une association « qui ouvre des perspectives formidables pour ceux qui aiment Mac », poursuit Marc Fournier. C'est certain, ils seront de retour l'année prochaine. (...)

(15/09/2006 17:36:27)

Un an pour être un spécialiste de la base Oracle

Les formations maison se multiplient dans les SSII pour se doter des compétences qui manquent. La société Qualea, spécialiste de la base de données d'Oracle, ne déroge pas à la tendance : elle monte un cursus d'enseignement d'un an pour former des administrateurs dans ce domaine. Lancé le 16 octobre, ce cursus s'étalera sur douze mois et se déroulera en alternant des périodes de cours théoriques (une semaine par mois, 455 heures au total) et en entreprise (trois semaines par mois). Il s'adresse à des titulaires de diplômes de niveau bac+2 en informatique, des jeunes, des moins jeunes, des salariés et des demandeurs d'emploi. Il peut être financé dans le cadre des dispositifs existants, les contrats de professionnalisation et les CIF (congés individuels de formation). Cette formation n'est pas diplômante, puisque Qualea ne dispose pas de l'agrément de l'Education Nationale. Elle pourrait l'être d'ici deux ans, car la société entend lancer les démarches qui conviennent pour l'obtenir. Elle sera dispensée par les consultants de chez Qualea, qui revendiquent une expertise pointue sur la base Oracle, comme le souligne Muriel de Marcos, directrice commerciale. « Notre métier est la mise en place des systèmes de redondance des bases de données, la pose de capteurs sur les bases pour étudier leurs performances, intervenir de façon préventive ou curative et l'optimisation du code pour améliorer leur temps de réponse. Cette expertise se retrouvera dans notre cursus de formation qui se déploie en quatre grands volets : programmation Oracle, administration, haute disponibilité, performances et sécurité ». Des embauches à la clé Qualea a mis sur pied cette initiative pour former des compétences qui font défaut sur le marché. Elle compte d'ailleurs embaucher trois stagiaires à l'issue de la formation pour renforcer ses effectifs (dix personnes). Trois de ses clients prévoiraient d'en faire de même, les sociétés Sanofi, Neurones et l'Opac de Lyon (Office public d'aménagement et de construction). (...)

(15/09/2006 17:34:03)

La croissance mondiale du marché des PC tombe sous les 10 %

Selon IDC, 52 millions d'ordinateurs personnels ont été livrés à travers le monde au cours du deuxième trimestre 2006, soit 9,8 % de mieux qu'au cours du deuxième trimestre 2005. IDC prévoyait une croissance de 10,4 % pour la période. Et le cabinet de pointer du doigt l'atonie des marchés occidentaux tout en soulignant le dynamisme des marchés émergents : « les régions matures, comme les Etats-Unis, l'Europe de l'ouest et le Japon affichent des tendances de croissance très modérées, tandis que les régions en développement ne se contentent pas de croître plus rapidement, mais dépassent les prévisions », explique Loren Loverde, directeur du suivi trimestriel du marché des PC du cabinet d'analystes. Le cabinet explique la mauvaise tenue des marchés occidentaux par la coupe du monde de football. Le grand public et les portables tirent le marché Ce qui n'empêche pas IDC de s'attendre à une croissance à deux chiffres pour le second semestre. Le cabinet estime que l'engouement des utilisateurs pour les portables - « principal moteur du marché » - est loin d'être éteint : « nous pensons que les portables grand public vont continuer de porter des ventes soutenues de PC jusqu'à la fin de l'année, malgré la présence de nombreux concurrents potentiels, tels que les téléviseurs à écrans plats. » Globalement, IDC prévoit la livraison de 88,5 millions de PC grand public en 2006, soit 12,6 % de mieux qu'en 2005. Le marché des PC professionnels devrait, quant à lui, se contenter d'une progression de 9,3 % à 141,3 millions d'unités. Au final, le marché mondial des PC pourrait progresser de 10,5 % en 2006. IDC lui prévoit une croissance de 12 % en 2007 et de 11,8 % en 2008. (...)

(15/09/2006 17:37:12)

Adobe profite du rachat de Macromedia

Adobe a réalisé un chiffre d'affaires de 602,2 M$ pour le troisième trimestre de son exercice fiscal 2006, clos le 1er septembre dernier, pour un bénéfice net de 94,4 M$. Selon l'éditeur, ces résultats reflètent les effets du rachat de Macromedia en décembre dernier. En effet, au troisième trimestre de son exercice fiscal 2005, Adobe s'était contenté d'un chiffre d'affaires de 487 M$, mais avait pu afficher un bénéfice net de 144,9 M$. Le bénéfice net rapporté pour le troisième trimestre de l'exercice fiscal 2006 est notamment grevé par l'amortissement de rachat de propriété intellectuelle, ainsi que de compensations différées et de coûts de restructuration liés au rachat de Macromedia. Pour le trimestre en cours, Adobe prévoit un chiffre d'affaires compris entre 655 et 685 M$ assorti d'un bénéfice net de 114 à 132 M$. (...)

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