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(15/09/2006 17:37:41)

Les RIA sont l'avenir du Web marchand, pour Forrester

La conjonction entre l'arrivée du haut débit et la maturité de certaines technologies de présentation sur le Web ont permis l'émergence d'interfaces riches, dites RIA (Rich internet applications), aptes à satisfaire l'utilisateur et donc à accroître le chiffre d'affaires des sites marchands. Ce constat dressé par Forrester dans l'étude « RIA : why and how » (RIA : pourquoi et comment) n'est guère original, mais le cabinet d'analystes a le mérite de rassembler des chiffres et des cas concrets qui mettent en évidence l'impact des RIA. Forrester s'appuie sur des sondages d'internautes démontrant que ces derniers apprécient les RIA pour leur simplicité d'utilisation, le contenu qu'elles exposent, ou encore leur réactivité. Ron Rogowski, principal auteur de l'étude, souligne également que seules les RIA peuvent offrir une visualisation correcte de certains contenus. Il cite l'exemple d'un centre d'appels japonais, pour des acheteurs utilisant des catalogues de vente par correspondance : plutôt que de fournir plusieurs centaines de catalogues aux téléconseillers, l'entreprise a numérisé les catalogues, qui sont consultables « comme des vrais » en ligne. Toutefois, admet Ron Rogowski, les RIA se retrouveront surtout dans les sites destinés au grand public, « qui souhaite des environnements plus interactifs ». Et de citer tel site de réservation d'hôtels qui a rassemblé en une seule page tout le processus, au lieu d'une interminable enfilade de pages HTML. Ron Rogowski ne voit pour l'instant que deux technologies à même de répondre à ce besoin : le couple Flash/Flex d'Adobe et l'approche Ajax. Le choix devant s'effectuer d'une part en fonction du type de site Web et, d'autre part, en fonction des compétences des ressources en interne - « même lorsque le projet est confié à un prestataire », souligne Ron Rogowski. Une liste de questions à la fin de l'étude aide à s'aiguiller. (...)

(15/09/2006 10:42:09)

Intel et Siemens veulent développer ensemble des solutions unifiées de voix sur IP

Siemens et Intel viennent de conclure un accord de partenariat pour le développement de solutions de communication unifiées basées sur la voix sur IP. Les deux partenaires vont, dans un premier temps, financer ensemble des recherches en matière de sécurisation des réseaux sans fil et de systèmes de communications en temps réel unifiés. A plus long terme, Intel et Siemens entendent développer conjointement des solutions de collaboration pour industries verticales, avec l'objectif d'aider à l'optimisation des processus métier. Les secteurs visés sont principalement les services de télécommunications, les services financiers et la santé. Enfin, les deux entreprises prévoient de travailler de concert au développement du marché des solutions unifiées de communication en temps réel pour les entreprises et des prestataires de service. Les développements conjoints des deux partenaires devraient mettre en avant les puces double-c?urs et les architectures de serveur en rack d'Intel ainsi que les solutions HiPath 8000 et OpenScape de Siemens. (...)

(14/09/2006 17:30:11)

Didier Quillot quitte Orange pour de nouvelles aventures

Mercredi, le communiqué tombe laconique sur les téléscripteurs : Pascal Viginier, directeur de la recherche et du développement du groupe France Télécom est promu directeur commercial des opérations France. Information banale ? Non, il prend la place du très charismatique Didier Quillot qui va relever un nouveau challenge : diriger le nouveau pôle issu de la fusion des activités presse d'Hachette Filipacchi Média et de celles de Lagardère Active (audiovisuel, internet, mobile). Il est remplacé, non pas par une, mais par deux personnes. Jean-Noël Tronc, ex-responsable du marketing mobile chez Orange, prend la direction d'Orange France en tant que directeur général et Louis Pierre Wenes accède, quant à lui, à la présidence du conseil d'administration d'Orange France. Didier Lombard, PDG du groupe, a salué « la contribution remarquable de Didier Quillot au développement de l'activité mobile du groupe en France ». (...)

(14/09/2006 17:29:38)

HP nomme Hurd président mais reste la cible d'une enquête judiciaire

Les pratiques d'espionnage ordonnées par la présidente du conseil d'administration d'HP, Patricia Dunn, sur les autres membres du conseil et sur des journalistes suite à une fuite d'informations, ont finalement contraint HP à réagir. Mardi, le pionnier de la Silicon Valley a annoncé la démission de Patricia Dunn et son remplacement à la tête du conseil d'administration par Mark Hurd, le CEO d'HP. Celui-ci cumulera désormais les fonctions de président et CEO, comme auparavant Carlton Fiorina. Le jeu de chaises musicales s'accompagne de la démission de George Keyworth, l'un des plus anciens membres du conseil, pointé du doigt par l'enquête de Dunn. Hurd prendra la place de ce dernier au sein du conseil le 18 janvier prochain, tandis que l'ex-présidente redeviendra simple membre du conseil d'administration. Dunn était sous pression depuis une semaine après la confirmation que des pratiques illicites avaient été utilisées pour surveiller les membres du conseil et neuf journalistes. Hurd a promis que de telles pratiques ne seront plus jamais utilisées et "qu'elles n'avaient aucune place chez HP". Une affaire qui pourrait avoir des conséquences judiciaires L'affaire n'est peut être pas close pour autant. Le procureur de l'Etat de Californie a en effet indiqué qu'il avait désormais suffisamment de preuves pour inculper des responsables d'HP ainsi que certains employés de Security Outsourcing Solutions, la société utilisée par HP pour lancer son opération de surveillance. (...)

(14/09/2006 17:29:13)

Business Objects rachète dans la gestion de performances financières

Business Object (BO) vient d'annoncer le rachat du britannique ALG Software - Armstrong Laing Limited - pour la somme de 30 M£ en numéraire, soit un peu moins de 44,5 ME. Par ce rachat, BO entend renforcer sa présence sur le marché des solutions de gestion de la performance des entreprises. En effet, ALG Software est une entreprise spécialisée dans les solutions de gestion de rentabilité et de calcul des coûts par activité. Son portefeuille clients est impressionnant avec plus de 400 entreprises réparties dans le monde dont Heineken, British Telecom, American Express, British Airways ou encore le ministère américain du Travail. Le chiffre d'affaires d'ALG Software pour l'année 2005 se monte à 19 M$ soit 15 ME. Il faut savoir par ailleurs que BO fait lui-même l'objet de rumeurs persistantes sur un prochain rachat "d'une grosse société américaine" (...)

(15/09/2006 10:42:52)

Orange enrichit son offre haut débit mobile avec la 3G+

Orange ouvre aujourd'hui son réseau HSDPA (appelé 3G+ par l'opérateur) aux professionnels des villes de Lyon, Nice et Marseille. L'offre de l'opérateur est commercialisée à travers la gamme Business Everywhere. L'option 3G+ est disponible pour 4EHT par mois, avec une gratuité jusqu'au 31 janvier 2007. Avec son offre HSDPA, Orange promet un débit descendant pouvant atteindre jusqu'à 1,8 Mbit/s dans les grandes agglomérations, mais se garde de communiquer les débits montants que son infrastructure autorise. Pour l'heure, l'offre 3G+ d'Orange n'est accessible qu'aux utilisateurs d'ordinateurs portables. Pour eux, l'opérateur propose trois PC Card - Sierra Wireless A850, Option Globe Trotter 3G+ et Option Fusion 3G + - et un modem USB - USB Icon 3G+. D'ici à l'hiver, Orange promet d'ajouter à son catalogue des cartes au format Express Card et des PC portables avec module HSDPA intégré. L'opérateur indique en outre qu'il renforcera progressivement la couverture géographique de son offre 3G+. Orange estime que Bordeaux, Montpellier et Toulouse seront connectés dans les prochaines semaines. Lille, Nantes et Paris devraient en bénéficier cet hiver. Talonné par la concurrence avec SFR, Orange se doit de maintenir un calendrier relativement serré d'autant plus que Bouygues Telecom compte rejoindre ses concurrents début 2007. (...)

(14/09/2006 17:28:41)

Forrester juge la France en pointe dans l'innovation

La France surprend par son dynamisme en innovation. Et sa créativité tranche avec « l'image bornée et rétrograde » que les étrangers ont d'elle. Tel est le constat que dresse l'étude menée par Forrester Research (*) sur l'innovation dans les entreprises françaises. Navi Radjou, son auteur, met en perspective le décalage qui existe entre des visions presque tragiques de la situation française et sa vitalité dans le domaine des nouvelles technologies. Alors que « les déclinologues » pointent ses performances anémiques et le bourbier sociopolitique dans lequel elle se trouve, il montre que les entreprises et les particuliers adoptent aussi parfaitement la mondialisation et les nouvelles technologies. Avec 7 millions de blogs, la France apparaît comme la deuxième plus grande blogosphère du monde après les Etats-Unis. Ses ventes en ligne vont bientôt dépasser celles des marchés anglais et allemand. Côté investissements, les entreprises ont dépensé davantage que les Anglais dans les télécoms en 2005. Ils sont aussi le troisième plus gros consommateur de services IT en 2006 avec 21 milliards de dépenses. Du yaourt plébiscité par SMS aux lunettes vidéo Pour étayer son étude, Navid Rajou s'appuie sur de nombreux exemples d'expériences innovantes utilisant les nouvelles technologies. Il cite Danone qui a anticipé et répondu à la demande de ses clients, en intégrant des processus de marketing et de R&D. Le géant du yaourt a invité ses consommateurs (un échantillon de 400 000 personnes) à se prononcer sur le choix d'une crème dessert - présentée sur le Web- en votant par SMS. La crème la plus plébiscitée a pu être mise sur le marché moins de deux mois après le vote. Forrester mentionne aussi l'Atelier de BNP Paribas, une structure créée pour être un réseau d'innovation. Sa fonction est de repérer des technologies émergeantes en Europe et dans la Silicon Valley, puis de les aider en collaboration avec les équipes IT de la banque à se développer sur le plan commercial. Un bon exemple de processus collaboratif interne et externe bien mené. Le cabinet américain s'attarde aussi, entre autres, sur le cas de la fusion Renault-Nissan et de l'intégration de leurs lignes de développement, de leurs équipes et de leur technologie. Il souligne que leurs équipes de R&D ont transformé 24 plates-formes de développement distinctes par produit, en dix plates-formes partagées et utilisées pour concevoir les nouveaux modèles des deux marques. Il évoque enfin les partenariats prolixes comme celui de FT, d'Essilor et de MicroOptical qui ont co-développé les lunettes vidéo. Il passe enfin à la loupe deux études de cas d'innovation chez France Télécom et CNP Assurances. Un défi pour les DSI Certaines directions des systèmes d'information ont pris la mesure des changements. « A l'aube de l'économie mondiale des services IT, les DSI français font évoluer leur stratégie pour mettre la technologie au service de l'innovation », affirme Navi Radjou. Cet axe pose toutefois de nouveaux défis aux DSI. La fonction IT se trouve à un carrefour critique dans son histoire. Elle peut demeurer un solide service utilitaire, soit évoluer et être un vrai partenaire de développement et d'innovation de l'entreprise. (...)

(14/09/2006 16:53:49)

IDC certifie Vista excellent pour l'économie européenne

L'offensive de charme musclée de Microsoft auprès de la Commission européenne continue. Une semaine après que quatre eurodéputés se sont émus du fait que les contraintes imposées par la Commission européenne allaient probablement retarder le lancement de Windows Vista et handicaper les entreprises européennes, deux jours après que Microsoft a plaidé pour conserver toutes les fonctions de sécurité intégrées à Vista, l'éditeur a tenu ce matin une conférence de presse à Bruxelles pour insister sur les bienfaits économiques qui résulteraient du lancement de Vista. Sur les 228 000 emplois qui seront créés l'année prochaine dans la sphère informatique dans les six principaux Etats européens*, a indiqué l'éditeur, 104 000 seront directement liés à la mise en place de Vista. Et la moitié de ces 104 000 emplois n'aurait pas existé sans Vista. Microsoft tire ces chiffres impressionnants d'une étude réalisée par IDC Europe, et commanditée par... Microsoft. Sept millions de Vista en France dès 2007, selon IDC Le marché de l'informatique a acquis une importance comparable à celle de secteurs bien plus mâtures, explique Alain Petrissans, directeur études et conseil d'IDC France : « en France, les dépenses informatiques atteignent 45 Md€, contre 60 à 65 Md€ pour le secteur automobile, ou 30 à 35 Md€ pour le secteur des médicaments ». Or au sein de ce marché, l'événement le plus considérable serait le lancement d'un système d'exploitation. D'une part à cause de la rapidité avec laquelle le système sera déployé : IDC estime qu'en moins d'un an, il y aura sept millions de systèmes Vista en exploitation en France, et que 68% des machines Windows livrées le seront sous Vista. En trois ans, la quasi-totalité des nouvelles machines sous Windows sera équipée de Vista. Dès 2007, ce sont plus de 30 millions de copies de Vista qui seront distribuées dans les six pays européens visés par l'étude, générant près de 2,4 Md€ de revenus pour Microsoft. Mais d'autre part, explique IDC, un tel lancement ne profite pas qu'à Microsoft : tout l'écosystème en tire parti. Pour chaque euro de chiffre d'affaires réalisé par Microsoft avec Vista, ses partenaires toucheront 13,31 euros ! Une manne que se partageront fabricants de matériels (7,35 euros), éditeurs de logiciels (3,43 euros) et prestataires de services (2,53 euros). Vista créerait directement 16 000 emplois en France en 2007 Côté emploi, ce sont près de 249 000 personnes qui auront en France en 2007 une activité directement liée à Vista, continue IDC. Elles se répartissent ainsi : 15 000 dans le domaine du matériel (pour une population de 52 000 personnes), 10 000 dans le logiciel (sur 34 000), 79 000 dans les services et la distribution (sur 389 000) et 145 000 au sein des entreprises (sur 775 000 informaticiens). « En France, indique Alain Petrissans, il se créera 42 000 emplois en informatique en 2007, dont 16 000 seront vraiment dus à l'arrivée de Vista. » Au final, conclut l'étude, « ces bénéfices directs - 100 000 nouveaux emplois - aideront les économies locales à croître, à améliorer la force de travail et à former de nouvelles entreprises. Les bénéfices indirects liés à l'utilisation de logiciels plus récents aideront à augmenter la productivité, à accroître la compétitivité et à supporter l'innovation locale ». Après cette leçon d'économie, la Commission européenne aura-t-elle le coeur de continuer de parler de pratiques anti-concurrentielles ? *Note : l'étude considère le marché informatique de six Etats européens représentant, avec 320 milliards d'euros, l'essentiel (67%) des dépenses informatiques en Europe : Allemagne, Danemark, Espagne, France, Pologne et Royaume-Uni. (...)

(14/09/2006 09:39:09)

Les antivirus tirent le marché mondial des logiciels de sécurité

En 2005, les ventes mondiales de logiciels de sécurité ont atteint 7,4 Md$, en croissance de 14,8% comparé à l'année précédente, selon l'institut Gartner. Les antivirus représentent à eux seuls 53,3% du marché des logiciels de sécurité. Symantec s'attribue la moitié du total des revenus qu'ils génèrent. En comparaison, le segment des logiciels liés à la sécurisation des e-mails est un poids plume, avec seulement 393,9 M$ de chiffre d'affaires en 2005. Il s'avère en revanche le plus dynamique, au vu des 34,2% de progression de ses revenus l'année dernière. Derrière lui en termes de croissance, les logiciels liés à la gestion de l'information et des événements de sécurité (SIEM) ont progressé l'an passé de 29%, à 281 M$. Profitant à plein de l'importance des ventes d'antivirus, Symantec se situe en tête du marché des logiciels de sécurité, avec 32,2% de part de marché. Non content d'être leader, l'éditeur enregistre en outre avec Trend Micro l'une des plus fortes progressions en termes de revenus (+14%), tandis que son challenger McAfee enregistre une croissance de 12,5%, pour 12,4% de part de marché. (...)

(14/09/2006 09:39:32)

Sun lance à son tour son offre de chiffrement sur bandes

Après IBM, c'est au tour de Sun de présenter un lecteur de bandes intégrant une solution de chiffrement des données. Le lecteur StorageTek Crypto-Ready T10000 peut, en effet, assurer le chiffrement à la volée des données qu'il enregistre sur bande, à l'instar du TS1120 présenté récemment par Big Blue. Comme son concurrent, le StorageTek Crypto-Ready T10000 est doté de fonctions de gestion des clés de chiffrement assurant l'accessibilité des données aux utilisateurs autorisés. Pour cela, le lecteur de bandes de Sun est épaulé par une station de travail sous Solaris dédiée, la Sun StorageTek Crypto Key Management Station. Le lecteur de bandes StorageTek Crypto-Ready T10000 est commercialisé à partir de 37 000 $. (...)

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