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(31/07/2006 17:11:37)
Google cherche à séduire la communauté open source
Google vient d'ouvrir les portes de son service d'hébergement de projets open source baptisé prosaïquement « Project Hosting ». Accessible à l'adresse http://code.google.com/hosting moyennant un compte Gmail, le service offre 100 Mo d'espace de stockage avec outils de suivi d'incidents et de gestion de liste de diffusion par courriel. Totalement gratuit, le nouveau service de Google n'est pas financé par la publicité et interdit même à ses utilisateurs d'intégrer des messages publicitaires à leurs pages, du moins pour le moment. Les projets hébergés peuvent être distribués sous l'une des sept principales licences du monde du logiciel libre - GPL, Lesser GPL, Mozilla, BSD, MIT, Apache et Artistic -, mais sous une seule à la fois. Les données des projets seront stockés dans Big Table, le moteur de gestion de bases de données de Google et pourront faire l'objet d'une recherche plein texte. L'hébergeur fera appel à ses algorithmes de recherche pour classer les projets par nombre de participants et par activité. Ces mêmes algorithmes seront sollicités pour éliminer les faux projets. Le service Project Hosting de Google peut apparaître comme concurrent du célèbre hébergeur de projets open source SourceForge. Mais Greg Stein, directeur technique chez Google, affirme qu'il n'en est rien, soulignant même une complicité entre les deux hébergeurs visant à créer une base de données unique des noms de projets open source. Cette base devra permettre d'éviter les doublons et la confusion. De son côté, Jay Seirmaco, directeur général de SourceForge, assure que « ce qui est bon pour la communité de l'open source l'est aussi pour SourceForge. » Et précisément, la communauté de l'open source ne semble pas s'être encore forgé un avis précis sur l'initiative du géant de la recherche en ligne. Certains l'accueillent froidement, relevant les limites du service de Google, en termes de licences utilisables et de support d'outils. D'autres, plus positifs, espèrent que Project Hosting fournira une alternative crédible à SourceForge, pointant notamment les problèmes de performances de ce dernier. Face aux critiques, Google assure qu'il s'attachera à faire évoluer son service rapidement en réponse aux besoins exprimés par les développeurs. Chez SourceForge, on indique qu'une importante mise à jour du service se prépare qui devrait résoudre les problèmes rencontrés par les développeurs. (...)
(31/07/2006 16:53:49)CA reconstruit sa direction et nomme Nancy Cooper au poste de DAF
Nancy Cooper deviendra à compter du 15 août le nouveau directeur financier de Computer Associates. Elle remplacera Bob Cirasibi, en interim depuis fin mai, date à laquelle Bob Davis avait annoncé son départ. Il n'était alors en poste que depuis 15 mois après avoir quitté Dell pour rallier le sulfureux éditeur. Le mois dernier, CA avait dû reporter la publication de ses comptes concernant le 4ème trimestre de l'exercice 2006. En cause le système de rétribution par stock option et la révision nécessaire des comptes du 3ème trimestre liée à la mise en place d'un nouveau plan touchant à la comptabilisation des commissions sur les ventes. Depuis mai, CA doit faire face à une véritable hémorragie de ses cadres dirigeants. Annonçant la nomination de Nancy Cooper, Computer Associates s'est refusé à commenter les rumeurs insistantes faisant état d'une possible vague de licenciements dans les mois à venir. (...)
(31/07/2006 10:50:35)France Télécom met la main sur Groupe Diwan
France Télécom acquiert 72% de Groupe Diwan, pour environ 28,2 M€. La transaction est encore soumise à l'approbation des autorités de la concurrence. Groupe Diwan est une société de services et d'intégration, spécialisée en gestion et sécurisation des infrastructures réseaux et télécoms. La société compte Dynetcom et JP technologies comme filiales. Elle emploie 280 employés sur 7 sites. Le groupe est côté sur Alternext. France Télécom procède à cette acquisition dans l'optique de fournir des services convergents de communications à sa clientèle entreprise. Orange Business Services voit ainsi sa palette de services de sécurité, de centre d'appels ou d'outils collaboratifs enrichie. Rien d'étonnant à ce que l'opérateur cherche à monter en gamme sur l'intégration et les services à valeur ajoutée... (...)
(30/06/2006 17:35:33)Sysgo équipe les campus de ses logiciels pour systèmes embarqués
L'allemand Sysgo AG, spécialisé dans la conception, l'implémentation et la configuration de logiciels pour les systèmes embarqués propose de fournir aux universités européennes ses logiciels (installation, configuration et assistance par e-mail) associés de formations pratiques pour les étudiants. Il prévoit aussi d'offrir des licences pour ses solutions PikeOS, son système d'exploitation temps réel et solution de virtualisation et ElinOS, un environnement de développement pour Linux embarqué. Ce programme répond à une volonté de promotion de ses solutions et plus généralement des systèmes embarqués. « Notre intention est de rapprocher davantage les mondes de l'enseignements et des constructeurs et de générer des opportunités de développement commun pour des logiciels système durables », commente Knut Degen, CEO de Sysgo. L'éditeur allemand est présent en France à travers la société APES (AP Embedded Solutions), un partenaire dont il a fait l'acquisition en avril dernier. Il est en ce moment en pleine stratégie de déploiement et de croissance à l'international comme le montre les partenariats qu'il vient de conclure avec deux distributeurs (Act/Technico Inc aux États-Unis et Hitex Ltd au Royaume-Uni) pour la commercialisation de ses solutions dans leur pays respectif. (...)
(30/06/2006 17:35:20)Recrutement : Sopra vise une croissance de 10% de ses effectifs
La SSII Sopra (9500 collaborateurs dont 6700 en France) a pour ambition de recruter 1400 ingénieurs informaticiens et consultants cette année en France. A ce jour, elle a atteint la moitié de ses objectifs et poursuit sa campagne. Elle entend embaucher 60% de jeunes diplômés et 40% de profils expérimentés. « Nous avons une politique de recrutement qui ciblent les jeunes diplômés pour les faire évoluer », explique Muriel Ducros Abisur, responsable du recrutement pour Sopra Group. « Ils démarrent à des fonctions d'ingénieurs développement puis intègrent selon leurs aspirations et leurs compétences différentes filières, la conduite de projet, le consulting, le domaine des PGI, l'expertise technique, etc ». Parmi ces jeunes, Sopra cherche en particulier à attirer les titulaires de diplôme de niveau Bac +4 et Bac + 5 issus des écoles d'ingénieurs, des cursus universitaires informatiques et scientifiques (DESS et Miage). Elle recrute aussi des profils métier (par exemple des jeunes formés à la logistique) et des diplômés de niveau Bac +2, avec expérience. Dans la population des profils expérimentés, la SSII cherche des consultants fonctionnels PGI, des chefs de projet, des concepteurs experts, des architectes et des commerciaux ayant au minimum 2 ans d'expérience. Elle dit ne pas se focaliser sur la recherche d'un type de compétences technologiques en particulier, vue l'étendue de son parc de clients, de la diversité des outils qu'ils utilisent et de leurs besoins. Elle privilégie par ailleurs dans ses recrutements le potentiel d'évolution et la capacité des personnes à faire de la gestion de projet. Malgré cette politique, Sopra confirmer toutefois, comme nombre de ses consoeurs SSII, que les consultants fonctionnels qualifiés sur les PGI de Sap et d'Oracle/Peoplesoft font partie des profils les plus difficiles à trouver aujourd'hui. Elle assure par ailleurs que la demande de compétences sur mainframe ne fléchit pas, alors que les profils qualifiés sur les grands systèmes se raréfient. une soirée Sap le 6 juillet La campagne de recrutement de Sopra répond à un objectif de croissance d'environ 10% de ses effectifs. La SSII doit aussi faire face à la progression de son turn over (taux non communiqué) avec la reprise du marché. Elle confirme que ce dernier est tendu et que les recruteurs doivent déployer davantage d'efforts que les années précédentes pour attirer et séduire des candidats. Chez Sopra, cet effort se traduit par un déploiement simultané de nombreux moyens pour toucher les candidats, tous étant, selon elle, complémentaires. Elle organise par exemple des manifestations de recrutement ciblées, telles des soirées SAP (22 juin dernier et 6 juillet), pour présenter aux candidats les métiers autour du PGI. Elle s'appuie sur les services en ligne et « off line »de spécialistes du recrutement informatique comme Lesjeudis.com (achat de bases de CV, de petites annonces et participation aux salons). Elle a aussi doublé et renforcé ses partenariats avec les écoles (80 écoles partenaires sont revendiquées) et mobilise toute l'entreprise à la problématique des recrutements. Les managers des unités opérationnelles sont sensibilisés afin d'informer leurs équipes et de favoriser la cooptation. La SSII se dote enfin de nouveaux arguments pour attirer les jeunes, comme un dispositif d'écoute et de suivi renforcé sur dix-huit mois pour les nouveaux arrivants, qui vise une intégration réussie. (...)
(28/07/2006 17:01:28)Publicité en ligne : les dépenses progressent de 57% au premier semestre
Les dépenses publicitaires en ligne vont battre un nouveau record dans l'Hexagone en 2006. Au premier semestre, elles totalisent 984 M€, soit une croissance galopante de 57% sur un an selon l'Interactive Advertising Bureau (IAB) et TNS. Une progression qui illustre l'intégration du support Internet dans les plans média des annonceurs. Le web talonne désormais l'affichage et dépasse allègrement le cinéma. Au total, les investissements réalisés sur Internet concentrent 9% de l'ensemble des dépenses publicitaires réalisées en France. En comparaison, ce taux n'excédait pas 5% en 2005. Les annonceurs orientent naturellement leur e-affichage vers des sites à fort trafic. Ainsi, le quart d'entre eux se tourne vers des portails ou des moteurs de recherche et 22% sur les sites des fournisseurs d'accès. Ils sont 14,5% à préférer les espaces d'information. Enfin, si les sommes dépensées progressent à grand pas par rapport à 2005, les secteurs qui concentrent les dépenses ne varient pas notablement. Les voyages et l'informatique trustent toujours les premières positions et représentent, ensemble, près des deux tiers des dépenses publicitaires. Le matériel de sport suit, avec 25,2% des investissements réalisés, et les télécoms regroupent 18,6% des dépenses. (...)
(27/07/2006 17:34:26)Lucent dans le rouge vif
Cétait prévu, puisque l'équipementier avait lancé un avertissement sur ces résulats le 10 juillet (avertissement qui avait déclenché les propos rassurants de Serge Tchuruk, PDG d'Alcatel), Lucent annonce une chute de 79% de son bénéfice trimestriel (bénéfice net de 79 millions de dollars). Cette sérieuse baisse est la conséquence d'une chute d'activité en Amérique du Nord sur les équipements de réseaux téléphoniques. Le chiffre d'affaires est en baisse de 12% à 2,05 milliards. Le groupe estime que ses clients ne font qu'une pause temporaire dans leurs investissements et, reste optimiste. « Ces résultats sont certes très décevants, mais nous ne pensons pas qu'ils soient une indication des occasions à venir que nous anticipons sur le marché mondial de la téléphonie mobile » a déclaré Patricia Russo, la PDG de Lucent. (...)
(27/07/2006 17:34:00)Semestriels France Télécom : le résultat net recule de 24%
France Télécom a bouclé son premier semestre sur un chiffre d'affaires de 25,86 Md€, soit une progression de 9,3% par rapport à la performance réalisée sur la même période de l'année précédente. Cette tient somme compte de l'apport d'Amena, l'opérateur espagnol acquis en juillet 2005. A périmètre comparable, les revenus du groupe affichent une croissance de 1,4%. Si le chiffre d'affaires progresse, le résultat net de l'opérateur historique ne suit pas la même tendance. Il s'inscrit en effet en recul de 24%, à 2,35 Md€. De même, le résultat d'exploitation perd 18%, à 5,33 Md€ et la marge brute opérationnelle recule à 36,6%, du CA contre 38,5% un an auparavant. Par ailleurs, le groupe a indiqué que son objectif d'une croissance organique des ventes de 2% en 2006 "sera difficile à tenir". Enfin, FT a confirmé avoir donné l'exclusivité à KKR pour la cession de ses 54% dans PagesJaunes. (...)
(27/07/2006 17:35:28)Les ventes d'Alcatel progressent, mais son bénéfice recule légèrement
Alcatel a annoncé aujourd'hui un chiffre d'affaires en forte progression pour son second trimestre fiscal mais un résultat net en baisse. L'équipementier télécoms français a vu ses ventes progresser de 11,4 % à 3,4 Md€ sur un an, mais son bénéfice net a reculé de 9% pour s'établir à 180 M€. Alcatel souligne la forte progression de son activité télécommunications fixes et notamment le succès de sa ligne de produits d'accès DSL et "Triple Play". Les activités fixes ont ainsi représenté près de 40% des ventes à 1,4 Md$. Les activités mobiles ont enregistré une progression plus modeste à 1 Md€ contre 958 M€ l'an passé tandis que les ventes de systèmes de communications d'entreprises progressaient de 5,4%, également à 1 Md€. Alcatel, qui a annoncé son intention de fusionner avec Lucent, espère toujours achever l'intégration de son concurrent américain d'ici la fin de l'année. Le projet semble en bonne voie puisque, la firme avait déjà obtenu le feu vert de la FTC américaine en juin et qu'elle a obtenu l'aval des autorités de la concurrence de Bruxelles cette semaine. Avec John Blau, notre correspondant d'IDG News Service à Düsseldorf (...)
(27/07/2006 15:30:31)Business Objects : Benoît Fouilland, vice-président finances, détaille les résultats T2
:Lemondeinformatique.fr : Vos résultats du deuxième trimestre dépassent les fourchettes annoncées dans l'avertissement lancée le 10 juillet. Etes-vous finalement satisfait des performances réalisées au cours de la période ? Benoît Fouilland : Avec un chiffre d'affaires en progression de 12%, et une bonne croissance dans les nouveaux marchés que nous investissons, on peut juger le trimestre comme satisfaisant. Néanmoins, les ventes de licences sont décevantes. Nous y voyons deux grandes causes. La première concerne la contribution de l'Europe (-8%, à 107 M$) et, dans une moindre mesure, de l'Asie (-10%, à 20 M$), qui s'avèrent décevantes alors que la performance réalisée en Amérique est exceptionnelle (+ 36%, à 168 M$). L'autre explication tient aux taux de signature des grands contrats. En toute fin de trimestre, des contrats importants sur lesquels on comptait n'ont pas été finalisés et ont glissé sur la période suivante. C'est un phénomène que l'on a observé de manière globale, et pas seulement en Europe. La déception vient également du bénéfice net : il passe de 23 M$ à 7,9 M$ en un an. Comment expliquez-vous ce recul ? Il y a des éléments de comparaisons importants à prendre en considération pour analyser ce résultat. La prise en compte de charges de rémunération en action a eu effectivement un impact important sur les données Gaap, de l'ordre de 11 M$. Mais sur une base pro format, le bénéfice par action s'inscrit dans le bas de la fourchette précédemment communiquée. La marge opérationnelle n'est certes pas au niveau de ce que l'on attendait, mais cela ne remet pas en cause notre modèle. Quelles mesures comptez-vous prendre pour améliorer vos performances sur les prochains trimestres ? Au troisième trimestre, l'effet de saisonnalité devrait peser sur les ventes de licences et le chiffre d'affaires total restera vraisemblablement stable. Nous allons poursuivre la mise en oeuvre d'outils d'excellence opérationnelle, commencée depuis la fin de l'an dernier. Cela concerne les secteurs des achats, des dépenses informatiques et le recours à l'offshoring. En outre, nous prévoyons des actions spécifiques de contraction des coûts au troisième trimestre sur les postes de dépenses variables. En particulier sur l'utilisation des contracteurs, sur la contraction des dépenses en personnel temporaire et sur les embauches nouvelles hors commercial. Enfin, certaines actions symboliques seront entreprises. Ainsi notre projet de rénovation du siège américain de San José est reporté. Comment envisagez-vous l'ensemble de l'exercice fiscal ? Nous ne faisons pas de prévision en terme de marge opérationnelle. Nous prévoyons un chiffre d'affaires en recul de 25 à 30 M$, une baisse qui prend en compte la décroissance des ventes de licences sur le deuxième trimestre. Les marchés financiers ont peut-être eu une réaction disproportionnée à la suite de notre pré-annonce mais Business Objects reste clairement une entreprise leader sur son marché. Le groupe a certes connu un à-coup mais l'équipe a su prendre la mesure des actions à mettre en place. (...)
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