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(13/07/2006 12:38:33)
Infosys démarre fort son exercice 2007
Résultats premier trimestre 2007 Chiffre d'affaires : 660 M$ (+39 %) Bénéfice net : 174 M$ (+43 %) Infosys, le numéro deux indien de l'externalisation derrière Tata Consultancy Services, a bouclé son premier trimestre fiscal sur la même tendance barométrique qu'au cours des périodes précédentes : le temps est au beau fixe. Le chiffre d'affaires atteint ainsi 660 M$, selon les normes Gaap, et progresse de 39% sur un an. "Au cours du trimestre, la croissance de notre activité en Europe est restée forte. La progression du chiffre d'affaires provient essentiellement des secteurs télécoms, financiers et industriels", a expliqué le responsable des ventes mondiales, SD Shibulal. Le bénéfice net bondit de 43%, à 174 M$. Il profite de la dépréciation de la roupie par rapport aux principales monnaies étrangères. Une dépréciation qui a permis au groupe de conserver un niveau de marge intact, en dépit d'une augmentation des charges salariales et de visa. Au cours de la période, le spécialiste de l'externalisation a recruté 5 694 salariés, portant son effectif total à 58 409. Il prévoit d'en embaucher 25 000 autres d'ici à la fin de l'exercice en cours. Fort de ces bons résultats, et de l'excellente santé du secteur de l'outsourcing en Inde - les exportations de logiciels et services devraient croître de 27 à 30% cette année et générer des revenus compris entre 29 et 31 Md$ selon l'India's National Association of Software and Service Companies - Infosys table sur un chiffre d'affaires en hausse de 36% pour l'exercice fiscal en cours, à 2,91 Md$. (...)
(13/07/2006 12:40:05)Recrutement : CBL titille le consultant SAP
« Si vous pensez que pour réussir il faut être une langue de p..., si vous pensez que pour réussir, il faut bouffer les autres, évitez de nous contacter ». Choquante, iconoclaste, habile? La campagne de communication menée par la société de conseil CBL consulting (4,3 millions de chiffre d'affaires, une petite cinquantaine de personnes) pour recruter des consultants SAP (une vingtaine), ne laisse en tout cas pas de marbre. Elle marque les esprits avec des visuels provocateurs - un homme avec une langue de reptile et une jeune femme au regard glacé - et des slogans chocs. Elle atteint ainsi l'un de ses objectifs, permettre à ce spécialiste du déploiement du progiciel SAP HR (ressources humaines) de se faire remarquer sur un marché de l'emploi saturé d'annonces clones qui apportent peu de candidatures qualifiées. « Le marché de l'emploi SAP est un marché de réseau. Les consultants n'ont pas besoin de regarder les annonces pour trouver des opportunités. Nous avons donc pensé qu'une campagne institutionnelle permettrait de nous manifester davantage qu'une annonce de recrutement », explique Brigitte Burette, DRH de CBL consulting. Lancée au début du mois de juillet, cette campagne a occupé les pages de supports peu habituels pour une SSII, le quotidien gratuit Métro et le magazine Challenge. Ce choix était aussi une façon pour CBL de marquer sa différence parmi les intégrateurs SAP et de toucher un public plus large, hors des viviers habituels comme des professionnels des RH. L'opération comportait quelques risques, notamment celui de déplaire, mais Brigitte Burette en tire des retombées positives. "Nous avons eu beaucoup de remarques de consultants et de clients sur cette campagne, avec environ 70% de retours favorables. Notre volonté d'être différenciant correspond aussi à ce que nous sommes et à ce que nous proposons à nos collaborateurs, en terme d'autonomie, de possibilité de s'exprimer, de passage d'un module à l'autre au fil des projets ». En ce qui concerne les candidatures, Brigitte Burette estime, pour avoir interrogé les consultants qu'elle rencontre, que la campagne a permis d'accélérer les mouvements au sein de son réseau et l'arrivée de CV. Elle ne se prononce pas sur des données quantitatives. Au vue du coût d'une « chasse » par un cabinet de recrutement, elle affirme que le retour sur investissement de l'opération (qui a coûté 35 k€) est atteint. La réflexion est lancée pour la reconduire à la rentrée. (...)
(13/07/2006 11:29:08)Secure Computing s'offre CipherTrust
Secure Computing va racheter l'éditeur de solutions de sécurité CipherTrust. Montant estimé au terme des négociations : 274 millions de dollars (195 M$ en numéraire, le reste en actions). L'acquisition devrait être finalisée le 8 septembre prochain. Secure Computing complètera alors sa gamme d'appliances de sécurité Internet. Il compte ainsi faire face à la croissance du marché. « En combinant les solutions de CipherTrust avec les nôtres, nous allons offrir des solutions hautement intégrées, différenciées grâce à la gestion de la sécurité de contenu qu'elles apportent, à destination des entreprises », a indiqué John McNulty, président et CEO de Secure Computing. L'entreprise issue de ce rachat possèdera une équipe de vente de 300 personnes et pourra se targuer d'adresser 18 000 clients via son réseau de 1 700 revendeurs. (...)
(12/07/2006 18:04:40)HP France: plus de départs volontaires que prévu
A l'issue de la période de volontariat, ouverte du 21 juin au 5 juillet dans le cadre du plan de restructuration touchant la filiale française de HP, le groupe doit composer avec un nombre de salariés désireux de quitter leur employeur supérieur à ses attentes. Ainsi, ce sont 346 volontaires excédentaires qui se sont déclarés, en plus des 834 initialement prévus : "on s'y attendait, note Fabrice Breton, délégué syndical national CFTC. Surtout en ce qui concerne HP France, la partie commerciale du groupe, qui regroupe des populations plus mobiles que dans la branche industrielle". Pas de désignation, pas de licenciement Les 346 départs volontaires excédentaires devraient contribuer à limiter la quantité de licenciements et de départs forcés. "Il n'y aura pas du tout de désignation", se réjouit Fabrice Breton. Didier Pasquini, son collègue de la CFE-CGC le rejoint : "c'est une bonne nouvelle" ; mais il se veut plus prudent et souligne qu'il serait inenvisageable que la direction procède maintenant à des départs forcés. Il rappelle en outre que "le nombre de volontaires plus élevé que prévu illustre l'état de démotivation qui règne dans l'entreprise. Un sentiment entretenu par le groupe, qui rappelait encore récemment que sa priorité n'était pas d'inciter les gens à rester". La question qui taraude désormais les représentants du personnel est : la direction va-t-elle accepter tous les départs volontaires ? "Il le faut, plaide Didier Pasquini. Les retenir serait contre-productif pour l'entreprise et dommageable à titre individuel". Son collègue de la CFTC se montre plus définitif : "la direction accepte tous les volontaires en excédent contre des réembauches d'ici à la fin 2007". Dans les faits, HP serait prêt à recréer autant de postes que de volontaires au départ dans la branche commerciale mais hésiterait encore en ce qui concerne la partie industrielle. Quoi qu'il en soit, pour Didier Pasquini "il faut qu'à la fin 2007 nous soyons revenus à l'effectif prévu initialement". Des conditions de départ avantageuses mais gare aux mirages Au-delà de la démotivation qui a pu toucher de nombreux salariés à l'annonce du plan social, quelles raisons expliquent l'important contingent de volontaires ? "Si la direction a consenti à mettre en oeuvre des conditions financières intéressantes, nous avons fait en sorte qu'il y ait d'autres garanties", explique Didier Pasquini. Ainsi, de nombreux salariés ont été accompagnés dans la recherche d'un nouvel emploi. Ils sont 369 à avoir démarré ou finalisé un CDI avant même d'avoir quitté HP. "Nous avons également contribué à dégager une aide importante à la création d'entreprise", poursuit Fabrice Breton. Parmi les volontaires, 156 se sont découvert une vocation d'entrepreneur et 63 autres finalisent leur projet, profitant de la possibilité qui leur est laissée de quitter HP tout en continuant à faire momentanément partie des effectifs. Une soixantaine d'employés souhaite en outre procéder à une reconversion : "on voit de nombreux projets de reconversion totale : certains veulent devenir instituteurs, d'autres ouvrir un restaurant..." illustre Fabrice Breton. Enfin, les volontaires restants constituent ce que Didier Pasquini nomme la zone à risque : "parmi eux, certains regretteront leur choix de partir". Car, si les conditions de départ semblent avantageuses, "il faut éviter de tomber dans la caricature montrant un chèque de départ conséquent", rappelle Didier Pasquini qui conclut sur une anecdote : "j'ai rencontré sur le quai d'une gare un salarié qui s'était porté volontaire lors du plan social de 2003. Il n'a retrouvé un emploi qu'en janvier 2006. Derrière l'euphorie du gros chèque, il y a souvent des regrets". (...)
(12/07/2006 18:05:52)Une solution serveur intégrée IBM pour JD Edwards
IBM lance une solution intégrée combinant serveur et logiciel pour héberger le PGI de JD Edwards, propriété d'Oracle. Baptisé IBM System i520 Solution Edition for Oracle's J.D. Edwards EnterpriseOne, le package s'adresse avant tout aux entreprises de moins de cent employés. L'ensemble s'appuie sur un serveur iSeries 520 (nouveau nom des AS/400) motorisé par les processeurs Power 5 de la marque, ainsi que sur l'OS maison I5. Big Blue précise qu'il supporte également Windows, Linux et AIX. Disponible dès le 11 août, la solution devrait être commercialisée au prix de 21 921 $. La tarification et la disponibilité pour l'Europe ne sont pas actuellement communiquées. L'offre est une bonne nouvelle pour Oracle dans sa tentative de conserver la confiance des clients des sociétés qu'il a rachetées. En avril dernier, l'éditeur avait ainsi confirmé son engagement auprès des 5 000 utilisateurs JD Edwards, en prolongeant après 2013 le support du PGI sur les serveurs IBM iSeries. Selon IBM, le marché des PME couvre 20% de son chiffre d'affaires annuel. (...)
(12/07/2006 18:06:59)Fast, la dématérialisation pour les collectivités locales (Corrigé)
Mise au point depuis plusieurs années, la plate-forme d'échanges dématérialisés sécurisée Fast, destinée aux collectivités locales, est lancée commercialement par CDC Confiance Electronique Européenne, une filiale à 100% de la Caisse des Dépôts et Consignations. Le premier service proposé est la dématérialisation du contrôle de légalité mais d'autres devraient suivre sous peu. Fast n'intègre pas le certificat de signature électronique qui doit être acheté auprès d'une autorité de certification tierce. Le tarif d'accès à la plate-forme et à ses services varie selon la population et la nature juridique de la collectivité y ayant recours, sans limitation du nombre d'opérations : par exemple, une petite commune accède gratuitement à la plate-forme et s'abonne au service « contrôle de légalité » pour 14 euros par mois; un Conseil général accède à la plate-forme pour 9020 euros et le contrôle de légalité lui coûte 4975 euros par trimestre. L'installation et la formation sont facturées forfaitairement à partir de 450 euros. Jusqu'à la fin 2006, des tarifs préférentiels sont proposés. (...)
(12/07/2006 12:45:33)L'UE inflige à Microsoft une amende de 280,5 M€
Le couperet est de nouveau tombé. La Commission européenne, exaspérée par l'attitude de Microsoft à ne pas se conformer à la décision de 2004, inflige à l'éditeur de Redmond une amende de 280,5 M€. Une sanction financière toutefois moins lourde que celle infligée en 2004, qui s'élevait alors à 497 M€. Cette première amende avait été versée suite au verdict de la Commission qui condamnait Microsoft pour abus de position dominante sur le marché des OS. Parmi les sanctions, la Commission avait également sommé l'éditeur de développer une version de Windows sans le Media Player et de fournir les protocoles de communications de ses OS serveurs. Aujourd'hui, la Commission sanctionne Microsoft pour ne pas avoir respecté ce dernier point selon le calendrier fixé initialement. L'éditeur a par ailleurs jusqu'au 18 juillet prochain pour soumettre une version finalisée de l'ensemble des documents techniques. A l'issue de cette date, Microsoft pourrait se voir infligé une pénalité journalière de 3M€. La Commission avait initialement menacé Microsoft d'une amende de 2 M€ par jour. Le montant de l'amende de 280,5 M€ est calculé sur une base de 1,5 M€ par jour, du 15 décembre au 20 juin. La Commission avait donné 120 jours à Microsoft pour se conformer à sa décision de 2004. En mars 2005, puis en juin dernier, à bout de nerf, elle avait menacé l'éditeur de sanctions financières supplémentaires. La semaine dernière, Bruxelles avait obtenu le feu vert des 25 régulateurs européens pour sanctionner Microsoft. Microsoft devrait tenir une conférence de presse cet après-midi. (...)
(12/07/2006 12:45:01)Google met son poids dans l'ODF Alliance
Google a officialisé ses relations avec le format ouvert ODF en ralliant l'ODF Alliance, consortium pour la promotion et la défense du standard bureautique Oasis. Une évolution naturelle pour le moteur de recherche qui à travers le rachat de Writely en mars dernier, supportait déjà le format. Plus en amont, Google avait noué un partenariat (dont les termes n'ont pas été clairement dévoilés) avec Sun, notamment autour de la promotion d'OpenOffice. Sachant que les équipes de développement de Sun participent activement au projet OpenOffice. En rejoignant l'ODF Alliance, Google se range aux côtés d'IBM, Red Hat, Oracle, Sun ou Novell, fervents supporters du format. Chacun a décidé d'appuyer ODF dans ses propres applications, notamment Workplace pour IBM et StarOffice pour Sun. Le moteur de recherche se positionne clairement en frontal à Microsoft, son format Open XML, et sa suite bureautique Office. La rumeur rapporte que Google préparerait une suite bureautique en ligne. Le Gartner dans une note expliquait qu'après Writely et Google SpreadSheets, Google devrait lorgner vers un outil de présentation en ligne, de type Powerpoint. Le cabinet citait www.thumbstacks.com comme cible potentielle. (...)
(11/07/2006 18:25:39)Offensive de Huawei en Europe
Selon notre confrère Les Echos, Huawei envisage de doubler ses ventes en Europe en 2006 pour atteindre les 850 millions de dollars. L'équipementier Chinois compte déjà Vodafone, KPN, BT, Tiscali, Télé 2... comme clients Européens. En France, les perspectives sont identiques. Le constructeur commercialise des équipements dsl chez Neuf Cegetel, Completel ou Axione, ou des équipements optiques notamment chez Free. Il est de plus fournisseur potentiel certifié chez France Télécom pour les équipements optiques et Ethernet. Si Huawei équipera prochainement SFR en mobiles 3G (les U 526), il souhaite rapidement monter en puissance sur le mobile et décrocher une commande d'un réseau 3G chez un opérateur national. L'effectif Français actuellement de 110 personnes devrait atteindre 140 d'ici la fin de l'année. Huawei réalise dorénavant 60% de son chiffre d'affaires à l'international et y emploie le quart de son effectif total (40 000 salariés). Son chiffre d'affaire total ne devrait progresser « que » de 34% pour atteindre 7,8 milliards de dollars cette année. (...)
(11/07/2006 17:19:55)France Télécom : amende record confirmée en appel
L'amende de 80 M€ à laquelle France Télécom a été condamné en novembre 2002 par le Conseil de la concurrence n'est pas démesurée. C'est ce que vient d'indiquer la Cour d'appel de Paris, confirmant ainsi les juges de première instance qui avaient condamné l'opérateur historique à payer ce montant record pour abus de position dominante sur le marché de gros du haut débit. L'affaire commence en 1999, avec une plainte déposée par Neuf Télécom. L'opérateur, entre autres doléances, reproche à FT "de ne pas permettre le libre exercice de la concurrence par des opérateurs tiers et d'abuser de sa position dominante sur le marché des services d'accès à haut débit via des technologies xDSL". En clair, France Télécom dispose d'un bon filon avec le haut débit. Tellement bon, qu'il serait dommage de le partager. De fait, selon les plaignants - Neuf Télécom a été rejoint par une cohorte d'opérateurs dans son action -, FT traîne des pieds notamment pour autoriser le dégroupage et l'interconnexion en mode ATM. Et pratique en outre des tarifs suffisamment élevés pour placer ses concurrents en position de dépendance économique. Le 7 novembre 2005, le Conseil de la concurrence sanctionne ces pratiques et inflige à France Télécom une lourde amende de 80 M€. Il considère que le comportement de l'opérateur historique "a eu pour effet de maintenir artificiellement son quasi-monopole sur le marché du haut débit par l'ADSL". Selon FT, "la décision du Conseil de la concurrence sanctionne des comportements et des tarifs pratiqués dans un cadre régulé par l'autorité sectorielle". Décryptage : c'est l'Arcep (ex-ART) qui aurait fixé les règles que France Télécom se serait contenté d'appliquer. Fort de cette ligne de défense, et dénonçant le montant inique de l'amende, FT interjette appel. La Cour d'appel de Paris a toutefois suivi les décisions des juges de première instance et considère que l'amende n'est ni démesurée ni disproportionnée "eu égard à la gravité des faits". (...)
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