Flux RSS
Business

9034 documents trouvés, affichage des résultats 8091 à 8100.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(17/07/2006 17:07:18)
Les suppressions d'emploi IT aux USA pourraient s'accentuer après leur décrue
Le cabinet d'outplacement (prestation d'accompagnement des personnes en recherche d'emploi) américain Challenger, Gray & Christmas prévoit une hausse des suppressions d'emploi IT au cours des prochains trimestres aux Etats-Unis. Il estime que les effectifs des entreprises pourraient être menacés par la chasse aux coûts internes que mènent les sociétés pour faire face à la hausse des prix de l'énergie et de la santé qui se manifeste outre-atlantique. "Bien que le marché des TIC se porte globalement bien, les emplois du secteur pourraient être touchés jusqu'à ce que les prix du pétrole commencent à baisser", a avancé James Pedderson, le porte-parole du bureau de Chicago. Selon lui, le marché de l'emploi IT devrait aussi continuer de pâtir des mouvements de fusions et d'acquisitions qui sont à l'origine de 36% des suppressions de postes sur la première moitié de l'année. Les suppressions d'emploi ont atteint leur plus bas niveau depuis 2000 Ces conjectures assombrissent les tendances très positives qu'a, par ailleurs, mis en évidence l'étude réalisée par Challenger, Gray & Christmas sur l'emploi. Cette enquête a montré qu'avec 29 226 emplois en moins enregistrés sur le marché au deuxième trimestre 2006, les réductions d'effectifs dans le secteur IT atteignaient leur plus bas niveau trimestriel depuis 2000, chutant par rapport à celles recensées au premier trimestre (39 379) et à la même période de l'année précédente (39 720). Au premier semestre 2006, les suppressions d'emploi auraient globalement baissé de 31% par rapport aux six premiers mois de l'année 2005. Parallèlement, le nombre d'offres d'emploi auraient fait un bond de quelque 184% au deuxième trimestre. Le chômage baisse en France, mais pas les plans sociaux . Ces tendances rejoignent celles que l'on voit se dessiner sur le marché français - dans des proportions certes bien moindres - au regard de la reprise des recrutements que connaît le secteur et du taux de chômage des informaticiens. Ce dernier est en baisse continue depuis le début de l'année avec 29 075 demandeurs d'emploi (code Rome 323, catégorie 1 ; Source Ministère de l'emploi) recensés en avril 2006 contre 33 452 en janvier. Malgré ces résultats positifs, le marché de l'emploi apparaît fortement exposé à la volatilité du secteur, comme l'a souligné Challenger, Gray & Christmas. Cette instabilité est palpable avec les plans de licenciements qui sont en cours ou à venir chez les plus grands du secteur informatique, tels Intel, Oracle et HP. (...)
(17/07/2006 17:07:14)SAP rate ses objectifs au deuxième trimestre
Après EMC, BO, AMD ou Lucent, c'est au tour d'un autre grand acteur du secteur IT d'annoncer qu'il n'atteindra pas ses objectifs. SAP, l'éditeur allemand de PGI, devrait en effet rater le consensus lors de la présentation des résultats de son deuxième trimestre. Le groupe indique qu'il table sur un chiffre d'affaires de 2,2 Md€, soit une progression annuelle de 9 %. Surtout, les ventes de licences - le meilleur baromètre pour estimer la santé de l'éditeur - devraient plafonner à 621 M€ et ne croître que de 8 % par rapport à la même période de l'année précédente. C'est là que le bât blesse : l'éditeur escomptait jusqu'alors une progression comprise dans une fourchette de 15 à 16 %. L'objectif est donc largement manqué. Le groupe explique cette contre-performance par une croissance faible de ses ventes en Europe et en Asie ainsi que par le report de la signature d'importants contrats sur le trimestre suivant. D'autres facteurs entrent également en jeu, et pourraient laisser croire que le ralentissement observé au T1 n'est pas q'un simple accident mais pourrait initier une tendance plus durable. En premier lieu la situation géopolitique mondiale, et ses conséquences sur l'économie, est instable. Elle pourrait inciter les entreprises à la plus grande prudence dans leur décision d'investir et les acteurs des TIC pourraient d'ores et déjà en faire les frais. En second lieu, et surtout, SAP souffre de la concurrence avec Oracle. Le PDG de l'éditeur allemand, Henning Kagermann, a ainsi indiqué que son groupe a cédé, au cours du trimestre, des parts de marché à Oracle. Certes peu - entre 1 et 2 % - mais suffisamment pour inquiéter les observateurs. En conséquence de ces éléments, et malgré une prévision de croissance inchangée pour l'ensemble de l'exercice, le cours de l'action SAP a dégringolé de près de 7%. (...)
(17/07/2006 12:43:10)Cegid signe un accord de distribution aux Etats-Unis
Cegid, l'éditeur lyonnais de logiciels de gestion, vient de signer un accord de partenariat avec l'entreprise américaine Point of Sale System Services (PSS), spécialisée dans la fourniture de solutions aux commerçants et détaillants de la mode et du commerce de détail. Cette opération permet au groupe présidé par Jean-Michel Aulas de renforcer sa présence aux Etats-Unis où sa filiale Cegid Corp. compterait environ 150 clients. PSS distribuera aux PME d'outre-atlantique Cegid Business Mode, la solution de Cegid destinée au secteur de la mode. Un domaine d'activité dans lequel le groupe français compte la majorité de ses clients américains. Selon le vice-président ventes et développement de PSS, cet accord "ne pourra être que bénéfique au développement [des] deux entités, en proposant une offre adaptée au métier du retail et de la mode positionnée parfaitement entre les grands ERP et les micro-solutions". (...)
(17/07/2006 14:22:38)Intel supprime 1000 postes d'encadrement
Intel se prépare à supprimer un millier de postes d'encadrement en conséquence des performances moyennes réalisées au cours des derniers trimestres. Ces licenciements font suite aux propos tenus en avril par le PDG Paul Otellini. L'homme fort d'Intel indiquait qu'il entendait mener "une réorganisation structurelle de grande ampleur". Selon un porte-parole du fabricant, les mille départs devraient avoir lieu au cours du mois de juillet. Ils ont pour objet de réduire le nombre de niveaux hiérarchiques, qu'Intel considère comme une entrave à la prise de décision. "Le nombre de nos directeurs a augmenté plus vite que le reste des salariés", a expliqué Paul Otellini. Les suppressions d'emplois sont également censées conduire à une meilleure communication interne et, surtout, à de substantielles économies, non détaillées par le groupe. Enfin, Intel a qualifié de spéculations les rumeurs annonçant de plus larges licenciements mais a ajouté que "l'analyse de la performance continuait". (...)
(17/07/2006 09:39:59)Alcatel-Lucent : Serge Tchuruk rassure
Le titre Alcatel chute en Bourse, Serge Tchuruk réagit. Dans un entretien à La Tribune, le PDG du groupe se veut rassurant : « l'opération (la fusion Alcatel-Lucent) sera relutive de façon importante pour Alcatel et ses actionnaires ». Pour les « non-financiers », cela signifie que la fusion aura un impact positif, à brève échéance, sur le bénéfice par action. Même si Lucent a lancé un avertissement sur ses résultats, « les perspectives économiques ont été calculées par rapport à une évaluation très prudente de Lucent ». Même s'il est trop tôt pour dire si le groupe ira au delà du 1,4 milliard d'économies annoncées, Serge Tchuruk est confiant : la fusion pourrait être bouclée avant la fin de l'année. Il confirme que 10% des effectifs en pâtiront, soit environ 9 000 personnes... sacrifiées sur l'autel de la compétitivité. (...)
(13/07/2006 17:13:36)Un client léger Windows pour les entreprises pauvres
Pas les moyens de racheter de nouveaux PC ? Microsoft vient de lancer officiellement Windows Fundamentals for Legacy PCs, une solution pour transformer les « vieux PC » en terminaux accédant aux applications hébergées sur un serveur. Le tout au moyen d'un protocole de type client léger, comme RDP chez Microsoft ou ICA de Citrix. Seuls quelques outils, tels qu'un visualisateur de fichiers ou des outils d'administration, seront disponibles en local. L'outil est basé sur la version embarquée de Windows XP, XP Embedded Service Pack 2. Ce qui, précise Microsoft, permet à ces vieux PC que l'entreprise n'aurait pas les moyens de remplacer d'accéder « à la stabilité et à la sécurité de la plate-forme Windows XP ». Au vu des pré-requis de XP Embedded, on notera qu'un vieux PC pour Microsoft doit avoir au minimum un Pentium 500 MHz et 128 Mo de mémoire vive. L'offre est accessible aux clients ayant souscrit le programme de licence Software Assurance. (...)
(13/07/2006 17:14:00)Roaming : Bruxelles se décide à légiférer
Après avoir multiplié les mises en garde et autres avertissements sans frais, la Commission européenne a décidé d'agir pour encadrer les tarifs pratiqués par les opérateurs sur le roaming, c'est-à-dire les appels passés ou reçus sur un téléphone portables depuis l'étranger. L'initiative est doublement importante : elle devrait concerner plus de 140 millions de voyageurs européens et tend à réguler un secteur dans lequel les prix pratiqués sont quatre fois supérieurs que les tarifs nationaux. L'UFC Que Choisir indiquait encore récemment que les marges appliquées par les opérateurs atteignent 80 % et que les trois opérateurs mobiles français ont engrangé 735 M€ de revenu en 2004 grâce aux tarifs appliqués aux touristes étrangers en voyage en France. Forte de ces données, et après quelques coups de semonce, la Commission européenne indiquait, en mai 2006, qu'elle se fixait pour objectif la suppression pure et simple des tarifs d'itinérance. Une intention évidemment mal acceptée par les opérateurs européens qui scrutent d'un mauvais oeil toute initiative visant à amputer une partie du marché de 8,5 Md€ dont ils jouissent allégrement. Soucieux de séduire et rassurer l'exécutif européen, ils se fendaient, en juin, d'une déclaration d'intention sur la baisse de leurs prix. La Commission n'a toutefois pas été émue par l'apparente bonne volonté des acteurs mobiles et, face à des tarifs d'itinérance cinq fois supérieurs au coût réel de la prestation, vient d'accoucher d'une proposition de règlement. S'il n'est plus question de supprimer purement et simplement les tarifs de roaming, la Commission entend les encadrer strictement. Le texte présenté par Viviane Reding, la commissaire à la société de l'information, et Juan Manuel Barroso, le président de la Commission, s'attaque à la fois aux tarifs de gros, pratiqué entre opérateurs, et à ceux de détail, applicables aux consommateurs. En ce qui concerne les tarifs de gros, l'organe exécutif communautaire propose un plafonnement se basant sur les prix de connexion d'appels mobiles à partir d'autres réseaux nationaux. Les opérateurs seraient ensuite autorisés à appliquer une marge de 30 % à ces tarifs pour déterminer le niveau de facturation de détail. Selon l'UFC Que Choisir, un Français en déplacement en Europe ne paierait plus que 0,49 € par minute pour un appel passé vers un autre pays européen, contre un euro actuellement. S'il émet dans le pays visité, la facture ne dépasserait pas 0,33 €, contre un euro. Enfin, s'il reçoit un appel, il ne paierait que 0,165 €, contre 0,35 à 0,47 € aujourd'hui. Au final, les consommateurs économiseraient, d'après les estimations de la Commission, près de 5 Md€ par an pour un volume de communication inchangé. Les opérateurs, de leur côté, seraient toujours en mesure de mener une activité génératrice de marge. Pour autant, ils ne goûtent guère l'initiative de la Commission. Par la voix de la GSM Association, ils rappellent qu'ils ont largement réduit leurs tarifs d'itinérance depuis le début de l'année 2006 et estiment que la régulation proposée nuirait à la fois au marché et aux consommateurs. Le règlement, s'il est adopté, serait applicable immédiatement pour les tarifs de gros. Six mois plus tard, les dispositions relatives aux prix de détails seraient à leur tour mises en place. Il reste maintenant au Parlement européen et au Conseil des ministres de l'UE à se pencher sur le sujet. Rappelons qu'un règlement, à la différence d'une directive européenne, est d'applicabilité immédiate dans les Etats membres et qu'il ne nécessite pas de transposition dans les législations nationales. Autre rappel utile : rien ne changera pour les touristes cet été. (...)
(13/07/2006 17:13:16)CA ajoute la récupération de données de XOsoft à BrightStor
Presqu'un mois après s'être payé les outils de gestion d'enregistrements de MDY, CA jette son dévolu sur un spécialiste de la protection de données, XOsoft. Ce dernier édite WANSync High Availibility, une solution de récupération, synchronisation et réplication de données. Pour CA, protéger ses données en ayant recours uniquement à la sauvegarde ne constitue pas une mesure de sécurité suffisante. C'est donc très logiquement, "et pour se rapprocher des besoins des utilisateurs", que l'éditeur a cherché à se doter d'une brique logicielle garantissant aux utilisateurs une haute disponibilité. D'ici à septembre, CA entamera alors l'intégration de la technologie WANSync à BrighStor ARCServe Backup, solution de sauvegarde de la marque. Puis d'ici deux ans, CA compte migrer l'ensemble vers son projet encore en développement Recovery Manager. Xosoft n'est pas un inconnu dans le monde de la récupération de données. BMC avait, en janvier dernier, opté pour sa technologie WANSync pour équiper SQL Backtrack. Le montant de la transaction n'a pas été communiqué. (...)
(13/07/2006 17:11:54)PGI : la SAP Academy démarre à l'ESCEM
Face à la pénurie de consultants métier SAP que constatent les intégrateurs sur le marché, l'éditeur monte la « SAP Academy » pour former de nouveaux virtuoses du PGI. Il estime qu'il manquerait environ 1000 consultants (sur un total de 8000 emplois générés dans l'écosystème SAP, selon l'éditeur) pour répondre aux besoins. La première promotion sera accueillie par le département de formation continue de l'ESCEM (Ecole supérieure de commerce et de management Tours-Poitiers) qui travaille avec SAP à l'élaboration d'un cursus pilote, qui doit démarrer au mois d'octobre prochain, si tout va bien. "Les délais sont très serrés et nous allons devoir plancher rapidement sur les contenus et les modalités de la formation", soulignent de concert les acteurs concernés. L'enseignement sera en tout cas centré sur la gestion financière et déroulé sur trois mois (60 heures). Une trentaine d'heures de cours seront assurés par l'ESCEM sur les concepts et les techniques de gestion. L'autre moitié du cursus sera dispensée par des formateurs SAP et consacrée à se former sur le PGI. Ses premiers bénéficiaires (un groupe de 15 à 20 personnes) seront des collaborateurs de SSII partenaires de l'éditeur. Bénéficier des aides au financement de la formation continue Parallèlement à cette première opération, SAP prospecte d'autres écoles pour développer des cursus de même type. Il est en discussion avec l'EPSI (Ecole privée des sciences informatiques) et l'UTC (Université de technologie de Compiègne) dans cette optique. L'objectif est de former plusieurs centaines de consultants le plus rapidement possible pour assurer le déploiement de ses solutions. Il suit les traces de son concurrent Oracle qui a lancé une opération aux objectifs similaires cet hiver, mariant le recrutement et une formation de consultants métiers sur ses applications de gestion intégrées. L'Américain a pris comme option de dispenser cette formation en interne avec quatre partenaires SSII. SAP a de son côté choisi de s'adosser aux écoles afin de s'appuyer sur leur image et d'intégrer le système de la formation professionnelle continue. Cela permet aux sociétés qui souhaitent envoyer des collaborateurs en formation de bénéficier des aides au financement qui sont prévues dans ce cadre. Les dispenser dans des établissements d'enseignement supérieur reconnus est aussi la condition pour pouvoir prétendre, à terme, à ce que les cursus montés deviennent diplômants, ce qui est l'autre ambition de l'éditeur. Pour les écoles concernées, l'intérêt est clair. Il y a le projet pédagogique et l'enjeu économique." A un moment où les compétences SAP sont très demandées, cette collaboration constitue une opportunité de développer les départements de formation continue qui contribuent au financement des cursus d'enseignement initial", explique Fatima Megdoud, professeur de systèmes d'information, responsable du département management, systèmes et stratégies de l'ESCEM. (...)
(13/07/2006 12:37:50)Etude : les DSI américains regrettent l'externalisation
Et si l'externalisation n'était pas l'Eldorado tant vanté ? Si l'étude publiée par DiamondCluster International ne met en lumière aucune révolution, elle illustre néanmoins le ralentissement du recours à l'externalisation par les entreprises IT. Selon l'institut, les DSI américains sont de plus en plus nombreux à réaliser qu'ils font une erreur en recourant à l'outsourcing de façon prématurée. Certains se mettent même à rapatrier une partie des tâches précédemment confiées à des tiers. C'est le cas de Nissan Amérique du Nord : le constructeur s'était tourné vers IBM en 1999 pour un contrat d'externalisation estimé à 1 Md$. En avril 2006, Nissan indiquait qu'une partie des postes confiés à Big Blue étaient retournés dans son propre giron. La même étude avait été réalisée il y a deux ans. A l'époque, aucun responsable IT ne songeait à diminuer le recours à l'externalisation. En 2006, ils sont 9 % à envisager cette possibilité. Les raisons de ce léger revirement sont variées : certains groupes externalisent trop rapidement et ne confient pas les bonnes activités à leurs co-contractants, d'autres n'étaient simplement pas préparés à franchir le cap, d'autres enfin choisissent des prestataires inadaptés. Reste que le recours à l'externalisation continue de progresser, certes à un rythme qui s'essouffle. 64 % des DSI interrogés indiquent qu'ils entendent augmenter la part de leur activité confiée à un prestataire dans les prochains mois. En 2004, ils étaient 86 % à faire la même réponse. Autre élément intéressant : 47 % des sondés ont mis une fin prématurée, au cours de l'année écoulée, à un contrat d'externalisation. Ils n'étaient que 21 % en 2004. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |