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(11/07/2006 16:53:59)

SAP Business One s'enrichit avec Praxis

Business One, l'offre progicielle de SAP pour les PME, s'étoffe de deux modules pour monter des boutiques de commerce en ligne et faire de la gestion de la relation client (GRC) en mode hébergé. Les deux fonctionnalités sont intégrées suite au rachat de Praxis, partenaire américain de longue date de l'éditeur allemand, riche d'une centaine de références clients. NetPoint Commerce offre la possibilité de bâtir des boutiques en ligne à partir des produits et des listes de prix contenus dans Business One, tandis que NetPoint Focus étend les fonctions GRC de Business One pour un usage à partir du Web. Cette transaction, dont le montant n'a pas été dévoilé, s'inscrit dans la logique de l'éditeur qui complète son offre avec des acquisitions plutôt modestes et très ciblées. (...)

(11/07/2006 12:28:06)

Microsoft étend Business Ready Licensing au reste du monde

En ouverture de sa conférence annuelle partenaire Worldwide Partner Conference (WPC), Microsoft a annoncé que sa gamme progicielle Dynamics serait désormais disponible sous un modèle de tarification "à l'utilisateur". Après avoir été testé en Europe, ce modèle de prix est désormais appliqué à l'ensemble du réseau mondial de partenaires de Microsoft. Dynamics, nom générique chez l'éditeur de Redmond pour désigner son offre PGI -Navision, Great Plains (non-commercialisé en France), Axapta et Solomon - était jusqu'alors commercialisé auprès de partenaires certifiés Microsoft, selon une tarification "aux modules". L'idée, explique Microsoft, est de "faciliter la revente chez nos partenaires, en leur proposant la possibilité de commercialiser nos produits sous forme de suite". "Au lieu d'aider nos clients à choisir parmi plus d'un millier de formules différentes reposant sur des centaines de modules", l'éditeur de Redmond affirme avoir réorganisé son modèle de licence pour se caler au plus près des besoins des entreprises. Disponible dès le 1er août, Business Ready Licensing, nom de baptème du modèle, se déclinera selon trois formules : la moins coûteuse (annoncée à 2 250 $, prix de départ), Dynamics Business Essentials, puis Dynamics Advanced Management et enfin Dynamics Advanced Management Enterprise ERP. Chaque application pourra être vendue sous une de ces trois éditions : Navision (Dynamics NAV), Great Plains (Dynamics GP), Axapta (Dynamics AX) et Solomon (Dynamics SL). Dynamics CRM devrait être inclus dans l'offre au cours des douze prochains mois. Enfin, Microsoft précise que les clients ayant déjà opté pour le modèle basé sur une tarification au module pourront au choix migrer vers une édition Business Ready Licensing ou préserver leur formule. (...)

(11/07/2006 12:28:30)

EMC n'atteindra pas ses objectifs

EMC, le spécialiste américain du stockage, vient d'annoncer qu'il révisait à la baisse ses prévisions pour le résultat du deuxième trimestre. Alors que le groupe tablait jusqu'alors sur un chiffre d'affaires de 2,66 Md$, il se ravise et n'anticipe plus qu'un revenu de 2,575 Md$. De même, le bénéfice net par action devrait s'élever à 12 cents, contre 13 fixés antérieurement par le numéro un du stockage. En cause : l'incapacité du groupe à satisfaire l'ensemble de la demande. En particulier pour sa baie haut de gamme Symmetrix DMX-3, présentée il y a un an. EMC reconnaît n'avoir pas su anticiper l'engouement de ses clients pour ce produit et, en conséquence, avoir conservé un niveau de stocks insuffisant pour traiter l'ensemble de la demande. Joe Tucci, le PDG du groupe, tempère toutefois ce constat en soulignant l'arrivée tardive des commandes. Parallèlement, la demande pour la version DMX-2 évolue à la baisse. Dans la foulée de cette annonce, le cours du titre EMC perdait près de 7% à Wall Street. Et il entraînait dans sa chute les principales valeurs des autres grands acteurs du stockage : HP reculait ainsi de 4 %, IBM de 0,7% et Dell de 2%. Les résultats définitifs pour le deuxième trimestre seront publiés le 14 juillet. (...)

(10/07/2006 18:19:31)

Oracle France licencie

Oracle supprime 37 emplois en France (1344 collaborateurs au total), des postes au sein des services administratifs, marketing et chez les consultants en télécoms. L'éditeur de bases de données a lancé un Plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) au début du mois de juin et aimerait le mener à échéance le plus vite possible, afin notamment de « pouvoir commencer ses reclassements sur des postes ouverts en interne ». Ce plan de licenciements intervient suite à la fermeture de l'unité de Consulting Wireless de Sophia-Antipolis qui comptait dix personnes, une entité qui a toujours été vouée à n'avoir qu'une existence temporaire, selon Oracle France. La direction explique que cette unité a été lancée comme une entité pilote destinée à soutenir le développement de l'entité polonaise, aujourd'hui parfaitement opérationnelle dans la prise en main de projets internationaux. Les suppressions de postes sont aussi le résultat de la centralisation progressive des fonctions marketing et administratives (la DAF européenne se concentre à Bucarest et à Dublin) à l'échelle européenne pour des raisons de rationalisation des coûts et d'économies d'échelle. « Ces mesures sont déconnectées de nos résultats de Oracle France », explique Edith Legrand, la directrice des ressources humaines. Le bras de fer s'engage avec les syndicats Les syndicats dénoncent des suppressions de poste intervenant dans un contexte de « résultats époustouflants et justifiés par aucun argumentaire économique ». Ils accusent aussi la direction de « tenter » un passage en force de son plan social, « pour avoir le champ libre pendant la période estivale ». Oracle répond que le PSE a été lancé à cette période parce que cela coïncide avec le début de son année fiscale (1er juin), moment de lancement des grandes organisations et de la finalisation de la fusion avec Siebel. La direction a ouvert la deuxième réunion du Livre III (procédure d'information-consultation qui porte notamment sur les critères de licenciement du projet de plan de sauvegarde de l'emploi). Elle devra attendre l'avis du Comité d'entreprise pour fermer la troisième réunion du livre III et démarrer les reclassements. L'avancée de la procédure pourrait traîner au vue du bras de fer qui semble s'engager avec les syndicats. Suite à la proposition de la deuxième réunion du Livre III, l'intersyndicale CFDT/CFE-CGC/CFTC/CGT/FO regrettait que « de nombreuses questions concernant la pertinence économique du projet de la direction n'aient vu aucune réponse à ce jour (6 juillet, NDLR). Elle considérait donc que la poursuite du processus dans ces conditions était totalement abusive, illégitime et qu'elle ne leur permettait pas de rechercher des solutions de sauvegarde de l'emploi ». (...)

(10/07/2006 18:13:47)

L'été chaud de BO : les ventes de licences s'orientent à la baisse

L'été s'annonce difficile pour Business Objects qui doit revoir ses prévisions de résultat pour le deuxième trimestre à la baisse et digérer le terme, mis par SAP, à l'accord qui unissait les deux groupes. Les résultats préliminaires du deuxième trimestre sont "décevants et en-dessous de nos estimations", note le PDG de BO, John Schwartz. Alors qu'en avril BO tablait sur des revenus compris entre 295 et 300 M$ pour le T2, le groupe n'escompte plus qu'un CA de 287 à 291 M$. Ce sont les ventes de licences plus faibles que prévues qui contribuent à ce recul. Selon John Schwartz, elles devraient chuter de 6 % sur un an, pour s'inscrire entre 116 et 118 M$. BO explique cette contre-performance par sa difficulté à finaliser certains contrats de grande échelle : "ils sont naturellement plus complexes, impliquent davantage d'utilisateurs, de produits, et nécessitent plus de services et de travail d'intégration", poursuit le PDG. Cette annonce a immédiatement refroidi les observateurs : le titre dégringolait de plus de 20 % au Nasdaq dans les heures qui suivaient. Fin de l'accord avec SAP Autre point noir pour BO : la fin de l'accord de licences et de revente qui le liait à SAP et par lequel des briques de l'outil de reporting Crystal Reports étaient intégrées dans SAP NetWeaver BI. Le partenariat s'était noué en 2001, alors même que Crystal Decisions, l'éditeur de Crystal Reports, n'appartenait pas encore à BO. "Nos clients demandent de plus en plus des fonctions de reporting formatées intégrées nativement dans NetWeaver BI, explique Jason Loesche, le porte-parole de l'éditeur allemand. SAP a pris en considération cette demande dans la dernière version de NetWeaver. En conséquence de la sortie de ce produit, SAP a décidé de cesser son partenariat avec Business Objects". L'alliance BO/SAP prendra officiellement fin le 30 septembre. (...)

(10/07/2006 18:21:29)

BPM : seuls 25 des 150 éditeurs survivront jusqu'en 2008, prévient Gartner

Gartner a livré l'édition 2006 de son quadrant magique sur les suites de BPM (Business Process Management, gestion des processus métier). Verdict : 17 éditeurs retenus, dont quatre seulement dans la catégorie Leaders : Fuego (racheté par BEA), Savvion, Pegasystems et Lombardi. La sélection a été rude, indique le cabinet d'analystes : il fallait posséder au minimum 7 des 10 fonctions requises par Gartner. Certaines de ces fonctions pouvaient d'ailleurs être fournies par des partenaires. Quoi qu'il en soit, sur les quelque 150 éditeurs de BPM, 17 ont donc été retenus pour cette étude, et Gartner estime que seuls 25 auront les reins assez solides pour se développer en tant qu'éditeurs de suites de BPM et exister encore en 2008. Ce sera alors un marché extrêmement répandu : Gartner voit le chiffre d'affaires en licence atteindre le milliard de dollars en 2009. L'expérience utilisateur parmi les premiers critères Les critères les plus importants de cette étude concernent la façon dont les produits gèrent les différents rôles des utilisateurs auxquels ils se destinent. Gartner indique donc avoir sévèrement noté « l'expérience utilisateur ». Partant, la façon dont la suite peut s'intégrer avec un produit partenaire pour couvrir une fonctionnalité est aussi importante. Le cabinet a également donné un poids élevé aux notes concernant la tarification et la capacité à vendre le produit, considérant ces critères comme des éléments essentiels pour développer ses parts de marché. Dans leur ensemble, les éditeurs distingués comme leaders « excellent à permettre un haut degré de collaboration entre utilisateurs métier et informaticiens [...] ». Dans cette catégorie, Gartner apprécie l'ergonomie de Fuego pour les gens du métier, et juge que le rachat par BEA a donné des gages quant à sa viabilité. La cabinet félicite Savvion pour son référentiel de processus, qui facilite la réutilisation, et s'avoue impressionné par la croissance de Lombardi et ses références clients. Enfin, Pegasystems fait une utilisation remarquée de sa technologie de moteur de règles métier, qui élimine des tâches de programmation complexe, et a la bonne idée de proposer une riche collection de processus pré-construits pour différents secteurs verticaux. Quelques autres acteurs dignes d'attention Dans la catégorie Challengers du quadrant magique, viennent Fujitsu, FileNet, MetaStorm et Global360. Dans la catégorie Visionnaires, IBM, Adobe, Tibco et Appian. Enfin dans la catégorie Acteurs de niche : Ultimus, Graham Technology, Axway, CA et Singularity. Le cabinet tente par ailleurs d'attirer l'attention sur quelques-uns des éditeurs qu'il n'a pas sélectionnés, trouvant leur offre ou leur stratégie digne d'intérêt. Il en va ainsi des spécialistes qui ne concurrencent pas directement les éditeurs de suites, préférant se concentrer sur de l'OEM ou des secteurs verticaux : ACI Worldwide, Autonomy/Cardiff, DST, Exigen Group, Northrup Grumman. Autre catégorie à surveiller, précise Gartner, celle des suites en cours de construction, chez Cordys, HandySoft, Oracle, SAP et SourceCode/K2. (...)

(10/07/2006 12:43:51)

Ecrans, fin d'une ère: les 15 pouces et les CRT au rebus

Haro sur le LCD 17 pouces. C'est la stratégie qu'ont décidé d'appliquer Apple et BenQ, deux des principaux constructeurs d'écrans, après avoir stoppé la production d'écrans à tube cathodique (CRT) pour le premier, et celle des 15 pouces LCD, désormais trop désuets, pour le second. Au delà d'une technologie vieillissante -selon Apple-, les deux constructeurs invoquent la fin d'une époque et une mutation des tendances chez les utilisateurs à préférer la technologie LCD et les écrans plus larges et moins volumineux. Vient ensuite que le prix des LCD 17" a considérablement chuté, entraînant une plus large adoption dans les foyers. Une adoption tirée notamment par les gros constructeurs - à l'image de Dell - qui présentent dans leurs catalogues des configurations à bas prix incluant un LCD 17 pouces. Cet ensemble de facteurs a provoqué une banalisation de l'écran LCD 17 pouces, et en a finalement fait un standard du marché, commente BenQ. Si le coût du LCD reste encore supérieur à celui du CRT, "la construction de nombreuses usines en Chine depuis 2000 devrait entraîner une chute des prix", considèrent les analystes. Une chute des prix et un élargissement du standard, vers le 19 pouces. (...)

(07/07/2006 18:17:49)

Vaste réorganisation de la direction d'eBay

Le jeu des chaises musicales a la cote chez eBay. Le groupe spécialisé dans l'e-commerce, et récemment inquiété par l'irruption de Google dans le paiement en ligne avec Checkout - un service pensé pour concurrencer Paypal et dont l'usage est interdit sur eBay-, vient en effet de procéder à une série de nominations aux postes-clefs. Le premier à tirer sa révérence est Jeff Jordan, jusqu'alors président de Paypal. Il avait dirigé la division nord-américaine d'eBay de 2000 à 2004 et était pressenti pour devenir le PDG du groupe. Dans un communiqué, il affirme toutefois vouloir passer davantage de temps au sein de sa famille (un besoin chronique chez les dirigeants américains écartés de leur poste). Son remplaçant sera Rajiv Dutta, l'ancien directeur financier et responsable stratégique de Skype. Depuis le début de l'année, il occupait la présidence de l'activité ToIP du groupe eBay. A ce poste, il sera remplacé par Alex Kazim, l'actuel vice-président produits de Skype. Les mutations ne touchent pas seulement la branche paiement du groupe. Ainsi, Lorrie Norrington, la PDG de Shopping.com, prend la présidence d'eBay International. Elle remplace Matt Bannick, qui se consacrera dorénavant aux activités philanthropiques d'eBay. (...)

(07/07/2006 18:17:30)

Sécurité sans-fil : Cisco se paye Meetinghouse

Cisco met la main sur Meetinghouse Data Communication, un éditeur spécialiste de la sécurité des réseaux. L'acquisition - d'un montant de 43,7 M$ - devrait permettre à Cisco d'ajouter à son catalogue un outil de sécurisation des réseaux sans-fil "qui interdit à tout périphérique non-autorisé l'accès à un réseau", explique Cisco. Les solutions EAGIS de Meetinghouse permettent en effet la gestion des accès réseau basés sur le standard IEEE 802.1x. Cette opération entre dans le cadre de la stratégie développée par Cisco d'intégrer les applications de sécurité dans son matériel, une initiative nommée Self-Defending Network. "Cisco cherche toujours des moyens de renforcer sa sécurité", explique Zeus Kerravala, vice-président pour l'infrastructure d'entreprise au Yankee Group. Meetinghouse a été fondé en 1988 et compte 77 salariés. L'acquisition doit être finalisée d'ici à la fin octobre. Meetinghouse sera intégrée à la division "Sans-fil" de Cisco. (...)

(07/07/2006 18:17:10)

AMD revoit ses prévisions trimestrielles à la baisse

AMD a revu ses prévisions de ventes à la baisse pour le deuxième trimestre en raison de ventes de processeurs pour ordinateurs portables et de bureau inférieures à ses précédentes estimations. Le deuxième fabricant mondial de microprocesseurs a ramené sa prévision de chiffre d'affaires à 1,215 Md$ pour le T2, soit environ 9% de moins qu'au trimestre précédent. AMD espérait, dans son estimation initiale, que le ralentissement du marché des PC n'engendrerait qu'une stagnation séquentielle des ventes voire une légère diminution. AMD, comme Intel, doit faire face à une période traditionnellement calme, peu propice aux achats d'ordinateurs. Selon la SIA (Semiconductor Industry Association), les ventes de composants pour PC grand public ont reculé de 2% sur un an pour le mois de mai. AMD doit également composer avec la politique de tarification agressive d'Intel qui, en revoyant ses prix à la baisse, fait baisser la demande pour les produits concurrents. Tout n'est pas noir pourtant pour Advanced Micro Devices. Le groupe, sur le deuxième trimestre, enregistre en effet de fortes ventes d'Opteron à la faveur d'une demande soutenue en processeurs pour serveurs et stations de travail. Un constat d'autant plus remarquable qu'il intervient seulement deux mois après l'annonce de Dell d'équiper ses serveurs haut de gamme en Opteron. AMD publiera ses résultats trimestriels le 20 juillet. (...)

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