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(07/07/2006 18:14:49)

Aux Rencontres Mondiales du Logiciel Libre, Mandriva se ressource

Ambiance studieuse et anglophone pour Mandriva (photo), lors de ces septièmes Rencontres Mondiales du Logiciel Libre, actuellement en cours à Vandoeuvre-lès-Nancy (Lorraine). L'éditeur français de la distribution Mandriva Linux a profité de l'évènement pour rassembler le noyau dur de ses programmeurs, ceux-là même qui travaillent sur la version dite Cooker, et donc toujours en développement, de la distribution. Une chance, pour des gens qui ne communiquent en général que par e-mail ou IRC, de se rencontrer dans la vraie vie. Et David Barth, directeur technique chez Mandriva, de confirmer encore une fois qu'il a avec lui « de très bonnes équipes, des gens qui savent très bien leur métier, que j'épaule et planifie. Cette rencontre est l'occasion de remettre de l'humain dans le process ». Cette année, la réflexion a essentiellement porté sur « le rôle des contributeurs extérieurs à l'éditeur, comment déléguer des responsabilités, comment confier la maintenance de logiciels stratégiques à des personnes tierces, et la modernisation de nos plates-formes de développement », résume David Barth. La Corporate Server 4 disponible mi-septembre Mandriva a aussi peaufiné avec ses équipes la future Corporate Server 4 (CS4), sa distribution pour serveurs d'entreprise : « elle sera disponible le 15 septembre. La période de bêta-test, depuis mai, auprès de 300 de nos partenaires et clients, nous a fait remonter de nombreuses félicitations pour les versions choisies des logiciels middlewares et serveurs que nous y avons intégrées », se félicite le directeur technique. Un effort conséquent a aussi été réalisé au niveau de la reconnaissance du matériel : « on est vraiment blindé là-dessus, grâce à la base de la MandrivaLinux 2006, sur laquelle est construite cette Corporate Server 4, indique-t-il. En plus, notre partenariat très fort avec Intel nous a permis de la tester aussi sur des machines Intel à sortir l'année prochaine ». Les partenariats sont d'ailleurs un des points forts de CS4 : le très attendu Oracle est enfin un des éditeurs partenaires officiels de Mandriva, en plus des traditionnels Citrix, Websphere, MySQL, etc... La virtualisation directement dans le noyau « Mandriva CS4 sera aussi la première distribution à intégrer, directement dans son noyau, plusieurs technologies de virtualisation : Vmware et Xen, mais aussi OpenVZ », souligne David Barth. L'idée selon le technicien étant enfin de fournir une brique de base sur laquelle déployer facilement middlewares et services, activables très facilement grâce à une segmentation poussée. Mandriva a également conçu un nouvel installeur adapté à cette logique modulaire : « ce nouvel installeur préfigure ce que sera notre prochaine interface ConsoleWeb : une nouvelle implémentation de Webmin, qui sera d'ailleurs compatible avec les modules existants de ce dernier, mais plus complète car Webmin n'était pas assez évolué pour certains de nos clients », explique David Barth. Enfin, c'est quelques semaines plus tard, fin octobre, que sortira le pendant utilisateur de CS4, à savoir Corporate Desktop 4. Outre une nette amélioration des services LDAP pour le paramétrage centralisé, elle intégrera le dernier serveur graphique Xorg, doté de spectaculaires technologies de bureau 3D : un gadget, certes, « mais qui intéresse beaucoup les entreprises, selon David Barth, car elles facilitent l'adoption de Linux par les utilisateurs finaux en entreprise, parfois réticents à changer d'environnement ». Pour David Barth et ses équipes, la rentrée promet d'être chargée. (...)

(07/07/2006 12:36:28)

Java: Genuitec teste le rapprochement de Swing et d'AWT

Genuitec rend disponible une version de test de son environnement de développement intégré bâti sur Eclipse, MyEclipse 5.0, qui devrait embarquer un module d'interface graphique reposant sur NetBeans. Lequel est le concurrent direct d'Eclipse, dans le développement Java, soutenu par Sun. Annoncé à l'occasion de EclipseCon en mars dernier, le plug-in Matisse4MyEclipse constitue une implémentation de Matisse, module de création d'interface utilisateurs de NetBeans, pour l'EDI MyEclipse de Genuitec. Sa particularité : il mixe les composants graphiques des deux mondes, Swing de NetBeans et AWT d'Eclipse. Avec pour objectif de générer des contrôles AWT à partir d'éléments Swing, précise Genuitec. MyEclipse 5.0, dont la version finale est attendue en août, sera commercialisé sous forme d'abonnement pour 31,75$ à l'année en édition standard, et 51$ à l'année en édition professionnelle. (...)

(07/07/2006 10:51:46)

Sun et Imation collaborent sur le stockage sur bande

Sun Microsystems et Imation ont décidé de collaborer pour développer un nouveau lecteur de bandes, baptisé Sun StorageTek T9840D. Les capacités de ce futur produit seront logiquement accrues par rapport aux solutions existantes. Surtout, il intègrera des éléments de sécurité. Le T9840D permettra d'accroître la volume de stockage des cartouches de 75 Go, tout en conservant leurs caractéristiques de vitesse et de fiabilité, a indiqué Sun. De plus ce nouveau lecteur encodera, au niveau matériel, les informations sur des cartouches asservies en écriture. La T9840D est attendue pour 2007. Il sera compatible avec les médias 9840 existants. Aucun élément tarifaire n'a été communiqué. (...)

(06/07/2006 18:07:57)

Recrutement : Crit reçoit les informaticiens à Lille

Le groupe de travail temporaire Crit (360 agences en France) a ouvert un département recrutement à Lille, conformément à ce que lui permet la loi de cohésion sociale de janvier 2005, qui a ouvert une brèche dans le monopole des cabinets spécialisés. Ayant de plus en plus de demandes d'informaticiens de la part de ses clients, il organise le 12 juillet (entre 9h et 12h) une matinée dédiée aux métiers de l'informatique afin de rencontrer des candidats et de leur présenter des postes. Comme il le signale, le marché étant plus tendu qu'auparavant, ce type d'actions s'avère nécessaire pour aller chercher les candidats qui sont moins nombreux à postuler spontanément. Crit a notamment une centaine de postes d'ingénieurs en informatique à pourvoir en CDI (dont 70% en région Nord) pour le compte de deux grandes SSII nationales implantées en région. Il cherche en particulier des futurs ingénieurs « études et développement », « développement de systèmes », « étude de grands projets internationaux » et « développeur de produits de messagerie », des personnes qui sont débutantes ou avec une première expérience et qui maîtrisent l'anglais. Le recruteur travaille parallèlement avec des entreprises utilisatrices (70% de PME et 30% de grands comptes au niveau national) qui ont elles aussi besoin d'informaticiens. Les postes sont plus ouverts pour ces typologies d'entreprise qui recrutent également des profils de niveau Bac + 2, par exemple pour des postes des techniciens réseaux et des techniciens hotline. Cette diversité de clientèle constitue d'ailleurs l'une des particularités des acteurs venant du travail temporaire par rapport aux cabinets de recrutement traditionnel. « Nous avons des clients dans tous les secteurs d'activité et de toutes les tailles et entretenons des liens de proximité avec eux. C'est ce qui constitue l'une de nos valeurs ajoutées pour les candidats», estime-t-on chez Crit. (...)

(06/07/2006 18:07:53)

Marché des ESB : Cape Clear et BEA distingués par Forrester

Pour Forrester, Cape Clear et BEA Systems se situent en tête du peloton dans la catégorie des ESB (Enterprise services bus). Ces bus applicatifs fournissent l'infrastructure nécessaire pour rendre accessibles à l'ensemble du système d'information les services applicatifs, et cela où qu'ils soient déployés. Les ESB implémentent un certain nombre de standards sur la connexion, le mode d'invocation, la transformation du contenu, le routage... Les services plus évolués concernent l'orchestration des services, la capacité à annuler des transactions tout en maintenant la cohérence du système, les contrôles d'accès, la gestion de la qualité de service, un système d'annuaire de services, des outils de diagnostic... Forrester a utilisé en tout une centaine de critères pour comparer huit offres du marché. Ces éditeurs ont été choisis parce qu'ils proposaient un ESB autonome (indépendant du reste de leur offre), présentaient des références clients et avaient « une présence tangible sur le marché ». Software AG et IBM, nouveaux entrants performants Nouveaux venus selon ces critères, Software AG et IBM se classent directement dans la catégorie des leaders, « illustrant la capacité des grandes organisations à aligner rapidement de nouvelles fonctionnalités ». Le cabinet souligne notamment l'intérêt de l'ESB de Software AG en liaison avec le référentiel CentraSite et pour la connexion à de l'existant mainframe. Parmi les autres éditeurs distingués comme leaders, Sonic est remarqué pour son offre mature et riche (surtout avec le rachat d'Actional, par Progress, la maison-mère de Sonic, qui fournit une suite d'outils d'administration) à un prix raisonnable. Autre vétéran du middleware, Iona a su avec Artix « établir une niche dans le haut de gamme du marché ». PolarLake handicapé par une stratégie limitée Des deux maillots jaunes, Cape Clear a « l'une des implémentations disponibles les plus complètes de la couche de services Web », et a su conquérir un marché plus important que ne le laisse supposer sa taille. Tandis qu'AquaLogic Service Bus, l'ESB de BEA Systems, a séduit Forrester, qui souligne toutefois que toutes les dépendances envers WebLogic, le serveur d'applications, n'ont pas encore été éliminées. En queue de peloton viennent des acteurs tout de même qualifiés de « strong performers », donc des acteurs sérieux : Fiorano Software, un éditeur déjà ancien sur le marché mais handicapé par sa petite taille, et PolarLake, autre spécialiste de l'intégration depuis plusieurs années. Mais la stratégie de PolarLake a été de surtout se concentrer sur la simplicité d'utilisation, déplore Forrester, aux dépens de la couverture en profondeur de la couche de standards des services Web. Au classement général, c'est tout de même PolarLake qui obtient la note de la meilleure offre, avec 4,38 sur 5. La meilleure présence sur le marché appartient à IBM (note de 4,84 sur 5) et la meilleure stratégie revient à Software AG (4,44 sur 5). (...)

(06/07/2006 12:00:32)

Faillite : SGI veut sortir la tête de l'eau en septembre

Silicon Graphics a présenté son plan de réorganisation et espère sortir de sa situation de faillite en septembre. Le fabricant de stations de travail hautes performances, qui accumulait les pertes depuis les années 2000, a récemment déposé son bilan et s'est placé sous la protection du "chapitre 11", la loi américaine sur les faillites, pour renégocier sa dette avec ses créanciers. Le plan proposé par SGI, visant à faire sortir le groupe de la faillite, doit maintenant être validé par la justice américaine. Dans ses grandes lignes, le plan mis au point par le constructeur vise à faire sortir le groupe du chapitre 11 en tant qu'entreprise publique. Il s'appuie sur un programme mondial d'accords passés avec les créanciers et ne prévoit aucune indemnité pour les actionnaires. Selon le groupe, la dette s'en retrouverait ramenée de 345 M$ à 70 M$. L'un des grands défis technologiques de SGI consistera à résister à la concurrence croissante sur le segment des stations de travail économiques, basées sur des plates-formes x86. Le groupe a, à ce propos, récemment annoncé qu'il comptait investir ce marché et fournir ses propres serveurs x86 à base d'Intel Xeon 5100. (...)

(05/07/2006 18:06:59)

E-commerce : l'Europe franchit le cap des 100 Md€

C'est une évidence, les Européens consomment de plus en plus sur Internet. En deux ans, la part des e-acheteurs dans la population du Vieux continent est passée de 19 % à 26 %. Ils sont aujourd'hui 100 millions à effectuer leurs emplettes en ligne et, avec un panier moyen de 1000 €, permettront aux revenus de l'e-commerce de dépasser le cap des 100 Md€ cette année, assure le cabinet Forrester Research. A l'horizon 2011, l'Europe comptera 174 millions d'internautes consommateurs qui dépenseront en moyenne 1500 € par an, profitant d'une offre constamment enrichie et de comparateurs de prix efficaces. Les revenus de l'e-commerce feront donc plus que doubler en cinq ans pour atteindre 263 Md€. La France progresse rapidement, le Royaume-Uni en tête C'est en France que les sommes dépensées devraient croître le plus rapidement d'ici à 2011. Légèrement supérieures à 10 M€ aujourd'hui, elles atteindront 39 Md€ dans cinq ans alors même que les dépenses par internaute s'inscriront dans la moyenne européenne. Le marché des achats en ligne restera néanmoins tiré par le Royaume-Uni qui devrait conserver sa première place au sein des pays analysés par Forrester, à la faveur d'un montant de dépenses annuelles moyennes - 2410 € - largement supérieur à celui observé sur l'ensemble du continent - 1500€. Au final, les internautes britanniques dépenseront 76 Md€ en 2011, contre 43 Md$ en 2006, soit 29 % des achats européens. Si le panier moyen des acheteurs d'outre-Rhin sera nettement inférieur - il passera de 786 € en 2006 à 1441€ cinq ans plus tard - le nombre d'acheteurs permettra à l'Allemagne de concentrer le quart des dépenses réalisées sur le web : 43 millions d'e-acheteurs devraient dépenser près de 62 Md€. Un tiers des dépenses en voyages Si les ventes d'alcool et de matériel sportif devraient s'envoler au cours des cinq prochaines années - avec des croissances respectives de 283 % et 245 % - elles ne représenteront, ensemble, que 4 % des achats réalisés sur Internet en 2011. Loin devant, près du tiers (29 %) des sommes dépensées en ligne seront consacrées aux voyages, soit un chiffre d'affaires de 77 Md€ et le premier poste de dépenses. Selon Forrester, les achats de vêtements engendreront en 2011 un revenu de 31 Md€, soit 10 Md€ en plus qu'en 2006. Une manne qui profitera aux grands distributeurs comme La Redoute ou Neckermann. Enfin, les produits d'informatique grand public se hisseront en troisième position, à plus de 10 Md€. (...)

(05/07/2006 18:13:03)

Microsoft renforce ses liens avec Atos Origin

La SSII Atos Origin et Microsoft annoncent renforcer leur alliance internationale autour de la solution Atos Workplace Solutions, poste de travail virtuel accessible à distance développé par la SSII. Selon les termes de l'accord, Atos s'engage à utiliser les technologies futures de Microsoft dans sa solution Workplace Solutions. Cette dernière, qui repose actuellement sur Windows XP, BackOffice et la technologie Intel Vpro (un jeu de composants intégré au processeur censé faciliter l'administration de parc de PC), supportera désormais Vista, LongHorn Server et Office 2007. "Cette alliance couvre également d'autres solutions, à venir, précise José de Vries, porte-parole d'Atos. Elle permet de garantir une qualité de service à nos clients. Elle rassure le marché et surtout ouvre des opportunités futures pour nos clients." En outre, cet accord englobe une collaboration marketing, commerciale et comprend une offre de formation client. Cela reste toutefois beaucoup plus limité que l'accord entre Microsoft et Accenture: les deux ont fondé une co-entreprise de services en 2000, Avanade (...)

(05/07/2006 18:13:49)

Michel Berjarmin prend les rênes d'Ares

Ares vient de dévoiler le nom du remplaçant de Jean-Jacques Salomon au poste de directeur général du groupe. C'est Michel Berjarmin, ex Transiciel et donc spécialiste des services, qui reprend le flambeau. Dans un communiqué, la SSII explique que "cette décision correspond à la volonté de ses dirigeants d'accélérer la mutation de la société vers des activités de services [...]". Jean-Jacques Salomon, son prédécesseur, avait été mis sur la touche (comme l'écrivait www.distributique.fr, Groupe IDG) le 1er juillet, en raison d'un désaccord avec son PDG, Maurice Bourlier. Depuis l'annonce de résultats catastrophiques pour son exercice 2005-2006, le groupe Ares doit faire face à une crise. La SSII se prépare à une restructuration, pour "un retour à la profitabilité en 2007/2008". (...)

(05/07/2006 18:31:55)

La BSA se félicite d'avoir épinglé une PME

La BSA exulte : elle a trouvé une PME strasbourgeoise dont 62% du parc logiciel serait « en situation irrégulière ». Un niveau extrêmement élevé, donc, sur un parc de... neuf ordinateurs. La Business Software Alliance est un syndicat privé d'éditeurs de logiciels (Microsoft, Avid, Symantec, Apple, Adobe...) qui cherche principalement à faire prendre conscience aux entreprises de la nécessité d'acheter les licences des logiciels qu'elles utilisent. Cependant, ses méthodes sont sujettes à controverse : communiqués alarmistes (« en France, 47% des logiciels utilisés par les entreprises sont des copies illégales »), menaçants (« jusqu'à trois ans d'emprisonnement et 1,5 million d'euros d'amende »)... Et il est très difficile de savoir comment elle en vient à avoir suffisamment d'éléments d'information sur un possible cas de piratage pour obtenir une ordonnance du tribunal de Grande instance, indispensable pour opérer la vérification sur site. Le problème initial : un achat d'occasion Au final, ce sont surtout des revendeurs (tel Macway) qui sont sanctionnés par la justice, mais rarement une entreprise utilisatrice. C'est en tout cas ce qui est arrivé fin 2004 à Advisa, une petite société spécialisée dans le graphisme et la conception de sites Internet, qui a reçu la visite inopinée d'un expert et d'un huissier - sans même un courrier d'avertissement. « Je n'ai pas compris pourquoi nous avons été contrôlés, explique Olivier Kubler, gérant d'Advisa. Nous avons créé l'entreprise suite au dépôt de bilan de la société qui nous employait en 2002, et nous avons racheté les 9 ordinateurs sur lesquels nous travaillions au liquidateur - sans se douter que les licences n'étaient pas cessibles. J'avais prévu un plan sur trois ans pour avoir un parc à jour, à la fois sur le plan matériel et le plan logiciel. Nous avons été contrôlés au bout de deux ans et demi. Ce n'est vraiment pas de chance. » "Un faisceau d'indices concordants" Pourquoi le couperet est-il tombé là ? "D'une façon générale, j'ignore comment les membres de la BSA sélectionnent les entreprises", explique Thomas Limousin-Lamothe, avocat du cabinet De Gaulle Fleurance et associés, mandaté par la BSA. Et d'indiquer qu'il n'y a pas besoin de démontrer au juge l'existence du piratage, puisque c'est justement ce que la saisie par l'huissier doit prouver. "Cela repose sur un faisceau d'indices concordants, qui se vérifie d'ailleurs à 90% lors des saisies-contrefaçons." Accord sur le fond, pas sur le décompte En tant que concepteur de produits logiciels, Olivier Kubler ne conteste pas la démarche de la BSA. « Je les comprends, je suis pour la protection du droit d'auteur, mais je trouve étonnant d'avoir été contrôlé. » Par ailleurs, le gérant d'Advisa n'est pas d'accord sur le nombre de logiciels en infraction (essentiellement du Windows et des outils de la suite Macromedia) : « Pour nous, il n'y en avait que 30%. » Menacé de procès, Olivier Kubler a préféré la solution à l'amiable proposée par BSA France : payer toutes les licences au prix fort, autoriser la BSA à publier un communiqué, et lui fournir pendant une période probatoire de deux à trois ans un listing de son parc logiciel. « J'ai une entreprise à gérer, une famille, je ne voulais passer du temps dans les tribunaux, payer des avocats, etc. » D'autant que les moyens de la BSA sont sans commune mesure. (...)

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