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(05/07/2006 18:06:21)

CV anonyme: Norsys gagne en mixité et en expertise

Le 6 juillet, la SSII Norsys organise une conférence sur la discrimination à l'embauche à 18 heures dans ses locaux de Lille. Sylvain Breuzard, le patron de Norsys, y détaillera les résultats du plan anti-discrimination (instauration du CV anonyme et de formations à la diversité ) qu'il a mis en place depuis le mois de janvier dans son entreprise. Les premiers bilans montrent que la démarche a permis le respect de la diversité à chaque étape du processus de recrutement. "Nous savons aujourd'hui que nous ne discriminons pas les femmes", affirme par exemple Sylvain Breuzard qui appuie ses propos avec des chiffres. "Nous avons traité 500 candidatures anonymes dont 50 venaient de femmes. Suite à l'examen des CV, dix d'entre elles ont suivi des entretiens et six ont eu une proposition d'embauche, ce qui donne des ratios de femmes comparables entre les taux de candidatures (10%), d'entretien (11%) et d'offres d'embauche (18%)". Mieux, le patron de Norsys assure qu'il a accru le taux de femmes dans son entreprise (passé de 10 à 15% des effectifs entre juin 2005 et juin 2006) grâce à son initiative en faveur de la diversité. L'opération a aussi conduit à augmenter l'âge des effectifs. Les quinquas ont fait leur entrée chez Norsys, alors qu'il n'y en avait aucun en 2005. Ils représentent aujourd'hui 2% des salariés. Le taux des 30-40 ans a également grimpé, atteignant 43% au lieu de 37% l'an passé, au détriment des moins de 30 ans (taux en baisse de 51 à 43%). La SSII a ainsi gagné en "capital d'expérience", ce qu'elle estime favorable pour encadrer les jeunes et un gage de valeur ajoutée pour les clients. Sur les "minorités ethniques" enfin, la loi ne permet pas de mesurer les taux d'emploi, mais Sylvain Breuzard assure que le bilan anti-discrimination est aussi positif. "Nous avons vraiment levé des préjugés, explique-t-il fièrement. Les chiffres le démontrent. Mais les exemples plus éloquents viennent des sessions de formations. Certains managers ont par exemple reconnu leur tendance à évacuer les CV à partir d'un certain âge des candidats." Le patron de Norsys affirme aussi que sa démarche commence à attirer des nouveaux candidats. Il a reçu des CV anonymes via son site web récemment, alors que cela ne s'était jamais produit. (...)

(05/07/2006 18:06:07)

Les compétences SAP sont les mieux payées en SSII

Les salaires à l'embauche que proposent les SSII tendent à confirmer que les profils qualifiés sur SAP (solution de gestion intégrée MySap Business Suite) sont des perles rares en ce moment. Parmi les informaticiens et les consultants convoités sur le marché du travail, ils se voient en tout cas proposer les rémunérations les plus fortes, selon le recruteur spécialisé Lesjeudis.com. L'extraction des offres d'emploi (dont 95% émanent de SSII) publiées sur ce site web, par compétences technologiques (*), montre en effet que les rémunérations proposées pour les consultants, les administrateurs SAP, les développeurs Abap (le langage de programmation maison) et d'autres spécialistes du logiciel de l'éditeur allemand (chefs de projet, experts technico-fonctionnels, etc.) atteignent en moyenne entre 45,08 et 48,06 K€ bruts annuels. Les fourchettes hautes de ces propositions se situent entre 70 et 80 K€. Elles concernent des consultants seniors avant-vente SAP PLM (Gestion du cycle de vie du produit) et directeurs de projet. Elles ne pèsent pas fortement sur la moyenne des salaires puisqu'elles restent en faible nombre par rapport aux annonces pour des consultants SAP, qui sont majoritaires. On note une grande dispersion des salaires pour ce poste qui tient sans doute au niveau d'expérience. Les consultants SAP ont des propositions qui varient entre 35 et 60 K€. Les compétences sur les logiciels de l'Américain Oracle arrivent juste derrière dans les savoir-faire technologiques les plus valorisés du moment, avec des salaires qui atteignent 43,86 K€ par an en moyenne. Les postes les plus fréquemment proposés concernent des administrateurs de bases de données et des responsables Oracle Applications (gamme des solutions de gestion intégrés). Les spécialistes des langages J2EE, java et .Net se voient de leur côté proposer des salaires moyens annuels qui varient entre 38 et 42 K€. La majorité des annonces s'adresse à des développeurs et à des ingénieurs d'études. Dans les fourchettes les plus hautes de salaires, on trouve aussi des postes de chefs de projets techniques et d'architectes. En bas de tableau des petites annonces des Jeudis.com, apparaissent les compétences sur Unix. (*) Nous avons retenu les domaines technologiques qui regroupaient au moins une vingtaine d'annonces, soit SAP, Oracle, J2EE, Java, .Net, C, C++, C# et Unix. (...)

(05/07/2006 09:32:53)

IBM devra éviter moins de boulets SCO

Un juge américain a rejeté 182 points de litige revendiqués par SCO (sur 294) contre IBM. Selon le juge Brooke Wells, SCO n'aurait pas clairement identifié les lignes de codes dans les logiciels IBM portant atteinte à sa propriété intellectuelle. Il s'agit d'un sévère coup à l'estomac pour SCO, qui depuis 2003, traîne IBM devant les tribunaux, pour avoir livré à la communauté open source des bribes de code dont il revendique la paternité. Avant le début du procès, IBM réclamait l'annulation de 201 points litigieux. Après relecture, l'attention de Big Blue se portait sur 198. La surface d'attaque de SCO se réduit aujourd'hui comme peau de chagrin. (...)

(04/07/2006 17:48:08)

Antitrust : le principe d'une sanction contre Microsoft adopté

La Commission européenne vient d'obtenir l'accord des vingt-cinq régulateurs sur le principe d'une sanction pécuniaire infligée à Microsoft pour sa réticence à se conformer aux exigences formulées par Bruxelles en mars 2004. Il s'agissait d'une des dernières étapes dans le processus devant conduire à la mise en place d'une amende de 2 M$ par jour, rétroactive à compter du mois de décembre 2005. La semaine dernière, des sources proches du dossier indiquaient que la Commission européenne avait décidé qu'elle avait suffisamment attendu la production des pièces demandées à l'éditeur et qu'il fallait désormais passer à la phase des sanctions. Pour cela, l'assentiment des experts en concurrence était nécessaire. C'est maintenant chose faite après le comité exécutif tenu à huis clos le 3 juillet. Une amende supérieure à 500 M$ En mars 2004, Bruxelles a condamné Microsoft à 497 M$ pour son abus de positon dominante dans les systèmes d'exploitation et l'a notamment enjoint à publier des éléments de son code source afin d'assurer l'interopérabilité de Windows avec les produits concurrents. Après avoir, dans un premier temps, affirmé qu'il avait fourni ces données, le géant du logiciel indique désormais qu'il déplace des montagnes pour se conformer aux exigences de la Commission. Selon l'éditeur, 300 personnes sont mobilisées à plein temps sur la rédaction des éléments requis : "nos ingénieurs travaillent 24/24h pour fournir le septième et dernier élément demandé à la date prévue du 18 juillet". Bruxelles aurait néanmoins décidé, au regard du temps dont Microsoft a disposé pour se plier à ses requêtes - 18 mois -, de ne pas attendre l'ultimatum du 18 juillet pour mettre en pratique sa sanction. L'unanimité exprimée ce 3 juillet par les régulateurs des Vingt-cinq devrait conforter la Commission dans son choix de condamner Microsoft. Il reste maintenant aux mêmes acteurs à se réunir de nouveau pour, cette fois, fixer le montant de l'amende. Ce sera chose faite le 10 juillet prochain. Le groupe de Redmond pourrait écoper d'une sanction journalière de 2 M$ et payer ainsi plus de 500 M$. (...)

(04/07/2006 17:49:39)

iWay complète sa suite SOA avec Amberpoint

Filiale d'Information Builders spécialisée dans le middleware, iWay renforce considérablement son offre en matière de SOA (architectures orientées services). Naguère principal fournisseur de connecteurs pour les autres spécialistes de l'intégration, iWay vient de signer un accord avec Amberpoint pour renforcer sa suite SOA, basée sur un bus de services (ESB) et un gestionnaire de processus BPEL, annoncée en février et lancée en avril dernier. La suite d'Amberpoint est principalement utilisée pour surveiller l'exécution des services en fonction de règles de gestion et de qualité de service. L'accord concerne à la fois l'intégration et la revente des outils d'Amberpoint par iWay. A noter par ailleurs qu'Information Builders France a recruté un « expert solution SOA » il y a quelques jours, en la personne de Joël Milgram, un ancien de Software AG. (...)

(04/07/2006 12:44:44)

L'UFC Que Choisir dénonce les tarifs du roaming

L'UFC-Que Choisir s'en prend, chiffres à l'appui, aux tarifs du roaming pratiqués par les opérateurs européens. Alors que la Commission européenne multiplie les sorties sur la nécessaire régulation des montants des appels d'itinérance (transitant par plusieurs opérateurs), et que les opérateurs ont timidement annoncé une baisse de leurs tarifs, l'association française entre dans la danse et dénonce un marché "complètement verrouillé depuis 1999" et dans lequel le prix des communications a "littéralement explosé alors même que les coûts de revient supportés par les opérateurs allaient en décroissant". L'UFC estime que les marges appliquées par les opérateurs atteignent le montant colossal de 80 % et que les trois acteurs français de la téléphonie mobile - Orange, SFR et Bouygues - ont perçu 735 M€ de revenus pour la seule année 2004 grâce aux tarifs s'appliquant aux touristes européens en voyage en France. Des tarifs "complètement déconnectés de la réalité économique". Pour remédier à cet état de fait, l'association préconise deux pistes à suivre. La première repose sur la création d'un appel intra-européen : un Européen en voyage dans un des Etats de l'Europe pourrait ainsi émettre et recevoir des appels dans ce pays à un tarif plafonné à 0,466 €. L'autre mesure prévoit la mise en place d'un appel local européen : il concerne cette fois les appels passés au sein du pays où voyage l'abonné européen et doit être, selon l'UFC, proche du prix payé pour un appel local. Si ces mesures avaient été mises en place en 2004, l'association de consommateurs estime que les opérateurs auraient facturé 392 M€ en moins à leurs abonnés. Tout en conservant des niveaux de rentabilité élevés. (...)

(04/07/2006 12:44:18)

Semi-conducteurs : les ventes mondiales en hausse de 9,4 % en mai

Les ventes mondiales de semi-conducteurs continuent de croître sur un rythme proche des 10 %, répondant ainsi aux prévisions publiées le mois dernier par la World Semiconductor Trade Statistics (WSTS). Selon l'autre association de fabricants, la Semiconductor Industry Association (SIA), les ventes ont progressé de 9,4 % en mai sur un an, et atteignent 19,7 Md$. Une performance qui tient à la demande élevée en téléphones portables et en produits électroniques grand public. Les fortes ventes d'ordinateurs contribuent également à la santé du secteur en générant une croissance des ventes de DRAM de 13,7 %. L'Asie enregistre la plus importante croissance, 15 %, devant la région Amériques, à 9,6 %. A contrario, l'Europe fait pâle figure, la demande n'y affichant qu'une poussive progression de 0,5 %. "Les ventes mondiales de semiconducteurs devraient continuer à augmenter au cours des mois prochains, explique George Scalise, le président de la SIA. La demande des consommateurs, les niveaux de stocks et d'utilisation...toutes les conditions sont favorables pour notre industrie". (...)

(04/07/2006 12:46:16)

Mercury republie ses résultats 2002-2004 sous la pression de la SEC

Les scandales financiers, republications de résultats et démissions de dirigeants mis en cause ne sont pas réservés à CA. Mercury doit, à son tour, composer avec ces éléments. Huit mois après s'être séparé de trois de ses dirigeants dont son PDG, mis en cause dans les pratiques illégales de stock-options antidatées, le groupe a republié ses résultats pour les exercices 2002 à 2004. Les chiffres corrigés font apparaître un recul du résultat brut de 566,7 M$ pour la période 2002-2004. Pour la seule année fiscale 2004, le résultat chute à 64,6 M$ contre 107 M$ lors de la première publication de résultat. Pire, sur l'exercice 2005, alors que le groupe avait publié un bénéfice net de 41,5 M$, il doit désormais composer avec une perte nette de 62,6 M$. Mercury prépare en outre la republication de ses résultats pour le premier trimestre 2005. Après que la SEC, le gendarme américain de la Bourse, eut ouvert, en novembre 2004, une enquête sur la comptabilité des stock-options, Mercury décidait en juin 2005 de former un comité spécial chargé de faire la lumière en interne sur les éventuelles malversations. En novembre, le comité remettait ses conclusions : le groupe aurait antidaté des stock-options, au moins à 49 reprises, de façon à ce que la date indiquée sur le titre garantisse un cours d'achat favorable au porteur. Dans la foulée, le directoire acceptait les démissions du PDG, du directeur financier et du conseil général. La liste des personnalités impliquées dans les malversations semble ne pas s'arrêter à ces trois dirigeants. La SEC a ainsi indiqué qu'elle pourrait poursuivre pénalement trois actuels membres du directoire, Igale Kohavi, Yair Shamir et Giora Yaron. Le régulateur de Wall Street estime que chacun d'eux connaissait, ou était en mesure de connaître, l'existence des manoeuvres frauduleuses. Des accusations sans fondement pour les intéressés qui nient avoir participé, ou même eu connaissance, à la commission des infractions. Les mis en cause n'ont pas démissionné mais le groupe a accepté qu'ils sursoient à participer aux activités du directoire. (...)

(03/07/2006 18:14:18)

DADVSI : les acteurs IT américains s'indignent

Les réactions observées de part et d'autre de l'Atlantique sur la loi DADVSI semblent diamétralement opposées. A des inquiétudes basées sur les droits du citoyen en Europe répondent des craintes sur la bonne santé des entreprises aux Etats-Unis. A l'inverse de la perception qu'ont les observateurs français de la loi et de ses conséquences, leurs homologues américains semblent davantage effrayés par les conséquences qu'aura le texte sur les entreprises que sur les consommateurs. En France, les griefs se focalisent sur les atteintes aux libertés individuelles à travers les funérailles de la copie privée et la banalisation des mesures techniques de protection, ainsi que sur le flou qui entoure le logiciel Libre. A l'instar des récriminations de la ligue Odebi - "la ligue ne pourra accepter qu'une loi légalise l'atteinte à la vie privée des citoyens" - et de l'appel à la résistance civique lancé par Richard Stallman, les critiques se montrent soucieuses des droits des individus. Pour Microsoft, une attaque sur la propriété intellectuelle Outre-Atlantique, c'est un tout autre son de cloche. La grande majorité des médias continue de présenter la DADVSI comme "la loi iTunes", en référence à l'obligation d'intéropérabilité prévue dans la première version du texte. Après son passage devant les sénateurs, cette obligation a pourtant été largement édulcorée, l'intéropérabilité devant simplement être "effective" et ne pas contrevenir à la volonté des auteurs. Une immense nuance qui ne rassure néanmoins pas les observateurs américains. C'est le cas d'Americans for Technology Leadership, une association regroupant les principaux acteurs IT des Etats-Unis, dont Microsoft, et qui clame son inquiétude malgré les modifications apportées par le Sénat. "Le législateur français, en votant une loi qui obligera Apple à ouvrir iTunes à ses concurrents, commet une attaque aux droits de la propriété intellectuelle, pas seulement vis-a-vis d'Apple mais de toutes les entreprises. Même si la version finale est légèrement moins sévère que la précédente, elle continue d'illustrer le total dédain qu'a la France pour la propriété intellectuelle". A l'inverse, du côté des consommateurs américains, nulle mention n'est faite des dispositions de la loi qui effrayent tant les Français. Au contraire, les associations de consommateurs se prennent à rêver que d'autres pays adoptent un texte comparable, censé garantir l'intéropérabilité : "Dès qu'il y a un choix possible, c'est toujours une bonne chose pour le consommateur", note ainsi la division nord-américaine de Consumers Union. (...)

(03/07/2006 12:59:15)

Gartner : en 2006, Google pourrait se payer un Powerpoint en ligne

Lapalissade ? Le Gartner s'attend à ce que Google rachète une application de présentation et de diaporama en ligne en 2006, et indique comme cible potentielle, www.thumbstacks.com. Pour le cabinet d'analystes, c'est une évidence: après l'acquisition d'un traitement de texte en ligne (Writely) et du lancement d'un tableur Web (Google SpreadSheets), Google travaille à une suite bureautique en ligne. Seule une application de présentation, à l'image d'un Microsoft Powerpoint "wébisé", manquerait alors à l'appel. Du moins pour toucher le grand public, précise le Gartner. "Si les récents travaux de Google semblent le positionner face à Microsoft, le moteur de recherche ne vise pourtant pas le marché des entreprises", rappelle toutefois le cabinet d'analystes. Les fonctionnalités proposées par les applications web sont encore loin de rivaliser avec celles de Microsoft Office. Mais peuvent être suffisantes pour les particuliers ou "les environnements collaboratifs". Pour en savoir plus: www.thumbstacks.com (...)

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