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(03/07/2006 12:58:55)

L'évangéliste infrastructure de Microsoft part chez Google

Microsoft vient de perdre l'un de ses plus anciens collaborateurs. Vic Gundotra, évangeliste infrastructure dans l'entreprise depuis quinze ans, vient en effet d'annoncer son départ. D'ici un an, il sera en poste chez Google. Ce délai est lié à la close de non concurrence figurant dans son contrat. Google ne sait pas encore quelle sera la charge de cet ex-Microsoft, mais semble convaincu qu'il apportera un savoir faire intéressant. Cette annonce survient dans un contexte de changements importants à la tête de Microsoft. On pense bien entendu au prochain départ en retraite de Bill Gates. Mais d'autres départs sont en cours. Ainsi, récemment, c'est Martin Taylor, vice-président de Windows Live qui quittait brusquement le navire pour une jeune pousse. (...)

(03/07/2006 09:52:30)

Viviane Reding met le feu à la réglementation télécoms européenne

Viviane Reding, la commissaire européenne à la société de l'information continue à souffler le chaud et le froid dans la refonte 2006 du cadre réglementaire télécoms qui doit donner lieu à la définition de la politique de l'Union d'ici à 2010. Lors de deux discours en Allemagne et en France, la commissaire a abordé plusieurs nouvelles idées de régulation, qui si elles se concrétisaient, pourraient mettre le feu à l'ensemble du secteur et particulièrement chez les opérateurs historiques. La proposition la plus explosive de la commissaire est celle qui consisterait à permettre aux régulateurs de contraindre les opérateurs historiques à séparer leurs activités d'infrastructure de leurs activités de services, le tout dans un but de développement de la concurrence. Ce que Viviane Reding se garde bien d'expliquer est que le secteur des télécoms est l'un des rares domaines où l'innovation est dépendante de la maîtrise commune d'éléments d'infrastructure et de service. Elle omet aussi de préciser que jusqu'alors ce type de séparation dans d'autres secteurs (énergie, rail...) est loin d'avoir profité aux clients, quand il n'a pas été désastreux sur le plan de la qualité de service et de la sécurité. En fait, frustrée de voir la façon dont le gouvernement allemand protège Deutsche Telekom, Viviane Reding semble prête à allumer un incendie paneuropéen, pour pouvoir satisfaire son envie d'ouverture du marché germanique. Peut-être serait-il plus simple de sanctionner directement l'opérateur allemand ? Une autre proposition qui fâche, est la suggestion de créer une agence européenne de régulation "légère", qui aurait la tutelle des autorités nationales, un peu à la manière de la FCC américaine, et pourrait leur imposer de grandes lignes directrices en matière de réglementation. L'application de ces règles et l'évaluation de leurs marchés nationaux seraient laissés à la charge des régulateurs locaux. Le dernier sujet de controverse est celui de la gestion des fréquences. Viviane Redding souhaite que cette ressource rare soit allouée de façon plus concertée par les différents états. Selon elle, une réglementation pan-européenne de l'attribution du spectre s'impose afin d'assurer une cohérence entre pays membres. Les 25 n'ont, il est vrai, pas un bilan brillant dans la gestion de leur spectre radio comme en témoignent les disparités dans les procédures d'attribution des licences 3G et WiMax, mais aussi le fiasco récent de la question de l'UltraWideBand. Pour la commissaire, la solution serait la création d'une agence européenne des fréquences. Ce serait sans doute une bonne chose. Mais Viviane Reding est la première à reconnaître que l'idée risque de ne pas plaire à tous, à commencer par les régulateurs nationaux et certains de leurs gouvernements... (...)

(03/07/2006 09:52:02)

Atos Origin décroche l'infogérance de la BnF pour 15M€

Atos Origin vient d'être choisi par la Bibliothèque nationale de France (BnF) pour assurer l'infogérance de ses systèmes d'information. Le contrat, d'un montant de 15 M€, court sur quatre ans et concerne les sept sites sur lesquels l'institution est installée, dont la bibliothèque François Mitterrand. Atos aura en charge l'infogérance de 200 applications et 335 chaînes applicatives, 70 serveurs Unix et 180 serveurs NT, une réseau Gigabit ethernet et 7400 points d'accès, et plus de 3900 postes de travail. La SSII s'occupera en outre du système de billetterie et de contrôle d'accès aux sites ainsi que du système de transfert automatique de documents. "Nous avons décidé de signer ce contrat avec Atos Origin car (...) l'offre technique de la société est extrêmement soignée et complète. Les enjeux et objectifs du marché sont bien pris en compte. La qualité de service proposée est conforme aux exigences du cahier des clauses techniques particulières" explique Caroline Wiegandt, la directrice générale adjointe de la BnF. (...)

(30/06/2006 17:39:03)

Red Hat hérite d'un procès pour violation de brevet de JBoss

"Pour le meilleur et pour le pire"; un mariage est toujours ponctué de cette phrase. Celui de Red Hat et de JBoss ne fait pas exception. Cet engagement vaut d'ailleurs à Red Hat un procès pour violation de brevet. En effet, FireStar Software -le plaignant- affirme que Hibernate 3.0, le logiciel de mapping de données relationnelles/objets de JBoss violerait un de ses brevets déposés en 2000. Hibernate fait partie de l'offre middleware de JBoss que Red Hat compte reprendre à son profit. Le logiciel a été mis à jour en mars dernier. Red Hat n'a pas tenu à faire de commentaires sur ce procès. Selon Florian Muller, activiste contre la brevetabilité des logiciels, ce procès pourrait bien avoir un retentissement au-delà de la petite sphère privée de Red Hat. Le brevet serait en effet assez large pour que FireStar soit tenté d'attaquer d'autres entreprises. (...)

(30/06/2006 17:33:41)

[MAJ] EMC rachète RSA Security pour 2,1 Md$

EMC n'en a pas fini avec les acquisitions de grande ampleur. Hier, la firme a annoncé le rachat de RSA Security, le pionnier des outils d'authentification forte et de PKI. Avec cette acquisition à 2,1 Md$, EMC met la main sur les multiples outils de gestion d'identité, de PKI et de gestion d'accès de la société, des solutions qui lui faisaient jusqu'alors défaut. Il coupe aussi vraisemblablement l'herbe sous le pied de l'un de ses principaux rivaux, Symantec qui selon des rumeurs était en discussion pour racheter la société. Si la rumeur se confirmait, ce serait la seconde fois qu'EMC raflerait une pépite devant Symantec. Le géant de la sécurité figurait en effet parmi les prétendants pour VMWare, selon notre confrère Business Week. Une acquisition qui complète le portefeuille de sécurité d'EMC Depuis plusieurs mois, EMC ne cachait pas son intention de fournir des solutions de gestion de la sécurité des informations. A plusieurs reprises, la firme avait laissé entendre qu'il ne pouvait y avoir de bonne gestion de contenus et de bonne gestion de l'information sans une bonne gestion des droits d'accès des utilisateurs et de leur identité. Un discours qui n'était pas sans rappeler celui de géants comme Sun ou HP. En mars, EMC avait déjà acquis une partie des briques nécessaires à sa stratégie avec le rachat des outils de DRM d'entreprise d'Authentica. Mais, il lui manquait encore une brique de gestion d'identité et de contrôle d'accès pour assurer le lien entre la gestion des documents, la gestion des droits d'accès et l'identité des utilisateurs. Interrogé en mai sur le sujet par LeMondeInformatique.fr lors d'EMC World, Mark Lewis, l'ex-CTO d'EMC, aujourd'hui vice-président en charge du développement de la firme, expliquait que l'objectif d'EMC était l'interopérabilité avec les produits existants du marché. Dennis Hoffman, le patron de l'activité avait été un plus prolixe en reconnaissant qu'EMC manquait d'outils de gestion d'identité, sans toutefois faire état de plans d'acquisition. "protéger les données du poste client à l'infrastructure" Dans un entretien téléphonique réalisé ce vendredi 30 juin, Xavier Fessart, le responsable des ventes et des partenaires pour la France, confirme que le rachat de RSA est en partie motivé par son offre de gestion d'identité. Il précise toutefois, qu'EMC est aussi très intéressé par les technologies d'authentification et de chiffrement de RSA. Selon lui, "la sécurité et la sûreté de leurs informations sont devenues de vraies préoccupations pour les clients". Et EMC ne pouvait durablement ignorer leurs demandes : "70% de nos clients ont des réflexions sur le chiffrement de leurs données et sur la gestion des identités(...) Dans ce contexte l'acquisition est plus que pertinente. Elle nous permettra d'avoir une approche globale, allant du poste de travail à l'infrastructure" Le rachat de RSA devrait être bouclé au dernier trimestre 2006, sauf ennui avec les diverses autorités de la concurrence. Il donnera naissance à la division sécurité de l'information d'EMC. Celle-ci sera basée à 50 km du siège historique d'EMC, à BedFord, alors que la plupart des autres divisions logicielles sont en Californie. (...)

(30/06/2006 12:27:26)

Google condamné en appel pour sa politique de mots clés

Google France a été condamné par la Cour d'appel de Paris dans l'affaire qui l'opposait à Louis Vuitton, lequel reprochait au moteur de recherche d'avoir permis à des annonceurs tiers l'utilisation de son nom pour la vente de biens contrefaits. La Cour a alourdi les sanctions des juges de première instance rendues en février 2005. L'hégémonique moteur est désormais condamné à payer 300 000 € de dommages et intérêts à Louis Vuitton, contre 200 000 € auparavant, et 60 000 € de frais de procédures, contre 15 000 € jusqu'alors. Le fabricant de produits de luxe poursuivait Google, car ce dernier avait vendu à des tiers des mots clés associant la marque Vuitton aux termes "contrefaçon", "fake" ou autre "réplica". De fait, des vendeurs de contrefaçon s'offraient une vitrine facilement accessible à partir d'une simple requête tapée dans le moteur de recherche. Selon Google, une telle dérive ne pourrait plus se produire aujourd'hui : le moteur interdit depuis 2003 aux annonceurs d'utiliser une marque dont ils ne détiennent pas les droits. Par ailleurs, Google comparaît également devant un tribunal américain pour défendre ses méthodes d'indexation et de classement des sites référencés. Le procès est intenté par le site KinderStart.com, qui avait rejoint le programme AdSense en 2003. Subitement, la fréquentation s'était effondrée de 70 % en avril 2005 et les revenus issus d'AdSense avaient reculé de 80 % suite au "déréférencement" du site. KinderStart.com prétend n'avoir jamais été prévenu par Google de son exclusion. C'est là le coeur de l'affaire : un moteur de recherche a-t-il la liberté de retirer comme il l'entend les sites indexés ? "Si KinderStart.com avait raison, note-t-on du côté de Google, aucun moteur de recherche ne pourrait plus agir, car tous seraient susceptibles d'être attaqués par des entreprises désirant un meilleur classement". (...)

(30/06/2006 12:27:57)

Microsoft décale à nouveau la sortie d'Office 2007

Microsoft vient d'annoncer qu'il repoussait à nouveau la sortie d'Office 2007 de "quelques mois". Un glissement qui couvrirait les versions professionnelles et grand public du système bureautique, alors prévues -depuis leurs derniers décalages- pour octobre 2006 et janvier 2007, respectivement. Les éditions pour entreprises (via le programme de licence en volume) devraient alors être livrées fin 2006, et celles pour le grand public, "début 2007". En mars dernier, l'éditeur de Redmond avait une première fois décalé la sortie des versions grand public d'Office 2007 à janvier 2007, pour s'aligner sur la sortie de Vista -elle-même décalée. Cette fois-ci, Microsoft invoque des problèmes de timing et d'intégration des retours issus des tests de la béta 2. Selon un porte-parole de Microsoft France, "la bêta 2 a été un énorme succès auprès de plus de 2,5 millions de testeurs. Nous sommes en quelque sorte victime de notre succès". L'éditeur a en effet publié deux versions bêta de sa suite auprès de son réseau de testeurs. Puis au grand public, en mai, à l'occasion de WinHEC. "Une livraison tardive", considéraient à l'époque certains spécialistes du monde Microsoft, estimant la période d'intégration du code trop courte. Depuis mardi 27 juin, Microsoft propose également une version de test hébergée d'Office 2007 pour le grand public. En mai 2006, Steve Ballmer, PDG du groupe, n'excluait pas un autre décalage de Vista. Un décalage pour l'heure non-confirmé. (...)

(30/06/2006 12:28:44)

EMC rachète RSA Security pour 2,1 Md$

EMC a annoncé hier soir le rachat de RSA Security, le pionnier des outils d'authentification forte et de PKI. Avec cette acquisition évaluée à 2,1 Md$, EMC met la main sur les multiples outils de gestion d'identité, de PKI et de gestion d'accès de la société, des solutions qui lui faisaient jusqu'alors défaut. Depuis plusieurs mois, EMC ne cachait pas son intention de fournir des solutions de gestion de la sécurité des informations. A plusieurs reprises, la firme avait laissé entendre qu'il ne pouvait y avoir de bonne gestion de contenu et de bonne gestion de l'information sans une bonne gestion des droits d'accès des utilisateurs et de leur identité. Un discours qui n'était pas sans rappeler celui de géants comme Sun ou HP. En mars, EMC avait déjà acquis une partie des briques nécessaires à sa stratégie avec le rachat des outils de DRM d'entreprise d'Authentica. Mais il lui manquait encore une brique de gestion d'identité et de contrôle d'accès pour assurer le lien entre la gestion des documents, la gestion des droits d'accès et l'identité des utilisateurs. Interrogé en mai sur le sujet par LeMondeInformatique.fr lors d'EMC World, Mark Lewis, l'ex-CTO d'EMC, aujourd'hui vice-président en charge du développement de la firme, expliquait que l'objectif d'EMC était l'interopérabilité avec les produits existants du marché. Dennis Hoffman, le patron de l'activité avait été un plus prolixe en reconnaissant qu'EMC manquait d'outils de gestion d'identité, sans toutefois faire état de plans d'acquisition. Comme à son habitude, le constructeur a toutefois préféré maîtriser la chaîne de bout en bout. Il est vrai qu'il y avait urgence : un autre géant de l'informatique (des rumeurs font état de Symantec) était en effet en discussion pour racheter RSA. Si la rumeur se confirmait, ce serait la seconde fois qu'EMC raflerait une pépite devant Symantec. Le géant de la sécurité figurait en effet parmi les prétendants pour VMWare, selon notre confrère Business Week. Le rachat de RSA donnera naissance à la division sécurité de l'information d'EMC. Celle-ci sera basée à 50 km du siège historique d'EMC, à BedFord, alors que la plupart des autres divisions logicielles sont en Californie. (...)

(30/06/2006 09:55:42)

Moteur de recherche : Accoona veut faire des chinoiseries à Google

Accoona, un nouveau moteur de recherche qui a ses origines dans des travaux menés par le quotidien chinois China Daily, le journal officiel en anglais du gouvernement chinois, fait ses premiers pas en Europe à l'adresse www.Accoona.eu. Décliné en sept langues, dont le français, Accoona.eu met en avant sa technique de recherche "à base d'intelligence artificielle" pour séduire les internautes. Il vante aussi sa technologie Supertarget, qui permet d'affiner ses recherches selon une série de critères proposés par le moteur Accoona, basé aux Etats-Unis, est présidé par Eckhard Pfeiffer, connu pour avoir dirigé Compaq pendant sa période de croissance effrénée au cours des années 90. Une partie de ses capitaux reste entre les mains du gouvernement chinois et le moteur est critiqué par certains pour sa complaisance avec les édiles locaux et leur politique de censure. Des critiques qui n'épargnent toutefois pas ses concurrents qui se plient aussi largement au jeu de la censure chinoise. (...)

(30/06/2006 09:56:46)

Novell teste Suse Linux Enterprise 10

Novell livre enfin les premières versions de test de Suse Linux Enterprise 10, Desktop et Server. L'éditeur, actuellement dans la tourmente depuis l'annonce de piètres résultats et du départ de son PDG Jack Messman, avait pourtant prévu de décaler la sortie de la version professionnelle de son OS, à cause de problèmes techniques. Novell réaffirme sa feuille de route, et fixe la sortie définitive pour la mi-juillet. Selon l'éditeur, les versions de test, bâties sur OpenSuse 10.1, doivent présenter l'essentiel des fonctionnalités prévues dans les versions finales. Côté desktop, l'interface graphique expose effets de transparence et 3D, avec en bureau par défaut Gnome 2.12. KDE 3.5 reste en option. Le système embarque un panel d'applications bureautique, une version adaptée d'OpenOffice 2.0, le client email Evolution 2.6, Firefox 1.5, le moteur de recherche Beagle et la messagerie instantanée GAIM 1.5. Côté serveur, la version entreprise intègre le moteur de virtualisation Xen 3.0, qui supporte la technologie VT (Virtualization Technology) d'Intel. Les actuelles versions pilotes ne supportent que les plates-formes x86 et x86 64 bit. Pour en savoir plus: L'espace de téléchargement Quelques notes sur la version alpha et une discussion au sujet des desktops Linux sur le blog "Ingénierie Logicielle" (...)

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