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(29/06/2006 18:41:29)

Google inaugure son système de paiement Checkout

Après une semaine de rumeur autour d'un hypothétique service GBuy, Google officialise finalement la sortie de son service de paiement en ligne, sous le sobriquet "Checkout" (en français, caisse de sortie). Le service est livré dans sa version finale, et non en bêta comme de tradition chez Google. Disponible pour l'heure uniquement aux Etats-Unis, "Checkout" devrait rapidement s'étendre à l'Europe. Côté consommateur, "Checkout" représente un portefeuille électronique, dans lequel sont centralisées les données liées aux préférences de paiements et d'achats. L'idée: raccourcir les modalités des transactions en ligne. Côté vendeur, le système donne la possibilité aux vendeurs de délocaliser les transaction en ligne sur les serveurs Google. Pour cela, il leur suffit de poser sur leur site un bouton "Google Checkout" en copiant simplement du code HTML, ou en utilisant l'API (Interface de programmation) fourni par Google. En contre-partie, Google perçoit 2% du montant des ventes réalisées par son service. Checkout autorise des paiements par cartes Visa, MasterCard, American Express et Discover Bank. une place des marché reliant recherche, achat et publicité Par rapport à Paypal, le service de paiement en ligne racheté par eBay, la particularité de "Checkout" réside dans ses possibilités de se mêler aux services de recherche et de publicités contextualisées AdWord. Le principe? Placer l'icône Checkout sur les liens sponsorisés, et ainsi pratiquer des "promotions" pour les utilisateurs AdWords. "Pour 1$ dépensé dans AdWords, le commerçant pourra utiliser les services de Checkout sans frais, jusqu'à 10$". Une autre façon pour Google d'attirer les annonceurs. Pour en savoir plus: Le site Checkout (...)

(29/06/2006 18:31:14)

BT court après les petites anglaises

Openreach - la division de British Telecom dédiée à la gestion du réseau national de téléphonie fixe- lance un programme pour féminiser ses effectifs à hauteur de 10%. Le britannique part de loin puisque les femmes représentent pour l'heure 3% des quelque 25 000 ingénieurs qu'il emploie, selon Andrew Jones, managing director chez OpenReach. Pour les attirer, il compte notamment s'attaquer aux barrières qui freinent la gent féminine vers ce type de métier. Il prévoit de passer en revue les aménagements internes qui pourraient être consentis pour proposer des conditions de travail souples et compatibles avec la gestion de la vie familiale, comme du travail partagé ou des horaires flexibles. Mieux, il entend agir pour faire évoluer la perception essentiellement masculine de ses métiers, pour les rendre plus attractifs. L'opérateur entend enfin lancer une campagne de recrutement ciblée vers les femmes. Cette opération poursuit un double objectif. Elle vise à répondre à une pénurie de main d'oeuvre, selon le site d'informations The Register. BT serait en effet confronté à une carence de plusieurs centaines d'ingénieurs pour assurer la gestion de ses activités. L'opérateur estime par ailleurs que le fait d'avoir des effectifs plus représentatifs de la population est un gage d'amélioration de sa qualité de service. Sa démarche s'inscrit en tout cas dans une tendance générale qui vise à accroître le nombre de femmes dans l'industrie des services informatiques et télécom et plus généralement à favoriser leur accès aux carrières scientifiques. Le programme Women's initiative du groupe de conseil Accenture ainsi que les initiatives de la branche Syntec (participation au prix Excellencia, le trophée de la femme ingénieur high-tech) vont par exemple dans ce sens, de même que la création de la commission Egalité hommes femmes par la Conférence des grandes écoles. Quels qu'ils soient, les objectifs de ces programmes seront atteints lorsque les aménagements du travail destinés à combiner vie professionnelle et familiale s'adresseront autant aux hommes qu'aux femmes. (...)

(29/06/2006 18:30:57)

Norsys réunit 70% de ses salariés pour une opération formation et séduction.

Le campus d'été de la SSII Norsys a ouvert ses portes le 27 juin, pour la deuxième année consécutive avec quelques rendez-vous originaux. Il accueille jusqu'au 7 juillet, 90 collaborateurs de la société (qui compte 150 personnes) - des ingénieurs développement, des ingénieurs d'études, des chefs de projet des managers- qui vont suivre des formations techniques et de management (1400 heures au total). Des sessions sont prévues sur les bonnes pratiques en J2EE et en.net, sur le client riche Ajax, sur la conception UML, la méthode CMMi, ainsi que sur la gestion d'une situation de crise relationnelle. Parallèlement à ces cours traditionnels, Norsys profite aussi de l'occasion pour faire venir des demandeurs d'emploi suivis par une association partenaires au sein du campus. Ceux-ci viendront suivre un cours d'usage professionnel d'Internet avec un formateur de Norsys, suivant une initiative qui s'inscrit dans du projet « Management de la diversité » de Sylvain Breuzard, le président de Norsys. Ce dernier profite aussi de son campus pour organiser et animer, le 6 juillet, une conférence sur la discrimination à l'embauche à laquelle il convie des chefs d'entreprises et des directeurs des ressources humaines. L'objectif de ce rendez-vous est de faire le point, entre autre, sur le CV anonyme que Norsys a introduit en janvier dernier dans son processus de recrutement. La SSII prévoit enfin de ponctuer son campus par des tournois sportifs et le conclura par une soirée festive. La chasse à la compétence fait rage Cette démarche représente un investissement conséquent(non communiqué). Mais elle fait partie de la stratégie de création de valeur ajoutée pour les clients, explique Sylvain Breuzard. Elle aboutit à leur proposer des collaborateurs plus qualifiés et plus « riches intellectuellement ». "Elle permet de générer de l'intelligence collective », se plaît-il à souligner. Et d'illustrer son propos. « L'année dernière, nos chercheurs (Norsys emploie 3 thésards, NDLR) ont par exemple travaillé ensemble, sur chacun des projets clients qu'il menait habituellement séparément lors d'une formation à l'industrialisation des tests». Ce campus vise aussi à réunir des collaborateurs qui évoluent habituellement sur trois sites (Paris, Lille et Lyon) distincts afin qu'ils puissent créer des liens. Elle a aussi un enjeu de fidélisation dans un contexte de « chasse à la compétence » renchérie sur le marché. Le turn over a crû avoue Norsys par rapport à l'année dernière, atteignant 10%. Cette progression a d'ailleurs eu un impact sur le choix des formations proposées. « Notre politique de formation veut éviter l'élitisme. Nous avons pour objectif que 70% de nos salariés suivent des cursus cette année. Nous restons donc sur ce principe malgré le turn-over. En revanche, nous proposons des formations très ciblées dont le retour sur investissement est visible à six mois pour les personnes que nous estimons être susceptibles de ne pas rester ». (...)

(29/06/2006 12:44:53)

Trente-cinq candidats retenus pour l'attribution des licences WiMax

L'Arcep vient de publier la liste des candidats admis à concourir pour l'attribution des licences WiMax, cette technologie de haut débit sans fil et à longue portée, s'appuyant sur les fréquences de la boucle radio locale dans la bande 3,4-3,6 GHz. Les licences seront attribuées dans chacune des 22 régions administratives en métropole, ainsi qu'en Guyane et à Mayotte. Pas de surprise à la lecture des prétendants retenus : l'Arcep a validé toutes les candidatures déposées au 1er février dernier. Ce sont donc 35 candidats qui se disputeront deux licences par région suivant trois critères : la contribution au développement territorial du haut débit, l'aptitude à favoriser la concurrence sur le haut débit, et le montant de la redevance que le candidat s'engage à payer. De nombreux conseils régionaux apparaissent dans la liste des aspirants. C'est le cas dans les régions Alsace, Aquitaine, Auvergne, Bourgogne, Bretagne, Centre, Corse (via la Collectivité territoriale de Corse), Franche-Comté, Haute-Normandie, Languedoc-Roussillon, Lorraine, Picardie, Poitou-Charentes et Rhône-Alpes. Du côté des opérateurs, quatre candidats ont demandé une licence dans chacune des 22 régions métropolitaines. Aux côtés de Bolloré et de France Télécom, on retrouve ainsi HDDR (formé de LD Collectivités, filiale de Neuf Cegetel, Axione et TDF) et la Société du Haut Débit (alliance de SFR, Neuf Cegetel et Canal Plus Active). Pour en savoir plus le site de l'Arcep (...)

(29/06/2006 12:45:31)

Trimestriels Red Hat : le groupe doit rassurer sur un bénéfice inférieur aux prévisions

Résultats premier trimestre 2007 Chiffre d'affaires : 84 M$ (+ 45%) Bénéfice net : 13,8 M$ (+ 11%) Red Hat commence son exercice fiscal 2007 avec la même dynamique que celle affichée lors du précédent trimestre, mais a dû rassurer les investisseurs sur un bénéfice inférieur à leurs estimations. Le chiffre d'affaires s'élève à 84 M$, soit une progression de 45 % par rapport à la même période de l'année précédente. Le vendeur de distributions Linux profite d'une hausse des revenus issus des abonnements de 45 % sur un an, à 71,5 M$. Le bénéfice net, selon les normes GAAP, atteint 13,8 M$ - soit 0,07 $ par action - et croît de 11 % par rapport au T1 2006. Au total, les bénéfices sont inférieurs de deux cents par action aux estimations publiées par les analystes. Une contre-performance qui tient, selon le groupe, à l'introduction de nouvelles règles comptables modifiant notamment le régime des stocks options. Celles-ci doivent désormais être considérées comme des dépenses, ce qui alourdit ces dernières de 7,6 M$. "Ce qui est compliqué pour les entreprises cette année au premier trimestre, ce sont les nombreux changements qu'elles ont besoin d'expliquer", note Charlie Peters, le directeur financier. Des explications insuffisantes pour empêcher le cours de l'action Red Hat de perdre 4 % dans les heures suivant la publication des résultats. Par ailleurs, le groupe a rehaussé ses prévisions pour l'ensemble de l'exercice, tenant ainsi compte d'une progression en terme de parts de marché - bien que celle-ci ne soit pas détaillée par Charlie Peters - et de la récente acquisition de son concurrent JBoss pour 350 M$. Red Hat table désormais sur un chiffre d'affaires annuel compris entre 400 et 405 M$, contre une précédente fourchette de 370 à 375 M$. Pour le deuxième trimestre, les revenus devraient s'inscrire entre 68 et 96 M$. (...)

(29/06/2006 09:49:20)

Reprise d'AOL : Telecom Italia sur les rangs

Telecom Italia vient grossir la liste des repreneurs potentiels des activités européennes d'AOL. La maison-mère d'Alice a ainsi déposé une "offre non contraignante" pour les filiales françaises et européennes d'AOL. Dans l'Hexagone, s'il s'agit de la première déclaration d'intérêt officielle, Alice devra composer avec les velléités de Neuf Cegetel, Free et Club-Internet (filiale de Deutsche Telekom), trois FAI qui entendent prendre part à l'inévitable consolidation du marché. Alice réaliserait une bonne opération en mettant la main sur les 500 000 abonnés d'AOL France. Ils rejoindraient les 605 000 clients (chiffres du 31 mars 2006) du repreneur de Tiscali, ce qui permettrait à ce dernier de se hisser à la hauteur de Neuf. La somme nécessaire à l'opération - environ 250 M€ - ne devrait pas représenter un problème pour Telecom Italia qui n'avait pas rechigné à débourser 270 M€ pour faire tomber Tiscali France dans son giron. (...)

(29/06/2006 09:48:21)

Microsoft séduit les constructeurs de téléphones IP

Dans le cadre de son offensive sur le marché des communications convergentes, Microsoft veut s'assurer que ses logiciels (Office Communications Server 2007, Office Communicator 2007...) intéropéreront sans difficulté avec les téléphones IP du marché. Pour cela, le géant de Redmond multiplie les annonces d'interopérabilité avec des constructeurs de terminaux. Il vient ainsi d'annoncer un partenariat avec Motorola (dont le téléphone/PDA "Q" sera compatible Microsoft) mais aussi avec le français Thomson Telecom, avec Polycom, Samsung, Tatung et également LG Nortel.... Tous ces constructeurs s'assureront en fait de l'interopérabilité de leurs implémentations du protocole ouvert SIP(Session Initiation protocol) avec celle mise en oeuvre par Microsoft dans ses propres produits. Avis aux équipementiers de téléphonie : Microsoft n'a peut-être pas encore de PABX, mais il s'intéresse sérieusement à la convergence voix-données. (...)

(28/06/2006 18:36:15)

Intel cède sa division Xscale à Marvell

Intel vient de céder le coeur de son activité Xscale à Marvell Technology un géant des semi-conducteurs plutôt connu pour ses puces de communication et ses composants de traitement de signal. Pour près de 600 M$, Marvell va acquérir l'ensemble des puces développées par Intel pour le marché des terminaux mobiles, la fameuse gamme PXA, qui équipe la plupart des PDA du marché ainsi que de nouveaux terminaux communicants comme les plus récents Blackberry, les Treo de Palm ou le Motorola Q. La gamme PXA d'Intel a son origine chez Digital Equipment. Au milieu des années 90, DEC a connu le succès avec ses puces "StrongArm" qui ont équipé les Newton d'Apple et les premiers "Network Computers". Intel a mis la main sur la technologie lors du rachat de la division semi-conducteurs de DEC en 1997 et il a poursuivi les travaux de DEC pour lancer la gamme Xscale en 2000. La gamme a été segmenté au fur et à mesure en ligne de produits spécifiques, PXA pour les PDA communicants, IXP pour les puces réseaux et IOP pour les processeurs de stockage. Le rachat de la gamme PXA devrait permettre à Marvell de s'imposer immédiatement comme le leader du marché des PDA et PDA communicants, un marché où les processeurs d'Intel se sont largement imposés. Marvell devra en effet réussir là où Intel a échoué c'est-à-dire, imposer ses puces auprès des constructeurs de téléphones mobiles, aujourd'hui encore largement fidèles à leurs fournisseurs traditionnels comme Texas Instruments, Samsung, Infineon ou FreeScale... A défaut de réussir ce pari, il n'est pas dit que Marvell fasse une bonne affaire à long terme. Intel mise sur les puces x86 à basse consommation Intel ne cache en effet pas son intention de vouloir revenir sur le marché des équipements nomades avec une nouvelle gamme de puces à très basse consommation basée sur sa technologie x86. Dès cette année, le fondeur entend commercialiser une puce x86 avec une consommation inférieure à 1W et il ambitionne de passer rapidement sous la barre des 300 à 500mW, ce qui placerait ses puces x86 en concurrence directe avec les puces Xscale à base de jeu d'instruction ARM. Il est à noter qu'AMD affiche des ambitions similaires avec ses puces Geode et pourrait aussi parvenir à des résultats proches avec ses puces Efficeon, issues des développements de Transmeta. Terminons en signalant que la cession des puces PXA ne signifie pas un abandon total de la technologie Xscale par Intel. Le fondeur continuera à utiliser la technologie pour ses puces de communication et ses processeurs réseaux (gamme IXP), mais aussi pour ses processeurs de stockage (gamme IOP). Il entend aussi conserver sa licence d'architecture ARM, qui en fait l'un des quelques grands fondeurs ayant l'autorisation de modifier les architectures de références d'ARM. (...)

(28/06/2006 12:33:06)

Nortel supprime plus de 1000 postes

Nortel va procéder à la suppression de 1100 postes à travers le monde, soit 3,2 % de ses effectifs. Nortel supprimera 1900 postes, dont 1200 dans les services opérationnels, 350 au sein des services de management et 350 dans les unités commerciales. Joint par téléphone, l'équipementier ignore encore à quel degré les 2300 effectifs français seront concernés par ces mesures. Parallèlement, le groupe va créer 800 nouveaux emplois dans deux "centres d'excellence" basés à Mexico et en Turquie. Des recrutements que Nortel justifie en rappelant la nécessité de se rapprocher de ses grands clients. Surtout, le Mexique et la Turquie offrent une main d'oeuvre à la fois abondante et bon marché, ce qui coïncide avec la stratégie du groupe visant à réduire les coûts. Enfin, Nortel entend modifier le programme de retraite pour ses effectifs basés en Amérique du Nord et économiser 400 M$ d'ici 2012. La restructuration annoncée par Nortel devrait se traduire par des économies de 100 M$ en 2007, et 175 M$ en 2008. Elle engendrera une charge de 100 M$ sur deux ans, dont 35 M$ impacteront le deuxième trimestre 2006. Cette annonce "poursuit nos efforts pour accroître notre compétitivité, la meilleure gestion de nos coûts et la sécurisation des revenus afin d'alimenter l'innovation", a explique le PDG Mike Zafirovski. L'équipementier canadien sort d'un "trimestre difficile", selon les mots de Mike Zafirovski : sur les trois premiers mois de son exercice, Nortel a ainsi publié une perte nette en augmentation et des revenus seulement stables sur un an. Pour l'homme fort de l'équipementier, à la tête du groupe depuis le mois d'octobre 2005, il s'agit donc de rassurer les actionnaires et de faire oublier les trois reports de publications de résultats au cours des trois dernières années consécutifs au scandale financier qui avait éclaboussé le groupe sur la période 2000-2003. (...)

(28/06/2006 12:34:02)

Open Source: SugarCRM se rapproche de JasperSoft

SugarCRM, éditeur d'une application de GRC (Gestion Relation Client) open source, et JasperSoft, spécialiste du décisionnel open source, ont décidé de rapprocher leurs applications. Un partenariat qui scelle le premier accord entre deux éditeurs open source commerciaux. Concrètement, le prochain portail de téléchargement SugarExchange prévu pour juillet -actuellement en version bêta- devrait proposer JasperReport for SugarCRM, une version du moteur de reporting de JasperSoft adaptée au GRC de SugarCRM. Le module devrait à terme se greffer aux applications professionnelles, et surtout payantes, de SugarCRM, Sugar Professional et Sugar Enterprise, vendues respectivement à partir de 239 $ et 449 $ par utilisateur. L'éditeur commercialise par ailleurs une offre de support, Sugar Network, au prix de 99$ par an et par utilisateur. Le portail fournira en ce sens des fonctions de paiement en ligne. Car les plug-ins seront gratuits ou payants, selon le modèle choisi par les contributeurs. Rappelons également que SugarCRM placera la version 4.5 de son GRC sous une licence Microsoft Shared-source, dans le but d'interopérer leurs applications. L'éditeur indique que SugarExchange vise à compléter le portail SugarForge de la marque, dédié davantage à la maturation de projets. Pour en savoir plus: Le site SugarExchange Le site SugarForge (...)

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