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(28/06/2006 08:52:47)
SGI place son salut entre les mains de x86
Comme annoncé au début du mois de juin, Silicon Graphics a décidé d'ouvrir son offre aux plates-formes x86 afin d'élargir son catalogue avec des produits plus économiques que ceux qu'il propose actuellement. Le constructeur espère ainsi doper ses ventes afin d'accélérer sa sortie de redressement judiciaire. Habitué des architectures Risc et Itanium, SGI franchit un grand pas en annonçant l'introduction d'un serveur x86, l'Altix XE, basé sur les nouveaux processeurs Intel Xeon 5100 « Woodcrest » bi-coeur. L'Altix XE sera livrable à partir du mois d'août prochain, à partir de 3 100 $. Ce serveur pourra être fourni avec Red Hat Linux 4 ou SuSE Linux 10. Pour se différencier de concurrents comme Dell, HP, IBM ou Sun, SGI indique qu'il utilisera son savoir-faire en matière de grands clusters pour aider ses clients à configurer ses systèmes pour une utilisation en grappe. Le constructeur pourra aussi proposer des solutions de clusters x86 prêts à l'emploi. SGI n'abandonne pas pour autant la commercialisation de ses serveurs haut de gamme. Le constructeur remplacera son serveur lame Altix 350 par l'Altix 450 au mois de juillet. L'Altix 450, animé par deux processeurs bi-coeur Itanium 2, sera commercialisé à partir de 14 000 $. De même, l'Altix 4700 - le joyau de la gamme SGI avec le support d'un maximum de 1000 processeurs sur serveurs lames - vient de bénéficier d'une mise à jour pour supporter les processeurs Itanium 2 bi-coeur. Il est proposé à partir de 75 000 $. Il est à noter que Silicon Graphics s'est placé en mai dernier sous la protection de la loi américaine sur les faillites, le « chapitre 11 », afin de tenter de réduire sa dette d'environ 250 M$ en six mois. (...)
(28/06/2006 08:52:24)LANDesk se lance sur le marché des solutions Itil
LANDesk, spécialiste de la gestion de parc, met un pied dans la gestion de processus métier (BPM) et dans l'automatisation des procédures Itil (recueil de bonnes pratiques sur l'exploitation du SI). L'éditeur inaugure Process Manager 2.0, sa première offre intégrant les technologies issues du rachat de NewRoad Software. Positionnée par l'éditeur comme une "solution alternative à des produits plus sophistiqués", Process Manager renferme un moteur d'automatisation de processus métier. Il fournit également des outils de processus industrialisés Itil, qui devraient permettre à l'éditeur de proposer des fonctionnalités de gestion des incidents et du changement ainsi que de résolutions de problèmes. Process Manager sera embarqué dans Management Suite et LANDesk Security Suite, les offres de gestion de sécurité et de configuration de la marque. LANDesk proposera toutefois sa solution en version autonome. Les prix s'échelonnent de 35 000 $ pour une entreprise de moins de 1 000 employés à 190 000$ au delà de 10 000 employés. (...)
(28/06/2006 08:51:13)Boeing s'interroge sur l'avenir de son système d'accès Internet en vol, Connexion
Le groupe aéronautique Boeing pourrait bien se séparer de sa filiale Connexion spécialisée dans l'accès Internet en vol. Après six ans d'existence, Connexion n'est toujours pas rentable. Après un investissement de l'ordre du milliard de dollars, Boeing reste sur sa faim. Les marchés financiers estiment la filiale à 150 M$. Le groupe aéronautique n'a pas encore pris de décision définitive. Boeing serait prêt à s'allier avec un partenaire ou à vendre Connexion. La fermeture, solution plus radicale, est également envisagée. Connexion est en activité depuis 2000 mais n'a pas réussi à convaincre les compagnies aériennes. En Europe, Lufthansa est l'une des rares compagnies à proposer le service sur ses vols transatlantiques. Connexion propose l'accès Internet par Wi-Fi à l'intérieur des appareils équipés de son système (qui s'appuie sur un réseau de satellites pour la transmission entre la Terre et les avions). Les débits sont corrects, mais varient selon le nombre de connexions et les conditions atmosphériques. Boeing affirme que l'on peut atteindre des débits de 5 Mbps en téléchargement et de 750 Kbps en transmission. Les tarifs proposés vont de 10$ l'heure à un maximum de 27$ pour 24h, ce qui parait raisonnable vu la prestation. Pourtant, les voyageurs n'ont jusqu'alors pas semblé séduits par ce service. (...)
(27/06/2006 17:52:42)« Une arme de guerre anti turn over »
Lemondeinformatique.fr : Quels sont les enjeux et la philosophie du dispositif de gestion de carrières mis en place au sein de la DSI? Yves Caseau : Notre société évolue dans un environnement en perpétuel mouvement, qui change très vite et qui exige que nous nous adaptions en permanence pour continuer à accroître notre qualité de service. Pour s'adapter, le plus important n'est pas tant d'avoir les bonnes compétences que de bénéficier d'un processus qui permette de les accueillir et de les former. Face à ce constat, nous nous sommes posés la question de la façon dont nous pourrions faire vivre notre portefeuille de compétences, en dehors du mouvement des entrées et des sorties des collaborateurs et des actions de formation classiques, afin qu'il gagne en souplesse. Pour y répondre, nous avons monté un dispositif de formation et de transmission des compétences. L'idée qui se trouve au coeur de ce dispositif est de faire en sorte que l'ensemble des collaborateurs de la direction des systèmes d'information profite des connaissances des plus expérimentés. L'autre enjeu est de rendre la DSI plus attractive en offrant aux informaticiens des projets intéressants mais aussi un environnement intellectuellement stimulant, où chacun peut progresser. C'est une arme de guerre anti turn-over, bien que ce dernier soit pour l'instant peu élevé. Comment se concrétise ce dispositif ? Nous avons mis en place des « filières » ou parcours professionnels, qui permettent d'identifier et de récompenser l'excellence technique, mais aussi la volonté et la qualité de la transmission des compétences. Les personnes qui les intègrent ont à leur disposition un ensemble de « moyens » pour progresser, comme, par exemple, un accès facilité aux plus hauts niveaux de management, des accès à des conférences en France et à l'étranger, à certaines formations particulièrement pointues, etc. Elles intègrent par ailleurs le réseau interne de partage de connaissances et de bonnes pratiques qui leur permet de développer leurs savoirs et de participer à la croissance des compétences de la DSI, ce qui est essentiel. En effet, ce réseau constitue véritablement notre poumon interne. Enfin, pour accroître la visibilité et la reconnaissance des compétences de ces personnes à l'extérieur de la société, nous montons des parcours de formation certifiants dont elles pourront profiter. Combien avez-vous de filières ? Comment y accéder et combien de niveaux comptent-elles ? Nous avons trois filières qui comptent chacune deux niveaux de compétences distincts. La première rassemble 50 à 60 collaborateurs et s'adresse aux experts techniques de tout type, des architectes, des experts métiers, des spécialistes du développement, de l'exploitation et de l'intégration, etc. La deuxième totalise 30 à 40 collaborateurs et concernent les directeurs de projets La troisième, qui a été lancée il y a trois mois est réservée aux spécialistes des tests (40 à 50 collaborateurs). Tous les informaticiens peuvent faire la demande pour accéder à ces filières, à condition d'être cooptés par une personne déjà en place. Ils doivent remplir un dossier qui sera examiné par un comité de la DSI. Les candidats sont évalués sur trois axes : leur état d'esprit, disponibilité et qualités relationnelles, leurs compétences et leurs qualités pédagogiques. Ce dernier axe se mesure, par exemple, par leur capacité à produire des documents accessibles à tous, même sur un sujet très technique. Ce dispositif ne risque t-il pas de créer de différenciations entre les collaborateurs de la DSI ? Nous manquons encore de recul pour répondre à cette question puisque la première filière a un an environ. La meilleure façon d'y répondre jusqu'à présent est pour nous d'être totalement transparent sur le dispositif, de l'ouvrir à tous et de justifier les éventuels refus. Par ailleurs, jusqu'à présent, la sélectivité a plutôt un effet stimulant. Elle crée de l'émulation et de l'envie au sein de nos équipes. (...)
(27/06/2006 18:00:17)Le Libre triomphe à Paris
Organisée par l'ASS2L (Association des Sociétés de Services en Logiciels Libres) et sous le patronat de la Mairie de Paris, la première édition de la journée "Paris, capitale du Libre" s'est déroulée le 26 juin au Palais Brongniart. "L'idée était de montrer que le logiciel libre et ses acteurs étaient capables d'une convention de prestige haut de gamme", commente Alexandre Zapolsky, président de l'ASS2L et PDG de la SSLL Linagora. "Plus de 1500 personnes avaient fait le déplacement", ajoute-t-il. Une réussite qui a poussé la Mairie de Paris et l'ASS2L à programmer une seconde édition en 2007, "plus européenne cette fois-ci". Mais une réussite toutefois ternie par l'absence de l'Association française des éditeurs de logiciels (Afdel), qui avait décliné l'invitation (comme le soulignent nos collègues de Distributique, groupe IDG). Au terme d'une journée rythmée par une série de conférences étaient décernés les "Lutèce d'or", trophées récompensant les meilleurs projets libres. Le palmarès:
- Le trophée de la meilleure action communautaire : Sesamath, projet de rédaction collaborative d'un manuel de mathématiques (étaient aussi nommés, l'Afup et Ubuntu FR)
- Le trophée du meilleur projet de développement Libre réalisé: Mozilla (étaient aussi nommés CamptoCamp, application de SIG, et Wikimedia)
- Le trophée du meilleur projet Libre réalisé pour une collectivité locale : eBourgogne, plate-forme d'outils reposant sur les logiciels libres entourant 1300 collectivités locales (étaient aussi nommés Le Centre de Ressources Informatiques de Haute-Savoie -CRI74- et la Mairie De Rouen)
- Le trophée du meilleur projet Libre réalisé pour une administration : la Direction Générale de la Comptabilité Publique (DGCP) pour le projet Lemon LDAP (étaient aussi nommés la DGME -direction générale de la modernisation de l'Etat- et la CCI de Meuthe-et-Moselle)
- Le trophée du meilleur projet Libre réalisé pour une PME : xWiki (étaient aussi nommés Cibelia - Mobilité open source - et Qualisearch)
- Le trophée du meilleur projet Libre réalisé pour un grand groupe : EDF R&D, pour Code Aster, librairie pour le calcul scientifique (était également nommé Infoterra)
- Le trophée du la meilleure stratégie Logiciel Libre mise en oeuvre: la Gendarmerie Nationale pour ses projets de déploiements (OpenOffice, Thunderbird et Firefox), mais également pour la mise en place de la communauté ICAR (étaient aussi nommés la Direction générale des impôts et l'Agence universitaire de la francophonie)
- Grand Prix du jury : Direction générale des impôts
- Prix spécial du jury : EUCD.info , pour son combat contre la DADVSI, et la défense du logiciel libre et de l'intéropérabilité.
Peoplesoft 9, une version très politique
Oracle vient de dévoiler la Release 9 de Peoplesoft Enterprise, le progiciel acquis de haute lutte en janvier 2005. Ce lancement revêt une forte connotation politique. D'une part, il s'agit de rassurer les utilisateurs de Peoplesoft. Oracle insiste ainsi sur la nomination d'une responsable de la stratégie et du développement de la ligne de produits Peoplesoft, Doris Wong, 22 ans d'expérience dans le logiciel dont 11 chez Peoplesoft. D'autre part, Oracle met l'accent sur les liens avec Fusion, son middleware : il s'agit de démontrer l'intégration des technologies que l'éditeur a acquises. Chef de produit technologies des applications, Lionel Dubreuil explique : « Peoplesoft était certifié sur les serveurs d'applications Websphere et Weblogic. La première étape était donc de certifier Peoplesoft sur les dernières versions, 10g, des outils Oracle, que ce soit le serveur d'applications ou la base de données. » Des liens ont également été créés vers divers produits de la gamme Fusion, comme XML Publisher, un outil de création et de diffusion de rapports, ou le Customer data hub (CDH), un référentiel de données sur les clients. « Il est possible par exemple de consulter le CDH lors de la création d'un client dans Peoplesoft, afin d'éviter les doublons. » Sachant que le processus qui effectue la vérification sera piloté BPEL Process Manager (hérité lui du rachat de Collaxa). (...)
(27/06/2006 17:46:24)Intel s'offre six mois de répit avec ses Xeon "WoodCrest"
Intel a officiellement annoncé hier 26 juin la disponibilité de sa puce serveur Xeon 5100 "WoodCrest", une annonce accompagnée par une flopée de nouveaux serveurs signés IBM, HP, SGI... Après près de trois ans de domination technologique par AMD, qui s'est accaparé 22% du marché des processeurs pour serveurs avec sa puce Opteron, Intel s'est lancé dans une grande contre-offensive qui le place pour la première fois en tête en termes de performances sur le segment des serveurs biprocesseurs. Dans la pratique, les premières livraisons significatives de serveurs "WoodCrest" devraient arriver en août et c'est en septembre que les vraies livraisons en volume débuteront. Intel reprend la tête en termes de performances Le Xeon 5100 s'appuie sur la nouvelle architecture Core 2 d'Intel (comme la puce pour PC de bureau "Conroe" et la puce mobile "Merom"). Cette architecture permet à Intel de reprendre l'avantage sur son concurrent en termes de performances. Selon les applications et les tests, le fleuron de la gamme Intel, le Xeon 5160 à 3GHz, est entre 20 et 60 % plus rapide que l'actuel Opteron 285, il est vrai en fin de vie. En fait, si l'on compare le Xeon "WoodCrest" à l'actuel Xeon "Paxville", c'est un saut quantique qu'a réalisé Intel puisque selon Dell, un serveur à base de Xeon 5160 est environ 150 % plus rapide qu'un serveur équipé de son embarrassant prédécesseur tout en offrant une réduction de consommation de près de 60%. La progression est telle qu'Intel devrait logiquement conserver la couronne des performances jusqu'à la fin de l'année. Il faudra alors attendre le lancement des puces Opteron révision G (nom de code "DeerHound") pour qu'AMD espère de nouveau rivaliser. Guerre des chiffres sur la consommation Mais la bataille ne se joue pas que sur les performances. Elle devrait aussi se jouer sur la consommation énergétique et, sur ce plan, AMD apparaît encore très bien placé. Certes, le Xeon 5100 est bien moins gourmand en énergie que les actuels Xeon DP "Paxville", dont la dissipation thermique frisait il est vrai l'absurde. En combinant certaines des technologies d'économie d'énergie issues de ses développements sur les puces mobiles et un processus de fabrication en 65 nm, Intel est parvenu à ramener la consommation des Xeon 5100 à environ 65 W contre près de 165 W pour les actuels Xeon bi-coeur "Paxville". Seul le haut de gamme, le Xeon 5160 affiche une consommation supérieure, à environ 80W. Avec de tels chiffres, les puces Xeon affichent une consommation inférieure à celle des Opteron. Mais pour Bernard Seité, le directeur technique d'AMD France, il ne faut pas s'en tenir aux apparences : "Pour cette nouvelle génération, Intel a fait le choix de la technologie mémoire FBDIMM (Fully Buffered DIMM), afin de résoudre les problèmes de bande passante mémoire de ses puces serveurs. Or ces barrettes consomment 10,4 W contre 4 W pour une barrette DDR2". Sur un serveur biprocesseur typique avec 8 ou 16 barrettes mémoire, un système à base d'Opteron ne consommera que 32 ou 64 W pour la partie mémoire contre 83 W ou 166 W pour un serveur Xeon 5100 (un chiffre auquel il faut ajouter les quelques 25 W du contrôleur mémoire externe au Xeon). Une façon pour AMD de noter que si Intel a repris l'avantage sur les performances en environnement biprocesseur, l'Opteron reste la référence pour le rapport performance/consommation. C'est d'ailleurs l'une des raisons de la fidélité de Sun à AMD, explique Jean-Yves Pronier de Sun : " Nous sommes convaincus que même face à WoodCrest, l'Opteron conserve l'avantage en terme de ratio performances par watt sur le biprocesseur. Ce sera encore plus vrai en quadri-processeur ou Tulsa ; la future puce d'Intel consommera 75 W de plus qu'un Opteron, ceci sans compter la consommation accrue liée aux FB-DIMM..." Vers une nouvelle bataille au début 2007 En fait, la vraie bataille entre Intel et AMD devrait se jouer lorsque ce dernier aura basculé sa production en 65 nm, c'est à dire au début 2007. Pour Bernard Seité, "Intel a utilisé les habituelles recettes d'accroissement du cache pour doper ses performances afin de compenser les faiblesses de son architecture à base de front-side bus et il a utilisé la technologie 65 nm pour la réduction de la consommation". Le directeur technique d'AMD estime que l'avantage de son concurrent ne durera pas un trimestre :"Vers la fin du 4e trimestre 2006 ou au tout début 2007, nous basculerons notre processus de production sur le 65 nm et nous introduirons nos puces quadri-coeurs. Nous devrions alors reprendre l'avantage sur Intel". Rendez-vous est donc pris entre les deux géants des processeurs. (...)
(27/06/2006 17:53:09)La fondation Bill Gates reçoit une fortune de Warren Buffett
L'américain Warren Buffett, deuxième fortune mondiale, a annoncé qu'il allait verser 85 % de ses actifs à des oeuvres caritatives dont une grande partie à la fondation créée par ses amis Bill et Melinda Gates. Les époux Gates devraient recevoir 37 Md$ de la part de celui qui dirige le groupe Berkshire Hathaway, spécialisé dans les placements financiers, depuis 1965 et qui détient des participations dans de nombreuses autres sociétés comme Coca-Cola ou Procter & Gamble. Les 37 Md$ de Warren Buffett grossiront le budget de l'oeuvre caritative de Bill Gates - estimé à près de 30 Md$ - une organisation jusqu'alors financée uniquement à partir des revenus du père de Microsoft et se consacrant à la mise en place de programmes éducatifs et médicaux à destination des populations défavorisées à travers le monde. Bill Gates a annoncé au cours de ce mois de juin le prochain désengagement de ses activités au sein de Microsoft. En 2008, l'éditeur devra composer sans son fondateur, lequel entend se consacrer entièrement à sa fondation. (...)
(27/06/2006 12:28:08)EMC va investir 500 M$ en Chine pour l'ouverture d'un centre de développement logiciel
EMC fête ses 10 ans de présence en Chine en ouvrant un centre de développement logiciel. Basé à Shanghai, le centre devrait employer 100 développeurs d'ici à la fin de l'année. Ce chiffre sera porté à 500 d'ici à 2008. EMC a précisé qu'il allait investir en Chine 500 M$ sur les cinq prochaines années. Le centre de Shanghai assurera le service après-vente mais également la création de nouveaux produits logiciels destinés au monde entier. Bien sûr, cette base avancée chinoise permettra également à EMC d'investir le pays et le continent asiatique dans son ensemble. Avec cette décision, EMC renforce un peu plus sa présence en Asie. La semaine dernière, on apprenait que l'entreprise allait dépenser un montant identique en Inde. EMC compte débourser plus de 1,2 Md$ en recherche et développement, en 2006. (...)
(27/06/2006 11:01:48)Intel prépare sa nouvelle génération de puce WiMax
Intel devrait profiter de la conférence WCA 2006 (Wireless Communications Association) qui s'ouvre cette semaine à Washington pour lever le voile sur la seconde génération de ses puces WiMax. Baptisée Rosedale 2, la nouvelle puce WiMax du fondeur devrait supporter à la fois les standards 802.16d (WiMax fixe) et 802.16e (WiMax mobile), alors que la génération actuelle ne supporte que le 802.16d. La puce devrait notamment être utilisée dans une nouvelle génération de modems et de boîtiers de réception avant l'arrivée en début d'année prochaine d'Ofer, la première puce Intel faisant converger Wi-Fi et Wi-Max. Ofer pourrait notamment faire son apparition dans des terminaux nomades. (...)
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