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(26/06/2006 18:32:57)

Le ministère de l'Intérieur programme la migration de sa messagerie vers le Libre

Le ministère de l'Intérieur a discrètement lancé le 11 mai dernier un appel d'offres pour un projet de migration de sa messagerie. Au programme, la "modernisation de messageries du ministère de l'Intérieur et de l'Aménagement du territoire" qui vise à remplacer le couple Exchange 5.5 / Outlook par l'infrastructure libre de messagerie Icasso / Pablo. Icasso rassemble notamment un serveur d'entité, un service de réplication d'annuaire et un service d'administration-supervision. Outre une bascule vers le Libre, cette migration doit permettre la mise en place d'un service de synchronisation avec des solutions mobiles, tels que les PDA. L'appel d'offres couvre également des prestations d'assistance et de support. Si, pour l'heure, le ministère de l'Intérieur s'est refusé à tout commentaire, le projet porterait sur quelque 100 000 postes de travail. Rappelons que Microsoft mise sur les fonctionnalités liées à la mobilité et à la messagerie unifiée pour imposer la prochaine mouture d'Exchange 12, dont la sortie est prévue début 2007. Pour en savoir plus: L'annonce parue dans le BOAMP (Bulletin officiel des annonces de marchés publics) ministère de l'Economie: contrat record dans les logiciels libres La Mairie de Paris confirme son engagement pour le Libre (...)

(26/06/2006 18:26:17)

Google veut rassurer et séduire les internautes français

Rassurer et séduire. Tel pourrait être le credo d'Eric Schmidt, le PDG de Google, à la lecture de l'entretien qu'il a accordé à nos confrères des Echos. Rassurer d'abord. Soucieux de ne pas sombrer dans les mêmes écueils antitrust avec Internet que ceux contrariant Microsoft sur le terrain des OS, l'homme fort du pourtant pharaonique moteur de recherche se défend de vouloir prendre part à la consolidation du secteur dans lequel il oeuvre. Pas d'achat majeur en vue donc pour Eric Schmidt, qui ne lorgne ni du côté de Yahoo ou d'eBay, ni de celui d'AOL Europe. Google n'a, il est vrai, jamais procédé à de larges acquisitions de groupes concurrents, se contentant de mettre la main sur des technologies sur lesquelles s'appuyer pour mieux asseoir ses rentrées publicitaires. Rassurer, c'est également se défendre de ne pas respecter le droit d'auteur en mettant en ligne, sans le consentement des ayant-droit, des extraits d'ouvrages dans le cadre du projet Google Books. Poursuivi, notamment, par l'éditeur français La Martinière, le moteur de recherche nie vouloir leur nuire et dément en tirer le moindre profit... pour l'instant : "aujourd'hui il n'y a pas de liens sponsorisés sur ces pages (...) Effectivement, on pourrait peut-être en mettre demain. Mais je ne le pense pas". Séduire ensuite. Eric Schmidt annonce ainsi l'ouverture prochaine d'un centre de recherche en France : "il y a en France des compétences techniques et une excellence en mathématiques qui me conduisent à y créer un centre de recherche et développement. Google doit apparaître aussi français que possible et seuls des ingénieurs locaux pourront y parvenir". L'hégémonique moteur, pas avare d'un compliment à l'égard de son public, renforcera ainsi sa présence en Europe, après l'Angleterre, l'Irlande, la Suisse et la Norvège. (...)

(26/06/2006 18:16:42)

Externalisation : les prestataires français délaissés

La France perd du terrain sur ses concurrents européens en tant que pays hôte de contrats d'externalisation au premier trimestre 2006. Une étude Forrester* met en lumière l'intérêt décroissant que représentent les entreprises françaises comme prestataires d'outsourcing au profit de leurs concurrentes allemandes et, surtout, britanniques. Plus que jamais, les groupes originaires du Royaume-Uni s'imposent comme les partenaires privilégiés sur un marché EMEA dont la valeur est estimée, par le cabinet d'études, à 2,76 Md€. Pour le neuvième trimestre consécutif, les prestataires britanniques dominent les débats, et accroissent même leur avance - avec 43 % des contrats signés au cours du T1 - sur leurs poursuivants. Fait notable ce trimestre : l'Allemagne s'arroge la deuxième place et relègue la France en troisième position. Si la progression de la présence des entreprises d'outre-Rhin reste modeste - elles s'octroient 12 % des contrats d'externalisation contre 10 % un an auparavant - la dégringolade de la France est nettement plus spectaculaire. Elle est d'ailleurs le pays européen à subir la plus importante perte d'influence, ne remportant que 8 % des contrats, contre 17 % sur la même période de l'année précédente. Forrester résume cette tendance par une formule sans appel : "l'activité des entreprises française s'évanouit". Conséquence de ce qui précède, rares sont les prestataires hexagonaux à figurer dans le classement des 28 entreprises de la zone EMEA à avoir revendiqué la signature d'au moins un contrat d'une valeur supérieure à 10 M€. Le premier représentant français - Atos Origin - n'arrive qu'en septième position, avec trois contrats et 150 M€, très loin derrière Capita, le spécialiste britannique du BPO, et ses 539 M€. Steria, Capgemini et France Télécom complètent le palmarès français et se classent respectivement 13e, 19e et 23e. Si les entreprises françaises ne semblent guère attirer les convoitises étrangères désireuses d'externaliser une partie de leur activité, elles contribuent, à l'inverse, au succès des groupes étrangers en les choisissant comme prestataires. C'est notamment le cas d'EDS, qui signe quatre de ses douze contrats supérieurs à 10 M€ avec des clients français. Forrester note pourtant que les acteurs français avaient, jusqu'alors, démontré une préférence pour les co-contractants hexagonaux. Par ailleurs, l'institut Forrester prévoit une croissance annuelle des dépenses d'externalisation en Europe - dans les 25 Etats membres de l'UE, la Suisse et la Norvège - de 10 % jusqu'en 2011. Dans cinq ans, les entreprises européennes devrait ainsi dépenser 27,5 Md€ en outsourcing, contre 17 Md€ cette année. * EMEA IT Outsourcing Deals : Q1 2006 (...)

(26/06/2006 18:22:02)

Les SSII délaissent les jeunes diplômés au profit des experts

Un besoin prononcé d'encadrement et d'expertise technique semble se faire sentir dans les projets informatiques. Les informaticiens expérimentés sont en tout cas beaucoup plus recherchés qu'au premier semestre par les SSII, tandis qu'une baisse d'intérêt se manifeste pour les jeunes diplômés. C'est ce que révèle l'observatoire semestriel LMI-Hitechpros* sur les intentions d'embauche des SSII (dont les principaux résultats sont publiés dans Le Monde Informatique du 20 juin 2006). La tendance est valable dans les petites et moyennes entreprises interrogées (CA < 100M€ et moins de 500 salariés) comme dans les grandes (CA > 100 M€) : seules 20% des premières prévoient d'embaucher des jeunes diplômés contre 37% en décembre dernier, et 27% des grandes contre 43,5% il y a six mois. Dans les petites structures, le mouvement bénéficie essentiellement à des informaticiens présentant entre trois et dix ans d'expérience - ce profil passe de 20% des intentions d'embauche en décembre 2005 à 40% en mai 2006. Il profite davantage à des experts (+ de dix ans d'expérience) dans les grandes SSII, puisque 18% d'entre elles souhaitent embaucher de tels profils contre 4% en décembre. L'observatoire confirme par ailleurs que les SSII continuent de recruter, malgré un léger fléchissement des prévisions par rapport au premier semestre, plus marqué dans les petites structures. 86% d'entre elles prévoient d'accroître leurs effectifs dans les mois qui viennent (contre 91% en décembre 2005), 11% leur stabilité (contre 7,5%) et 3% leur baisse (contre 1,5%). Parmi celles qui projettent une stagnation ou une baisse des effectifs, 38% déclarent qu'elles préfèrent placer en priorité leurs collaborateurs en inter-contrats, contre 25% en décembre. (*) Enquête réalisée en mai et juin 2006, réalisée par HitechPros pour Le Monde Informatique sur un panel de 83 entreprises, dont 18 réalisent plus de 100 millions d'euros de chiffre d'affaires. (...)

(26/06/2006 18:23:14)

Les éditeurs de technologies orientées SOA jugés par un consultant français

Microsoft, IBM, BEA, Sun, Oracle et Tibco sont les mieux armés, technologiquement parlant, pour répondre à des projets sur les architectures orientées services (SOA). C'est, sans surprise, ce qui ressort de « la première étude du marché français de la SOA », proposée par DPM Services et réalisée par Pierre Bonnet, directeur du conseil d'Orchestra Networks. Toutefois, l'étude pointe aussi les carences de chacune de ces offres. A la différence de ce qui peut être fait par un cabinet type Gartner, l'étude ne s'embarrasse pas d'analyse sur la viabilité des éditeurs ou leur vision à long terme, mais examine en profondeur les briques technologiques (tant internes que celles liées à des partenariats) et les note sur 8 axes : sécurité, modélisation, méthode, service Web interactif (avec une interface utilisateur), couche technique de services Web, référentiel et BPM (gestion des processus métier, sous des angles humain et applicatif). Ce qui permet de noter les complémentarités entre certaines offres, ou de constater le degré de maturité d'une offre par rapport à l'autre. L'étude est payante, tant pour les éditeurs interviewés que pour le public (950 euros HT). (...)

(26/06/2006 12:53:12)

Salesforce dope son GRC à la gestion de partenaires

Le spécialiste de la Gestion Relation Client hébergé Salesforce.com prévoit de lancer une version de son application GRC adaptée à la gestion des réseaux de partenaires (PRM - Partner Relationship Management) et de la vente à l'indirect. Le portail Salesforce Partner Edition (ou PartnerForce) devrait être accessible dès le 12 juillet. L'idée est de fusionner les fonctionnalités du GRC et de la PRM au sein d'une seule interface. "Une première", selon l'éditeur. Et devrait alors proposer la gestion de partenaires, depuis son recrutement à la gestion de ses ventes. Partnerforce reste également modulable, via AppExchange, sa plateforme ouverte aux ISV, qui héberge désormais une catégorie dédiée à la gestion de réseaux de partenaires, riche pour l'heure de dix modules. Une façon d'en étendre à nouveau le champ d'applications, après l'avoir transformer en infrastructure ouverte via son offre OEM. Partnerforce sera facturé à l'année (1 500 $ pour cinq utilisateurs), et non à l'utilisation comme les autres offres de la marque, les éditions Enterprise et Unlimited, auxquelles il faudra toutefois souscrire. (...)

(23/06/2006 17:10:15)

Cartographie : Géoportail débute sa carrière

La France a - enfin - son Google Earth avec la sortie, ce 23 juin, de Geoportail. Concocté par l'Institut Géographique National, l'outil offre une représentation de l'Hexagone mise au point à partir d'une base de 400 000 clichés vieux de cinq ans au maximum. A l'instar de ce que propose le produit de Google pour les principales zones urbaines, Géoportail mise sur la qualité des images. Et pas seulement pour l'Ile-de-France : l'ensemble du territoire national - métropole et DOM-TOM - est couvert avec une précision de 50 cm par pixel. Dans un premier temps limité à une représentation en deux dimensions, l'outil permettra une navigation 3D dès l'automne. Dire que Géoportail était attendu relève de l'euphémisme. Les serveurs ont été pris d'assaut dès la mise en ligne de l'application. Olivier Bouiri, membre de l'équipe opérationnel, reconnaît que Géoportail est victime de son succès : "le système rejette énormément de monde mais les connectés ont un accès fluide à l'outil. Nous avons calibré nos serveurs pour qu'ils puissent accueillir 1000 visiteurs simultanément. A terme, nous allons être obligés de recalibrer nos capacités d'accueil et de monter en puissance". (...)

(23/06/2006 17:07:12)

Trimestriels Oracle : le groupe profite de ses multiples acquisitions

Avec un chiffre d'affaires de 4,85 Md$, Oracle enregistre une croissance de ses revenus de 25 % par rapport à la même période de l'année précédente. Même niveau de progression pour le bénéfice net, qui grimpe de 27 % sur un an, à 1,3 Md$. Ces deux indices sont en ligne avec les estimations communiquées la semaine dernière par le groupe, et légèrement au-dessus de celles des analystes, qui tablaient sur un CA de 4,7 Md$. Sur l'ensemble des revenus d'Oracle, l'immense majorité provient des ventes de licences : elles représentent ainsi 4 Md$ et progressent de 28 % sur un an. Le reste de l'activité est issue des services, dont les revenus dépassent légèrement 850 M$, eu hausse de 13 %. Les ventes de nouvelles licences - chiffre clé renseignant sur les futures performances - ont bondi de 32 % pour atteindre 2,1 Md$. Sur ce total, les licences d'applications de gestion d'entreprises s'envolent de 83 %, à 641 M$ tandis que celles relatives au métier traditionnel d'Oracle, les bases de données, adoptent un rythme de croissance de 18 %, à 1,48 Md$. Larry Ellison, le PDG du groupe, a défendu la moindre croissance du secteur des bases de données : "la moitié du temps on lit des histoires sur l'activité d'Oracle dans les bases de données qui croît lentement et subit les attaques d'IBM et de Microsoft. Nos bases de données progressent et se portent très bien". Le rythme de croissance élevé dans les applications de gestion d'entreprises s'explique en grande partie par les nombreuses acquisitions qu'Oracle a effectuées depuis plusieurs mois. Plus largement, c'est l'ensemble des résultats du groupe qui profite de la politique d'emplettes de ces dix-huit derniers mois. Ainsi, la société a dépensé 19 Md$ en acquisitions - soit plus que son chiffre d'affaires annuel - de Peoplesoft pour 10,3 Md$ à Portal Software en passant par Siebel pour 6,1 Md$ ou ProfitLogic. Selon Larry Ellison, ces opérations de croissance externes vont permettre à Oracle d'accroître son bénéfice de 20 % par an et de dépasser ses concurrents. Il explique ainsi qu'Oracle croît plus rapidement que SAP dans les applications de gestion d'entreprises, plus vite que BEA dans le middleware et qu'IBM dans les bases de données. Fort de ces bons résultats, le groupe table, pour le premier trimestre de son exercice 2007, sur un revenu en hausse de 19 à 20 % par rapport au T1 2006. (...)

(23/06/2006 17:07:57)

L'open source, vers une banalisation de l'écosystème

L'open source va se banaliser et perdre ainsi son caractère "alternatif". C'est un des messages qui ressort d'un congrès aux Etats-Unis (*), où se réunissaient quelques ténors de l'industrie du logiciel open source, notamment IBM, Sun, JBoss et SpikeSource. "L'open source formera le coeur des infrastructures, à l'image d'une architecture client-serveur actuelle. [A tel point] que l'idée même de l'open source provoquera des bâillements d'ici cinq ans", analyse Andy Astor, PDG de Enterprise DB, éditeur d'un SGBD reposant sur PostgreSQL. Selon eux, le modèle de l'open source a métamorphosé le marché du logiciel. Il a d'abord crédibilisé un modèle reposant sur la vente de supports et de services, au détriment de celle de licences. "Des règles plus ouvertes que celles posées par les éditeurs dits propriétaires", commente Kim Polese, PDG de SpikeSource. Il a également imposé à ses acteurs davantage de créativité pour placer leurs offres sur le marché. "L'open source est un marché encore jeune, où ne se pose pas la question de choisir un modèle économique", affirme Andy Astor. Reste que face à son adoption en forte croissance, notamment par les géants du secteur tels que Sun et Oracle, l'open source devrait perdre son côté marginal, et se fondre alors dans le paysage de l'informatique. "Les développeurs travaillant dans l'open source devraient être payés", martèle Marc Fleury, PDG de Jboss récemment racheté par Red Hat. "Je suis étonné d'avoir encore à me battre sur cette question". (*) "The Open Source Effect" (...)

(23/06/2006 13:23:04)

Réseaux : Samsung concurrence Cisco

Samsung Electronics commercialise un routeur pour le monde de l'entreprise, empiétant directement sur les plates bandes de Cisco. L'Ubigate iBG3026, c'est son nom, combine les fonctionnalités d'un switch, d'un routeur, d'une passerelle VoIP et d'un Firewall. L'équipement rackable est destiné aux PME de 100 à 300 utilisateurs. Il est d'ores et déjà disponible en Corée du Sud et en Chine. Il sera disponible à travers le monde d'ici la fin de l'année. Le constructeur prévoir de compléter sa gamme avec le iBG2006 et le iBG2016, plus axés sur les TPE (jusqu'à 50 postes et 50 à 100 postes). Dans la secone partie de 2007, le constructeur lancera un produit pour les grands comptes de plus de 300 postes, l'iBG3046. « D'ici l'année 2010 nous allons tenter d'atteindre 10% de parts de marché sur le secteur des entreprises » a déclaré Hwan Woo Chung, vice président du département Wimax de Samsung Mobile, à Singapour lors du salon CommunicAsia. L'arrivée de produits « réseaux » chez Samsung est une réelle nouveauté. Le Coréen complète une gamme plus traditionnelle composée de terminaux et d'équipements réseaux pour les opérateurs. « Nous allons devoir beaucoup apprendre dans un futur proche » conclut Mr Chung. (...)

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