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(29/03/2006 16:33:59)

La mairie de Joinville-le-Pont met en place un annuaire électronique des professionnels

Pour trouver plus simplement et plus facilement un professionnel sur la commune, la mairie de Joinville-le-Pont vient de mettre en place une version pilote d'un annuaire où sont répertoriés tous les professionnels. Pour faciliter la recherche, ceux-ci sont classés par rubriques (service, transport, loisirs, etc.) et sous rubriques (activités comptables, activités de banques de données, etc., ambulances, taxis, etc., agences de voyages, clubs sportifs, etc.). Chaque professionnel dispose gratuitement d'une carte de visite virtuelle, sur laquelle il peut placer un message publicitaire et un lien vers un site Web, en plus bien sûr des coordonnées téléphoniques et postales. Ce service, mis au point par la société Online & Groupware a été lancé le 24 mars dernier à l'occasion du premier Festival Multimédia Jeunesse organisé par la commune. (...)

(29/03/2006 12:22:14)

Google efface par accident son blog officiel

Faux pas en série chez Google. Lundi, un employé du pharaonique moteur de recherche aurait, par erreur, effacé le blog officiel de la société, et, plus inquiétant, l'aurait attribué, pendant quelques heures, à un utilisateur anonyme possédant un compte Blogger. Le site en question, googleblog.blogspot.com, constitue un des vecteurs de communication préférés de Google. Et reste alors la source principale d'information de ceux souhaitant se tenir au courant des dernières innovations Google. Ce qui au final aurait pu avoir des graves conséquences, si l'utilisateur, un étudiant de 19 ans, était animé de mauvaises intentions. Et ce ne serait pas la première « boulette ». Courant mars, ce sont des informations financières comptables qui furent publiées par erreur. Un incident qui poussa Google à rédiger une note à la SEC, expliquant qu'il s'agissait d'un document non-valide et à seul usage interne. En début de mois, le moteur de recherche a également dû dé-publier une série de documents livrant des informations sur des produits de la marque en cours de développement. Et donc non-officiels. Les erreurs à répétitions de Google, quant à la gestion de ses informations en interne, ont immédiatement provoqué nombre de réactions chez les analystes. Avec pour argument : « Si Google ne parvient pas à gérer sa propre boutique, comment peut-il gagner la confiance des consommateurs, et faire valoir ses services en ligne ». (...)

(28/03/2006 17:54:08)

BMC rachète Identify un spécialiste de la résolution d'incidents

BMC a annoncé le rachat pour 150 M$ d'Identify, une société israélienne connue pour son outil de résolution des incidents, Appsight. Appsight est une solution de supervision des processus applicatifs qui automatise la collecte d'information sur le déroulement des processus du système d'information et permet d'analyser leur fonctionnement. Le logiciel est capable de détecter les problèmes qui apparaissent lors de l'exécution de processus complexes mettant en oeuvre de multiples composants du système d'information. Il permet de remonter à la cause des problèmes et de gagner un temps précieux par rapport aux approches traditionnelles. Un point intéressant du logiciel est qu'il peut analyser l'exécution des transactions à un très haut niveau (en termes de temps de réponse des différents composants et en prenant en compte les interactions avec l'utilisateur) ou à très bas niveau, en suivant l'évolution des variables et arguments au sein du code de l'application. Selon son éditeur, il peut ainsi réduire de près de 80% le temps de remontée à la cause d'un problème de performance applicative, ou d'erreur dans une transaction L'acquisition d'Identify devrait permettre à BMC d'offrir à ses clients une solution granulaire pour la supervision de leurs applications modulaires .Net ou J2EE, en architecture traditionnelle ou SOA. Le rachat ne devrait pas affecter les relations étroites qui lient Identify à Microsoft. Le géant utilise notamment les produits d'Identify pour l'ensemble de ses développements et tests de logiciels. Appsight est aussi étroitement intégré aux outils de développement de la firme de Redmond. Appsight devrait être intégré à la gamme Remedy de BMC... (...)

(28/03/2006 17:50:02)

Convergence 2006 : Microsoft rapproche ses PGI de ses solutions bureautiques et d'infrastructure

Microsoft vient de rassembler pendant quatre jours à Dallas, à l'occasion de son rendez-vous annuel Convergence (25-28 mars), une partie de la communauté qui s'est constituée autour de sa gamme de progiciels de gestion intégrés (PGI) : Navision et Axapta, d'une part, Great Plains et Solomon, d'autre part. Ces solutions s'adressent à des entreprises de taille moyenne, les deux derniers produits n'étant pas distribués en France, mais utilisés par certaines filiales françaises de groupes internationaux. Quelque sept mille utilisateurs, partenaires, revendeurs et éditeurs ont fait le déplacement pour assister à des ateliers sur les produits, dialoguer et tenter d'en savoir un peu plus sur l'avenir des solutions qu'ils ont adoptées, qu'ils déploient ou pour lesquelles ils ont bâti une application métier (il en existe plusieurs centaines, Microsoft encourageant largement cette démarche). Bill Gates, président de Microsoft, est lui-même venu brosser à grands traits les évolutions prévues sur ses PGI (déjà évoquées à plusieurs reprises par l'éditeur). Il est en effet prévu que les quatre applications, acquises par rachat (en 2001, Great Plains et Solomon, et en 2002, Navision et Axapta), finissent un jour par confluer pour n'en former qu'une seule. Afin de tranquilliser ses utilisateurs, Microsoft a déjà indiqué qu'il assurerait la maintenance des différents PGI jusqu'en 2013, au moins, et que chaque version majeure serait suivie pendant cinq ans. Sous la bannière Dynamics Premier rapprochement symbolique, les quatre offres sont regroupées depuis février sous le nom de gamme « Dynamics » (celle-ci incluant aussi le logiciel de gestion de la relation client -Dynamics CRM). Chaque dénomination de produit se distingue par une combinaison de lettres : GP, SL, NAV et AX. A Convergence, Microsoft a confirmé le calendrier présenté pour le rapprochement des produits, rappelant qu'il prévoyait de mener ce projet en deux vagues, la première devant aboutir en 2007, la seconde lui succédant à partir de 2008 jusqu'en 2009 et au-delà. La première vague, déjà engagée, a été de nouveau détaillée par Bill Gates à Dallas. Des démonstrations d'Axapta 4.0 (sortie prévue en juin 2006 aux Etats-Unis, avec des fonctions avancées de gestion du service après-vente) et de la future interface de Navision 5.0 (annoncée pour le premier trimestre 2007) sont venues illustrer son propos. Pour Microsoft, l'évolution vers un produit unique consiste d'abord à renforcer l'intégration de ses PGI avec ses autres outils (la bureautique MS Office, la messagerie MS Outlook, le portail Sharepoint et la base de données SQL Server 2005 pour l'accès aux fonctions de reporting et d'analyse) et à unifier autant que possible le graphisme des interfaces. Elle inclut aussi la capacité à exploiter les services Web et la mise en place de rôles par métiers. La communication et l'échange de données entre les applications et les utilisateurs tirent largement partie de l'utilisation du portail Sharepoint (permettant le déroulement de workflow) et de l'annuaire Active Directory. Microsoft Dynamics Axapta 4.0 bénéficie de l'ensemble de ces avancées. Il arrivera cet été en France. Quid de la deuxième vague Les rôles métiers se concrétisent par une personnalisation avancée de l'interface et des processus accessibles, selon la fonction occupée par l'utilisateur dans l'entreprise : employé au service commercial ou à l'administration des ventes, responsable d'entrepôt... Pour constituer ces rôles, Microsoft a déjà sollicité l'expérience de 1 400 utilisateurs qui lui ont exposé la façon dont ils travaillaient. Soixante et un rôles ont ainsi été définis. A Convergence, quatre cents utilisateurs présélectionnés sont venus ajouter leur pierre, tester les interfaces et rencontrer l'équipe qui anime ces travaux (une équipe répartie entre Redmond -siège de Microsoft, Copenhague et Fargo -anciens sièges de Navision et Great Plains). On ne peut que regretter que cette démarche s'appuie essentiellement sur les habitudes des utilisateurs américains, malgré l'antenne européenne de l'équipe. Sur la deuxième vague d'évolution des PGI et sur la convergence annoncée entre les offres, peu d'informations ont filtré à Dallas. On ne sait pas, notamment, si le futur produit composera ses fonctions métiers en piochant dans chacun des quatre produits existants. La seule information communiquée par les responsables de Microsoft étant que les utilisateurs des actuels produits n'auront pas à déplorer la perte de fonctions qu'ils ont exploitées jusque-là, quel que soit le coût pour l'éditeur. Cela laisse malgré tout songeur si l'on considère l'ensemble des fonctions à maintenir. A Dallas, Bill Gates, président, mais également « Chief software architect » de Microsoft, n'a pas résisté au plaisir de clore sa prestation en évoquant son utilisation rêvée de l'informatique. Il a illustré cette digression sur de grands écrans de présentation aux allures futuristes, figurant les affichages tactiles de demain. Un futur dans lequel l'accès aux données ne sera jamais interrompu, que l'on soit à la maison, au bureau ou en chemin, le téléphone portable maintenant le lien entre deux accès fixes. (...)

(28/03/2006 12:34:04)

Siemens solde sa participation dans Infineon

Siemens a procédé à la vente de ses parts dans le capital de sa filiale Infineon, consacrée aux semi-conducteurs. Le groupe allemand détenait 18,2 % du capital d'Infineon, après qu'il eut allégé sa participation en 2001 puis en 2004. La banque Goldman Sachs a été chargée d'écouler les 136,3 millions de titres encore en possession de Siemens, au prix unitaire de 8,4 €. Au final, le groupe devrait récupérer 1,1 Md€ de cette cession. Cette opération ne surprendra pas les observateurs qui, au-delà des précédentes diminution de participation, n'avaient pas manqué d'entendre les paroles de Klaus Kleinfeld, en janvier dernier. Le président du directoire indiquait ainsi qu'il n'était pas opposé à un désengagement total d'Infineon. Le mouvement correspond également à la volonté du groupe de réduire sa dépendance aux activités par trop cycliques et de se concentrer sur les secteurs à la rentabilité plus régulière. Titre de l'encadré:Siemens solde également Epcos Encadré:Outre Infineon, Siemens a également annoncé la vente de ses parts dans le capital d'Epcos, dont il détenait 12,5 %. Fruit d'une alliance entre le groupe allemand et le japonais Matsushita, Epcos est spécialisé dans la fabrication de composants électroniques passifs. La vente devrait rapporter quelque 90 M€ à Siemens. (...)

(28/03/2006 12:36:52)

Microsoft lancera BizTalk 2006 le 1er mai

Microsoft vient d'annoncer la mise en production de BizTalk Server 2006 et sa disponibilité pour le 1er mai prochain. Cette nouvelle version du serveur d'intégration de Microsoft est bâtie sur le même socle technologique que la précédente mais intègre de nouvelles fonctionnalités et joue notamment la carte de l'intégration avec SQL Server 2005, Visual Studio 2005 et Virtual Server 2005. Microsoft propose en standard des connecteurs -dont la technologie avait été rachetée à iWay Software- vers les progiciels les plus répandus du marché, notamment SAP, PeopleSoft, Oracle, JD Edwards, Siebel, Tibco. Côté administration, BizTalk Server 2006 simplifie les tâches notamment en proposant une console unifiée. Désormais, l'administrateur peut depuis un point unique configurer, arrêter ou déployer des applications distribuées sur plusieurs serveurs. La version 2006 offre également un connecteur POP3 permettant l'importation de données provenant d'un simple courrier électronique. Microsoft décline BizTalk Server 2006 en trois modèles disponibles pour Windows 32 et 64 bit. La version Entreprise, la plus complète avec un nombre illimité de CPU et de projets est proposée au prix de 29 999$. L'édition standard coûte 8 499$. Cette version comprend 5 applications et elle est limitée à deux CPU sur un unique serveur. Enfin la version développeurs est facturée à 499$ par utilisateur. Cela dit, elle est également distribuée gratuitement avec l'abonnement Universal au Microsoft Developer Network (MSDN). (...)

(27/03/2006 12:41:07)

Wimax, la stratégie de Bolloré

R&T : Pourquoi ce soudain intérêt pour le monde des télécoms ? Jean-Christophe Thiery : Voici bientôt cinq ans que le groupe Bolloré s'est lancé dans la communication et les médias. Ce pôle s'est, depuis, considérablement développé. Nous avons, notamment, investi dans Euro Média et la SFP, qui forment le premier groupe français de prestations techniques pour l'audiovisuel et le cinéma ; puis nous avons lancé, avec succès, Direct 8, une chaîne généraliste gratuite de la TNT, totalement en direct. Dans le secteur de la publicité, le groupe est désormais le premier actionnaire d'Havas, présidé par Vincent Bolloré, et d'Aegis. Poursuivant cette logique de diversification ciblée, nous avons réfléchi à la convergence entre les médias et le monde des télécommunications. L'appel à candidature de l'Arcep sur les licences Wimax nous permet de concrétiser notre intérêt pour le secteur des télécoms. Nous sommes candidats aux licences Wimax parce que nous avons un projet ambitieux et cohérent. Nous avons déployé beaucoup d'efforts pour concevoir un réseau de nouvelle génération et optimiser les déploiements nécessaires à une couverture de chaque région. R&T : Quels sont les atouts de la technologie Wimax ? J.-C. T : Tout d'abord, nous avons la certitude que les besoins des consommateurs en haut débit, fixe ou nomade, vont aller crescendo. C'est évident ! Cette demande est nationale et touche tous les citoyens. La technologie Wimax répond totalement à ces besoins. Elle permet de couvrir de larges territoires à des débits élevés et à moindre coût. Le Wimax est, de plus, riche en promesses, notamment avec les évolutions du 802.16e. R&T : Serez-vous un acteur Wimax exclusivement ? J.-C. T : Notre objectif est de nous positionner sur les débits, les tarifs et le contenu. Nous voulons offrir le meilleur service et les contenus les plus pertinents, à des prix attractifs pour nos abonnés. Nous proposerons des offres spécifiques à des communautés (sportives, étudiantes...), et nous nous attacherons à offrir une facture unique incluant les services voix, data, vidéo et, bien évidemment, les services en nomadisme... Nos offres seront acheminées par la technologie Wimax, mais, si besoin, nous n'excluons pas l'usage d'autres technologies, y compris filaires. Le fil directeur de Bolloré Télécom restera, avant toute chose, l'innovation. Nous avons réuni des compétences très pointues pour que les usages du haut débit se généralisent. R&T : Quelles sont vos expertises métiers déclinables sur le Wimax ? J.-C. T : Le groupe Bolloré est très impliqué dans les secteurs du transport, de la logistique, de la gestion d'infrastructures portuaires, domaines dans lesquels le Wimax peut offrir de multiples services innovants. Dans le secteur de la publicité et dans les médias, on peut imaginer que le Wimax nous permettra de diffuser nos contenus vidéo et audio ou encore de gérer l'affichage urbain à distance, permettant ainsi de fournir l'information géographiquement ciblée, de manière dynamique. R&T : Etes-vous confiant sur l'attribution des licences par l'Arcep ? J.-C. T : L'Arcep a retenu des critères objectifs pour retenir les meilleures candidatures. Sur au moins deux des trois critères de sélection, la candidature de Bolloré Télécom me semble intéressante. Tout d'abord, le groupe Bolloré est, depuis près de deux cents ans, un groupe français, indépendant, avec des capacités financières importantes ; cette position lui permet d'investir dans des projets ambitieux dans une perspective de long terme. Notre implication dans le secteur des télécoms sera bénéfique à la concurrence, ce qui constitue un objectif majeur de l'Arcep, comme elle l'a prouvé sur le marché du dégroupage. Par ailleurs, nous avons pris des engagements très concrets pour réduire la fracture numérique en France. Par exemple, nous nous sommes engagés à déployer nos infrastructures Wimax aussi bien dans les zones denses que les zones blanches, ce qui permettra à 99 % de la population et des entreprises françaises d'accéder au haut débit. Nous couvrirons notamment la moitié des zones rurales françaises avant la fin 2008. Ensuite, nous réservons une cagnotte pour couvrir les éventuels trous et zones d'ombre dans la couverture. R&T: Vous êtes-vous fixés une limite en deçà de laquelle vous jetterez l'éponge ? J.-C. T : Chaque région représente un réel intérêt. Par ailleurs, nous faisons confiance à l'Arcep pour composer un ensemble cohérent. R&T: Resterez-vous seul ? J.-C. T : D'ores et déjà, Bolloré Télécom regroupe les talents et les compétences de trois partenaires, dont Hub Télécom, qui est un opérateur télécoms retenu, et Antalis TV, qui est un diffuseur technique performant. Notre démarche est guidée par le pragmatisme, et nous sommes ouverts à tout autre partenariat, notamment avec toutes les collectivités territoriales qui le souhaiteraient. (...)

(27/03/2006 12:42:10)

Achat public en ligne : Omnikles rachète un concurrent

L'éditeur et prestataire de plate-forme d'achat public dématérialisé Omnikles a racheté l'activité concurrente de la SSII putéolienne de 200 personnes On-X, entraînant le transfert de 6 salariés. Selon Omnikles, le premier du marché reste Achatpublic.com (groupe France Télécom), surtout concentré sur les petites collectivités locales, avec environ 20 000 procédures par an tandis qu'Omnikles, en deuxième position, en affiche 12 000 et On-X 3000. « Les technologies (Java...) et les modèles économiques (FAH) sont similaires, nous permettant donc de bénéficier de véritables synergies techniques » indique Jérôme Lefevre, directeur marketing d'Omnikles. Omnikles cherche, au travers de ce rachat, à se doter d'une solution légère destinée aux petites collectivités locales, sa propre solution visant plutôt les collectivités d'une certaine taille ayant une certaine complexité de fonctionnement. Cependant, les technologies identiques permettront de développer des modules communs aux deux produits (sept devraient être lancés d'ici l'été 2006), en particulier pour le serveur dédié à la dématérialisation des procédures et à l'archivage légal OKBox. (...)

(24/03/2006 17:46:57)

Comme Vista, Office 2007 est reporté à janvier 2007

Le report à début 2007 de la sortie des versions grand public de Windows Vista touchera aussi les versions grand public d'Office 2007. En effet, Microsoft vient d'indiquer que la prochaine mouture de sa suite bureautique sera disponible pour ses clients titulaires de licences en volume dès la fin 2006 mais que les autres devront attendre janvier 2007 pour en profiter. Néanmoins, Office Basic 2007, destiné aux partenaires intégrateurs de l'éditeur, sera disponible dès la fin 2006. L'éditeur prévoit de commercialiser deux versions d'Office 2007 pour entreprises, Office Professional Plus et Office Enterprise, contre rien moins que quatre déclinaisons grand public : Office Home, Student, Professional, Small Business et Standard. Microsoft prévoit le passage en version bêta 2 de sa nouvelle suite bureautique à la fin du mois de juin. (...)

(24/03/2006 17:39:45)

Lucent et Alcatel en pourparler pour fusionner

Alcatel et Lucent ont confirmé aujourd'hui dans un communiqué lapidaire qu'ils ont entamé des discussions de fusion. L'opération amicale, si elle se confirmait, se ferait au cours du marché et serait un mariage "entre égaux". Alcatel a réalisé un CA de 13,1 MdE en 2005 et un profit de 930 ME. Lucent de son côté a réalisé un CA de 9,4 Md$ (env. 7,76 MdE) et un bénéfice de 1,2 Md$ (env. 991 ME). Ce n'est pas la première fois qu'Alcatel et Lucent envisagent un mariage. En 2001, déjà, les deux sociétés avaient mené de longues négociations près de Paris, dans le château des Mesnuls (aujourd'hui propriété de Thales) avec pour but de mener une fusion entre égaux. Mais les négociations avaient connu une fin catastrophique le 29 mai 2001 sur la question du contrôle du conseil d'administration, Alcatel désirant contrôler 8 sièges sur 14. 5 ans plus tard, Lucent et Alcatel ont considérablement maigri et sont toujours face au même constat : Alcatel reste un nain outre-Atlantique tandis que Lucent reste un acteur de second rang en Europe. Un mariage entre les deux sociétés ferait donc sens, dans la mesure où il y a peu de recouvrements entre les activités géographiques des deux sociétés. Il pourrait aussi permettre aux deux sociétés de mutualiser leur R&D sur des secteurs clés comme les coeurs de réseaux optique, les réseaux mobiles. Enfin, il permettrait à Lucent de remettre les pieds sur le marché de la téléphonie IP d'entreprise d'où il est largement absent depuis le spin-off d'Avaya. Autre atout, le mariage entre les deux sociétés permettrait à la nouvelle entité de faire jeu égal avec Cisco en termes de chiffre d'affaires mais aussi de distancer Nortel. Il permettrait aussi aux deux sociétés de mieux lutter face à la montée en puissance de nouveaux concurrents comme les chinois Huawei Technologies et ZTE. Reste maintenant à éviter les conflits qui ont fait achopper la négociation de 2001. Du côté français, Serge Tchuruk est toujours présent tandis que du côté américain c'est Patricia Russo qui mènera les négociations. Gageons qu'elle écoutera avec intérêt l'avis d'Henri Schacht, le CEO de Lucent en 2001 qui est toujours membre du comité de direction de l'équipementier américain... (...)

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