Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 8421 à 8430.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(03/03/2006 17:59:29)

HP et Intel s'emploient à rassurer sur Itanium

Tout va bien pour le monde Itanium. La croissance est là, les clients sont heureux, les processeurs sont remarquables et IDC prédit un futur radieux. Alors pourquoi ne pas rejoindre l'alliance des vainqueurs et acheter des serveurs d'entreprises standards HP, comme tout le monde le fait. Ceux qui ont suivi la conférence commune que tenaient hier sur le Web les patrons d'HP, Intel et Oracle, seront sans doute reparti avec une petite impression de surréalisme. Certes, si l'on en croit Mark Hurd, les ventes de systèmes à base d'Itanium ont bondi de 90% l'an passé dépassant très largement la croissance des ventes de systèmes à base de puces Power ou Sparc. Mais Hurd se garde bien d'expliquer que cette croissance a deux explications essentielles qui n'ont pas grand chose à voir avec un attrait soudain des clients pour la plate-forme. Tout d'abord, les ventes de systèmes Itanium partent de très bas, les taux de croissance ne veulent donc pas dire grand chose. Ensuite, HP a abandonné le développement de ses systèmes PA-Risc et orchestre la bascule de ses clients vers l'Itanium. Itanium prend donc progressivement la place des systèmes PA-Risc, ce qui est bien un minimum pour HP. Hurd s'est d'ailleurs bien garder de citer les chiffres IDC qui fâchent, notamment le fait que près d'un tiers des clients HP se refuseraient à basculer vers Itanium. Sur ce tiers, près de 36% migreraient vers le Xeon, 25 %, vers l'Opteron, 25% sur Sparc et 11% sur Power (au total HP ne conserverait comme clients que 22% des clients refusant de migrer vers Itanium)... Le discours d'Intel sur le sujet reste quant à lui toujours aussi surréaliste. Itanium est un standard du marché se plait à répéter Paul Otellini, le patron de la firme. Comment prendre une telle déclaration au sérieux lorsque l'on sait que les ventes de puces Sparc sont par exemple dix fois supérieures à celle de l'Itanium. En fait, l'exercice d'hier visait surtout à rassurer la base installée HP. "je veux que vous dormiez sur vos deux oreilles en sachant qu'il y a une énorme énergie et de considérables sommes d'argent investies dans [Itanium]" a ainsi expliqué Hurd. HP s'est engagé à dépenser 1 Md$ par an dans Itanium pendant cinq ans. Les autres acteurs de l'écosystème EPIC devraient quant à eux apporter la même somme pendant cinq ans. Ce qui permet à Intel de s'engager sur une roadmap de quatre générations de puces d'ici l'horizon 2010. En attendant les prochains développements, HP se retrouve contraint de lancer sa nouvelle génération de serveurs Integrity avec l'actuelle puce Itanium Madison. Intel a en effet pris près de neuf mois de retard sur la livraison de Montecito, le premier Itanium bi-coeur qui devait à l'origine motoriser la 3e génération de serveurs Itanium HP. Du fait de leurs performances, ces nouveaux serveurs devraient permettre à HP de séduire une large partie de sa base installée PA-Risc. De là à les rassurer sur les capacités d'Intel à tenir ses promesses en matière de roadmap Itanium... (...)

(03/03/2006 17:58:53)

Microsoft accuse Bruxelles de collusion avec ses adversaires

Microsoft semble avoir renoncé à se montrer conciliant avec la Commission européenne face à laquelle il vient de s'arque bouter. Dans une réponse complémentaire à celles déjà apportées aux remarques de Bruxelles, qui juge que l'éditeur ne se soumet pas aux obligations qui lui ont été fixées en 2004, Microsoft accuse la Commission de collusion avec ses adversaires. Le géant de Redmond estime ainsi que Bruxelles a encouragé « des contacts secrets » en ses opposants, l'observateur indépendant chargé de veiller à ce que Microsoft se conforme aux exigences de la Commission, et des experts techniques internes. L'éditeur juge que ces contacts « violent les principes fondamentaux de la procédure » et représentent « des violations directes des garde-fous de la procédure conçus pour en garantir la transparence. » Selon Microsoft, des contacts en IBM, Sun, l'observateur et les experts de l'Union auraient eu pour but « d'éduquer » l'observateur « d'une manière préjudiciable à Microsoft ». En outre, l'éditeur juge que les remarques de la Commission sont des « tracts argumentés » développés par Bruxelles avec l'aide des rivaux de Microsoft et que la Commission s'éloigne de son rôle de « régulateur neutre ». Neelies Kroes, commissaire européen à la concurrence, explique quant à elle, par la voix de son porte-parole, que les dernières objections de la Commission à l'encontre de Microsoft s'appuient sur deux rapports de l'observateur indépendant et reflètent l'opinion de Bruxelles selon laquelle l'éditeur n'a pas encore fourni les informations nécessaires pour répondre aux exigences d'interopérabilité. Microsoft sera de nouveau entendu par la Commission les 30 et 31 mars prochains. Bruxelles décidera alors s'il y a lieu de contraindre l'éditeur à une amende de 2 ME par jour. (...)

(03/03/2006 17:58:09)

Dassault rachète MatrixOne

Dassault Systèmes vient de proposer 408 M$ en numéraire pour faire l'acquisition de MatrixOne, spécialiste de la gestion du cycle de vie des produits. Avec cette opération, le français entend se donner les moyens de répondre aux besoins des grands comptes. MatrixOne a réécrit le coeur de ses applications au cours de ces quatre dernières années et assure pouvoir désormais servir de grands nombres d'utilisateurs - 100 000 actuellement pour son déploiement le plus important. Le rapprochement devrait en outre permettre à Dassault de mettre la main sur les 850 clients de MatrixOne. La décision de fusionner ou non les gammes de produits n'a pas encore été prise. Elle n'interviendra qu'en juin, à l'issue de la clôture de l'opération. (...)

(02/03/2006 17:51:05)

Forte progression du bénéfice net de Telefonica

Le bénéfice net de Telefonica a progressé de 40 % en 2005 à 4,45 MdE. L'opérateur espagnol explique principalement cette performance par un accroissement de sa clientèle et par sa stratégie d'acquisitions avec, notamment, le rachat de Cesky Telekom. Néanmoins, le bénéfice d'exploitation de Telefonica a progressé dans des proportions plus faibles (25 %) à 15,28 MdE, à l'instar du chiffre d'affaires qui s'établit pour l'année à 37,88 MdE. Fin janvier, Telefonica a reçu le feu vert de Bruxelles pour le rachat amical de l'opérateur mobile britannique O2. (...)

(02/03/2006 17:44:11)

Capgemini et Atos lorgnent du côté de l'Inde

Atos Origin et Capgemini confirment le succès de l'Inde auprès des entreprises IT occidentales désireuses de croître à moindre coût. Les deux groupes ont profité du forum Technology, Media and Telecoms (TMT) organisé par Reuters pour affirmé leur désir d'acquisition dans le Sous-continent. Conformément à ce que nous écrivions il y a quelques jours, Capgemini est en contact avec plusieurs entreprises indiennes spécialisées dans les services et l'externalisation du processus métier. "Je crois que nous marchons particulièrement bien [en Inde] mais une consolidation nous aiderait", a ainsi indiqué Paul Hermelin, le PDG du groupe. "Les discussions prendront du temps", a-t-il ajouté. Atos Origin fait état d'ambitions semblables. Le groupe compte ainsi, selon Bernard Bourigeaud, son PDG, recruter 1000 nouveaux salariés en Inde en 2006 et faire passer le total de ses effectifs à 2500 personnes. Il souhaite en outre accroître sensiblement la part de son chiffre d'affaires réalisé en Asie : de 4 % aujourd'hui, il devrait atteindre 10 % à l'horizon 2010. Pour y parvenir, Atos cherche des opportunités de rachat et serait d'ores et déjà en discussion avec plusieurs cibles potentielles. Des acquisitions qui auront vraisemblablement lieu en Inde et pas dans l'Empire du milieu : "le problème en Chine, c'est qu'il n'y a rien à acheter. C'est pas un marché de services", déplore Bernard Bourigeaud. (...)

(02/03/2006 17:43:36)

BEA rachète Fuego

BEA vient d'annoncer le rachat de Fuego, une entreprise spécialisée dans la gestion des processus métier pour la somme de 87,5 M$. Par cette acquisition, BEA renforce sa maîtrise sur le secteur BPM. Selon BEA, l'offre de Fuego allié à son produit AquaLogic, lancé en été dernier, devrait lui permettre de proposer la solution SOA la plus complète du marché. Fuego qui compte une centaine d'employés apporte avec lui un portefeuille client non négligeable comme Southwest Airlines, United Healthcare, JPMorganChase ou encore British Petroleum. Cet achat est le dernier d'une longue liste, notamment M7 et Plumtree en août dernier. Les évolutions de BEA et de sa gamme Aqualogic pourraient bien à terme le mettre en concurrence directe avec des mastodontes tels SAP et Oracle. (...)

(02/03/2006 17:42:34)

Idealx acquiert la technologie eDocPort de la SSLL belge Edesign

Le Français Idealx complète son offre OpenTrust, plate-forme open source d'échange sécurisé, en rachetant eDocPort, technologie de gestion de formulaires électroniques et de télédéclaration, au Belge Edesign, pour un montant non-communiqué. Idealx explique que eDocPort sera fondu au module IDX-eForm Manager, solution de gestion documentaire et de formulaire, inclus à OpenTrust. Ce rachat devrait, selon Idealx, élargir ses fonctionnalités liées à la dématérialisation de transactions. Ce que la SSLL avait déjà réalisé en se payant la technologie CheckDocSQL lors du rachat de la SSLL Belge Arafox, en octobre 2005. Depuis Idealx a poursuivi sa politique de croissance externe, en rachetant INET6, SSLL française en novembre 2005. (...)

(02/03/2006 17:40:58)

McNealy à Hurd : Marrions HP-UX et Solaris !

Sun et HP les deux enfants terribles du monde Unix pourraient-ils unifier leurs systèmes d'exploitation. C'est en tout cas ce que propose Scott McNealy, le patron de Sun, à Mark Hurd, celui d'HP, dans un e-mail rendu public par Sun sur son site Internet. La proposition officielle fait suite à une suggestion de Jonathan Schwartz qui avait déjà avancé la même idée à la mi-février lors de l'Open Source Business Conference de San Francisco. "HP et Sun partagent une histoire commune d'innovation. Nous avons tous deux livré des produits formidables au cours des années écoulées" vante McNealy, avant d'aborder les choses qui fâchent : " HP a pris une décision stratégique qui amène ses clients, développeurs et partenaires à évoluer : l'arrêt du développement de serveurs d'entreprises basés sur PA-Risc et la relégation de votre système d'exploitation, HP-UX sur Itanium. Nous proposons une alternative, que Sun et HP s'engagent à faire converger HP-UX avec l'OS Unix de volume de Sun, Solaris 10 (...). En combinant nos ressources et nos investissements, les clients et développeurs d'HP pourraient tirer profit de l'OS, qui connaît la plus forte croissance du marché [Solaris] : des fondamentaux économiques améliorés, une innovation accélérée et une roadmap riche, autant de points dont ne bénéficie pas votre base installée Proliant, dans la mesure ou HP-UX ne tourne pas sur Proliant (...). Solaris 10 sur serveurs HP Xeon et Opteron délivre l'environnement 64 bit adapté aux missions critiques que requièrent dès aujourd'hui les clients, plutôt qu'une transition coûteuse et risquée vers un futur incertain" La diplomatie n'a jamais été le fort de McNealy. Mais pour l'occasion, il n'est pas certain qu'expliquer en public qu'HP-UX est un OS de niche sur une plate-forme moribonde, Itanium, soit la meilleure façon de se faire un ami d'HP, surtout au lendemain du lancement d'une nouvelle gamme de serveurs d'entreprise Itanium par HP. D'ailleurs ce dernier avait répondu plutôt vertement à la première proposition de Schwartz après que ce dernier ait qualifié Itanium de voie vers le passé. Danny Miller un porte-parole de la firme avait alors déclaré "qu'HP-UX est loin d'être enterré, contrairement à l'activité serveurs d'entreprise de Sun qui continue à perdre de l'argent pendant qu'IBM et HP séduisent ses clients et érodent sa part de marché en phase terminale". En fait, si HP a un problème avec HP-UX (ce qui reste à démontrer, même si il est évident qu'Intel n'a pas tenu ses promesses avec Itanium), Sun a de son côté un vrai souci avec Solaris. L'essentiel de la base installée de l'OS tourne sur plates-formes Sparc, une plate-forme dont les ventes n'ont cessé de reculer au cours des trois dernières années, avant de se stabiliser au cours des derniers trimestres.Or, malgré un grand nombre de téléchargement sur Internet (près de 4 millions selon Sun), Solaris reste un OS de niche sur plates-formes x86, avec un catalogue logiciel encore symbolique. Le principal gagnant d'un mariage entre HP-UX et Solaris, pourrait bien ne pas être HP mais Sun, avide de développer les ventes de son OS pour en amortir les coûts de développement, quand HP peut se satisfaire du trio HP-UX, Linux et Windows, et éventuellement venir titiller la base installée de Sun en proposant Solaris x86 sur ses serveurs Proliant. Autant dire qu'il y a peu de chances pour que la proposition de Sun trouve un écho favorable chez HP (...)

(01/03/2006 17:18:18)

Alcatel lance un call center pour PME

Conformément à sa nouvelle politique de « U-Centric », ou « centré sur l'utilisateur », présentée lors de l'Alcatel Forum, le constructeur propose un centre de contact qui nécessite peu de formation pour structures moyennes. Le OmniTouch Center Premium Edition équipé de la plate-forme OmniPCX et du logiciel Genesys 7, s'adresse aux centres d'appel allant de 20 à 150 personnes. Alcatel a centré ses efforts sur l'utilisateur en proposant une interface graphique - visuel CC - appréhendable facilement. Cette interface permet aux entreprises d'avoir une visibilité et un contrôle de tous les niveaux. Outre l'interface, ce nouveau call-center intègre des outils collaboratifs dans le poste de travail : indicateur de présence, messagerie instantanée ou encore partage d'applications. L'Alcatel OmniTouch Center Premium Edition est disponible. Les prix varient de 700 à 1300 E. (...)

(01/03/2006 17:17:11)

Isilog se dote d'un club utilisateur

Les utilisateurs des solutions éditées par Isilog, éditeur nantais spécialisé dans la gestion de parcs et de helpdesks, viennent de créer le Club Océane. Initié par le Conseil général de Loire-Atlantique, le CHU de Nantes et la société Isochem, le club a pour objectif de développer le partage d'informations et l'échange d'expériences entre les utilisateurs. Fondé en 1992, Isilog - 4 ME de CA 2005, 53 salariés - s'adresse essentiellement à des entreprises comptant au moins 500 postes installés. L'éditeur se déclare "facilitateur" du projet lancé par ses clients : il contribuera à l'aspect logistique et son responsable produit participera aux réunions du club Océane. L'essentiel des échanges reposant sur l'interaction entre les utilisateurs. Si le club n'en est qu'à ses balbutiements et ne compte que quelques membres, il espère que de nombreux clients d'Isilog - un millier environ d'entreprises utilisatrices - adhéreront. L'inscription s'élève à 250 E. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >