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(28/02/2006 17:24:00)

Sopra clôt 2005 sur des indicateurs en forte hausse

La SSII Sopra a publié des résultats 2005 faisant ressortir une croissance de tous les secteurs d'activité et du résultat net. Le chiffre d'affaires s'élève à 757 ME et progresse de 20,2 % par rapport à l'exercice 2004 - 9,7 % en croissance organique. L'intégration de systèmes et solutions (ISS) en France représente la très grande majorité des revenus du groupe, à 504,7 ME, et affiche une hausse de 9,1 %. Dans le reste de l'Europe, cette activité génère un CA de 6,6 % et progresse de 6,6 %. Si la branche conseil ne réalise qu'un chiffre d'affaires de 41,3 ME, elle réussit néanmoins une excellente performance en progressant de 19,7 % en organique. Enfin, la filiale Axway croît de 14,2 % sur un an, à 85,5 ME. Le résultat net est lui aussi en hausse : après avoir atteint 24,5 ME en 2004, il s'aligne à 35,3 ME et progresse ainsi de 4,7 %. Les quatre principaux objectifs contenus dans le Projet Sopra Group 2007 sont, selon Pierre Pasquier, le PDG, sur le point d'être remplis. Ainsi, le milliard d'euros de chiffre d'affaires devrait être atteint en 2007 - Sopra table sur un CA de 828 ME en 2006. Le groupe ambitionnait un marge opérationnelle le situant parmi les meilleures SSII : "nous réalisons 7,4 %. Ce n'est pas le meilleur taux mais nous nous situons bien vis-à-vis de nos concurrents directs" a estimé Pierre Pasquier. Autres objectifs : acquérir une présente forte et rentable en Europe et, à travers la filiale Axway, dans le monde entier. "Ce sera le cas, a assuré Pierre Pasquier, notamment grâce à l'acquisition de l'américain Cyclone Commerce par Axway". Des acquisitions pourraient d'ailleurs venir renforcer la présence internationale du groupe. Si rien n'est encore ciblé, Pierre Pasquier fait part de son intérêt pour l'Espagne ou l'Angleterre. (...)

(28/02/2006 17:22:48)

Google s'aventure sur le terrain d'eBay

Tout à sa stratégie de rapprocher les internautes de la décision d'achat, le pharaonique Google étend de nouveaux ses imposantes tentacules vers le commerce en ligne. C'est ainsi Google Base, service lancé en novembre 2005 (censé permettre aux internautes de soumettre volontairement leurs produits à l'indexation du célèbre moteur), qui se mute aujourd'hui en une véritable place de marché. L'idée, explique Google, est de faciliter ce que bon nombre d'utilisateurs réalisent déjà, à savoir vendre leur produits via Google Base. Le service, encore au stade de test, prévoit ainsi d'offrir la possibilité de finaliser des transactions entre acheteurs et vendeurs Google Base, via un moyen de paiement par carte bancaire. A la seule condition de posséder un compte Google. Une initiative qui rappelle toutefois le fonctionnement « en réseau » du modèle d'eBay, spécialiste des enchères en ligne. Le téléphone, nouveau canal pour la publicité Google En marge de cette annonce, Google aurait également déclaré au très sérieux Wall Street Journal, travailler à étendre son modèle de publicité ciblé, au téléphone. Soit, plus concrètement, mettre en relation internaute et vendeur (annonceur) par une simple communication téléphonique via Internet. Le concept n'est pourtant pas nouveau, et déjà amorcé par ce même eBay, lors du rachat de Skype, en septembre 2005. Notons que Google cherche également à diversifier ses canaux de diffusion de publicités. En janvier 2006, il avait notamment racheté la technologie de diffusion radio de la société dMarc Broadcasting. (...)

(28/02/2006 17:22:13)

Joe Tucci (EMC) : la marché du stockage n'a pas fini de se consolider en 2006

Le PDG d'EMC, Joe Tucci s'est exprimé lors d'un symposium new-yorkais à propos du stockage. Selon lui, 2006 sera une année essentielle pour la consolidation du marché. Ce dernier est encore mouvant et devrait beaucoup évoluer dans les prochaines années. La manière d'utiliser les centres de données, les infrastructures et l'adoption massive des services Web devrait modifier le stockage des données en unifiant des applications autrefois bien distinctes. Dans la perspective de ces bouleversements, EMC envisage de se concentrer sur trois points : la sécurité, la gestion de ressources basée sur des modèles et la virtualisation. Sur ce dernier point, Joe Tucci contre les mauvaises langues en réaffirmant sa volonté de conserver VMWare et son serveur de virtualisation. Enfin, le PDG estime le marché des PME/PMI incontournable. Comme l'a prouvé sa récente offre Insignia, les petites et moyennes structures seront au centre des préoccupations d'EMC dans les prochaines années. (...)

(28/02/2006 17:20:01)

Les brevets logiciels pourraient revenir par la petite porte

Selon la fondation pour infrastructure informatique ouverte (FFII), la brevetabilité du logiciel pourrait revenir dans les débats par la petite porte. La FFII s'inquiète notamment de récentes consultations visant à uniformiser le droit européen des brevets. En effet, la commission européenne vient de lancer de nouvelles consultations publiques sur le droit européen des brevets dans le but d'apprendre des industriels et des groupements d'intérêts les évolutions qu'ils souhaitent en la matière. Pieter Hintkens, fondateur et directeur général de l'éditeur belge iMatix, estime que la généralisation à l'Europe entière des règles de brevetabilité du bureau européen des brevets conduirait, de facto, à la brevetabilité du logiciel. A l'opposé, Francisco Mingorance, directeur des relations publiques du BSA, assure que « les consultations [actuelles] sur les brevets ne sont pas une réinvention de la directive sur la brevetabilité des inventions réalisée avec l'appui de l'informatique. » Néanmoins, Francisco Mingorance indique que le questionnaire pose la question de la pertinence d'un brevet communautaire. Les consultations lancées par Bruxelles sont ouvertes jusqu'au 31 mars. Le débat s'ouvre à nouveau alors que, de l'autre côté de l'Atlantique, des voix commencent à s'élever contre des brevets surnuméraires. Ainsi, David Kappos, vice-président d'IBM estime que les conflits liés aux brevets tirent les prix vers le haut pour le client et que, « en définitive, il y a moins de produits sur le marché parce que les entreprises décident de ne plus les produire. » Parallèlement, John Doll, commissaire du bureau américain de la propriété intellectuelle, relève l'impossibilité pour ses services « d'examiner toutes les nouvelles demandes de brevets, tout spécialement dans le domaine des nouvelles technologies ». Et de reconnaître avoir quelques 600 000 demandes de brevets en attente d'examen. (...)

(28/02/2006 17:13:32)

Avec Géoportail, l'IGN mitonne un Google Earth à la française

Moins d'un an après la sortie de Google Earth, c'est au tour de l'Institut Géographique National de se lancer dans le survol des territoires. Là où l'application développée par Google a pour ambition de couvrir l'ensemble de la planète, l'IGN se cantonnera à une représentation détaillée de la France. Une initiative présentée sous le nom de Géoportail de l'information géographique, et mise au point à partir de 400 000 clichés réalisés au maximum cinq ans auparavant. Le Géoportail permettra, dès l'été 2006, une navigation 2D sur l'ensemble du territoire français - la 3D est prévue pour 2007 - avec une précision de 50 cm par pixel. A ces photographies viendront se greffer 3 688 cartes à différentes échelles et différents services issus de partenariats (tant commerciaux qu'institutionnels) comme les planches du cadastre. Au-delà de l'aspect ludique que revêt cette initiative, et qui ne manquera pas de séduire le grand public, l'IGN remplit une mission de service public. La directive européenne Inspire - Infrastructure for Spatial Information in Europe - devant être adoptée en 2007, enjoint ainsi aux Etats membres la mise en place de services de recherche et d'accès à des données notamment géographiques. La législation française encadre également l'activité de l'IGN : le décret du 22 novembre 2004 en fait un fournisseur et diffuseur de données censé réaliser un référentiel à grande échelle. Dans un premier temps ouvert à 500 000 visiteurs uniques, le Géoportail se divisera en deux parties : l'une gratuite, l'autre payante. Si la délimitation entre les deux modes en est cours d'élaboration, l'IGN précise d'ores et déjà que le grand public pourra visualiser sans bourse délier les données photographiques et la cartographie. Le Géoportail permettra également d'acquérir des données brutes de l'IGN. En outre, moyennant l'achat d'une licence, il offrira des services à destination des professionnels comme la localisation de commerces ou n'importe quelle donnée géocombinable. (...)

(28/02/2006 00:00:00)

Professionnalisation : une bouffée d'air financière pour le développement des compétences

Unilog s'empare des périodes de professionnalisation, l'une des mesure clés de la réforme de la formation professionnelle. La SSII a lancé 60 dossiers relatifs à la mise en place de ce dispositif pour ses collaborateurs depuis le début de l'année 2005. Sur les soixante, une cinquantaine a été validée par le fafiec (l'organisme paritaire collecteur de la branche ) qui prend en charge 100% des frais de formation engagés pour chacun. Avec cette opération, Unilog assure donc la formation de cinquante de ses collaborateurs sans peser sur ses budgets de formation. Elle profite par la même occasion des sommes qu'elle a versé au fafiec au titre de sa cotisation légale de 0,5% de sa masse salariale (lire l'encadré ci dessous) et qui servent un fond mutualisé. Avec cinquante dossiers, elles estime qu'elle peut récupérer plus d'un tiers des sommes investies. Et son objectif est de pouvoir profiter d'un montant équivalent à 100% de ses cotisations en 2006, en multipliant le nombre des périodes de professionnalisation. L'enjeu est fort pour y parvenir, il faut mobiliser tant les salariés que les managers et les équipes des ressources humaines sur une vision à moyen terme du développement de compétences de leurs collaborateurs, indispensables pour la bonne conduite des parcours de professionnalisation. Il faut également travailler en collaboration avec le fafiec (l'organisme paritaire collecteur agréé de la branche) afin de maîtriser la partie administrative du dispositif et s'assurer de son soutien financier. « Le dossier était complexe », affirme Jenny Jourdanet, responsable de la formation. « Six mois ont d'ailleurs été nécessaires, ainsi qu'environ un tiers de mon temps et un investissement de nos responsables de ressources humaines pour constituer et faire valider les périodes pilotes ». La SSII a pris en charge le dossier de la professionnalisation en 2005. Elle a organisé des rencontres entre le fafiec et ses responsables des ressources humaines pour que chacun prenne la mesure du travail de l'autre et de son fonctionnement pour une collaboration efficace. Elle a établi des profils type de salariés bénéficiaires du dispositif au regard des critères réglementaires posés et de ses besoins. Elle en a défini trois : les jeunes informaticiens ayant environ un an d'expérience (six mois de stage et six mois d'embauche) qui doivent développer leurs compétences ; les personnes en évolution professionnelle qui ont pour objectif d'évoluer en terme de poste et de prendre de nouvelles responsabilités ; les salariés en reconversion qui changent de métiers par exemple parce que leurs connaissances technologiques initiales correspondent moins aux besoins des clients. Unilog a aussi lancé des périodes de professionnalisation pilote pour ces trois profils. Un exercice qui lui a permis de valider les procédures de constitution des dossiers, d'élaboration des parcours de formation et d'échanges avec le fafiec. La SSII a ensuite communiqué auprès de ses managers en s'appuyant sur son réseau de responsable ressources humaines, pour entrer dans une phase plus industrielle de périodes de professionnalisation. Pour l'heure, il y a encore beaucoup à faire pour que les populations concernées s'approprient le dispositif et pour bien anticiper les formations. La SSII demeure aussi vigilante concernant le respect de ses engagements financiers du fafiec, puisqu'elle s'est beaucoup investi dans le dispositif. Mais les périodes de professionnalisation ont déjà permis de dynamiser la formation chez Unilog. Certaines entités ont mis en place davantage de cursus qu'elles ne l'auraient fait sans professionnalisation. Des formations qui n'entament pas les marges financières Bonne nouvelle pour les salariés, les périodes de professionnalisation amènent une bouffée d'air financière dans les budgets formation des entreprises. Les coûts engendrés par ces temps de formation qui peuvent s'étaler entre 100 à 600 heures sont en effet remboursés par l'organisme paritaire collecteur de la branche, le fafiec, avec des tarifs forfaitaires attractifs (40 ou 50 euros de l'heure). Si les frais engagés par l'entreprise ne dépassent pas ces forfaits, sa dépense est nulle. Mieux, elle y gagne puisqu'elle bénéficie d'un salarié qui a développé ses compétences, sans avoir grevé ses budgets et ses marges. Elle récupère parallèlement et de façon in directe une partie des 0,5% de sa masse salariale qu'elle est tenue d'investir chaque année au titre de la professionnalisation et du DIF (droit individuel à la formation). Ces fond sont versés au fafiec qui les mutualise pour l'ensemble des sociétés de la branche quelque soit leur contribution. Ils les rétrocède aux entreprises sous forme de financements, sur présentation de dossiers relatifs à la mise en place des dispositifs de professionnalisation qu'il reconnaît comme éligible aux critères légaux. (...)

(27/02/2006 17:40:37)

Free poursuit FT pour abus de position dominante

Après la commercialisation des forfaits Internet Max et Max2+ par France Télécom en novembre 2005, Free vient de saisir le Conseil de la concurrence. Il reproche à l'opérateur historique un abus de position dominante. Facturées 24,9 E et 29,9 E pour des débits atteignant 8 Mbps et 18 Mbps, les offres de FT proscriraient l'existence d'une réelle concurrence selon Free. Elles seraient en effet vendues moins chères aux consommateurs que le prix de gros auquel le FAI alternatif doit louer ses lignes à FT en zones non dégroupées. Dans l'attente de la décision du Conseil de la concurrence, qui ne devrait pas intervenir avant plusieurs mois, Free a demandé à ce que soient prises des mesures conservatoires visant à suspendre les deux offres de FT. (...)

(27/02/2006 17:39:17)

RIM obtient un sursis pour son service Blackberry

RIM reprend son souffle après la décision du juge Spencer de ne pas statuer immédiatement sur l'arrêt du service Blackberry aux Etats-Unis. Cette décision est l'aboutissement - temporaire - de plus de quatre années de procès pour violation de brevets intenté par la société NTP à l'encontre du prestataire de services canadien. NTP reproche en effet à RIM d'avoir usurpé plusieurs de ses brevets. Après un premier procès perdu par RIM, un accord à l'amiable - 450 M$ de dommages - avait été conclu. Cet accord a rapidement été rompu suite à un rebondissement. Le bureau des brevets américains a invalidé plusieurs des brevets incriminés. Le juge Spencer désire donc prendre le temps de la réflexion et fait part de son étonnement devant le refus de négociation des deux parties. Dans l'immédiat, cette décision permet à RIM de sauver 70 % de son chiffre d'affaires. En effet, plus de trois millions d'américains utilisent la messagerie mobile du canadien. RIM tente de trouver une alternative lui permettant de contourner l'utilisation des brevets mis en cause. Cette solution éviterait un arrêt du service pour les usagers. Le délai accordé par le juge est accueilli avec soulagement... reste à savoir s'il sera suffisamment long pour permettre à RIM de se retourner si la cour se montrait défavorable à son encontre. (...)

(27/02/2006 17:38:45)

MySQL renforce ses équipes de développement

MySQL vient de faire l'acquisition de Netfrastructure, une petite société américaine de développement d'outils et de logiciels serveur pour applications Web. Cette opération permet surtout à l'éditeur suédois de renforcer ses équipes de développement. En effet, avec le rachat de Netfrastructure, MySQL recrute Jim Starkey, fondateur de Netfrastucture mais avant tout architecte de renom pour les gestionnaires de bases de données. Avant Netfrastructure, Jim Starkey a fondé Interbase et développé le SGBDR éponyme. Interbase, racheté depuis par Borland, revendique l'invention des alertes sur évènements, des systèmes de déclenchement automatique d'actions et le support des Blobs. Avec le rachat de Netfrastructure, MySQL met aussi la main sur Ann Harrison, épouse de Jim Starkey et contributrice au développement d'Interbase. MySQL attend de ces nouvelles recrues une aide pour « réaliser les projets que nous n'avons pas encore eu le temps de concrétiser, et apporter de nombreuses idées nouvelles. » Bien que les intéressés s'en défendent, certains observateurs voient dans ce rapprochement un mouvement de protection de MySQL après le récent rachat d'Innobase par Oracle. En son temps, le rachat d'Interbase avait conduit au développement du projet d'architecture de bases de données Firebird, qui doit arriver en version 2.0 dans le courant du premier semestre et auquel Jim Starkey a contribué. Firebird pourrait permettre à MySQL de s'affranchir du moteur InnoDB passé sous la coupe d'Oracle. (...)

(27/02/2006 17:38:03)

BEA boucle 2005 sur un revenu et un bénéfice en hausse

BEA a bouclé son exercice fiscal 2006 sur un chiffre d'affaires en croissance de 11 % par rapport à l'année précédente, à 1,199 Md$. Principaux contributeurs aux revenus du groupe, les services ont généré un CA de 688,3 M$ et progressent de 15 % sur un an. Le revenu des licences s'élève quant à lui à 511,5 M$, soit une croissance de 6 %. Enfin, le résultat net gagne 9 % à 142,7 M$. C'est sur un très bon quatrième trimestre que BEA a clos son année fiscale. L'ensemble des revenus a en effet progressé de 17 %, à 341,4 M$, bien porté par les services dont le CA affiche un taux de croissance comparable et le CA atteint 185,6 M$. Surtout, le groupe se félicite des 18 % de hausse des revenus tirés des licences, s'élevant ainsi à 155,9 M$. "Pour le troisième trimestre consécutif, la croissance des revenus tirés des licences s'est accélérée. Nous pensons que cela devrait continuer au cours du premier trimestre et nous attendons à un taux de croissance à deux chiffres", a expliqué Alfred Chuang, le PDG de BEA. (...)

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