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(27/02/2006 17:37:04)

Jboss ouvre une filiale en Allemagne en rachetant son partenaire Objectone

Quelques semaines après les rumeurs de son rachat par Oracle, Jboss, spécialiste du middleware open source, annonce l'acquisition de la société Objectone, pour un montant non-communiqué. Objectone, partenaire certifié de l'éditeur de longue date, commercialise du services (support ainsi que la maintenance) autour des solutions Jboss pour le marché allemand. Selon les termes de la transaction, Objectone deviendra à terme la filiale allemande de l'éditeur, sous le nom Jboss Deutschland, dès le 1er mars. Elle sera dirigé par Tobias Hartwig, actuel PDG de Objectone. (...)

(27/02/2006 17:35:29)

Une solution Open Source pour concurrencer les routeurs de Cisco et Juniper

Vyatta vient d'entamer la distribution de la première bêta de sa distribution Linux dédiée à la production de routeurs d'entreprise avec une simple architecture x86. La distribution de Vyatta est basée sur le projet eXtensible Open Route platform (Xorp), commencé en 2002 et enrichi de protocoles tels que VRRP et SNMP. Cette distribution Linux supporte notamment les cartes d'interface T1 et T3 de Sangoma. Vyatta destine sa distribution Linux aux PME et à leurs bureaux délocalisés. L'éditeur estime qu'un routeur élaboré avec sa solution peu revenir 50 à 90 % qu'un produit équivalent signé Cisco, Juniper ou Alcatel. La première version finale de la distribution Linux de Vyatta est prévue dans un délai de six mois. (...)

(27/02/2006 17:34:07)

Orange se lance dans la téléphonie fixe au Royaume-Uni

Orange va proposer un service de téléphonie fixe à destination des PME britanniques à partir du deuxième trimestre 2006. Le groupe a indiqué, le 24 février, que les entreprises déjà clientes de son offre de téléphonie mobile, pourraient souscrire un abonnement de téléphonie fixe et recevoir une seule facture pour les deux types de services. Les appels passés entre les lignes fixes et mobiles d'Orange seront facturés à moindre coût. De même, "en regroupant les services mobiles et fixes, les dépenses totales pour le client seront réduites, et en travaillant avec un seul fournisseur, les modèles pour la chaîne d'approvisionnement et le support service seront simplifiées", a ajouté Alastair McLeod, vice-président solutions d'entreprises pour Orange Royaume-Uni. "Nous considérons cette initiative comme un tremplin pour devenir un opérateur global", a expliqué Jason Ellis, responsable de la convergence à destination des professionnels au Royaume-Uni. Dans le futur, Orange pourrait également proposer des offres haut débit et de VoIP. Si l'offre s'adressera dans un premier temps aux entreprises comptant 250 utilisateurs, il devrait par la suite élargir son offre de téléphonie fixe aux sociétés en rassemblant jusqu'à 500. La filiale de l'opérateur historique français s'appuiera sur le réseau de Cable & Wireless. Elle a par ailleurs précisé qu'elle met également au point une stratégie basée sur la convergence en Belgique et en Espagne. (...)

(24/02/2006 17:47:13)

Haut débit : Telefonica accusé d'abus de position dominante en Espagne

La commission redouble de vigilance sur le secteur des télécoms, Après Deutsche Telekom, cible de l'ire de la commission pour son projet de réseau haut débit, c'est au tour de l'Espagnol Telefonica de faire face aux foudres de la commission. Cette dernière l'accuse d'abuser de sa position dominante pour restreindre la concurrence sur le marché du haut débit. Elle l'accuse notamment de pratiquer, depuis 2001, des effets de ciseaux tarifaires pour limiter l'accès des nouveaux entrants sur le marché du haut débit. Téléfonica dispose de deux mois pour répondre aux accusations de la commission sous peine de poursuites et d'une forte amende. (...)

(24/02/2006 17:42:43)

SFR écarte Pierre Bardon de la direction générale

La réorganisation de la direction de SFR a fait une victime : Pierre Bardon perd son poste de directeur général. Voulu par Franck Esser, le PDG de SFR, le remaniement de l'équipe dirigeante a pour but la constitution d'une "structure de décision plus resserrée". Il intervient six mois après le rapprochement entre Cegetel et Neuf Telecom, SFR détenant 28 % du nouvel ensemble. Le PDG du groupe souhaite s'appuyer sur trois pôles d'activités opérationnelles et sur un comité exécutif composé de Pierre Trotot aux finances, Franck Cadoret, nommé directeur général commerce et services clients, Paul Corbel, directeur général réseau et systèmes, Jean-Marc Tasseto, au marketting et grand public, Richard Lalande, directeur général adjoint, et Stéphane Roussel, aux ressources humaines. Dans un communiqué, SFR précise que "Franck Esser s'appuiera également sur Pierre Bardon, qui est nommé directeur général aux relations extérieures". (...)

(24/02/2006 17:42:23)

Antitrust : Microsoft publie ses éléments de défense à l'attention du public

Microsoft a surpris son monde en publiant, le 23 février, une quantité pléthorique de documents constituant sa défense dans l'action antitrust qui l'oppose à la Commission européenne. Ces documents, qui avaient été transmis à l'exécutif communautaire le 15 février, sont consultables sur le site Internet de l'éditeur qui prend ainsi le public à témoin. Selon un porte-parole de Microsoft, si l'éditeur a choisi de rendre publiques les pièces étayant sa défense, c'est avant tout "pour la transparence du processus". Le groupe de Redmond estime que ces documents mis à disposition du public montrent avec évidence qu'il s'est "pleinement conformé" aux exigences formulées par la Commission en 2004. Les pièces portées à la connaissance des utilisateurs illustreraient également "les nombreuses façons dont la Commission a ignoré des informations clés". Microsoft avait jusqu'au 15 février pour convaincre la Commission qu'il s'était conformé à ses injonctions, notamment celle d'assurer l'interopérabilité de ses logiciels avec ceux de ses concurrents. Si la Commission juge que l'éditeur a manqué à ses obligations, il pourrait être condamné à une amende de 2 M$ par jour. (...)

(24/02/2006 17:41:48)

Sun acquiert un spécialiste de la gestion des correctifs, Aduva

Sun vient de conclure un protocole d'accord en vue du rachat d'Aduva, un spécialiste de la gestion des correctifs. Avec cette opération, Sun entend apporter à ses clients les moyens de mieux gérer leur environnement de centre de calcul : "nos clients placent la gestion des correctifs et des configurations en tête de leurs problèmes", explique Mike Harding, vice-président de Sun. L'outil OnStage d'Aduva simplifie le déploiement de correctifs logiciels sur les ordinateurs sous Linux et Solaris. Sun le proposera à la fois comme application pour les entreprises et comme service hébergé. La transaction, dont les modalités financières n'ont pas été communiquées, doit être finalisée dans le courant du second trimestre. (...)

(24/02/2006 17:41:03)

IBM cite Microsoft, Sun et HP à comparaître contre SCO

IBM vient de demander à Microsoft, Sun, HP et BayStar Capital de verser des documents relatifs à leurs échanges avec SCO au procès qui l'oppose depuis bientôt trois ans à cet éditeur. Les documents demandés concernent les efforts fournis en vue de garantir la confidentialité du code source d'Unix ainsi les royalties versées à SCO. Les réponses apportées à la demande d'IBM pourraient porter un éclairage intéressant sur les relations de SCO avec les autres industriels du secteur, notamment Microsoft. Ce dernier a en effet signé un accord de licence avec SCO peu après que celui-ci a engagé ses poursuites contre IBM. SCO accuse notamment IBM d'avoir versé des portions de code source d'Unix à la communauté du logiciel libre, code dont SCO revendique la propriété. Microsoft, Sun, HP et BayStar ont jusqu'au 7 mars pour présenter les documents demandés et une semaine de plus pour produire leurs dépositions. (...)

(24/02/2006 17:40:09)

Les utilisateurs US de PeopleSoft affichent encore des doutes après le rachat par Oracle

Sur un panel d'une douzaine de grand clients américains interrogés par nos confrères de Computerworld, cinq conservent des doutes sur la stratégie d'Oracle, dont l'objectif officiel est de combiner les meilleures fonctions héritées des différents logiciels avant la fusion dans sa prochaine génération de progiciels. Depuis le rachat, Oracle a veillé à ne pas donner l'impression qu'il entend contraindre ses clients à migrer vers la future ligne Fusion tout en discutant avec des groupes utilisateurs établis comme Quest et l'Oracle Applications User Group (OAUG). Un concurrent comme SAP indique toutefois que les incertitudes nées de la fusion PeopleSoft Oracle, lui ont permis de conquérir près de 200 clients grâce à son programme Safe Passage. "Je pense qu'il n'est pas l'heure du verdict" explique Mark Scherer, un responsable informatique de Flatiron Construction qui s'interroge encore pour savoir s'il migrera vers Fusion ou changera de fournisseur. Scherer précise néanmoins qu'oracle a jusqu'alors respecté ses engagements et a pris soin de son installation. Pour Robert Robinson, de Durr Systems, un équipementier automobile américain, les avancées sur la roadmap se sont faites à un rythme d'escargot. Robinson, qui a déployé les progiciels de J.D.Edwards, juge qu'il n'y a pour l'instant pas grand chose à critiquer dans Fusion, mais indique qu'il surveillera de près les premiers déploiements du produit. Dave Richards, de Pacific Steel,s'interroge de son côté sur la taille et la complexité de Fusion par rapport à JD Edwards OneWorld XE. Il indique également que de nombreuses questions sur le prix des licences, de la maintenance et sur la migration restent pour l'instant sans réponses. "Il faudra vraisemblablement attendre un an après la prochaine mise à jour pour avoir un jugement définitif sur la Fusion" explique quant à lui John Schindler, le CIO de Kichler Lighting, un client de PeopleSoft Enterprise. Schindler avoue sa nervosité à propos de Fusion, et explique qu'il attend de voir ce que sera réellement Fusion avant de se faire une opinion définitive. Il y a aussi ceux qui jugent que leur situation a beaucoup progressé avec la fusion. Oracel a par exemple annoncé un support basique à vue pour ses applications et a poursuivi les développements sur J.D. Edwards et PeopleSoft. Pour John Matelski, le président de Quest et CIO de la ville d'Orlando, "il ne fait aucun doute que les clients PeopleSoft et J.D. Edwards sont mieux traités qu'il y a un an" et du fait qu'Oracle continue ses développements sur PeopleSoft, il n'y a pas de stagnation en attendant l'arrivée de Fusion. adapté d'un article en anglais de Marc L. Songini, Computerworld US (...)

(24/02/2006 00:00:00)

Témoignage: "J'ai doublé mon salaire en 2 ans"

Sabrina fait partie des premiers jeunes diplômés qui ont été embauchés avec le contrat « première chance » de la SSII nantaise Proservia. Elle est aujourd'hui analyste d'exploitation à la Macif, avec une solide expérience sur les grand systèmes d'IBM. « Les premiers mois ont été un peu difficiles sur le plan financier. Mais cette expérience m'a permis de bien progresser professionnellement ». Sabrina, une jeune informaticienne de 24 ans tire un bilan très positif des deux ans qu'elle vient de passer au service informatique de la Macif à Niort. Elle y est employée par la SSII Proservia, dans le cadre d'un contrat d'assistance technique. En deux ans, elle a doublé son salaire et acquis un bonne expérience sur les grands systèmes, un domaine particulièrement recherché par les recruteurs. Cette réussite, elle l'a doit notamment au choix qu'elle a fait en sortant de l'école, en septembre 2003, avec son BTS d'informatique de gestion en poche. A l'époque, Sabrina a deux possibilités d'emploi. Elle peut d'un côté rejoindre les rangs d'un éditeur de logiciels spécialisés sur le marché des collectivités locales, avec 1200 euros bruts par mois, une voiture de fonction et une promesse de toucher 2000 euros brut au bout de deux ans. De l'autre, elle a une offre de la SSII nantaise Proservia. Celle-ci lui propose de rejoindre une mission de long terme en assistance technique à la Macif. La compagnie d'assurances a besoin de techniciens d'exploitation pour travailler en informatique de production (traitement de données clients reçues par Batch, etc) sur les grands systèmes d'IBM. Les conditions de recrutement sont celles ce que la SSII appelle aujourd'hui " « un contrat première chance » . Elles prévoient pour les jeunes, une période de formation à l'environnement du client, ici MVS et le développement JCL et une rémunération qui apporte 900 euros net par mois, les six premiers mois. Le salaire passe à 1200 brut à l'issue de cette période. Entre les deux offres, Sabrina tranche en faveur de Proservia. Elle est séduite par perspective de travailler à la Macif, une structure qui peut, de part ses moyens et ses ressources informatiques, offrir de nombreuses perspectives d'évolution professionnelle. Au début de sa mission, Sabrina passe donc quinze jours en formation au sein de la compagnie d'assurances avec douze techniciens de Proservia embauchés pour le même projet. Cette période est suivie par trois mois de travail très encadrés. Les jeunes sont répartis en groupe de trois. Ils sont formés et suivis par des analystes d'exploitation avec lesquels ils font des bilans du chemin parcouru chaque semaine. A l'issue de cette période, ils intègrent le service « pilotage » de la Macif sous la responsabilité d'un chef de service et poursuivent leurs échanges entre eux, pour continuer à progresser. Sabrina retient de cette période, une expérience où elle a beaucoup appris grâce au transfert de compétences des analystes de la Macif. Au bout de six mois, son salaire mensuel est passé à 1200 euros, puis à 1400 euros brut au bout d'un an. Aujourd'hui, elle est analyste d'exploitation junior et touche 2000 euros brut par mois depuis le premier janvier 2006. Pour étoffer ses compétences, elle vient de demander des formations sur Unix et sur Business Objets à Proservia qui a accepté. Son objectif est d'intégrer la Macif, ce qui s'est produit pour deux de ses collaborateurs venus de chez Proservia. Quoiqu'il advienne, Sabrina bénéficie d'une bonne carte de visit. Pour elle, le contrat première chance est intéressant pour les jeunes sans expérience, quand il s'accompagne d'une vision claire sur les postes qui les attendent. « Je ne serais pas entrée à la Macif sans ce contrat, puisque la compagnie d'assurances a choisi Proservia comme prestataire, sur cette proposition », explique-t-elle. Et quant aux questions salariales des débuts ? « On peut mal vivre un salaire assez bas, surtout lorsqu'il rend difficile le fait de se loger. Mais la somme de 900 euros accompagnée d'aides financières aux logements était suffisante pour louer un appartement à Niort». (...)

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