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(23/09/2005 17:48:30)

Steria boucle son premier semestre, tous les indicateurs en hausse

La SSII Steria a présenté ses résultats pour le premier semestre 2005. Des chiffres qui illustrent l'embellie du secteur sur le marché français. Ainsi, tous les indicateurs sont à la hausse.

Le chiffre d'affaires pour les six premiers mois de l'année atteint 583,6 M€. Comparé aux revenus engrangés sur la même période en 2004, la progression est de 21 %. Steria ne manque pas de faire remarquer que la croissance organique, qui s'élève à 6 %, est bien supérieure à la moyenne du marché, estimée à 3 % par les analystes. Le résultat opérationnel s'élève à 23,7 M€, soit une croissance de 22 % sur un an. Même constat en ce qui concerne le résultat net part du groupe : il gagne 27,8 %, à 16,2 M€. Enfin, la marge opérationnelle s'affiche à 5,3 %, c'est à dire 1,5 point de plus qu'au premier semestre 2004. Pour les activités réalisées en France, la marge est encore supérieure et s'élève à 8,5 %.
Le groupe a profité de la présentation de ses résultats pour revenir sur l'intégration de la filiale allemande Mummert, une fusion annoncée en octobre 2004. L'opération semble être un succès : l'activité outre-rhin a ainsi dégagé une croissance organique de 4,2 % et une marge de 6,5 %.
Fort de ces bons chiffres, le groupe a rappelé l'un de ses buts pour le prochain exercice : « les résultats sont en ligne avec l'objectif prioritaire d'une marge opérationnelle supérieure à 7 % en 2006 ». (...)

(23/09/2005 17:41:52)

Google prépare l'élargissement de son offre entreprises

Google vient d'annoncer son intention d'élargir son offre pour entreprises d'ici 12 mois. Pour l'heure, celle-ci se limite à trois produits : les moteurs de recherche Google Search Appliance et Google Mini ainsi que l'outil de recherche pour poste de travail Google Desktop Search for Enterprise. Selon Dave Girouard, directeur général de la division entreprises de Google, le service Blogger ferait partie des candidats à l'ouverture au marché des entreprises.
Par ailleurs, Google vient de lancer un programme partenaires dans le but d'aider son activité entreprises à se développer. Baptisé Google Enterprise Professional, le programme doit permettre à Google de rallier à lui des éditeurs indépendants, des revendeurs, des consultants et des intégrateurs. Google attend d'eux qu'ils proposent des services et des outils complémentaires de sa propre offre. Les candidats devront payer 10 000 $ par an pour intégrer le programme. (...)

(23/09/2005 17:34:25)

Oracle poursuit sa croissance à un rythme rapide

Oracle a présenté des résultats en progression pour son premier trimestre fiscal 2006, clos le 31 août. Au cours de la période, le géant des bases de données et applications d'entreprises a réalisé un chiffre d'affaires de 2,77 Md$, en progression de 25% et un bénéfice net de 519 M$ en hausse de 25%.

Se félicitant de l'intégration de PeopleSoft, Oracle a insisté sur la progression des revenus dérivés des ventes de licences. Ceux-ci ont bondi de 23% pour atteindre 2,13 Md$ (dans ce total figurent les renouvellements de licences, qui ont quant à eux progressé de 40%).

Larry Ellison a mis en avant la progression de 33% des ventes de middleware Java et a affirmé qu'Oracle devrait prochainement dépasser BEA pour devenir le principal concurrent d'IBM. Ellison a aussi profité de la conférence de résultats pour réaffirmer sa confiance dans le développement du marché de la location d'applications en ligne. Il a notamment expliqué que la division On Demand de la firme a vu son carnet de commande doubler en un an. (...)

(22/09/2005 17:57:59)

Opera lâche le modèle sponsorisé de son navigateur gratuit

L'éditeur norvégien Opera Software abandonne le modèle "sponsorisé" - avec publicité -, pour distribuer son navigateur Internet gratuit éponyme.
Objectif : gonfler sa base utilisateurs, pour au final se rémunérer en proposant un accès depuis son interface vers les moteurs de recherche et quelques sites de commerce en ligne. A l'image de Firefox.
Rappelons qu'auparavant, Opera était disponible en deux versions : une gratuite mais sponsorisée, une autre payante, sans publicité.
Opera poursuit toutefois la commercialisation de produits, notamment des versions mobiles de son navigateur, pour Windows Mobile et Symbian , à 29€.

La navigateur Opera détient (*) moins de 2% de parts de marché, loin derrière Firefox (8,71%), et IE (86,31%).

(*)Source NetApplications , juillet 2005 (...)

(22/09/2005 17:42:29)

Oracle veut rassurer les utilisateurs de ses outils récemment acquis

Openworld a été l'occasion pour les dirigeants d'Oracle de réaffirmer leur intention de supporter l'intégralité de ses clients, Charles Phillips, le président de la société allant jusqu'à affirmer qu'aucun client ne serait laissé sur le bord de la route.

Cette assurance a été renouvelée hier par John Wookey, le vice-président d'Oracle en charge du développement des applications, l'un des architectes de la future offre Fusion. "Nos clients me demandent si nous continuerons à les supporter s'ils ne font pas évoluer leurs logiciels. La réponse est oui". En tout cas au moins jusqu'au lancement des applications Fusion

Oracle semble bien décidé à rassurer les utilisateurs des logiciels qu'il a récemment rachetés, notamment PeopleSoft, JD Edwards (JDE) et Siebel.

Relativement tendue l'an passée, l'ambiance chez les clients semblait être moins crispée cette année, avec ce que l'on pourrait appeler un optimisme prudent. Il est vrai que le discours d'Oracle s'est fait nettement plus conciliant. Philips a ainsi expliqué aux clients de Peoplesoft et Siebel qu'Oracle "ne pourra retirer des fonctionnalités s'il espère que les clients mettent à jour leurs logiciels. Il faudra proposer un sur ensemble fonctionnel avec Fusion". (...)

(22/09/2005 18:00:08)

Aedian : CA en hausse, résultat dans le rouge

La SSII Aedian a annoncé un chiffre d'affaires en hausse de 19 % pour son exercice 2004/2005, clos le 30 juin, mais un bénéfice net négatif, après un léger gain l'an passé. Aedian a réalisé un CA de 38,4 M€ au cours des douze mois écoulés mais à vu son bénéfice plonger dans le rouge à -0,9 M€ contre un gain de 0,1 M€ l'année précédente.

Selon la SSII, le résultat de l'exercice a été affecté par "l'impact des charges et provisions non-récurrentes [1,5 M€, NDLA]liées à la réorganisation du pôle Conseil et les difficultés, au sein de ce pôle, de l'ex-filiale PiA". Aedian se félicite en revanche des résultats de ses activités d'ingénierie, dont les ventes ont progressé de 52% sur un an (en partie du fait du rachat d'ATD en 2004).

Pour l'exercice en cours, Aedian table sur une croissante de l'ordre de 20% qui devrait lui permettre d'atteindre un CA de 45 M€. Selon la firme le redressement de la rentabilité est une priorité de l'exercice. Aedian mise ainsi sur un résultat d'exploitation d'environ 2% du CA. (...)

(22/09/2005 17:50:50)

Oracle / BEA : rififi autour du BPEL à Openworld

Le vice président d'Oracle, Tod Nielsen, a ouvertement critiqué la politique de support de BEA en matière de BPEL, (Business Process Execution Language), spécification censée définir l'orchestration des processus métier dans une architecture orientée services (SOA). Selon lui, BEA refuserait de se plier au standard, utilisé notamment par Oracle. Alors qu'Oracle, de son côté, supporterait les outils employés par BEA (notamment sa technologie Java Process Definition). Rappelons au passage que Tod Nielsen fut responsable marketing de BEA, de 2001 à 2004.
« Faux », réplique Bill Roth, vice-président marketing chez BEA, qui ajoute que la société fut parmi les premiers, avec Microsoft et IBM, à supporter la norme. Puis de poursuivre : BEA supporte bel et bien BPEL à travers sa plate-forme WebLogic. Il réplique enfin : « Oracle en fait trop autour du BPEL. D'autant plus que la spécification n'est toujours pas validée par l'Oasis... » (...)

(22/09/2005 17:40:12)

Openworld : Ellisson prêche pour l'informatique à la demande

Profitant de son keynote lors d'Openworld, la conférence annuelle des utilisateurs Oracle, Larry Ellison s'est fait l'avocat de l'informatique à la demande et à mis en avant l'importance qu'il accorde au modèle d'abonnement et d'hébergement incarné par CRM OnDemand de Siebel. "Vous allez nous voir redoubler d'effort dans le domaine de l'informatique à la demande" a affirmé Ellisson lors de son discours. La déclaration d'Ellisson intervient après que plusieurs concurrents dont Salesforce.com, ont affirmé que l'acquisition de Siebel par Oracle marquerait la fin du modèle de CCRM hébergé chez Siebel. L'offre CRM On-Demand a en effet été construite en partenariat avec IBM, l'un des concurrents lesplus virulents d'Oracle. Elle s'appuie sur les middleware de Big Blue (DB2 et Websphere) et est hébergée au sein de datacenters opérés par IBM.

Oracle dispose toutefois de sa propre division On Demand, dirigée par Jurgen Rottler. Cette division est l'un e de celles qui a connu la plus forte croissane au sein d'Oracle au cours des quatres dernières années. Mais l'approche d'Oracle est différente de celle adoptée par Siebel et Saleforce.com. Au lieu de facturer un loyer mensuel par nombre d'utilisateurs, Oracle facture l'intégralité de la licence en frontal et facture les services d'exploitation en sus. Selon Rottler les contrats de sa division varie dans une fourchette allant de 50 000$ à 10 M$.

Mais pour Ellison, Oracle est ouvert à d'autre forme de tarification. "Progressivement nous commençons à cerner la demande des utilisateurs et nous pensons [ que l'hébergement d'applicaitons] sera une part importante de notre avenir(...). De toute façon nous avons intérêt à ne pas nous rater ou nous aurons un vrai problème sur les bras"

Ellisson est aussi revenu sur la stratégie d'acquisition de la firme qui a racheté près d'une douzaine de sociétés en douze mois. Selon Ellisson , Oracle n'a plus de grande acquisition en vue. Interrogé sur l'intérêt éventuel d'un rachat de BEA, le patron d'oracle a indiqué "qu'à une époque, BEA figurait très haut sur notre liste". Désormais, Ellisson estime que c'est moins vrai. Nous avons grossi plus vite qu'eux et ils ont régressé". De là à conclure qu'Oracle en a fini avec sa boulimie d'acquisitions... (...)

(22/09/2005 17:39:00)

Bruxelles prépare les règles de rétention des détails de communication

La Commission Européenne souhaite que les opérateurs conservent durant un an les détails des communications passées via leurs réseaux, contre six mois pour les fournisseurs d'accès à Internet. Le projet de directive doit être soumis aux gouvernements d'Union et au parlement européen d'ici la fin de l'année.

La Commission Européenne met la dernière touche à son projet de directive sur la lutte contre le terrorisme. Celui-ci prévoit notamment d'harmoniser la durée de rétention des détails des communications électroniques par les opérateurs et les fournisseurs de services Internet sur le territoire de l'Union.
Concrètement, la Commission propose que les opérateurs de télécommunications conservent les détails des communications acheminées par leurs réseaux pour une durée maximale de un an. Les fournisseurs d'accès à Internet seraient contraints quant à eux à une durée maximale de rétention de six mois. Le projet de directive prévoit que seules des données comme l'émetteur, l'heure, la durée et le destinataire d'une communication soient conservées, pas son contenu. Les données enregistrées doivent être accessibles aux forces de l'ordre sur simple réquisition.

Ces mesures s'intègrent dans le plan de lutte contre le terrorisme que l'Union tente de mettre en place. Actuellement, la durée de rétention des détails de communications s'étend de quelques mois à quatre ans selon les états membres, avec une forte variabilité de l'étendue des données conservées. Dans certains cas, les échanges via Internet n'entre pas dans le champ des rétentions.

La Commission Européenne prévoit que les opérateurs reçoivent une compensation pour les coûts supplémentaires qu'ils devront supporter pour se conformer aux exigences de la directive. Cette disposition est censée les rassurer. Pour autant, certains n'ont pas manqué d'exprimer, déjà, des réserves. Le représentant d'un opérateur international qui a souhaité gardé l'anonymat a ainsi expliqué à IDG News Services qu'il craint que la compensation ne couvre « qu'une fraction des dépenses. » Et de souligner que certains points nécessitent encore d'être précisés à commencer par le problème de la localisation des téléphones mobiles et du suivi des appels infructueux.

Début septembre, opérateurs et FAI européens se sont entendus pour exprimer leurs doutes sur la « faisabilité et l'efficacité » des mesures de rétentions de données demandées par leurs gouvernants de l'Union à la suite des attentats de Londres au mois de juillet dernier. Selon eux, les mesures souhaitées sont ainsi « disproportionnées » voire « impossibles à mettre en oeuvre. »

Le projet de directive de la Commission devrait être soumis aux gouvernements des vingt-cinq et au parlement européen d'ici la fin de l'année. (...)

(22/09/2005 17:41:09)

Restructuration : et maintenant, Sony

Sony, le numéro deux mondial de l'électronique grand public, rejoint la longue liste des entreprises qui se restructurent.

Représentant quelque 70 % des revenus du groupe, la branche électronique perd régulièrement des parts de marché, notamment sur les produits qui ont porté sa renommée : les télévisions et l'audio portable. L'exercice 2004 se concluait ainsi sur un chiffre d'affaires en baisse de 4,5 %, à 7 159 Md ¥ ( 53 Md€).

Conduite par Howard Stringer, le nouveau PDG arrivé en juin, la restructuration se veut ambitieuse et s'annonce saignante. Le but : économiser 200 Md¥, atteindre un CA de 8000 Md¥ et une marge opérationnelle de 5 % à la fin de l'exercice 2007. Pour y parvenir, Sony entend tout d'abord réorganiser la branche malade. Les centres de décisions de l'activité électronique seront ainsi réduits à deux unités et une division. La quantité des modèles commercialisés diminuera de 20 % et le groupe se concentrera sur quelques produits à succès : haute définition, mobilité, jeux et loisirs... Il procèdera également à la vente d'actifs immobiliers et compte vendre ou fermer onze de ses 65 usines avant 2008. Surtout, Sony s'apprête à supprimer 10 000 postes, soit 7 % de ses salariés. Le Japon sera durement touché, avec 4000 départs, le reste étant partagé dans l'ensemble du monde.

En attendant les premiers effets de ces ajustements stratégique de grande ampleur, les prévisions pour les résultats de l'exercice en cours ont été revues à la baisse. Si le chiffre d'affaires reste inchangé, à 7250 Md¥, le résultat opérationnel passe en revanche dans le rouge, à 20 Md¥, contre un gain de 30 Md¥ annoncé en mars. De même, le résultat net est attendu dans le rouge avec une perte de 10 Md¥, soit 73,7 M€. (...)

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