Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 8991 à 9000.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(07/09/2005 18:11:09)
Atos présente des résultats semestriels en ligne avec les prévisions
Les résultats semestriels d'Atos Origin illustrent la tendance générale constatée depuis plus d'un an : sans tomber dans l'euphorie, tout va mieux pour les SSII.
Le groupe affiche ainsi un chiffre d'affaires de 2,72 Md€, un revenu supérieur aux prévisions et qui représente une croissance organique de 8,1 % sur un an. La marge opérationnelle progresse également : elle passe de 6,3 % il y a un an à 6,7 %, avec une forte progression observée au deuxième trimestre. Le bénéfice net bondit de 328 % pour atteindre 121,3 M€, contre seulement 28 M€ à la même époque l'année dernière, une somme qui intégrait des frais de restructuration liés à l'acquisition de Sema.
Point positif pour la stabilité de la SSII : 60 % du chiffre d'affaires proviennent de contrats récurrents, essentiellement dans la maintenance. Parmi ces contrats, citons le renouvellement du marché passé avec le ministère britannique du travail et des retraites pour 750 M€, la prolongation du partenariat commercial avec Philips jusqu'en 2008 et l'extension de la collaboration avec le Comité international olympique jusqu'en 2012.
Pour le reste de l'exercice, Atos vise une marge d'exploitation comprise entre 7,5 et 8 % et une progression du chiffre d'affaires de 8 %. Une croissance que le groupe qualifie d'organique, semblant indiquer par là-même que l'heure n'est pas aux velléités d'acquisitions. Pourtant, l'effacement plus rapide que prévu de la dette pourrait ouvrir la porte à quelques emplettes : de 491 M€ fin 2004, la dette est ainsi passée à 363 M€. Alors qu'Atos prévoyait, en début d'exercice, de ramener son endettement à 350 M€ à la fin 2005, il table désormais sur 200 M€. Et le Président, Bernard Bourigeaud, envisage une trésorerie nette positive l'année prochaine permettant de « tirer pleinement parti des opportunités apparaissant sur le marché mondial des services informatiques ». (...)
SAP veut doubler de taille et confirme son désir d'acquisitions
L'éditeur allemand SAP veut doubler son chiffre d'affaires d'ici 2010. C'est ce qui ressort des déclarations du responsable des ventes et des opérations, Leo Apotheker, à Reuters. Celui-ci estime ainsi qu' « il serait correct de s'attendre à voir SAP poursuivre sa croissance à un rythme tel que d'ici l'année 2010 la société pourrait doubler (ses) ventes ». Apotheker croit également que le bénéfice d'exploitation augmentera sensiblement, ainsi que la marge : « nous avons signalé aux marchés qu'une fois que nous aurons passé 2007, nous escomptons atteindre une marge supérieure à 30 % ».
Quelques jours auparavant, le PDG Henning Kagermann avait révélé la volonté de son groupe de porter ses efforts sur le secteur bancaire et de procéder à des acquisitions. Confirmation par Apotheker : « nous discutons ici et là. Il est prématuré de mentionner des points précis, mais nous avons actuellement un portefeuille que nous passons en revue ». L'éditeur serait prêt à débourser un milliard de dollars pour ses futurs achats. (...)
Restructuration : les syndicats de HP France redoutent le pire
14 500 emplois supprimés pour économiser 1,9 Md$ par an. C'est au final l'un des principaux objectifs du plan de restructuration initié par Mark Hurd, le nouveau PDG de HP. Sur l'ensemble de ses effectifs mondiaux, le groupe californien se prépare donc à licencier 10 % de ses salariés. Un niveau qui devrait être largement supérieur en ce qui concerne les pays d'Europe de l'Ouest, dont la France. De source syndicale, il ressort en effet qu'il faudra compter sur un dégraissage touchant 20 à 30 % des effectifs français (quelque 5 000 salariés). De passage en France, Francesco Serafini, le responsable Emea de HP, affirmait d'ailleurs la semaine dernière, que HP n'appliquerait pas le même ratio - soit 10 % - à tous les pays, certains devant être plus touchés que d'autres.
"La fourchette de 20 à 30 % ne fait plus aucun doute", regrette Didier Pasquini, délégué CFE-CGC.
Ce n'est que le lundi 12 septembre que seront officiellement communiquées les répartitions des licenciements pays par pays, après la tenue d'un comité de groupe. De leur côté, les élus au comité d'entreprise européen ont été informés le 7 septembre, tout en étant tenus de signer une clause de confidentialité.
Alors que Patrick Starck, le PDG de HP France, a affirmé aux salariés qu'aucun site ne fermerait dans l'Hexagone, certains responsables syndicaux expriment leur scepticisme face à une information rassurante mais qui colle mal avec l'ampleur estimée de la restructuration. « On a connu des sites qui ne fermaient pas officiellement mais dans lesquels les activités avaient cessé », illustre ainsi François Godard, responsable CDFT.
HP patriote ou francophobe ?
Pour protester contre un plan qu'ils estiment viser "particulièrement la France", les différents syndicats appellent les salariés à débrayer lors du comité d'entreprise européen, jeudi 8 septembre.
Ils s'interrogent en outre sur les raisons profondes de ce que d'aucun n'hésitent pas à qualifier d'acharnement : pourquoi l'Europe et la France, où les résultats de HP n'ont jamais véritablement inquiété, doivent-ils payer un aussi lourd tribut ?
Selon Didier Pasquini, la raison tient à ce que HP n'est pas organisé comme une entreprise multinationale mais plutôt comme "un mastodonte américain". Partant, "il est plus facile de faire le ménage à l'étranger que chez soi".
François Godard a pour sa part une explication plus politique. Selon lui, "les décisions ne sont plus guidées par des arguments économiques mais par une francophobie de la direction du groupe. Déjà, Carly Fiorina était proche de Bush, la tête de l'entreprise est clairement républicaine, la France est en première ligne, plus que les autres pays européens. Les autres arguments, comme les 35 heures, ne sont que des prétextes".
Si les opinions divergent sur les raisons profondes des disparités entre les pays où HP est implanté, tous expriment en revanche la même inquiétude pour l'avenir, au-delà même du plan de restructuration. Toutes tendances confondues, ils regrettent l'absence de stratégie à long terme de leur groupe et voient d'un mauvais oeil le peu d'optimisme dont font preuve certains analystes américains. (...)
Microsoft annonce Centro, et affûte sa stratégie PME
Tout à sa stratégie de séduction auprès des PME (entre 50 et 1 000 salariés, selon la grille Microsoft), Microsoft s'apprête à dévoiler Centro, une solution entièrement intégrée combinant l'essentiel des produits d'administration de la marque, refaçonné pour le segment des petites entreprises.
Centro, dont la sortie devrait suivre celle de Longhorn Server (courant 2007), associera la prochaine version d'Exchange (nom de code Exchange 12), pour la brique messagerie, ISA (Internet Security and Accelaration Server ), pour la sécurité, et enfin, un ensemble d'outil d'administration et de gestion, notamment Systems Management Server et Group Policy Management Console. Le tout reposant sur LongHorn Server.
L'objectif ? offrir aux PME une infrastructure plus unifiée et plus intégrée. Pour cela, Centro doit permettre de centraliser l'administration et le déploiement de l'ensemble des briques logicielles en une unique procédure. Une console centrale autorisera la gestion des tâches courantes de gestion et d'analyse du système.
Aucune tarification n'a pour l'heure été décidée.
Microsoft Business Solutions devient Dymanics
Microsoft annonce fondre les composants du Project Green, ambitieux projet de convergence de code et de interface utilisateurs des PGI de la marque (Great Plains, Axapta, Solomon et Navision, et Microsoft CRM) en une unique marque baptisée Dynamics. Cette dernière remplacera la marque Microsoft Business Solutions.
Côté roadmap, Dynamics GP (ex-Great Plains) devrait sortir cet automne, Dynamics AX (ex-Axapta) au printemps 2006, Dynamics SL (ex-Solomon) et Dynamics NAV (ex-Navision) au dernier trimestre 2006. La fusion globale sous une unique base étant prévue pour 2008.
En juillet, Microsoft avait entamé son offensive vers le PME, via notamment une simplification des programmes licences et de financement vers le PME. (...)
Easy net lance une offre d'agrégation de lien DSL pour les entreprises
Easynet a annoncé aujourd'hui le lancement d' Easynet Dual Multi, une offre d'accès internet s'appuyant sur le principe de l'agrégation de liens.
En utilisant le multi-Link PPP, Easynet est capable d'agréger de liens DSL pour les faire apparaître comme un seul par le client. Cette agrégation permet de bénéficier d'une connexion Internet ou d'un lien privé à un débit élevé, tout en assurant une grande disponibilité de service (en cas de chute d'un lien, le second reste opérationnel).Selon Easynet, son offre Dual Multi garantit ainsi un taux annuel de disponibilité de 99,68%. L'offre est disponible sur les zones dégroupées du réseau de collecte et s'appuie sur des liens proposés par des fournisseurs différents. La connexion est supervisée par Easynet et elle est assortie de la fourniture d'un nom de domaine de 30 e-mails sécurisés (antispam, antivirus) et de 8 adresses IP fixes. (...)
France Télécom revoit son exécutif et les contraintes de l'abonnement
France Télécom vient de modifier son organisation, notamment au niveau de son comité exécutif, de sort à « se donner les moyens de relever les défis de Next », sa stratégie présentée au début du mois de juillet. Concrètement, Didier Lombard, PDG de l'opérateur, s'est entouré de Michel Combes, à la fonction « Equilibres financiers et création de valeur Next » ; de Georges Penalver au « Marketing stratégique Next », de Louis-Pierre Wenes à la « Transformation Next », et d'Olivier Barberot aux « Ressources humaines et compétences Next ». Plus clairement, Georges Penalver assumera la responsabilité du « développement rapide et cohérent des offres convergentes », promise dans le cadre de Next. Louis-Pierre Wenes s'assurera quant à lui de « la cohérence et [du] bon déroulement des chantiers de transformation essentiels pour la réussite opérationnelle de Next ».
France Télécom a en outre revu sa gouvernance d'entreprise, avec l'ambition d'obtenir « plus d'efficacité et de rapidité des processus de décision ». Un comité stratégique se réunira chaque semaine pour faire le point sur les « performances » de l'opérateur avec, Didier Lombard, ses quatre bras droits, ainsi que les directeurs exécutifs « Développement de la stratégie internationale », « Réseaux, Opérateurs et Systèmes d'Information » et le « Secrétaire Général du Groupe ». Le comité exécutif de France Télécom est quant à lui élargi aux directeurs généreux de TPSA, d'Orange France et UK, ainsi qu'au représentant permanent du groupe à Bruxelles et au directeur juridique de l'opérateur.
Parallèlement, France Télécom vient d'assouplir ses conditions générales d'abonnements, faisant passer de 1 an à 6 mois la période minimale d'abonnement. Surtout, l'opérateur autorise enfin l'ouverture de ligne et sa résiliation sans frais pendant la période minimale d'abonnement dans le cas d'une souscription à une offre de dégroupage total. (...)
Sun se prépare à dévoiler ses serveurs Opteron "Galaxy"
Sun Microsystems lancera officiellement ses nouveaux serveurs Opteron (nom de code Galaxy) lors de sa conférence Sun Network de New-York, le 12 septembre prochain. La nouvelle gamme, qui devrait porter le nom commercial Sun Fire, est le fruit des développements de Kealia, une start-up crée par Andy Bechtolsheim, et rachetée par Sun l'an passé. Aujourd'hui architecte en chef et vice-président de Sun, Bechtolsheim a la lourde charge de relancer les ventes du constructeur en proposant une gamme complète de machines x86 capables de faire tourner indifféremment Solaris, l'OS maison, mais aussi Linux et Windows.
La ligne de serveurs Opteron "Galaxy" devrait être l'une des plus large de l'industrie avec des modèles allant du bi-processeur à l'octo processeur (Dell et HP se limitent au quadri processeur). Elle tirera partie des dernières puces bi-coeur d'AMD et devrait se distinguer de ses concurrentes par des fonctions de tolérance aux pannes plus avancées, mais aussi par une ergonomie pensée pour simplifier les opérations de maintenance.
En entrée de gamme, Sun a prévu un modèle rackable d'une hauteur de 1U capable d'accueillir deux puces Opteron bi-coeur, et un modèle 2U lui aussi biprocesseurs. Le premier peut embarquer 16 Go de RAM, deux disques durs et offre deux connecteurs PCI-X. Le second plafonne lui aussi à 16 Go de RAM, mais peut accueillir jusqu'à quatre disques durs et cinq cartes PCI-X. En haut de gamme, Sun prévoit deux serveurs 4U, l'un à quatre voies et l'autre à huit voies. Ces deux systèmes devraient mbarquer respectivement 32 et 64 Go de mémoire et pourront accueillir six et huit cartes PCI-Express. Tous ces systèmes seront certifiés pour faire fonctionner Linux, Solaris 10 x86 et Windows.
Les systèmes d'entrée de gamme 1U et 2U devraient être disponible dès la fin du mois de septembre tandis que les modèles 4U quadri et octo-processeurs ne seront pas disponible avant la fin de l'année. Ils devraient ensuite être suivis par une gamme de serveurs lames Opteron attendue pour le courant du premier semestre 2006. (...)
Plumtree prépare la version 6.0 de son outil de portail
Plumtree lancera la version 6.0 de son serveur de portail lors de sa conférence développeurs qui se déroulera du 9 au 12 octobre prochain à Hollywood, en Floride. L'éditeur garde secrète, pour l'instant, la plupart des détails techniques de cette nouvelle mouture. Néanmoins, Plumtree Portal 6.0 devrait intégrer le support d'un grand nombre de configurations de systèmes avec, notamment, des interfaces Java et .Net natives.
Le 24 août dernier, BEA a annoncé l'acquisition de Plumtree pour un montant de 200 M$. (...)
Econocom enrichit ses offres de services pour PME
LA SSII belge Econocom annonce coup sur coup deux acquisitions dans le secteur des services de télécommunications mobiles aux entreprises, A2Z et For Connected Services.
Jean-Louis Bouchard, Président d'Econocom Group, indiquait dans le rapport annuel 2004 qu'un de ses objectifs consistait à devenir le numéro un des services de téléphonie mobile en Europe. Les achats de Signal Service et de 75 % de ChanSE en août et novembre 2004, ont constitué une première étape en renforçant la position d'Econocom en France et en Belgique.
C'est au Benelux que le chaîniste entend faire porter ses efforts en 2005, comme l'illustrent les deux acquisitions annoncées cette semaine, et ainsi créer une synergie avec la Belgique et la France où il occupe la première place. Econocom vient ainsi de mettre la main sur son compatriote A2Z. Cette société de services créée en 2002 s'est spécialisée dans la fourniture de prestations de services en informatique et en télécommunications (voix et data mobiles incluses) aux PME-PMI de moins de 250 postes. Sa palette de services comprend notamment le conseil aux utilisateurs, l'infogérance à distance du parc informatique et téléphonique ou encore la gestion des fournisseurs. « La particularité d'A2Z est de proposer une offre 100 % intégrée qui combine la fourniture du matériel, les services associés et le financement de l'ensemble facturé sur la base d'un coût mensuel par utilisateur », explique Patrick Vandewalle, administrateur délégué du groupe Econocom. D'ici à deux ou trois mois, Econocom entend étendre l'activité de sa nouvelle acquisition dans les autres pays européens où il est présent, dont la France, en y ouvrant des filiales. Jusqu'ici, la cible de clientèle d'A2Z ne représente que 10 à 20 % du portefeuille clients d'Econocom dans l'Hexagone.
Autre achat, celui du hollandais For Connected Services. Créée en 2003, cette entreprise est spécialisée dans le data mobile et l'email mobile. Pour le directeur général Jean-Marc Seghers, cette acquisition permet à Econocom de franchir « une nouvelle étape de son développement en prenant une position importante sur le marché de la mobilité data aux Pays-Bas ». (...)
Via Networks finalement racheté par le suisse Interoute
L'opérateur suisse Interoute annonce le rachat du fournisseur néerlandais de solutions de communications professionnelles Via Networks.
D'abord pressenti pour tomber dans l'escarcelle du britannique Claranet, Via Networks avait refroidi les ardeurs de ce dernier au début du mois d'août par ses pertes financières plus élevées que prévues. Claranet s'était alors contenté de l'acquisition de l'hébergeur Amen, également propriété de Via Networks, pour 9,3 M$, et renonçait à débourser 26,4 M$ supplémentaires pour le reste des actifs.
Ces actifs sont finalement repris par Interoute, société suisse propriété de la famille Sandoz, pour un montant non communiqué. Le groupe récupère ainsi des activités en Allemagne, France et Espagne, ainsi que toutes les opérations de PSI Net en Suisse, France, Allemagne, Belgique et aux Pays-Bas.
Interoute possède un vaste réseau de fibres optiques, long de quelque 23 500 km, s'étendant en Europe de l'ouest et de l'est ainsi qu'aux Etats-Unis. L'acquisition de Via Networks va permettre au groupe de la famille Sandoz d'ajouter à son catalogue des solutions d'hébergement et de sécurité, ce que le Président exécutif James Kinsella résume ainsi : « l'intégration de l'activité de Via Networks va encore renforcer la position d'Interoute en tant que fournisseur de tout premier plan de services de télécommunications aux entreprises et nous permettre de poursuivre notre croissance ».
En outre, Interoute estime que ce rachat sera susceptible de dégager des réductions de coûts et, partant, « d'optimiser l'utilisation de l'infrastructure réseau existante ». (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |