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(06/09/2005 00:00:00)

Plans d'embauche: toujours plus pour les SSII

Avec la reprise du turnover (au delà de 15% dans certains cas), les prévisions d'embauche des SSII sont elles aussi revues à la hausse depuis cet été, afin d'assumer les 4 à 6% de croissance prévus pour 2005 par la branche (Syntec informatique). Ainsi la multinationale Steria affiche 2100 postes à l'embauche en Europe, dont 1300 en France (consultants, ingénieurs, chefs de projet) à 60% ouverts aux jeunes diplômés. Avec pour accroche, des projets européens marquants tels que la carte d'identité électronique en Belgique, la carte santé espagnole, la gestion des interventions à domicile de l'opérateur télécom norvégien, le système d'appel d'urgence à bord des véhicules de Peugeot-Citroën ou encore l'amélioration de la ponctualité des trains en Suisse. A une toute autre échelle, la PME S&H (Des systèmes et des hommes) envisage de gonfler ses effectifs de 75 à 90 consultants et ingénieurs, avec un apport de 16 embauches (30% jeunes diplômés) avant décembre 2005 puis de dix postes encore au premier trimestre 2006 (consultants techniques, spécialistes du décisionnel, spécialistes Java, .Net, et consultants fonctionnels). De même, Niji (à Issy-les Moulineaux et à Rennes) vise à étoffe son pôle conseil (auprès des grandes entreprises, des opérateurs et fournisseurs d'accès Internet) de 15 ingénieurs expérimentés dans le domaine de la téléphonie sur internet, de la mobilité et de la gestion des centres de contact. Egalement dans le domaine des réseaux, Ineo Com, intégrateur filiale du groupe Suez (850 salariés répartis sur 35 sites, 15000 clients actifs) renforce ses équipes commerciales et techniques d'une cinquantaine de postes. Quant aux ambitions de Teamlog, avec 600 postes à pourvoir cette année contre 400 en 2004, elles concernent principalement des jeunes spécialistes des technologies J2EE, C#, .Net, des administrateurs systèmes et réseaux. Y compris en régions: Rhône-Alpes pour 25% des postes, la Bretagne pour 15%, principalement dans pour des projets télécom (notamment du secteur Défense) et d'informatique scientifique. A noter que Teamlog recrute également pour ses sites de Londres, Genève, Barcelone et Madrid. Pour info: www.steria.com; www.s-h.fr; www.niji.fr; www.ineo.com; www.teamlog.com (...)

(06/09/2005 00:00:00)

Iliad parie sur l'avenir du WiMax en rachetant Altitude Télécom

"Le WiMAX est une option pertinente à horizon 3-5 ans pour le développement du Groupe en complément des activités actuelles de Free". C'est ce que Xavier Niel, le directeur général en charge de la stratégie d'Iliad a expliqué au conseil d'administration de la firme pour expliquer l'acquisition aujourd'hui de l'opérateur normand Altitude Télécom. L'opération devrait être bouclée le 15 novembre prochain mais son coût n'a pas été précisé. Altitude Télécom, né lors de la première vague de la boucle locale radio en France, est aujourd'hui le seul détenteur d'une licence nationale de boucle locale radio lui permettant d'opérer des services WiMAX, Neuf télécom ayant restitué ses fréquences 3,5 GHz à l'ART fin 2003. Cette licence lui a été accordée en décembre 2003, dans la bande de fréquence des 3,5GHz, à l'origine prévue pour les systèmes de BLR IP. Altitude a été l'un des premiers opérateurs à tester des systèmes pré-WiMAX en France notamment sur le marché des entreprises, mais aussi en partenariat avec des collectivités locales pour la couverture de "zones blanches" en haut débit. Mais ce ne sont pas ces activités qui semblent avoir motivé le rachat par Free. L'opérateur a semble-t-il choisi de s'intéresser aux implications grand public de WiMax et s'est assuré la seule licence nationale disponible en rachetant celle d'Altitude (les licences WiMax qui seront prochainement attribuées par l'ART sont des licences régionales). Les activités entreprises d'Altitude seront ainsi revendues à l'actuel patron d'Altitude Télécom, Jean- Paul Rivière, au travers de la société Altitude Développement dont il est l'actionnaire majoritaire. Wimax, une alternative combinée au dégroupage et à la 3G? WiMax Soutenue par plusieurs géants de l'électronique et des télécoms comme Intel, Alcatel, Nortel ou Motorola, la technologie WiMax (802.16d et 802.16e à l'IEEE) n'a plus grand chose à voir avec la BLR de grand papa. Comme auparavant la technologie permet de couvrir une large zone en haut débit internet sans avoir à tirer de nouvelles lignes. En fait dès qu'une zone est couverte par WiMax, elle devient virtuellement dégroupée, car son opérateur peut se passer des lignes filaires de l'opérateur historique. Mais ce qui explique le nouvel engouement pour WiMax ce sont les nouvelles possibilités de mobilité. Dès maintenant, le standard 802.16d supporte des formes de nomadisme limitées. Par exemple, la connexion est possible depuis tout point disposant d'un émetteur actif. On peut ainsi déplacer un PC portable Wi-Fi de la maison au bureau et y retrouver une connexion, alors que le service ADSL est aujourd'hui lié à la ligne de téléphone. Avec la normalisation de la prochaine mouture de WiMax, 802.16e, prévue pour cette année, les constructeurs parient aussi sur le support de la mobilité avec notamment le support du roaming. Si le plan est tenu cela veut dire que d'ici 2007, un utilisateur pourra se déplacer avec son terminal WiMax sur l'ensemble de la zone de couverture WiMax de son opérateur sans perdre la connexion, comme aujourd'hui avec un téléphone GSM.. De quoi expliquer l'intérêt nouveau des grands des télécoms pour la boucle locale radio... les oubliés des licences GSM et 3G pourraient en effet utiliser WiMax pour fournir à terme des services voix/données mobiles concurrents des services 3G des opérateurs mobiles. Vers une généralisation à l'horizon 2007/2008 ? Dans un scénario optimiste, WiMax pourrait tout d'abord s'imposer en zones rurales comme l'alternative à l'ADSL puis, dès le début 2007, cannibaliser une partie des usages du Wi-Fi et de la 3G dans les zones urbaines, grâce au support de la mobilité. Il s'imposerait alors comme une alternative ou un complément aux deux technologies pour les utilisateurs internet nomades. C'est le genre de scénario sur lequel mise Intel en pronostiquant l'intégration dans les prochaines versions de Centrino( à horizon 2007/2008) de cartes radio WiMax en plus des actuelles radios Wi-Fi. Bien sûr l'inverse pourrait aussi se produire. Bloqué par la généralisation de la couverture ADSL dans les pays industrialisés, et coincé entre la montée en puissance de Wi-Fi avec le futur 802.11n (100 Mbit de débit efficace et 8 fois la portée de 802.11g) et celle des normes 3G, avec HSDPA (une évolution de l'UMTS dopant de 2 à 16Mbit/s le débit descendant de la 3G), WiMax pourrait retourner à ses chères études et s'étioler comme les précédentes technologies de boucle locale radio. A priori, ce n'est pas le scénario retenu par Free... (...)

(05/09/2005 17:47:10)

Iliad parie sur l'avenir du WiMax en rachetant Altitude Télécom

"Le WiMAX est une option pertinente à horizon 3-5 ans pour le développement du Groupe en complément des activités actuelles de Free". C'est ce que Xavier Niel, le directeur général en charge de la stratégie d'Iliad a expliqué au conseil d'administration de la firme pour expliquer l'acquisition aujourd'hui de l'opérateur normand Altitude Télécom. L'opération devrait être bouclée le 15 novembre prochain mais son coût n'a pas été précisé.

Altitude Télécom, né lors de la première vague de la boucle locale radio en France, est aujourd'hui le seul détenteur d'une licence nationale de boucle locale radio lui permettant d'opérer des services WiMAX, Neuf télécom ayant restitué ses fréquences 3,5 GHz à l'ART fin 2003. Cette licence lui a été accordée en décembre 2003, dans la bande de fréquence des 3,5GHz, à l'origine prévue pour les systèmes de BLR IP.

Altitude a été l'un des premiers opérateurs à tester des systèmes pré-WiMAX en France notamment sur le marché des entreprises, mais aussi en partenariat avec des collectivités locales pour la couverture de "zones blanches" en haut débit. Mais ce ne sont pas ces activités qui semblent avoir motivé le rachat par Free. L'opérateur a semble-t-il choisi de s'intéresser aux implications grand public de WiMax et s'est assuré la seule licence nationale disponible en rachetant celle d'Altitude (les licences WiMax qui seront prochainement attribuées par l'ART sont des licences régionales). Les activités entreprises d'Altitude seront ainsi revendues à l'actuel patron d'Altitude Télécom, Jean-
Paul Rivière, au travers de la société Altitude Développement dont il est l'actionnaire majoritaire.

Wimax, une alternative combinée au dégroupage et à la 3G?

WiMax Soutenue par plusieurs géants de l'électronique et des télécoms comme Intel, Alcatel, Nortel ou Motorola, la technologie WiMax (802.16d et 802.16e à l'IEEE) n'a plus grand chose à voir avec la BLR de grand papa. Comme auparavant la technologie permet de couvrir une large zone en haut débit internet sans avoir à tirer de nouvelles lignes. En fait dès qu'une zone est couverte par WiMax, elle devient virtuellement dégroupée, car son opérateur peut se passer des lignes filaires de l'opérateur historique. Mais ce qui explique le nouvel engouement pour WiMax ce sont les nouvelles possibilités de mobilité. Dès maintenant, le standard 802.16d supporte des formes de nomadisme limitées. Par exemple, la connexion est possible depuis tout point disposant d'un émetteur actif. On peut ainsi déplacer un PC portable Wi-Fi de la maison au bureau et y retrouver une connexion, alors que le service ADSL est aujourd'hui lié à la ligne de téléphone.

Avec la normalisation de la prochaine mouture de WiMax, 802.16e, prévue pour cette année, les constructeurs parient aussi sur le support de la mobilité avec notamment le support du roaming. Si le plan est tenu cela veut dire que d'ici 2007, un utilisateur pourra se déplacer avec son terminal WiMax sur l'ensemble de la zone de couverture WiMax de son opérateur sans perdre la connexion, comme aujourd'hui avec un téléphone GSM.. De quoi expliquer l'intérêt nouveau des grands des télécoms pour la boucle locale radio... les oubliés des licences GSM et 3G pourraient en effet utiliser WiMax pour fournir à terme des services voix/données mobiles concurrents des services 3G des opérateurs mobiles.

Vers une généralisation à l'horizon 2007/2008 ?

Dans un scénario optimiste, WiMax pourrait tout d'abord s'imposer en zones rurales comme l'alternative à l'ADSL puis, dès le début 2007, cannibaliser une partie des usages du Wi-Fi et de la 3G dans les zones urbaines, grâce au support de la mobilité. Il s'imposerait alors comme une alternative ou un complément aux deux technologies pour les utilisateurs internet nomades. C'est le genre de scénario sur lequel mise Intel en pronostiquant l'intégration dans les prochaines versions de Centrino( à horizon 2007/2008) de cartes radio WiMax en plus des actuelles radios Wi-Fi.

Bien sûr l'inverse pourrait aussi se produire. Bloqué par la généralisation de la couverture ADSL dans les pays industrialisés, et coincé entre la montée en puissance de Wi-Fi avec le futur 802.11n (100 Mbit de débit efficace et 8 fois la portée de 802.11g) et celle des normes 3G, avec HSDPA (une évolution de l'UMTS dopant de 2 à 16Mbit/s le débit descendant de la 3G), WiMax pourrait retourner à ses chères études et s'étioler comme les précédentes technologies de boucle locale radio. A priori, ce n'est pas le scénario retenu par Free...




WiMax : La BLR, les inconvénients en moins

Par rapport aux anciennes techniques de BLR, l'un des grands atouts de WiMAX est qu'il ne nécessite pas l'installation chez l'abonné d'une antenne extérieure. Cette caractéristique permet d'éviter l'intervention d'un technicien pour raccorder les abonnés. Ceux-ci peuvent installer leur modem eux-mêmes, en intérieur, ce qui supprime les frais d'installation et fait sauter une importante barrière à l'entrée.

Dans la pratique, les émetteurs qui seront déployés sur le terrain en Europe devraient être tri-sectorisés (trois antennes couvrant un secteur de 120 °) et auront une capacité utile symétrique de l'ordre de 35 à 50 Mbit/s. En environnement urbain, la portée sera d'environ 1 à 2 km avec des terminaux d'intérieur. En environnement rural, elle pourra atteindre 8 à 10 km avec des terminaux et antennes extérieures (sans ligne de vue directe).

Contrairement à une station de base 802.16 vendue aux environs de 50 000$, les nouvelles stations 802.16d devraient coûter entre 5000 et 8000$. C'est sur cette baisse des coûts que repose une large partie des espoirs mis dans WiMax.
Les abonnés pourront se voir offrir des services multiples (voix, données) avec ou sans qualité de service. Typiquement un abonné pourra souscrire à des débits maximal de l'ordre de 10 Mbit/s, sachant que le coeur de l'offre pour les entreprises devrait se faire sur des débits symétriques de l'ordre du mégabit, tandis que les particuliers se verront proposer des offres sans qualité de service de type 1 à 2 Mbit en voie descendante et 128 ou 256 Kbit/s en voie montante, à un prix légèrement supérieur à celui du DSL, mais avec la mobilité en plus. (...)

(05/09/2005 17:57:35)

Google / Microsoft : un document met à mal Steve Ballmer

Steve Ballmer veut « tuer Google ». C'est ce que révèle un document remis par Google à la cour en charge du procès qui l'oppose à Microsoft, pour recrutement abusif.
Selon ce document, Ballmer aurait perdu son sang froid à l'annonce du départ de Mark Lucovsky pour Google, en 2004. Dans un mouvement d'humeur, Ballmer aurait été jusqu'à en balancer sa chaise, raconte Mark Lucovsky, ex-ingénieur en chef du projet Windows, « avant d'entamer une tirade contre Eric Schmidt, président de Google ».
Steve Ballmer dément. Pour lui, s'il confirme avoir fait pression sur Lucovsky, il n'a pas prononcé pareil discours.

Pour mémoire, Microsoft accusait Google d'avoir recruté l'ancien vice-président de sa division de services interactifs, Kai Fu Lee, violant, selon lui, une clause de confidentialité. En juillet, Microsoft obtenait une injonction de la cour, empêchant (jusqu'au 7 septembre) Lee de prendre ses fonctions chez le n°1 des moteurs de recherche, à la tête de son centre de recherche et de développement en Chine.

Les deux géants devraient ainsi de retrouver face à face le 7 septembre, Microsoft espérant pour l'occasion obtenir de la cour une prolongation de l'injonction jusqu'en janvier, date prévue du jugement. (...)

(05/09/2005 17:55:05)

IDC souligne la forte croissance du stockage au second trimestre

Le marché mondial des systèmes de stockage sur disque a progressé de 9,9% au second trimestre 2005 pour atteindre 5,6 Md$ .Cette croissance est la plus forte enregistrée depuis huit trimestres selon IDC. La capacité totale livrée par les fournisseurs au cours du trimestre a ainsi atteint le chiffre record de 457 petaoctets (stockage interne et externe compris). HP a conservé son premier rang mondial avec 23,5 % des ventes, devant IBM (20,5%) et EMC (14,4%). Dell avec 8,3% des ventes devance Sun (6,1%) désormais au cinquième rang mondial. Sun a été le seul constructeur à voir ses revenus reculer, de 10,4%.

Le marché des systèmes de stockage externe a, quant à lui, progressé de 8,6% à 3,8 Md$. EMC a conforté son avance et son premier rang mondial avec 21,2% des ventes, devant HP (18,8), IBM (13,8), Dell (8,3%) et HDS (7,3%). Le succès de Dell est largement à mettre au crédit d'EMC, dont il revend les équipements sous la marque Dell/EMC.

IDC a aussi détaillé le marché des systèmes de stockage en réseau (NAS, SAN Fibre channel et iSCSI). Selon le cabinet d'étude, le marché est dominé par EMC avec 27,9% des ventes devant HP avec 21,3% des ventes. Mais les plus fortes progressions de vente par rapport à 2004 ont été réalisées par Dell et IBM avec des taux de croissance respectifs de 33,2 % et 22.9 %. (...)

(05/09/2005 17:49:51)

Computer Associates prépare le lancement de BrightStor r11.5

Computer Associates lance, ce mardi 6 septembre, la version r11.5 de BrightStor, sa suite d'outil d'administration de stockage. Cette nouvelle mouture se distingue de l'actuelle version r11.1, lancée en septembre 2004, par le support de nouvelles baies de stockage de milieu de gamme signées, notamment, EMC, HP et Sun. BrightStor r11.5 supporte en outre les plateformes 64 bits et intègre une procédure simplifiée d'implémentation et d'administration des sauvegardes sur disque et sur bande. Les applications SAP, les bases de données Sybase et données de Lotus Notes/Domino sont également supportées.
BirghtStor Storage Command Center, un nouveau composant de la suite, fera son apparition d'ici deux mois. Il doit offrira une vision de haut niveau de l'infrastructure de stockage, à la manière d'un tableau de bord.
Un second composant, BrightStor Hierarchical Storage Management (HSM), viendra, d'ici la fin du mois d'octobre, compléter les fonctions de la suite en s'appuyant sur Managed Server HSM for Windows de CaminoSoft. Computer Associates a signé un accord de licence pour cet outil en juillet dernier.
BrightStor r11.5 est commercialisé via le programme de licences FlexSelect de Computer Associates ainsi que via ses plans de tarification au volume de données stockées, à partir de 2 To. (...)

(05/09/2005 18:03:05)

SAP compte se renforcer dans le secteur bancaire, des acquisitions en prévision

SAP, l'éditeur allemand de PGI, envisage de procéder à des acquisitions. C'est ce qu'a affirmé le PDG Henning Kagermann au journal The Financial Times.

C'est sur le marché bancaire que SAP souhaite orienter ses efforts. Un secteur qui, selon Kagermann, pourrait générer un revenu annuel de neuf millions d'euros par an et sur lequel l'éditeur réalise moins de 10 % de part de marché.
SAP cherchera avant tout à augmenter sa croissance organique, mais n'exclut pas de recourir à des acquisitions. Le PDG se déclare ainsi prêt à dépenser jusqu'à un milliard de dollars dans les services au secteur bancaire, mais également dans la distribution et les services publics.

Selon les analystes, la modernisation de quelque 4500 systèmes informatiques dans les banques pourrait coûter une centaine de milliards d'euros. Forrester Research estime que moins de la moitié de ces chantiers ont été réalisés. Il reste donc d'importantes opportunités dont SAP entend bien se saisir. (...)

(05/09/2005 17:56:10)

JDS Uniphase licencie et ferme un site en France

L'équipementier américain JDS Uniphase, spécialisé dans les réseaux en fibre optique, va supprimer 130 emplois à travers le monde. La France est touchée avec la fermeture de l'usine de Grenoble et trente licenciements.

JDS connaît de sérieuses difficultés depuis l'éclatement de la bulle dans les années 2000. L'équipementier avait battu tous les records de perte en 2001 avec une dépréciation d'actifs de 50 Md$. Lors du dernier trimestre, le quatrième de l'exercice 2005, les résultats ont été plombés par une lourde charge de restructuration. La perte nette est ainsi passée de 62,7 M$ il y a un an, à 145,7 M$. Les revenus ont également, à 170,9 M$, soit une diminution de 2,1 % sur un an.

Le groupe, qui avait déjà annoncé 850 licenciements au printemps, a indiqué la suppression de 130 emplois supplémentaires. Parmi ces emplois, trente sont localisés en France. En conséquence, l'usine basée à Grenoble va devoir fermer ses portes. 5000 personnes travaillent aujourd'hui pour JDS, soit 10 % de moins qu'au deuxième trimestre. (...)

(05/09/2005 17:59:15)

IBM rachète DWL

IBM vient de finaliser l'accord annoncé au début du mois d'août pour l'acquisition de DWL, un éditeur de logiciels d'intégration de données clients.
Avec cette opération, IBM entend renforcer son offre en matière de solution de gestion de l'information. L'offre de DWL va être intégrée à celle de la division Enterprise Master Data Solutions (EMDS), récemment créée par Big Blue.
Selon IBM, l'intégration de données et l'un des segments du marché de la gestion de l'information qui ont la croissance la plus rapide. L'intégration de données clients permet de disposer d'une vision unifiée d'un client en dépit d'un système d'information hétérogène.
Les détails financiers de l'opération n'ont pas été communiqués. (...)

(05/09/2005 18:02:08)

Jabber met sa messagerie instantanée dans une appliance

Le spécialiste de la messagerie instantanée Jabber devrait livrer sa technologie sous forme d'appliance. Baptisée JabberNow, le boîtier reste totalement plug-and-play, sécurisé et configurable en 15 minutes, selon la société.
Basé sur le protocole XCP (Extensible Communications PlatForm) - qui lui même repose sur le standard ouvert XMPP, utilisé notamment par Google Talk-, JabberNow s'intègre à tout type d'infrastructure d'entreprise. Jabber doit le mois prochain sortir des connecteurs pour IBM Lotus Instant Messaging et Microsoft Live Communications Server.

L'appliance s'adresse avant tout aux agences gouvernementales. Mais Jabber entend, à terme, cibler les marchés de la Finance, de l'Industrie, de la Justice et du Conseil.

JabberNow supporte jusqu'à 1000 utilisateurs, et est commercialisé à partir de 2 495 $ pour 25 utilisateurs. (...)

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