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Carrière

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(22/05/2008 15:52:42)
Plein emploi et salaires à la hausse pour les jeunes diplômés de Telecom ParisTech
Les jeunes diplômés de la IT qui s'apprêtent à entrer dans la vie active n'ont pas de souci à se faire. Tout s'annoncer bien pour eux, côté emploi et salaires. Tels sont les principaux enseignements de l'enquête Premier emploi 2008 menée par l'école d'informatique Telecom ParisTech auprès des promotions 2005, 2006 et 2007. Les résultats montrent en effet que, non seulement, pratiquement tous les élèves ont trouvé un emploi, mais encore qu'ils le trouvent de plus en plus vite. La quasi totalité des diplômés de la dernière promotion (91%) a signé son contrat moins de deux mois après sa sortie de l'école. Parmi eux, un peu plus des deux tiers ont signé avant même d'avoir obtenu leur diplôme. 44 400 € annuel pour un débutant à l'étranger Côté salaires, la situation est au beau fixe : l'enquête Premier emploi montrent qu'ils continuent de croître alors que la conjoncture économique est morose et qu'ils stagnent ailleurs. En 2008, le niveau moyen de rémunération annuelle des ex étudiants de Telecom ParisTech a ainsi été relevé de 1 000 euros en seulement un an, pour atteindre les 39 800 €, primes comprises. La hausse, cette année, est tirée par les salaires pratiqués dans le conseil - un secteur sous tension - et dans la finance, souvent à l'étranger. En effet, c'est à l'international, que les niveaux de salaires des jeunes atteignent des niveaux inégalés : pas moins de 44 400 € de moyenne annuelle pour un informaticien débutant ! On comprend mieux pourquoi l'international a augmenté sa cote auprès des jeunes de Telecom ParisTech : le pourcentage des diplômés travaillant hors de la France a progressé de 5 points depuis 2007, à 18%. Conseil, systèmes d'information, études et développement[[page]] La répartition entre les familles des métiers qu'ils occupent est, en revanche, plutôt stable et diversifiée depuis deux ans : près d'un tiers des promotions travaillent dans le conseil, dont 15% dans les systèmes d'information. 22% des étudiants de Telecom ParisTech se sont dirigés vers les études et développements informatiques et 17% sont employés dans cette même filière, mais dans l'électronique et les télécoms. Les métiers les moins prisés sont ceux de la recherche et de l'enseignement (1%) et la création d'entreprise (1%), ce qui semble assez naturel pour des profils de juniors. (...)
(22/05/2008 11:42:16)770 informaticiens de la Société Générale travaillent déjà en Inde
Des syndicalistes de la Société Générale s'interrogent sur les conséquences des délocalisations menées depuis quelques années par l'établissement bancaire. Selon le SNB, le syndicat national de la banque affilié à la CFE CGC, la Société Générale a déployé cette stratégie en développant, en Inde, une activité de maintenance informatique qui ne cesse de croître : actuellement 770 salariés interviennent sur le site de la banque à Bangalore. Et ce chiffre pourrait bien augmenter : selon le syndicat, la direction aurait annoncé la continuité du développement des délocalisations. La Commission économique du CCUES (comité central de l'unité économique et sociale) s'inquiète elle aussi d'une externalisation programmée de certaines des activités informatiques de la banque sur ce centre. Réponse de la direction : il s'agit simplement de gérer la croissance de ce secteur en utilisant des compétences locales. La question des diminutions de coûts semble avoir été soigneusement évitée. (...)
(21/05/2008 17:48:19)Indice Apec : en avril, plus de 9 300 offres concernaient les informaticiens
Les offres d'emploi cadre ont une nouvelle fois fortement progressé dans l'informatique, au cours du mois dernier. C'est la tendance relevée par l indice mensuel des offres d'emploi cadre publié aujourd'hui par l'Association pour l'emploi des cadres. Dans le secteur IT, un peu plus de 9 300 offres ont été diffusées sur le site de l'Apec, en avril 2008, soit une hausse de +32%. En tête de peloton , l'informatique de gestion avec pas moins de 5 100 nouvelles offres déposées. La bonne santé du secteur profite également aux spécialistes des systèmes, voix et données : 1 856 offres ont ainsi été diffusées dans cette filière, en hausse de 32% par rapport au mois précédent. Même constat en informatique industrielle, qui, avec plus de 1 200 postes à pourvoir, progresse de plus de 40%. Dans les services techniques (9% des offres) la hausse se poursuit à un niveau particulièrement élevé : + 50% en avril 2008. Cette croissance touche essentiellement deux fonctions : « Maintenance, sécurité » (+ 77% ) et « Méthodes, contrôle, qualité »,(+ 70 %). En Recherche & Développement (14% de l'ensemble des offres), le nombre de postes à pourvoir évolue à un rythme toujours aussi soutenu, passant de + 40% en mars 2008 à + 49% en avril 2008. Les fonctions « Recherche, études techniques » et « Projets, affaires » (9 offres sur 10 en R&D) conduisent cette bonne performance, avec des hausses respectives de +49% et + 51% par rapport à mars 2008, et près de 5 000 nouvelles offres. (...)
(21/05/2008 13:44:06)Feu vert pour la mission e-educ sur l'école numérique
Ambitieux. C'est ainsi que l'on peut sans nul doute qualifier l'imposant rapport de la mission « Educ » sur le développement du numérique à l'école, qui a été remis ce matin par le président du Syntec Informatique, Jean Mounet, à la demande de Xavier Darcos, ministre de l'éducation. Le programme devra passer par l'appel à une mobilisation nationale de grande ampleur, pour développer l'usage du numérique dans les écoles de l'Hexagone. Cinq grandes actions dont la mobilisation du secteur informatique Or, sur cette question, la France est plutôt en retard par rapport à d'autres pays, comme l'a souligné ce matin, le ministre. Les engagements nouveaux de l'Etat pour conduire l'ensemble des écoles et des établissements vers une stratégie numérique sur le long terme passeront donc par cinq grandes actions : il s'agira de bâtir l'école du numérique, d'optimiser l'action conjointe des pouvoirs publics, de conduire et d'accompagner le changement, de stimuler la production des ressources numériques et des services, et de mobiliser les entreprises du secteur informatique dans un partenariat éducatif vers le numérique. [[page]] Un programme national sera lancé sur la période 2008-2014 pour amener l'ensemble des établissements à concevoir et à mettre en oeuvre un projet numérique. Pour assurer la conduite du changement, la formation des enseignants, inspecteurs et chefs d'établissements portera sur les aspects techniques (formation aux outils) et métier (formation aux pratiques pédagogiques incluant les TIC). Pour favoriser le développement des usages du numérique, un cadre national de conduite de changement sera défini dès la rentrée 2008, et un site collaboratif en Web 2.0 sera également lancé. Le rapport prévoit aussi la création d'une plate-forme électronique d'authentification et de présentation des ressources numériques et des usages, le renforcement de l'engagement dans le domaine du logiciel libre, via le soutien au le label SIALLE (service d'information et d'analyse des logiciels libres éducatifs), et le déploiement d'un chèque ressource pour les enseignants. Un observatoire national des TICE sera parallèlement mis en place pour assurer une veille prospective Attirer davantage de jeunes dans les filières informatiques Enfin, pour attirer davantage de jeunes vers les filières informatiques, et favoriser l'égalité des chances, le quatrième volet du programme préconise le recours à un DIF éducation. La mise en place d'une structure projet école/entreprise devra également dynamiser les relations entre écoles, lycées et entreprises du secteur high-tech. Xavier Darcos a insisté sur la mise en oeuvre de cinq propositions à partir de la rentrée prochaine : «Dès septembre 2008, tous les collèges, lycées et écoles devront inclure un volet numérique » dans leur projet. D'ici 2010, ils devront utiliser un cahier de texte électronique, pour mieux informer les familles. Une plate-forme d'identification et de présentation des ressources, des usages et bonnes pratiques sera créée dans le courant de l'année 2008 afin de mieux informer les enseignants sur les ressources disponibles dans leur discipline. Un observatoire national des TIC, et un programme de formation aux TIC et aux projets numériques destiné à l'encadrement, devraient également être opérationnels, à partir de l'année prochaine. (...)
(20/05/2008 18:23:18)Grèves : EDS mobilisé contre les licenciements, IBM, sur les salaires
La journée d'action lancée à l'initiative des syndicats d'EDS France a mobilisé 200 salariés. Chez IBM France, le mouvement, plus massif, a rassemblé 1 500 grévistes. Aujourd'hui 20 mai, des manifestations ont été lancées à l'appel des syndicats chez EDS et IBM France. Pour le premier, il s'agissait d'une mobilisation contre l'absurdité du plan social en cours, annoncé avant même le rachat de la SSII par HP. Des délégations de plusieurs sites de province se sont rassemblés au siège de l'entreprise à Nanterre : au total, la mobilisation a permis de réunir environ 200 salariés grévistes (sur un effectif de 2 000 collaborateurs environ). « La grève de ce jour, à l'appel de tous les syndicats d'EDS France (CFDT, CGC, CFTC, SUD, CGT, FO) est dirigée contre les fermetures de sites et les suppressions d'emplois, rappelle Jean-Paul Garagnon, délégué syndical central Sud Le rachat d'EDS par HP risque, en outre, de se solder par un grand "ménage" dans les activités d'EDS, sans compter des suppressions de poste dès lors qu' HP aura fixé sa nouvelle stratégie. » Un CE a été convoqué aujourd'hui pour examiner le détail du PSE (plan de sauvegarde de l'emploi) d'EDS sur ses trois sites en région, mais, en dépit du mouvement de protestation, il n'a pas été suspendu pour autant. Chez IBM France, la première journée d'action pour les salaires, lancée à l'initiative de l'intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, SNA, UNSA) s'est déroulée avec davantage de succès : plus de 1 500 salariés grévistes (sur un effectif global de 9 600 collaborateurs) se sont rassemblés devant les différents sites français de l'Américain, à Paris, en région parisienne et également en province (à Montpellier, Marseille, Toulouse, Bordeaux, Lille, Lyon, La Gaude, Nantes, Orléans, Strasbourg). La mobilisation a été particulièrement suivie dans la Capitale : plus de 600 manifestants étaient réunis devant le siège social. A Montpellier, près de 400 salariés ont débrayé (dont une dizaine de CDD) devant l'entrée principale du site, tandis qu'à La Gaude, ils étaient près de 200 à manifester. Face à la mobilisation, la direction s'engage sur deux réunions d'information sur les salaires [[page]]Devant l'ampleur de la mobilisation, une délégation intersyndicale a été reçue par la direction des relations sociales. « Nous avons eu confirmation de l'ouverture des négociations salariales le 28 mai, indique Jean-Michel Daire, délégué syndical CFDT d'IBM France. La direction s'est engagée parallèlement à mener les négociations, en annonçant la mise en place d'un calendrier spécifique, constitué de deux réunions d'information sur la question des salaires. » Et le syndicaliste de pointer l'absence de maîtrise de la politique salariale d'IBM France : «les grilles de salaires sont bien en deça des minima conventionnels de la branche, déplore t-il . Les ingénieurs commerciaux, notamment, on vu leur salaires fixes baisser de 7% cette année, alors qu'il avaient été revus à la baisse de 6,5% en 2006. Certains salariés n'ont pas été augmentés depuis six, sept, voire huit ans. Sans compter des salaires qui varient de 1 à 4 sur un même coefficient. » Considérant cette journée d'action comme une première étape, les sept organisations syndicales d'IBM France appellent néanmoins les salariés à rester mobilisés jusqu'à la satisfaction de leurs revendications. (...)
(20/05/2008 13:07:04)Index Freelance : hausse de la demande en spécialistes MVS
Cette semaine, les développeurs Java poursuivent leur ascension au sein du Top 10, en se classant à la 4e place. Freelance relève, en parallèle, une hausse de la demande en spécialistes de MVS, un des OS grands systèmes d'IBM, au détriment des spécialistes d'AIX, l'Unix d'IBM, avec des besoins plutôt tournés vers l'ingénierie.
Côté spécialités, la tendance observée depuis bientôt trois semaines, se confirme. Le trio de tête « langage de programmation », « logiciels de gestion » et « bases de données » reste inchangé. Dans les deux premières spécialités, les profils les plus recherchés sur des missions de courte durée sont les développeurs, les architectes, et les administrateurs.
Oracle, SAP et Unix toujours au top des compétences demandées
Pas d'évolution en revanche pour le peloton de tête du Top 10 des compétences demandées : le palmarès, toujours composé d'Oracle, de SAP et d'Unix, reste stable. Idem pour l'index d'évolution de la rémunération des experts indépendants, basé sur le prix moyen des offres proposées par Freelance.com, qui, lui aussi, est relativement constant, à 475 euros.
Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 563 offres de projets informatiques disponibles au 19 05 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande);
(...)
Un environnement numérique de travail universitaire de 100 000 utilisateurs en PACA
En juillet 2002, le gouvernement Raffarin lance à un appel à projets pour constituer des UNR (Universités Numériques en Régions). Les universités d'Aix-Marseille, Avignon, Nice et Toulon répondent en constituant l'UNR PACA (Université Numérique en Région Provence Alpes Côte d'Azur), qui sera l'une des dix retenues en Octobre 2002. L'objectif est de développer l'usage des TIC dans les universités, la mise en oeuvre d'un ENT (Environnement Numérique de Travail) étant imposée dans ce cadre. « Les universités de la région PACA avaient une vraie volonté politique de mettre en oeuvre de tels services pour leurs étudiants et personnels » indique Isabelle Pouliquen, chef de projet de l'UNR PACA. Le ministère de tutelle avait pré-sélectionné quatre ENT disposant chacun d'un bureau virtuel : ESUP se basait sur des technologies open-source et était soutenu par un consortium universitaire ; Ancora, soutenu par les universités de Lyon et Grenoble, comprenait ContactOffice ; EPPUN (Espace Pédagogique Pour les Universités Numériques), soutenu par Strasbourg, se basait sur des technologies hétérogènes ; et enfin MonteCristo, défendu par l'université de Corse, se basait sur la solution Blackboard. Un partage fin de données accessible par le web « Aucune des quatre solutions n'était alors vraiment mature, toutes étant encore en plein développement » se souvient Isabelle Pouliquen. Après une étude de chacune des quatre solutions, l'UNR PACA choisit le bureau virtuel ContactOffice, et l'appliance IronPort pour la gestion des courriels. Isabelle Pouliquen justifie le choix fait : « dès cette époque, Contact Office était opérationnel pour la mise en place d'un véritable bureau virtuel accessible par le web comprenant, pour chaque compte, un agenda, un stockage de documents et une gestion des contacts, le tout avec des fonctions de partage entre personnes ou au sein de groupes (comme une promotion d'étudiants), avec gestion fine des droits (lecture, ajout, modification, suppression...). Même aujourd'hui, il n'existe pas d'autre solution aussi performante. ». Il ne s'agit cependant pas d'un outil bureautique en ligne (comme les GoogleApps ou Zimbra). [[page]] Les universités de la région PACA utilisant le système ont mis en oeuvre une seule plate-forme construite autour de serveurs IBM et la distribution Linux de Red-Hat. ContactOffice gère son frontal web, sa propre base de données (orientée objet) intégrée comportant une gestion de pointeurs et une indexation (sur un serveur dédié). mais les documents partagés eux-mêmes sont stockés sur un SAN IBM, avec un serveur de sauvegarde distante IBM disposant d'une bandothèque. Les courriels sont, eux, traités par une appliance IronPort. Le coût global du projet sur trois ans est estimé à 500 000 euros. Parmi lesquels, une redevance annuelle d'un euro par utilisateur pour les licences ContactOffice auquel s'ajoute la même somme pour les licences Anti-Spam/Anti-Virus, la Région prenant en charge ces derniers coûts récurrents pour les étudiants. L'environnement numérique de travail de l'UNR PACA est autant destiné aux personnels administratifs qu'aux enseignants et aux étudiants. « Cela permet, par exemple, aux enseignants de mettre à disposition leurs documents pédagogiques à un groupe d'étudiants créé aisément par une procédure programmée, comme par exemple pour une promotion entière » signale Isabelle Pouliquen. Sur les 100 000 comptes créés, environ 70 000 sont effectivement actifs à ce jour, tous les étudiants n'étant pas encore des utilisateurs. Pour l'Université Paul Cézanne, tous les nouveaux étudiants bénéficient de douze heures de formation, six en présenciel et six à distance, sur l'ensemble des outils numériques mis à disposition par les universités, dont trois heures sur l'ENT. Côté personnels administratifs et enseignants, l'université dispense deux sessions de formation de trois heures (niveau débutant et niveau avancé). (...)
(16/05/2008 17:58:06)Waliitech ouvre un salon virtuel de recrutement IT
A l'heure où le marché de l'emploi informatique est relativement concurrentiel, les approches classiques ne suffisent plus pour attirer d'éventuels candidats. Face à ce constat, Waliitech, un site d'emploi spécialisé IT, a eu l'idée d'organiser, le 5 juin prochain, un salon de recrutement virtuel exclusivement réservé aux informaticiens. Inutile donc, de se déplacer pour participer à l'événement : candidats et recruteurs de la high tech pourront dialoguer en direct et en vidéo. Pour participer, il suffit de s'inscrire en tant que candidat sur le site www.waliitech.com. Aucune installation de logiciel n'est nécessaire. Le jour du salon, les informaticiens qui souhaitent postuler à une offre n'auront qu'à se connecter sur le site avec une webcam, un micro et un casque. Ils pourront alors se diriger vers le stand virtuel d'une entreprise participante, et leur tour venu, passer un entretien en privé avec un recruteur. Entre 1 000 et 1 500 visiteurs sont attendus lors de ce salon virtuel qui rassemblera des SSII, parmi lesquelles Sopra Group ou Synchrone Technologies. La participation à cet évènement est gratuite pour les candidats. (...)
(16/05/2008 12:45:35)Indice Keljob.com : en avril, près de 82 000 offres concernaient l'informatique et les télécoms
Depuis décembre 2007, l'indice de mesure des offres diffusées sur Internet publié par le site d'emploi Keljob.com ne cesse de croître : gagnant 79 points supplémentaires. Il a ainsi augmenté de 27% en seulement quatre mois. Du coup, le volume des offres d'emploi publiées sur la Toile a progressé dans l'ensemble des filières professionnelles étudiées par le spécialiste de l'emploi. Bien qu'en léger recul, la fonction informatique et télécoms maintient sa première place sur le marché de l'emploi en ligne, avec 16,3% des offres : en avril dernier, un peu plus de 81 800 postes concernaient les informaticiens et les spécialistes télécoms. En toute logique, le volume des offres déposées sur les sites d'emplois spécialisés a progressé de 11%, au cours du mois précédent. (...)
(15/05/2008 17:25:04)2 000 salariés grévistes chez Capgemini, selon les syndicats
Chez Capgemini, la question de la baisse du pouvoir d'achat fâche toujours. Pour la troisième fois de l'année, les délégués syndicaux de la SSII ont appelé à une journée de grève générale, aujourd'hui jeudi 15 mai. S'il est encore un peu tôt pour connaître l'ampleur du mouvement, à l'échelle nationale, plusieurs centaines de grévistes ont déjà été comptabilisés sur certains sites de Capgemini en région : « Sur 160 salariés, une centaine sont déjà mobilisés à Clermont-Ferrand, et entre 220 et 250 salariés débrayent à Grenoble, a indiqué ce matin Bruno Guinois, secrétaire général du syndicat Lien-Unsa à Lyon. A Toulouse, le mouvement a rassemblé 200 personnes (sur 600), tandis qu'à Montpellier, ils étaient environ 80 grévistes (sur un effectif de 250 salariés). » En revanche à Lyon, la participation semblait assez faible -une quinzaine de manifestants seulement sur un effectif de 400 personnes- en raison du nombre élevé de cadres dirigeants et d'une majorité de jeunes administratifs qui, en dépit de leurs bas salaires, hésitent à se mobiliser par peur d'éventuelles sanctions. Les syndicats tablent sur 2 000 grévistes Dans l'après-midi, Yvan Béraud, secrétaire national du syndicat F3C CFDT, a relevé, pour sa part, la mobilisation d'un millier de salariés à Paris La Défense, Nantes, Rennes, Grenoble, Toulouse, Brest, et Clermont-Ferrand. [[page]] « Au total, en additionnant les salariés qui nous ont fait savoir par mail qu'ils cessaient le travail sans être présents dans les rassemblements, c'est probablement 2 000 grévistes qui seront comptabilisés », pressent-il. Rappelons que les syndicats avaient décidé d'appeler les salariés du groupe à poursuivre leur action après le refus de la direction de prendre en compte leurs revendications présentées lors des mouvements de grève des 28 mars et 1er avril 2008. La CFDT estime que les mesures correctives proposées par la direction, comme l'augmentation de 0,60 € sur le ticket restaurant ou l'application du barème des remboursements des indemnités kilométriques, calqué sur celui du fisc 2007, ne répond pas à ses attentes. Côté salaire, elle qualifie les avancées de Capgemini de minimes et signale que la direction a été contrainte, pour que le paquet cadeau ne paraisse pas trop ridicule, d'évoquer la participation. (...)
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