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Carrière

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(29/05/2008 16:55:41)
Chez IBM, les salaires mobilisent de nouveau
La perte du pouvoir d'achat continue de mobiliser dans le secteur informatique. Chez IBM, l'intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, SNA, UNSA) a appelé à une nouvelle action pour obtenir le retour des augmentations générales: le mouvement a eu lieu aujourd'hui, jeudi 28 mai, au moment de l'ouverture des négociations salariales par la direction. Et il ne s'est pas essoufflé, aux dires des syndicats : environ 1 500 salariés grévistes (sur un effectif global de 9 600 collaborateurs) se sont rassemblés devant les différents sites de l'Américain à Paris, en région parisienne et en province,à Montpellier Marseille, Toulouse, Bordeaux, Lille, Lyon, La Gaude, Nantes, Orléans, et Strasbourg. La direction sommée de fournir des informations En région parisienne, près de 300 salariés se sont d'abord réunis devant l'immeuble Jupiter de Noisy-le-Grand, où se déroulaient les négociations annuelles obligatoires (NAO) de 2008 sur les salaires. Puis ils ont décidé d'investir la salle de négociation pour soutenir leurs revendications. « La direction a pris acte du mécontentement du personnel, sans pour autant formuler de proposition concrète, déplore Gérard Chameau, délégué syndical CFDT. Mais elle s'est fermement opposée au principe des augmentations générales.» En réaction, l'intersyndicale d'IBM a décidé de faire pression sur la direction de l'entreprise. Dans un courrier daté d'aujourd'hui, elle somme Daniel Chaffraix, directeur général d'IBM France, de lui faire parvenir un certain nombre de données dans les huit prochains jours : un dossier complet sur les salaires, l'élaboration d'un calendrier des négociations incluant les réunions préparatoires. L'occasion de rappeler les revendications formulées par les salariés et présentées en séance : le retour des augmentation générales et un rattrapage de la perte du pouvoir d'achat accumulée depuis plusieurs années, notamment. S'ils n'obtiennent pas satisfaction, les syndicats appelleront les salariés d'IBM à cesser le travail dans les prochains jours. (...)
(29/05/2008 15:10:32)La CGE veut renforcer l'emploi des docteurs
Aujourd'hui, le «docteur» est peu reconnu, surtout dans les services informatiques. « En dehors de la sphère très réduite de la recherche publique ou privée, pour nombre de dirigeants d'entreprises, le parcours du doctorant est perçu comme la poursuite des cinq premières années universitaires, souvent associé à une réticence à entrer dans le monde réel », indiquait récemment l'Opiiec, observatoire paritaire du secteur SSII. La Conférence des Grandes Ecoles d'ingénieurs (CGE) et l'association Bernard Gregory (ABG - organisme militant pour l'insertion professionnelle en entreprise des jeunes titulaires d'un doctorat) ont décidé de changer la donne, en signant une convention de coopération qui renforcera l'emploi et la formation des docteurs et post-doctorants. L'idée consiste à développer la communication avec les milieux économiques pour promouvoir les métiers de la recherche. Les laboratoires s'engageront à communiquer sur la filière, en publiant des données sur le parcours de leurs jeunes docteurs. La convention prévoit aussi d'étendre les échanges de données, publications et expériences pédagogiques, au sein de la filière R & D. Des actions seront également mises en oeuvre pour concevoir et définir des contenus de formation, de manière à favoriser l'insertion professionnelle sur l'ensemble de la durée de la thèse ou durant le post-doctorat. Figurent également au programme des rencontres entre doctorants et professionnels de la recherche, et des enquêtes sur les trajectoires des docteurs et doctorants. (...)
(28/05/2008 17:23:33)Computacenter renouvelle ses recrutements
200 recrutements en 2007, 300 en 2008. Comme une bonne partie de la profession, Computacenter met les bouchées doubles en matière de recrutement. La société compte en France 1 100 salariés. En deux ans, elle aura augmenté ses effectifs de 50%. Du coup, elle aussi doit utiliser différents canaux pour réaliser ses embauches: mardi prochain 3 juin, elle participe au « salon européen de l'ingénieur » organisé par l'Apec. Le principe est de prendre des rendez-vous à l'avance sur des listes de candidats fournies par l'Apec, chaque entretien devant durer une demi-heure, pas plus. Spécialisée en distribution, intégration et infogérance, Computacenter recherche les profils suivants : 30 chefs de projet, 10 archivistes, 10 services manager, 10 service delivery, 10 ingénieurs systèmes, 20 ingénieurs d'affaires, 20 responsables de comptes. (...)
(28/05/2008 16:13:55)Packard Bell supprime 122 emplois a Angers
Le fabricant d'ordinateurs Packard Bell (groupe Acer) s'apprête à supprimer plus d'une centaine de postes sur un total de 319 salariés que compte son site d'Angers. Selon la CFDT, l'information a été annoncée lors d'un comité d'entreprise exceptionnel le 22 mai dernier. Ce plan intervient au moment où Acer, le nouveau propriétaire de Packard Bell, s'apprête à déplacer une partie des ses activités sur le site angevin : «Nous avons appris que le groupe Acer comptait transférer les équipes de son centre de SAV de Roissy vers Angers, s'inquiète Michel Bouyer, secrétaire de la CFDT métallurgie et responsable de la filière informatique pour l'ensemble du département du Maine et Loire. » Une opération qui pourrait expliquer les suppressions de postes sur le site angevin. La direction de Packard Bell n'a pu être jointe pour commenter cette information. Il y a deux ans, le groupe avait déjà supprimé allégé ses effectifs à Angers d'environ 200 postes dans le cadre d'un plan d'externalisation de sa production. Depuis, plus aucun PC n'y est produit mais Angers conserve des activités d'ingénierie, d'achats, de logistique et d'après-vente. (...)
(28/05/2008 12:56:04)Dell milite pour l'insertion des handicapés
Dell annonce la signature en France d'un accord d'entreprise en faveur de l'emploi des personnes handicapées. Une initiative plus que louable même si elle arrive après l'annonce d'un imposant plan social de quelques 9 000 suppressions de postes, L'accord d'entreprise Handicap de Dell prévoit - sur une période de trois ans - la mise en place d'actions concrètes à destination des collaborateurs handicapés de Dell, mais aussi de personnes extérieures à l'entreprise : une trentaine de personnes handicapées seront d'abord embauchées par le constructeur qui s'engage à les former de manière personnalisée et additionnelle. Chaque handicapé recruté sera par ailleurs encadré par un tuteur. Une prime sera également accordée à ceux qui effectuent des démarches de reconnaissance de leur statut. Des actions pour les handicapés n'appartenant pas à l'entreprise Le constructeur a également revu l'aménagement des conditions de travail des handicapés, en facilitant l'accès à certains sites. A Montpellier, notamment, des cellules photoélectriques ont été installées pour l'ouverture automatique des portes. Parmi les autres mesures, le texan a annoncé sa participation systématique aux forums d'emplois dédiés. Ses offres d'emploi seront, en outre, diffusées sur des sites spécialisés, comme Handicap.fr. Dell s'est par ailleurs engagée à financer l'équipement d'associations telles que l'AFIJ (Association pour faciliter l'insertion professionnelle des jeunes diplômés). Des formations gratuites en bureautique et en anglais, de même que des aides à la rédaction de CV et à la préparation d'entretien seront aussi proposées aux personnes handicapées externes à l'entreprise par le biais de partenaires et d'associations. D'après le constructeur, a ce jour, une centaine de travailleurs handicapés ont déjà bénéficié de ces formations. (...)
(28/05/2008 10:13:58)Même Capgemini doit réinventer ses méthodes de recrutement
Capgemini Ouest, filiale grand-ouest du groupe Capgemini a recruté 450 personnes en 2007 et s'apprête à un minimum de 350 recrutements sur l'année en cours. Cette filiale a la hauteur de la taille du groupe avec 150 millions d'euros de chiffre d'affaires et 1 450 collaborateurs. Elle est active sur le conseil en management des systèmes d'information et les prestations informatiques. Un domaine large, qui nécessite le recours de trois profils principaux : des architectes, des directeurs de projets, des consultants fonctionnels Capgemini Ouest utilise plusieurs modes de recrutement. La cooptation par exemple, avec parrainage par les collaborateurs de membres de leurs familles ou de leurs « réseaux ». Des soirées de cooptation sont organisées par la SSII en juin à Nantes, Rennes et Bordeaux. Plus classiquement, le système des stages de jeunes futurs diplômés fournit 20% des recrutements avec 60 à 80 stagiaires par an. L'essentiel, 80% des recrutements vient d'annonces passées sur les sites du groupe ou chez des spécialistes du recrutement en ligne. [[page]] La multiplication des initiatives s'explique. « La tension est quasi permanente sur le marché de l'emploi », analyse Patrick Bemmert, directeur exécutif de la SSII, « car les jeunes qui sortent des grandes écoles ont le choix ». Comme ses consoeurs et bien qu'un des leaders de ce marché, le groupe est confronté à la concurrence pour ne pas dire à la surenchère, en particulier de la part du secteur financier. D'autres interlocuteurs évoquent une concurrence sur les recrutements non seulement entre SSII mais entre elles et leurs clients. Tout le secteur est perturbé et cherche des solutions. La profession doit également raisonner sur le long terme pour garder ses talents. « Nous devons procéder à une refonte de la cartographie de nos compétences en permanence » relève Patrick Bemmert «et tenir une réflexion à long terme sur l'évolution de nos métiers et leur attractivité ». Lundi dernier, pour parvenir à ces 350 recrutements, la filiale grand ouset a utilisé un procédé original : distribuer des cartes postales dans le TGV. Des cartes comportent une liste de postes à pourvoir et un numéro de téléphone permettant d'appeler Cap et de recevoir en retour une proposition de contact par SMS. Des cartes dont le format permet de les glisser dans un portefeuille ou dans une mallette pour se rappeler ensuite les coordonnées et le n° de téléphone mentionné. L'objectif est double, recruter évidemment mais aussi donner une image innovante de Capgemini. La SSII compte toucher les candidats potentiels aussi bien que ses clients ou futurs clients. Au passage, la société va diminuer ses coûts de recrutement. L'opération se déroule sur une semaine et sur sept lignes de TGV desservant le grand ouest au départ de Paris. (...)
(27/05/2008 18:19:46)Les chercheurs mobilisés en force pour le CNRS
La pluie battante qui sévit actuellement sur l'Hexagone n'aura pas eu de conséquences sur l'ampleur de la mobilisation de la communauté scientifique. Dans la capitale, ils étaient entre 3 000 (selon la police ) et 5 000 chercheurs (selon SLR - Sauvons la recherche ) à participer à la marche de tous les savoirs organisée par les associations SLR, SLU (Sauvons l'Université) et les principaux syndicats de la recherche et de l'enseignement supérieur. Le mouvement organisé en réaction à l'annonce des grandes lignes de la réforme du CNRS par la ministre de la Recherche Valérie Pécresse, a également rassemblé de nombreux chercheurs en région : ils étaient 600 à Toulouse, 500 à Marseille, 400 à Bordeaux et à Montpellier. Le syndicat SNTRS-CGT se félicite du succès de la mobilisation. « Le mouvement est comparable à celui de 2004, année marquée par des suppressions de postes et des gels de budget, signale Daniel Steinmetz, délégué syndical de la SNTRS-CGT. Les chercheurs sont inquiets pour leur avenir et s'attendent à des dégradations de leurs conditions de travail : d'ici trois ou quatre ans, l'ANR (Agence nationale de la recherche) préconise notamment l'emploi de 70 % de contrats en CDD ». Un message qui paraît insoutenable aux yeux des jeunes docteurs et de l'ensemble de la communauté scientifique, au regard du nombre élevé de manifestants. (...)
(27/05/2008 11:50:24)Index Freelance : les spécialistes de .Net reviennent au top 10
Après avoir occupé la tête du palmarès pendant quatre semaines, les spécialistes d'Oracle reculent très légèrement à la deuxième place du top 10, derrière les compétences Unix. Sur cette spécialité, les besoins des recruteurs s'orientent principalement vers des ingénieurs et des administrateurs.
Autre fait notable : le retour, en bas du classement, des spécialistes des environnements Microsoft .Net.
Les experts des logiciels de gestion (SAP essentiellement, mais aussi Oracle, Cognos ou encore Siebel) reprennent la tête du palmarès des spécialités les plus demandées sur des missions ponctuelles, devant les développeurs (Java, J2EE, PHP ou Ms Visual Basic ).
Enfin, l'index d'évolution de la rémunération des experts indépendants, basé sur le prix moyen des offres proposées par Freelance.com, reste stable depuis maintenant plusieurs semaines, à 475 €..
Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 514 offres de projets informatiques disponibles au 26 05 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande);
(...)
En 2008, Bull recrute plus d'un millier d'informaticiens
Bull a prévu de recruter entre 1 000 et 1 200 personnes sur toute l'année 2008. Il devrait déjà avoir rempli 50% de son objectif à ce jour, puisqu'il avait déjà embauché 500 personnes (dont 270 en France) fin avril. « Ces recrutements ont pour but de gérer notre croissance dans les services, en particulier dans l'intégration de système, explique Patrick Semtob, directeur général de Bull en charge des ressources humaines. Les services ont représenté 38% de notre activité en 2007 et nous visons 50% d'ici un ou deux ans. » Chez Bull, les campagnes de recrutement ont repris l'an dernier après une période de 6 ou 7 années « sans ». Sur le millier de postes proposés, au moins 500 concernent la France. La moitié seront situés en Ile de France et l'autre en province, principalement à Marseille, Bordeaux, Lyon, Grenoble, Montpellier, Nantes, Angers, Strasbourg. Les offres d'emploi pour l'étranger concernent surtout le Brésil, le Maroc, la Pologne, l'Espagne, le Royaume-Uni et l'Allemagne. Le Maroc pour les télécoms et l'e-gouvernement, la Pologne pour les télécoms, mais aussi la Chine pour les systèmes douaniers sont des pays de offshore pour Bull. Des experts pour de grands projets hautement technologiques Les postes à pourvoir concernent des ingénieurs en développement et conception pour le décisionnel, des développeurs J2EE, des consultants ERP sur SAP, Peoplesoft ou HR Access par exemple. « Nous recherchons aussi beaucoup de consultants en télécoms, ajoute Patrick Semtob. Si notre croissance dans les services est de 15%, elle est de 60% dans les télécoms. » Bull recherche également des architectes des nouvelles technologies, des experts en infrastructure, mais aussi des directeurs de projets spécialistes. Il faut dire que ce sont de grands chantiers et d'autres de taille moyenne, tous très sophistiqués, qui conduisent le Français à lancer cette campagne d'embauches. « Depuis l'an dernier, Bull emporte de nouveau beaucoup de grands projets, » explique justement Patrick Semtob, avant d'égrener une série d'exemples. Outre le supercalculateur du CEA et la refonte de l'infrastructure informatique du Ministère des finances, Bull affiche ainsi quelques belles réussites hors de nos frontières. Il a été choisi pour le système décisionnel de l'aide sociale Medicaid en Californie (après avoir gagné 6 autres états américains sur le même sujet), un système de reconnaissance automatique du courrier en Australie, le contrôle d'accès à l'ensemble du système informatique d'une entreprise allemande de 87 000 employés. Deux tiers de débutants et d'informaticiens avec une première expérience [[page]]Les deux tiers des embauches concerneront des débutants ou des informaticiens avec une première expérience. Les plus expérimentés seront appelés sur les postes de management de projet, mais aussi pour le décisionnel, les télécoms et l'expertise en infrastructure. Bull recherche des Bac+5 en informatique, issus aussi bien des universités que des grandes écoles. Plus que le diplôme, ce sont la personnalité du candidat et son potentiel qui importent. « Nous recrutons aussi pour l'avenir, » insiste Patrick Semtob. Les recrutements s'opèrent plutôt par le biais de contacts avec les écoles, et par cooptation. Bull utilise aussi beaucoup les stages et l'apprentissage pour les préembauches. « Nous pensions souffrir sur tous ces recrutements, comme le reste de la profession, note Patrick Semtob, mais finalement, cela a été moins difficile que prévu. Le niveau technologique élevé de Bull et des projets en cours attire visiblement les candidats. Il faut savoir qu'en tant que société de service nous avons un taux très faible de 6% de démissions. En général, pour les recrutements, il nous faut juste repréciser quels sont nos métiers. » L'autre attrait de Bull réside dans son envergure internationale, puisqu'il travaille dans le monde entier. Il gagne d'ailleurs de plus en plus de contrats pour lesquels plusieurs nationalités doivent se côtoyer. (...)
(26/05/2008 16:39:23)Une chaire de Business Intelligence à l'Ecole Centrale de Paris
L'éditeur Business Objects, spécialiste de l'informatique décisionnelle, s'est associé à l'Ecole Centrale de Paris pour créer une chaire de Business Intelligence. C'est un ancien de l'Ecole Centrale Paris, Hervé Couturier, aujourd'hui vice président produits pour l'éditeur français (racheté par SAP en 2007), qui est à l'origine de cette initiative. La chaire va s'appuyer sur les équipes de recherche et développement de Business Objects et sur l'ARC (Academic research center), créé par l'éditeur l'an dernier pour développer des contacts avec les centres de recherche académiques dans le monde. Elle profitera par ailleurs des compétences du laboratoire de Mathématiques Appliquées aux Systèmes de l'Ecole Centrale Paris. Avec cette chaire, l'éditeur cherche à susciter l'intérêt des étudiants pour les métiers et les technologies de l'informatique décisionnelle et à « transférer l'innovation issue du milieu universitaire vers les produits de Business Objects », précise-t-il dans un communiqué. Couvrir un spectre très large de la Business Intelligence « L'objectif de cette chaire de recherche et d'enseignement est de mener une recherche de haut niveau international, qui se traduira à court et moyen terme par des publications et le dépôt de plusieurs brevets, le but étant de développer des solutions innovantes pour l'entreprise, explique Frédéric Magoulès, co-directeur de la chaire de Business Intelligence à l'Ecole Centrale Paris. Dans le mois qui vient, un professeur et un maître de conférence vont être recrutés. La chaire devrait débuter le 1er septembre et une leçon inaugurale est prévue à l'automne 2008. » Frédéric Magoulès précise que l'enseignement associé à cette chaire sera dispensé aussi bien dans le tronc commun de l'école que dans les options, les filières spécialisées et dans le cadre de projets d'études. « Les étudiants bénéficieront d'un enseignement de pointe et d'un environnement d'accueil dans la chaire, l'objectif étant de couvrir un spectre très large de la Business Intelligence incluant la modélisation, le data-mining, l'interprétation des données, la visualisation de bases de données de très grande dimension, la modélisation de profils de comportement... » (...)
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