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Carrière
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(15/05/2008 11:06:35)
Licenciements chez EDS : le CEO rassure ses troupes, il restera
Dans un mémo interne parvenu à la rédaction, Ron Rittenmeyer, le PDG d'EDS, explique à ses collaborateurs qu'il restera à son poste même après la finalisation du rachat par HP. Il écrit : « HP instaurera une nouvelle entité commerciale, intitulée EDS, une société HP. Ce qui est important, c'est qu'EDS conservera la marque que vous avez contribué à bâtir et pour laquelle vous avez travaillé si dur ces 45 dernières années. Le siège demeurera à Plano, et je prévois de rester PDG [NDLR, en VO : chairman, president and CEO] de cette nouvelle entité. » Ron Rittenmeyer admet dans le mémo que beaucoup de questions restent sans réponse. En premier lieu, un important plan de licenciement a été implicitement admis par les patrons d'EDS et de HP, Ron Rittenmeyer et Mark Hurd. (...)
(14/05/2008 18:43:55)HP-EDS : les PDG évoquent déjà d'éventuels licenciements
Mark Hurd et Ronald Rittenmeyer, PDG respectifs d'HP et d'EDS ont tous deux laissé entendre que des suppressions de postes risquent bien découler de l'une des plus grosses acquisitions de l'année, sans pour autant entrer dans le détail. Le rachat d'EDS (137 000 salariés) par HP (172 000 employés au total) se soldera t-il par des suppressions de postes, dans les mois à venir ? Cela semble inévitable, en dépit du flou qui règne actuellement sur le sujet. En effet, ni Ronald Rittenmeyer, le PDG d'EDS, ni Mark Hurd, PDG d'HP, n'ont été en mesure d'apporter des informations claires et précises sur le sort de leurs salariés. Le second a déclaré que « les salariés d'EDS pourraient profiter des opportunités créées par cette acquisition sur de nouveaux segments et bénéficier de la compétitivité d'HP sur les marchés existants. » De son côté, le patron d'EDS a indiqué que le chevauchement des bases clients des deux entreprises n'était « pas très étendu», avant d'ajouter néanmoins que la SSII poursuivrait la « rationalisation de ses équipes. » Sans préciser davantage ce qu'il entendait exactement par « rationalisation ». EDS a déjà déplacé une bonne partie de ses activités en dehors des Etats-Unis, dans le cadre de sa stratégie autour des services d'externalisation. Actuellement, il ne compte plus que quelque 47 000 salariés dans son pays. En cause, la consolidation des datacenters Ronald Rittenmeyer a aussi reconnu que l'automatisation des datacenters pourraient jouer un rôle non négligeable dans les décisions concernant les équipes. Mark Hurd considère cette pratique comme essentielle et HP a déjà consolidé ses datacenters au sein de six installations en tout et pour tout, avec des capacités accrues d'administration à distance. Selon Mark Hurd, il s'agit d'un meilleur moyen que le offshore pour réduire les coûts tout en augmentant la qualité. Et le PDG d'EDS d'ajouter « Nous allons continuer dans ce sens. Ce type d'automatisation est une évolution naturelle et il y a forcément des ajustements au niveau des emplois. » (...)
(14/05/2008 12:16:58)Index Monster : toujours plus d'offres d'emploi en R&D
En avril, l'index de l'emploi publié par le spécialiste de la gestion de carrière en ligne Monster pour identifier les tendances du recrutement en ligne, n'a progressé que d'un point, à 161. En revanche, cette reprise très modérée de l'emploi en ligne ne concerne pas les informaticiens, et encore moins les chercheurs. C'est en effet dans le domaine de la recherche et le développement que la dynamique reste la plus soutenue. Dans ce secteur, le volume des offres d'emploi a atteint le taux de croissance le plus élevé au cours des douze derniers mois, avec un index particulièrement élevé en avril, à 192 points. Dans l'informatique, l'activité de recrutement en ligne s'est poursuivie au cours du mois dernier, mais de façon nettement plus modeste : dans cette catégorie, l'indice progresse de cinq points, pour atteindre les 118. Selon Monster, la plupart des régions ont observé une croissance soutenue du nombre de postes à pourvoir sur Internet, à l'exception toutefois de la région Ouest, dont la quantité d'offres est plutôt revue à la baisse. Le Nord est la région qui affiche la plus forte progression du volume des offres, sur les douze derniers mois, devant l'Ile-de-France. En région parisienne, l'index a gagné deux points, grâce à une hausse de la demande des recruteurs dans le conseil, le management, et les télécommunications, et ce pour le troisième mois consécutif. (...)
(13/05/2008 18:35:42)SAP renforce son offre de formation pour aider les entreprises à recruter
La pénurie de compétences qui s'installe sur certains profils conduit SAP à renforcer ses actions dans le secteur de la formation. L'éditeur de progiciels de gestion vient d'annoncer une série de mesures qui devraient aider les entreprises à recruter les profils dont elles auront besoin dans un avenir plus ou moins proche. Cette annonce fait suite à la publication d'une étude internationale publiée par The Economist Intelligence Unit qui montre une augmentation des besoins en cadres dirigeants de la high-tech (CEO, CIO, CFO, etc.), à la fois dans l'immédiat et sur le long terme : près de mille cadres dirigeants devraient ainsi manquer à l'appel dans des zones émergentes comme le Brésil, l'Inde, la Chine et la Russie, mais également dans des pays tels que la France, l'Allemagne, le Japon, le Royaume-Uni ou les Etats-Unis. Pour pallier au futur manque de compétences, l'éditeur a d'abord choisi de renforcer la SAP University Alliances, un programme de partenariat avec les universités et écoles qui donne à ces dernières accès aux solutions SAP et aux meilleures pratiques de gestion. Ce réseau de 900 collèges et universités d'une trentaine de pays assure la formation de quelque 150 000 étudiants et jeunes diplômés aux nouvelles technologies SAP et à la gestion des processus métiers : des programmes de certification ERP incluant une kyrielle d'applications métiers, plus facilement abordables et accessibles, seront proposés aux Etats-Unis, au Canada et en Amérique Latine, d'ici la fin de l'année. L'éditeur a également annoncé des formations supplémentaires sur les architectures orientées services, l'informatique décisionnelle et la gestion de la chaîne logistique, pour former de nouveaux talents et répondre à la demande croissante des entreprises sur ce type de profils. (...)
(13/05/2008 14:34:36)Index Freelance.com : les spécialistes d'Oracle en tête du top 10
Depuis le début du mois de mai, les besoins des recruteurs s'orientent davantage vers les spécialistes d'Oracle. Ces derniers occupent désormais la première place du top 10 des compétences les plus demandées sur des missions de courte durée et il s'agit tout autant de développeurs que d'administrateurs ou de consultants. Les compétences Unix reculent, pour leur part, au deuxième rang, après être restées en tête pendant plusieurs mois consécutifs.
Elles devancent les profils SAP qui progressent, quant à eux, à la troisième place du classement. A noter également, la remontée significative des spécialistes de Business Objects, passant de la dixième à la sixième place du top 10.
Freelance relève parallèlement la sortie des développeurs Cobol au profit des professionnels du système d'exploitation AIX et du langage HTML, qui arrivent respectivement à la dixième et à la neuvième places du palmarès.
Du côté des spécialités les plus demandées, les développeurs (appelés par Freelance.com 'spécialistes des langages de programmation') restent en tête, devant les professionnels des logiciels de gestion et des bases de données. Ces trois catégories sont presque à égalité et représentent à elles seules plus de 60% des besoins des recruteurs.
Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 587 offres de projets informatiques disponibles au 12 mai 2008. (pondération par rapport à l'importance de la demande)
(...)
Peu de chance d'attirer les talents en Inde pour 320 euros par mois
[mise à jour] L'offre d'emploi défraie la chronique depuis deux jours. Publiée le 23 avril sur le site de l'ANPE, elle propose un poste d'informaticien à pourvoir à Pondichery, ancien comptoir français en Inde. Le recruteur recherche un développeur Java pour un contrat à durée indéterminée. Si les débutants, titulaires d'un BTS ou d'un DUT informatique, sont acceptés, on leur demande d'avoir d'« Excellentes connaissances de Java et C++, Visual Interface et DLL dans l'environnement Microsoft (98 et Vista) ». Là où le bât blesse, c'est que le candidat se voit offrir un contrat de droit local. Le salaire indicatif oscille entre 10 000 et 20 000 roupies par mois, soit 160 à 320 euros mensuels pour 40 heures hebdomadaires. En France, les salaires pour ces postes démarrent à 25 000 euros (voir notre « Enquête salaires 2008 » tout juste publié). Plus encore, ce qui a soulevé l'indignation des syndicats français, c'est la mention « Protection sociale et avantages à négocier » qui figure sur cette petite annonce. Cette dernière émanerait, selon France Inter, d'une Web agency française qui se serait cassé les dents dans l'Hexagone et souhaiterait se relancer en Inde (alors qu'il est indiqué sur le site de l'ANPE que l'entreprise compte plus de 5 000 salariés). Un informaticien formé en France ne partira pas dans ces conditions « Il y a longtemps que plus personne ne va en Inde en se limitant à des critères de coût », considère Laurent Py, PDG de Leirios, éditeur d'une solution d'industrialisation des tests logiciels interrogé par www.lemondeinformatique.fr. Leirios a justement lancé un projet d'implantation sur le sous-continent indien avec l'assistance de la société Qualitree. [[page]]« Les entreprises qui s'installent en Inde y vont plutôt pour rechercher des compétences. On y trouve une main d'oeuvre qualifiée et mature. » Le dirigeant français souligne que les salaires y ont progressé. Il note une inflation de 15 à 30% sur ceux des consultants seniors. « Le plus difficile sur place, c'est le recrutement, estime le fondateur de Leirios. Il y a désormais une vraie pénurie de compétences. Les ressources humaines constituent le point clé qui fait qu'une société allant là-bas réussit ou échoue : il y a une vraie lutte pour attirer les talents. » Et si Leirios envoie un collaborateur français dans sa filiale indienne, celui-ci partira avec un statut d'expatrié. Laurent Py note que si les 20 000 roupies proposées dans l'offre relayée par l'ANPE correspondent à un salaire de junior (les seniors sont rétribués de 40 000 à 80 000 roupies), les recrues risquent de partir au bout d'un an si on ne leur octroie pas 40% d'augmentation. Montrée du doigt, l'ANPE s'était défendue en expliquant que l'offre pouvait intéresser un candidat à l'expatriation. Laurent Py n'y croit guère. « Les chances de succès de recruter des collaborateurs de cette façon-là sont voisines de zéro, conclut-il. Un Français ne partira pas dans ces conditions, un informaticien indien ayant été formé en France non plus. » [mise à jour] 300 euros par mois pour tester la qualité logicielle Autre éditeur français implanté en Inde, GeoConcept, spécialiste de la cartographie décisionnelle, emploie neuf personnes à Chennai, dans l'Est du pays.[[page]] Les rémunérations de ces employés (quatre testeurs et cinq développeurs) s'échelonnent entre 300 euros et 730 euros mensuels, suivant les fonctions occupées. Le salaire des personnes chargées de tester la qualité logicielle est moins élevé que celui des développeurs. Par comparaison, la rémunération (160 à 320 euros) proposée sur le site de l'ANPE pour un poste de développeur Java se situe visiblement au-dessous de ce qui est proposé pour cette fonction sur le marché indien. Interrogé sur la mention « Protection sociale à négocier » de l'annonce incriminée, Eric Lanzi, président de GeoConcept, confirme que les assurances ne sont pas obligatoires en Inde. Mais pour le dirigeant, qui affiche son ambition de conserver à long terme ses salariés indiens (recrutés il y a un an et demi), « la protection sociale fait partie des éléments essentiels à leur offrir ». Cette année, l'éditeur français devrait par ailleurs proposer en moyenne des augmentations de salaire allant de 10 à 15% pour conserver ces collaborateurs qu'il a formés à ses produits. (...)
(05/05/2008 11:38:16)Télécom Bretagne organise une randonnée du développement durable en Europe
Télécom Bretagne, membre de l'Institut Télécom, vient de mener une opération plutôt originale. Elle a en effet proposé à ses étudiants une randonnée autour de l'Europe sur le thème des nouvelles technologies et du développement durable. L'objectif de cette opération Télécom Trek était d'étudier les pratiques en la matièredirectement sur le terrain. Regroupés en quatre équipes de huit, les étudiants ont réalisé un périple de trois semaines, du 9 au 30 avril dernier, dans le cadre de leur projet du deuxième semestre, en composant avec un budget de 10 000 € par équipe. L'équipe « Télécompagnon » a ainsi fait un état des lieux des technologies vertes mises en oeuvre dans les entreprises et collectivités, en Allemagne, en Italie et en France. Leur programme les a d'abord conduits dans une usine automobile à Munich, pour comprendre l'intégration du développement durable dans les grandes chaînes de production. Ils sont aussi passé, en France, par la Télécom Valley de Sophia Antipolis, et par une entreprise de semi-conducteurs située à Grenoble qui s'est engagée à réduire son impact sur l'environnement. A Turin, un parc technologique marie entreprise et environnement Enfin, les Télécompagnons sont partis à la découverte de l'Environment Park de Turin, un parc technologique dédié à l'environnement et qui s'attache à démontrer que l'on peut marier activité d'entrprise et développement durable. Charlotte Holtzer, étudiante française de 21 ans, membre de cette équipe, a été particulièrement frappée par cette visite. « C'est un parc résolument actif sur le plan écologique, grâce à ses panneaux solaires, son système de recyclage des eaux de pluie, ses chaudières à biomasse, et sa centrale hydraulique, idéaux pour réduire la consommation d'énergie. » Autre groupe, les « Greentrekkers » ont, pour leur part enquêté sur les différents aspects du développement durable dans les entreprises (situées en Irlande, Grande Bretagne, Pays Bas, Belgique et France) dans le but, à terme, de simuler une éco-entreprise dans un environnement virtuel de type Second Life. Dans la Vallée du Dadès au Maroc, les « Espoir Trek » quant à eux, devaient sensibiliser la population locale au développement durable. Enfin, les « Trek Tonic » se sont présentés comme les ambassadeurs du développement durable au Portugal, à Gibraltar, et en France auprès d'entreprises et d'institutions européennes ayant une politique dans ce domaine. (...)
(02/05/2008 16:13:06)Deux écoles lyonnaises lancent un mastère spécialisé en PLM
L'ECAM (Ecole catholique des arts et métiers) et l'INSA (Institut national des sciences appliquées), toutes deux à Lyon, créent en partenariat un mastère spécialisé (MS) en PLM. Le product lifecycle management, en forte croissance, se fait de plus en plus une vraie place chez les industriels. Et il intéresse désormais aussi bien les secteurs de l'agro-alimentaire, du textile, de la biologie que les activités historiques du PLM et de la CAO comme l'automobile, l'aéronautique ou l'électronique. Au delà de la simple option souvent proposée, les deux écoles ont décidé de bâtir un cursus d'une année complète sur le sujet. Le MS couvrira l'ensemble des problématiques liées à la mise en oeuvre du PLM, depuis la conception du système d'information jusqu'à son déploiement et à son exploitation. L'objectif est de former des chefs de projets spécialisés chez les industriels ou des responsables techniques et ingénieurs d'étude chez les éditeurs et les intégrateurs. Les diplômés proposeront à leurs employeurs une compétence à la fois technique (architectures distribuées, conception UML, structuration des données) et fonctionnelle (gestion du cycle de vie, modèles utilisés, méthodes de mise en oeuvre). Le MS se déroule sur onze mois dont 420 heures de formation en école et au moins cinq mois de stage. L'inscription pour la prochaine rentrée, en septembre 2008, est ouverte à partir de cette semaine et jusqu'au 14 juillet. Elle concerne les jeunes diplômés des écoles d'ingénieurs et de l'université (niveau Bac+5), les salariés ingénieurs, les cadres en poste et les techniciens expérimentés ainsi que les demandeurs d'emploi titulaires d'un Bac+5 ou Bac+4 avec 3 ans d'expérience. (...)
(02/05/2008 12:38:58)Pas de hausse de salaire pour les informaticiens en poste
Depuis plus de deux ans, le marché de l'emploi informatique et télécoms est en plein boom : 55 000 informaticiens recrutés en 2006/07 dont 20 000 créations nettes d'emploi (source : Syntec informatique), et un tiers des offres cadres destinées aux jeunes diplômés (source : Apec). Pourtant, le salaire des informaticiens n'a pas profité de la bonne tenue du marché en 2007. Le niveau de rémunération des personnes déjà en poste, en particulier, n'a progressé que de façon très anecdotique. C'est la tendance relevée dans le dernier dossier de la rédaction consacré aux salaires des informaticiens. L'enquête montre en effet que, seuls, certains profils de juniors et quelques spécialistes ont pu profiter d'une hausse de salaires cette année et l'an dernier, les augmentations individuelles n'étant plus à l'ordre du jour, dans la plupart des grosses SSII. (...)
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