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(17/03/2008 16:36:31)

Nouvelle grogne des salariés de Business Objects France

Les salariés de Business Objects (BO) continuent de protester contre le non versement de leur prime d'intéressement au titre de 2007. Après un premier débrayage, le 22 février dernier, qui avait réuni entre 150 à 200 salariés devant le siège social de l'entreprise, à Levallois-Perret, les représentants du personnel ont appelé à une deuxième manifestation, aujourd'hui lundi 17 mars. Un mouvement, certes un peu moins suivi, mais qui a néanmoins mobilisé 80 employés devant le siège de BO, aujourd'hui entre onze heures et midi. Et qui a répondu aux attentes de l'ensemble des syndicats (CFDT, CFE-CGC, CGT, FO) : « La pétition pour obtenir des explications et des compensations a recueilli plus de 400 signatures de salariés de Business Objects, souligne David Babut, délégué syndical CGT. Pour nous, il est clair que c'est essentiellement la mobilisation qui a permis d'obtenir des réactions et de premières mesures de la part de la direction. » Une prime de 1 200 € jugée insuffisante Suite aux premier débrayage, la direction de BO a en effet annoncé une série de mesures, le 7 mars 2008, pour tenter d'apaiser la déception des employés et compenser un tant soit peu le manque à gagner. Ces mesures ont été présentées comme de bonnes nouvelles par la direction, un enthousiasme que ne partage pas les syndicats : « La direction propose une prime de 1 200 euros bruts, précise Louis Lecaroz, délégué syndical CGT. Or cette prime est bien maigre au regard de l'intéressement perçu pour 2005 et 2006 - soit entre 5 000 et 6 000 €- alors que les salariés ont accepté de hausser encore et toujours la barre des objectifs. De plus, les conditions de versement de la prime pénalisent très nettement certains employés, notamment les ex-Cartesis » [NDLR : au premier semestre 2007, BO avait procédé à l'acquisition de l'éditeur d'outils de consolidation financière Cartesis] Sachant qu'un cadre chez BO gagne entre 50 000 et 60 000 € annuels en moyenne, salaire qui ne figure pas parmi les plus bas, certaines filières peuvent considérer les raisons de cette grogne avec une certaine perplexité. (...)

(14/03/2008 17:51:07)

Suicide d'un informaticien du Technocentre de Renault

La série noire se poursuit au Technocentre de Renault à Guyancourt (Yvelines). Le site en est en désormais à son quatrième suicide, et la dernière victime est un informaticien. Il s'agit d'un technicien de 47 ans qui travaillait depuis trois ans au support informatique de production d'Assystem, pour le compte du Technocentre, et qui a mis fin à ses jours le mois dernier à son domicile. Selon nos confrères de La Tribune, qui citent une source syndicale de Renault, le salarié se serait dit surmené. Pour Emmanuelle Capiez, DRH d'Assystem, il est impossible à ce stade d'établir un lien entre le suicide de son collaborateur et les conditions de travail du centre d'ingénierie de Renault. « C'était un salarié apprécié par son entourage professionnel et son management, qui était bien intégré dans l'entreprise, indique la DRH. Ses entretiens d'évaluation faisaient apparaître un ressenti positif sur son intégration, son positionnement, la politique de la société et son manager. » Autant d'éléments qui ne pouvaient laisser présager un tel événement. En réaction à cette annonce, la DRH a organisé, dans les jours qui ont suivi le drame, une réunion extraordinaire avec le CHSCT (Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) afin d'analyser les faits et avoir un premier échange plus large autour des conditions de travail. Suite à cette réunion, la direction du groupe confirme sa volonté d'engager des actions en coordination avec les partenaires sociaux et notamment les CHSCT sur les mesures à mettre en place en vue de prévenir toute forme de mal être au travail. [[page]] Le rapport sur les risques psychosociaux au travail remis à Xavier Bertrand De son côté Renault a notamment souligné qu'un certain nombre de mesures avaient été prises depuis un an, dont « la mise en place d'un DRH à part entière dont la mission est de s'occuper des conditions de travail au Technocentre ». Hasard du calendrier, ce suicide intervient au moment de la remise d'un rapport remis à Xavier Bertrand, ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité, sur les risques psychosociaux au travail. Ce rapport sur « la détermination, la mesure et le suivi des risques psychosociaux au travail » a donné lieu à neuf propositions d'actions concrètes pour prévenir le mal-être en entreprise. Le ministère du Travail souhaite notamment rendre obligatoires des négociations sur le stress dans les branches où le phénomène est le plus marqué. Une initiative qui semble utile à l'heure où le stress touche les salariés des services informatiques : les rapports des médecins du travail d'IBM France, par exemple, ont déclaré, pour la seule année 2006, 29 dépressions, 9 cas d'épuisement mental ('burns-out'), un suicide reconnu en maladie professionnelle et 206 urgences. En 2007, au cours des 6 premiers mois, 19 dépressions, 2 'burns-out' et 116 urgences ont également été comptabilisés chez IBM. (...)

(13/03/2008 17:44:36)

Altran recrute en ouvrant un concours sur Facebook

L'usage des réseaux sociaux pour recruter commence à se développer dans les entreprises de l'Hexagone. Il y a quelques semaines, les SSII CSC et Logica décidaient de s'appuyer sur les outils du Web 2.0 pour attirer des candidats potentiels. De son côté, l'Apec créait l'événement en annonçant son union avec le réseau professionnel LinkedIn. A présent, c'est au tour d'Altran de miser sur les espaces communautaires pour toucher ses futurs collaborateurs. La société de conseil en innovation et en hautes technologies, dont les objectifs de recrutement paraissent ambitieux - 2400 embauches prévues en 2008 -, vient en effet d'annoncer le lancement d'un concours sur l'incontournable réseau communautaire Facebook. Pour attirer un maximum de candidats, des tracts ont même été distribués à la sortie des métros, notamment à la Défense. AppliChallenge est une compétition destinée aux étudiants ou diplômés de formation bac+ 5 des grandes écoles de commerce/ingénieurs et/ou d'universités. Il s'agit, pour les participants, de mettre en avant leurs compétences techniques et esprit d'équipe, en créant une application sur Facebook. Les gagnants seront ceux qui auront créé l'application la plus souvent installée par les utilisateurs du réseau. La remise des prix aura lieu à l'occasion de l'opération « What's Next », une journée portes ouvertes organisée par Altran le 29 mai prochain. pour exposer aux futurs jeunes recrues les métiers, projets et opportunités de carrières au sein du groupe. (...)

(13/03/2008 12:47:37)

Bill Gates réclame plus d'immigration qualifiée aux Etats-Unis

A voir, notre reportage vidéo : Bill Gates demande au Congrès américain davantage d'immigration qualifiée Pour que les Etats-Unis conservent leur place de moteur de l'innovation mondiale, il leur faut accueillir davantage d'étudiants et de travailleurs qualifiés étrangers. C'est le message qu'a martelé Bill Gates devant le Congrès américain, plaidant pour une augmentation du nombre de visas accordés annuellement aux éléments les plus brillants. Interrogé par des représentants républicains sur le risque que pourrait faire courir cette mesure sur les emplois des travailleurs américains, Bill Gates s'est montré catégorique : « en faisant venir ces ingénieurs, nous créons des emplois autour d'eux ». Et si les dispositions légales empêchent les grands groupes de recruter des travailleurs étrangers aux Etats-Unis, les employeurs devront réaliser ces embauches à l'extérieur du territoire américain. Les recrutements afférents se trouvant dans ce cas également repoussés dans d'autres pays. Au coeur des revendications de Bill Gates, le nombre de visas H-1B accordés chaque année par le gouvernement aux travailleurs étrangers. Un nombre fixé à 65 000, qui « ne reflète pas la demande de l'économie américaine en professionnels qualifiés ». Ainsi, l'an passé, l'éditeur aurait été incapable d'obtenir des visas pour un tiers des travailleurs étrangers qu'il souhaitait recruter. L'informatique n'est pas un jeu pratiqué aux seuls Etats-Unis, explique le fondateur de Microsoft. « Au final, on est en concurrence avec les meilleurs du monde. La question est : est-ce que cela se passera aux Etats-Unis ou dans un autre pays ? » A voir, notre reportage vidéo : Bill Gates demande au Congrès américain davantage d'immigration qualifiée (...)

(12/03/2008 16:18:18)

Les entreprises encore très réticentes face au Web 2.0, d'après MessageLabs

20% des entreprises ont bloqué l'accès de leurs employés aux réseaux sociaux au courant du mois de février, selon MessageLabs, une société spécialisée dans la protection du courrier électronique. Motif invoqué : une baisse de la productivité des salariés, combinée à une crainte de recrudescence de l'introduction de malwares (logiciels malveillants qui s'installent à l'insu de l'internaute, suite à un simple clic sur un lien). L'analyse de MessageLabs s'appuie également sur une étude réalisée par cio.com auprès de plus de 300 DSI. Près de 10% d'entre eux considèrent que les réseaux sociaux (comme MySpace ou Facebook) représentent une menace pour l'entreprise, 18% d'entre eux pointent du doigt en deuxième place des outils de messagerie comme Hotmail ou Gmail, juste à côté de périphériques du type clés USB. Toujours d'après MessageLabs, le nombre de sites Internet bloqués par les filtres des entreprises atteint pratiquement les 47%. Un chiffre qui devrait « inciter les départements informatiques à mettre à jour leur politique d'utilisation d'Internet, tout en sensibilisant les utilisateurs, afin de mieux profiter des nouvelles technologies qu'offre le Web de 2.0 », a expliqué Paul Wood, un analyste de la sécurité de MessageLabs. Cette étude vient confirmer les inquiétudes du Trades Union Congress, publiées en septembre dernier. L'analyse du TUC encourageait les entreprises à mettre en place une politique de bonne conduite « clairement définie, mais ouverte », plutôt que d'opter pour la répression pure et dure de l'utilisation des sites communautaires. Pour le TUC, quelques minutes passées à surfer sur ces réseaux peuvent s'avérer positives pour l'entreprise elle-même. N'oublions pas que d'ici peu les entreprises seront confrontées à l'arrivée massive des fameux « Digitale natives » comme les qualifie Capgemini, ces jeunes qui sont quasiment nés avec une Playstation entre les mains, et qui ont grandi entourés d'iPhone, de réseaux sociaux et autres blogs. Tout sera à revoir d'après le cabinet : culture d'entreprise, mode de fonctionnement et de communication, conditions de travail... Aux entreprises de ne pas louper le coche, car cette génération est en train d'arriver sur le marché de l'emploi. (...)

(12/03/2008 14:46:53)

L'Isen ouvre un cycle ingénieur aux élèves de terminale

Les lycéens férus d'informatique vont pouvoir se réjouir. L'Institut supérieur de l'électronique et du numérique (Isen) annonce l'ouverture d'un cycle intégré « informatique et réseaux » qui leur permettra de devenir ingénieur. Mis en place dès la rentrée 2008 sur le campus de Lille de l'Isen, puis à Toulon, l'année suivante, ce programme s'adresse aux élèves de Terminale S qui souhaitent s'investir dès la sortie du lycée, dans l'informatique et des réseaux. Il conduira à un diplôme de type Bachelor of Technology (Bac+3). Mais la finalité de cursus est qu'il permet d'accéder au cycle Master, et de préparer au diplôme d'ingénieur. Ses enseignements s'appuient sur des fondamentaux scientifiques sensiblement identiques à ceux de la classe préparatoire intégrée, et notamment sur la réalisation de stages en entreprise. Dans une seconde phase, l'école étudie la possibilité d'articuler ce cycle avec un contrat de professionnalisation. L'inscription au cycle « L » intégré « informatique et réseaux » comporte un nombre de places limitées à 24 pour la première année. La date limite d'envoi des dossiers a été fixée à la fin du mois d'avril. L'admission s'effectuera en fonction de l'étude du dossier scolaire de première et de terminale, d'épreuves écrites et sous réserve d'obtention du baccalauréat. Les résultats des admissions seront communiqués le 3 juin prochain. (...)

(12/03/2008 11:22:18)

L'Institut Télécom recrute près de 400 chercheurs

Pour renforcer ses équipes scientifiques et développer ses activités de recherche, l'Institut Télécom, établissement d'enseignement supérieur et de recherche, annonce le recrutement de plusieurs centaines de chercheurs : 200 doctorants et post-doctorants, 150 ingénieurs R&D, et 20 enseignants chercheurs seront ainsi recrutés tout au long de l'année 2008. Des postes de professeurs et de maîtres de conférences sont à pourvoir dans les écoles d'ingénieurs et de management de l'Institut, et plus spécifiquement à Brest (pour Telecom Bretagne), à Evry (pour Telecom & Management SudParis), à Paris (pour Telecom ParisTech) et à Lille (pour Telecom Lille1). Dans ces spécialités, les domaines des postes proposés sont assez variés : ils concernent les communications physiques, l'informatique et les réseaux, le traitement de l'information et des connaissances, les sciences économiques et sociales, et le management. La campagne de recrutement est d'ores et déjà lancée et devrait se terminer le 18 avril prochain, pour des embauches effectives dès le mois de septembre 2008. Des nouvelles recrues pour développer les plateformes de recherche Les embauches de quelque 350 ingénieurs R&D, doctorants et post-doctorants, contribueront parallèlement au développement de plateformes de recherche et à la réalisation de contrats de recherche passés avec les entreprises, ou dans le cadre de projets financés par les agences, les fonds gouvernementaux et européens, ou les collectivités locales. Ces contrats et projets pouvant démarrer à n'importe quel moment, les emplois attenants sont à pourvoir toute l'année au sein des laboratoires de recherche de l'Institut. En 2007, plus de 150 recrutements ont ainsi été effectués. Ces recrutements interviennent dans un contexte où les conditions d'emploi des docteurs dans les métiers du conseil, de l'informatique et de l'ingénierie restent assez mal identifiées. L'Opiiec, observatoire paritaire du secteur SSII, a décidé de prendre le taureau par les cornes en lançant un appel à projet d'étude en septembre 2007, pour tenter d'identifier les opportunités d'emploi de cette filière au sein de la branche IT. (...)

(11/03/2008 17:01:12)

Il existe un lien direct entre la taille de l'écran et la productivité

En matière d'écran, la taille et le nombre importent. Selon le Wall Street Journal, une étude de chercheurs de l'université de l'Utah a identifié un gain de productivité de l'ordre de 50% entre un groupe d'utilisateurs au travail devant des écrans de 24 pouces de diagonale et un autre réalisant le même travail sur des écrans de 18 pouces. Toujours selon cet article, un seul 24 pouces est préférable à deux écrans de 20 pouces qui n'apporteraient qu'un gain de productivité de 42%. Toutefois, la seule étude de l'université de l'Utah disponible sur Internet décerne la palme de la productivité aux configurations double écran et non à un seul grand écran (voir lien). Quoi qu'il en soit, les conditions des études citées sont similaires. Elles visent à reproduire des paramètres de travail similaires à ceux que l'on trouve dans le quotidien des cols blancs. Il s'avère alors évident que les configurations a écrans multiples prennent tout leur sens lorsqu'il s'agit d'utiliser plusieurs sources d'information. Bien que datant de 2003-2004, les résultats de cette étude sont d'autant plus d'actualité que les cartes graphiques à deux connecteurs se sont généralisées et que les écrans, désormais tous plats, se sont agrandis à prix constant. En raison du prix de plus en plus modique des écrans, la mise en place de périphériques d'affichage de qualité relève du simple bon sens si l'on réfléchit un instant aux économies réalisées en terme de coût de main-d'oeuvre. De plus, une boutade permet de rassurer ceux en charge du budget d'équipement : le choix d'un écran de 26 pouces n'apporte aucun gain de productivité supplémentaire par rapport à un modèle 24 pouces. De même, le passage à trois écrans n'apporte rien. Ouf... (...)

(11/03/2008 13:08:37)

Index Freelance.com : les spécialistes d'Unix, SAP et Oracle restent en tête

En cette onzième semaine de l'année, Freelance.com relève, une fois encore, un maintien de la demande pour des spécialistes d'Unix, SAP et Oracle, sur des missions ponctuelles. Ce qui permet aux trois spécialités de culminer dans le trio de tête du top 10, talonnées de près par les professionnels de Java. Les besoins des recruteurs en administrateurs Unix augmentent parallèlement. Et les consultants SAP (sur les modules BW/ BC, FI/CO, PM, MM, SD, HR), de même que les profils fonctionnels ABAP, font également partie des spécialistes les plus courus. Du côté des bases de données, Oracle reste une valeur sûre, avec une demande centrée sur les administrateurs, et les analystes développeurs. Freelance.com enregistre également beaucoup de propositions de missions pour des ingénieurs J2EE et sur le framework Open Source Struts. Quant à l'index -indice d'évolution de la rémunération des experts basé sur le prix moyen des offres que Freelance.com propose, il continue sa progression et s'approche de la barre des 500 €. Une stabilité qui se maintient depuis maintenant plus d'un mois. NB Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 636 offres de projets informatiques disponibles au 09/03/2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande). (...)

(11/03/2008 12:18:06)

Près de 182 M€ de fonds investis dans la formation IT

Le Fafiec, organisme paritaire collecteur agréé (OPCA) des entreprises de l'informatique, de l'ingénierie et du conseil, chargé de mutualiser les fonds pour la formation professionnelle, vient de publier son rapport d'activité 2006-2007 : au final, 5,1 millions d'heures de formation ont été financées par l'organisme. Dont 38 000 actions financées au titre du plan de formation, et près de 7 400 au titre de la professionnalisation. Le montant collecté sur la masse salariale 2006 s'élève à quelque 181,7 M€, en augmentation de 9% par rapport à l'année précédente. 45% des contributions proviennent de l'informatique, 30% de l'ingénierie, et 24% du conseil. Si ces chiffres paraissent plutôt encourageants, ils sont loin de convaincre les organisations syndicales. Ainsi, la F3C-CFDT, fédération CFDT de la communication et du conseil, pointe une sous-utilisation de la formation dans les entreprises de la sphère IT : « La clôture de l'exercice 2007 du Fafiec montre un excédent de 70 M€ sur le budget des périodes de professionnalisation [NDLR: il s'agit de formations longues d'une durée comprise entre 100 et 600 heures, périodes également éligibles au DIF], signale Yvan Béraud, secrétaire national de la fédération. La branche entendra probablement de garder ce trésor de guerre, mais comme les dépenses de 2008 suivent sur le même rythme, c'est un risque équivalent de 140 M€ que nous risquons d'avoir pour la fin 2008 ». [[page]] Pour d'autres comme le Munci, une des associations professionnelles d'informaticiens, cette sous-utilisation chronique de la formation professionnelle n'a rien de réellement surprenant : « La sous-utilisation de la formation est un phénomène qui a déjà eu lieu dans la IT, notamment en 2003 », rappelle t-il. Cette année-là, les entreprises de plus de 10 salariés n´avaient en effet consommé que 59 % de leur plan de formation. » Le président du Munci s'interroge toutefois sur le devenir des 140 M€ évoqués par la F3C-CFDT : « Il s'agit de savoir si l'argent non dépensé sera redistribué partiellement aux entreprises, comme ce fut le cas en 2003. » Et d'ajouter, pour modérer ses propos : « Ce constat de la sous-utilisation des budgets formation est à nuancer. Il est vrai que toutes les entreprises ne passent pas par le Fafiec pour leurs actions de formation. Celles-ci progressent, en outre, globalement dans les SSII depuis quelques années, notamment grâce au DIFl. En témoignent les chiffres publiés par le Fafiec, et ce, même si beaucoup reste encore à faire en matière de formation, dans les entreprises du secteur ! » (...)

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