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Carrière

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(07/02/2008 16:59:18)
iLearning Forum : Demos lance une plateforme de e-learning constituée de 1200 modules
Le spécialiste de la formation continue Demos vient de lancer sa propre plateforme de e-learning. Présentée lors du salon iLearning Forum, la Demos eLearning Agency contient pas moins de 1200 modules et s'articule autour de trois offres majeures : la création de dispositifs e-learning sur-mesure, la mise en ligne d'une base de connaissances et de modules d'auto-formation, et la mise à disposition d'un centre de formation virtuel. En créant une plateforme d'e-formation adaptée au contexte de chaque entreprise, Demos s'engage à transformer des contenus métiers ou des formations présentielles en contenus accessibles à distance. L'expertise y est formalisée et scénarisée selon l'angle pédagogique souhaité : ingénierie pédagogique, conception de contenus pédagogiques online, développement de contenus spécifiques de e-learning, mise en place de dispositifs de formation démultipliée mixtes (présentiel et en ligne). Quant à la base de connaissance MediaCursus, elle répond à une demande en contenus pédagogiques diversifiés. Intégrant une solution de gestion des ressources pédagogiques ainsi que des parcours de formation, cette base autorise un déploiement à très grande échelle sur différents supports (intranet, Cd Rom...) Du management jusqu'à la culture générale, elle contient actuellement plus de 1200 modules, ainsi que plus de 15 000 questions destinées à évaluer les connaissances. Enfin, la mise à disposition d'un centre de formation virtuel, le « MOS Chorus », facilite l'accès à la formation et à l'information, et se complète d'un outil qui permet de créer et maintenir ses propres contenus. (...)
(07/02/2008 12:48:47)Micropole-Univers s'intéresse au dialogue social via le Web 2.0
La SSII Micropole-Univers a décidé de se pencher sur le rôle des technologies Web 2.0 dans le dialogue social. Ainsi, les outils traditionnels du dialogue social, comme la consultation, la négociation ou la communication entre l'employeur, les instances représentatives du personnel et les employés, ne doivent plus se cantonner aux formes traditionnelles des rencontres et correspondances officielles. L'apparition de nouveaux dispositifs, inspirés des fonctionnalités utilisées quotidiennement sur Internet, ouvrant désormais la voie à de nouvelles pratiques de dialogue social électronique : rédaction de documents de négociation via des applications collaboratives, ouverture d'espaces de concertation sur l'Intranet, podcasting des candidatures aux élections professionnelles, etc. Pour Arnaud Kerhervé, consultant senior chez Micropole Univers, les salariés doivent pouvoir intervenir directement dans le dialogue social (et non plus uniquement via leurs représentants) au travers d'espaces numériques, tels que des blogs ou des forums : « Les délégués et les élus pourront enrichir leurs traditionnels tracts et affiches par des contenus multimédias, expose t-il. Et les DRH, abandonner le classique journal d'entreprise afin d'accroître la réactivité de leur communication interne et développer leur marketing social ». D'après le consultant, trois usages démontrent à ce jour le réel potentiel de généralisation du Web 2.0, au service du dialogue social : il s'agit du vote électronique, de la communication sociale via des Intranets, - forums, tribunes libres, chats et blogs - , et la gestion des activités socio-culturelles du Comité d'entreprise, par des portails web innovants. Reste que le déploiement de ces nouvelles pratiques dépend très fortement de la situation et de l'historique de l'entreprise en matière de dialogue social. « Si ce dialogue était tendu, ce n'est pas la mise en place d'outils et d'interfaces qui changera la donne sociale, même au prix d'un très fort engagement conjoint de la DRH et de la direction générale », conclut le consultant. (...)
(06/02/2008 17:01:48)Moins d'une offre d'emploi pour un informaticien au chômage, selon la Dares
La Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares, ministère du Travail) publie chaque trimestre un rapport de quatre pages sur les tensions observées sur le marché du travail. Dans sa dernière note de synthèse, il apparaît que, dans la fonction informatique, le ratio du flux des offres d'emploi sur le flux des demandes d'emploi enregistrées au troisième trimestre 2007 était de 0.9, soit une hausse de +6% par rapport au trimestre précédent, et de +10,5% par rapport à l'année précédente. En clair, cela signifie que pour un informaticien enregistré comme demandeur d'emploi au cours de ce trimestre, il y avait seulement 0,9 offre d'emploi déposée au cours de la même période. L'organisme relève toujours de fortes inégalités entre les différentes catégories professionnelles de la filière. Ainsi chez les ingénieurs IT, le ratio est de 1,4 offre par demandeur d'emploi, alors que s'agissant des techniciens de la IT, il s'élève à seulement 0,65 offre par demandeur d'emploi. Quant au taux d'écoulement des demandes, part qui mesure l'importance des sorties des listes des demandeurs d'emploi, il s'est établi, dans la filière IT, à 66% sur un an. A noter également que selon la Dares, dans la fonction informatique, le taux moyen des demandes d'emploi a atteint les 7,4% au cours de l'année 2006, pour une moyenne de 504 000 informaticiens salariés. Pourtant, et toujours selon l'organisme, la proportion du nombre d'employeurs de ce secteur qui déclarent avoir des difficultés de recrutement continue d'augmenter sensiblement. D'ailleurs, l'indicateur de tensions du marché du travail a encore progressé dans la filière IT au cours du troisième trimestre 2007, domaine où les tensions étaient déjà importantes. (...)
(06/02/2008 15:52:13)Indice Keljob : en janvier, près de 18% des offres étaient pour les informaticiens
Après avoir enregistré plusieurs mois de baisse, le baromètre de l'emploi de janvier 2008 publié par le moteur d'emploi sur Internet Keljob.com, repart à la hausse. Passant de 269 à 303, cet indice - qui mesure chaque mois le nombre d'offres d'emploi disponibles sur Internet - atteint le niveau le plus élevé jamais connu sur cette période. Comme l'an dernier, la filière informatique et télécoms est celle qui draine le marché : en effet, en janvier, la part des offres publiées sur Internet à destination des informaticiens représentait 17,7% du volume global des offres en ligne, soit le taux le plus élevé du classement. Ce pourcentage est, en outre, équivalent à celui enregistré au cours du mois précédent. Quant à la fonction R&D, si elle reste stable, elle ne concentre que 2,4% des offres globales, selon Keljob.com Les cabinets de recrutement tiennent le haut du pavé ce mois-ci, avec une forte progression de + 27,7%. Les offres publiées par l'ANPE et par les entreprises de travail temporaire enregistrent une augmentation beaucoup plus faible, avec respectivement + 9,14% et +7,95%. En revanche, les offres de stages ont nettement reculé le mois dernier, accusant une baisse de - 32,88% . « Cette nouvelle année laisse présager de nouveaux records, commente Thibaut Gemignani, directeur général d'Adenclassifieds, société éditrice du site keljob.com Si les perspectives se confirment, il y a fort à parier que nous devrions battre, au cours de ces 12 prochains mois, le record de juin 2007, et les quelque 500 000 offres alors recensées sur Internet. » (...)
(06/02/2008 09:29:36)SQLI recrute 650 collaborateurs et ouvre un site RH pour ses futurs candidats
Si 2007 a été une année faste pour l'emploi des informaticiens, 2008 semble s'annoncer dans la même veine. En témoignent les vastes campagnes de recrutement annoncées par les SSII depuis le début de l'année. Emboîtant le pas à Atos Origin ( 2000 recrutements prévus en 2008), GFI Informatique (1 100 embauches d'ici à la fin de l'année) ou encore Teamlog (900 postes à pourvoir cette année), c'est au tour de SQLI d'annoncer le lancement d'un vaste programme de recrutement en France et à l'étranger. La SSII, spécialisée dans le conseil et les services e-business, compte en effet sur 650 nouveaux collaborateurs spécialistes des technologies Internet ( Java/J2EE, .net, PHP) et SAP (R/3 et NetWeaver) : il s'agit de consultants, d'architectes et d'experts techniques, de directeurs, de chefs de projet (technique et TMA/TRA), et de consultants formateurs en nouvelles technologies. La SSII recherche également des consultants PGI, spécialistes de SAP. Parmi ces futurs collaborateurs, 45% environ travailleront en région parisienne. Les autres seront rattachés à l'une des 20 agences du groupe situées en Suisse, au Maroc, au Benelux, aux Pays-Bas, en Espagne, au Canada et à Singapour. Dans sa quête de nouveaux talents, SQLI a décide de jouer la carte du Web 2.0 en parallèle, en ouvrant un site Web entièrement dédié RH. Ainsi, www.sqli-carrieres.com emmène les candidats potentiels à la découverte des différents métiers des services informatiques. On y trouve la liste détaillée des postes à pourvoir chez SQLI, de même que les prochaines dates des salons de l'emploi informatique. Il y est notamment possible de poster des candidatures spontanées et même de faire connaissance avec son futur manager et les membres de son équipe par le biais de vidéos. (...)
(05/02/2008 17:02:55)Index Freelance.com : La demande baisse sensiblement sur l'ensemble des spécialités
En cette sixième semaine de l'année, Freelance.com relève une baisse sensible des demandes, pour des missions de courte durée, sur l'ensemble des compétences du top 10, soit un recul de 3 points en moyenne entre la dernière semaine de janvier et aujourd'hui : Java par exemple recule de 14% à 9,47% des demandes. Pourtant, le classement demeure inchangé ou presque : SAP repasse devant Java et DB/2 devant SQL Server.
Les spécialités les plus demandées profitent toujours aux développeurs : la demande autour des langages de programmation se consolide pour représenter 28,14%, et gagner 2,5 points. Les professionnels des logiciels de gestion reviennent eux à la seconde place, un rang qu'ils ont longtemps trusté en 2007. En toute logique, la demande pour les professionnels des bases de données recule très légèrement.
Les experts des grands logiciels gagnent du terrain, à en juger par le retour de l'AS/400 à la dernière place du classement. Les spécialistes du logiciel d'infographie 3D, 3DFX, arrive en 9e position, détrônant ainsi Javascript et PL/SQL, qui sortent du top 10. Quant à l'index, après plusieurs semaines de hausse continue, il fléchit sensiblement, à 487€.
(...)
Industriels et SSII recrutent une nouvelle fois sur Second Life
Le 12 février, de 15 heures à 21 heures, Second Life ouvre un ilot virtuel de recrutement aux ingénieurs et aux techniciens IT. Les candidats auront une journée pour rencontrer, sur le salon virtuel www.neojobmeeting.com, des SSII (Euriware, Teamlog) et des entreprises d'autres secteurs, comme Gaz de France, GE Energy Axa, La Française des jeux, ou le spécialiste en ingénierie électrique Converteam, qui ont, eux aussi, répondu présents. Côté SSII, Teamlog leur propose une vaste palette d'offres, sur l'ensemble de ces implantations. Tandis qu'Euriware, qui compte sur 500 nouveaux collaborateurs cette année, ouvre des postes pour renforcer ses activités de conception et de développement, d'architecture de système d'information, d'intégration de progiciels et de conseil en SI. Des postes à pourvoir dans l'industrie Les candidats qui souhaitent passer « chez le client » pourront également postuler chez Axa, (1500 recrutement prévus en 2008) à des postes de techniciens et de responsables support et de spécialistes des systèmes d'information. Sur l'îlot virtuel, Converteam (1200 recrutements) ouvre des postes de responsables de projet, d'ingénieurs « mise en service », d'ingénieurs en électronique de puissance ou de techniciens d'intervention. Gaz de France, pour sa part, compte recruter en 3D (339 offres) dans les métiers des NTIC et pour ses activités de R&D. GE Energy tente également l'expérience de la 3D pour embaucher des ingénieurs sur son site de Belfort, en ingénierie, management de projet et métiers de l'exploitation et de la production. Enfin, la Française des jeux profite de l'îlot virtuel pour recruter 40 CDI, des chefs de projet, des ingénieurs experts en nouvelles technologies, des spécialistes de la sécurité, des administrateurs d'applications, des ingénieurs réseaux/télécoms et systèmes. Pour participer, les candidats devront impérativement créer leur avatar sur Second Life. Ensuite, ils n'auront plus qu'à remplir les champs du formulaire (dans la rubrique « inscription ») en joignant leur CV et en indiquant les dates et horaires auxquels ils souhaitent s'entretenir avec un recruteur sur le salon. Une fois leur demande confirmée, ils recevront un lien pour se rendre directement sur l'île virtuelle TMPneo dans l'univers Second Life. Une formation sur la manière d'utiliser un avatar leur sera parallèlement délivrée. (...)
(04/02/2008 16:57:07)Epanouissement et salaire, moteurs de la motivation des informaticiens
Pour avoir une idée de ce que pensent les informaticiens du marché de l'emploi, le site lesjeudis.com a demandé au cabinet d'études Harris Interactive de réaliser une enquête d'opinion sous forme d'un sondage. Chaque trimestre, Lesjeudis.com exploite ces résultats dans un baromètre de l'emploi. Les premières analyses du sondage révèlent que l'épanouissement dans le travail est la première motivation des informaticiens interrogés (pour 58% des réponses). Vient ensuite l'aspect de la rémunération : surtout citée par les employés des SSII, de 36 à 40 ans, la question du salaire est la première raison qui pourrait les amener à changer d'emploi (pour 53% d'entre eux). Il sont également 37% à évoquer en premier lieu le souhait de gagner un meilleur salaire dans les cinq années à venir, et 34% à considérer leur niveau de rémunération comme principale motivation. La moitié des informaticiens interrogés gagnent entre 30 et 50k€ par an, tandis que seuls 15 % d'entre eux perçoivent plus de 50 k€. Des offres d'emploi jugées insuffisantes à 80% Les résultats de l'enquête indiquent par ailleurs que les opportunités du marché de l'emploi sont jugées insuffisantes par la majorité des répondants (80%). Ils montrent également que l'opinion sur le nombre et la qualité des offres d'emploi diffère selon les profils. Ainsi, chez les sondés de moins de 26 ans, 63% pensent que les offres sont nombreuses et intéressantes. Pour 52% des répondants âgés de 31 à 35 ans, les offres sont nombreuses, mais peu intéressantes. Les 41 ans et plus, eux, sont d'un tout autre avis : 35% d'entre eux considèrent que les offres sont peu nombreuses mais intéressantes, et une proportion équivalente estime qu'elles ne sont ni nombreuses, ni même intéressantes ! Le degré de satisfaction est réparti de manière plus homogène entre les différents secteurs d'activité : 38% des répondants travaillant en SSII pensent que les offres sont suffisantes mais inintéressantes. 47% des informaticiens travaillant dans d'autres entreprises partagent cet avis. (...)
(04/02/2008 13:10:02)Alcatel-Lucent supprime à nouveau 400 postes en France
Ce sont finalement 400 postes qui seront supprimés en France chez Alcatel-Lucent. Ces réductions viendront s'ajouter aux 1 006 suppressions déjà en cours chez l'équipementier. La direction a présenté son second plan de restructuration, vendredi 1er février, lors de la réunion du Comité Central d'Entreprise. Comme pour le précédent plan social annoncé en octobre 2007 (4 000 postes supprimés dans le monde, dont 1 468 en France), ce nouveau plan sera basé sur des départs volontaires, et des solutions de mobilité interne seront proposées aux salariés. Selon l'intersyndicale d'Alcatel-Lucent (CGT, CFTC, CFDT), les services commerciaux et de support aux clients sont les plus touchés par le projet de réorganisation. En revanche, les activités de Recherche et Développement (R&D) subissent un impact moins fort qu'en 2007. Dans ce domaine, les arrêts se trouvent en partie compensés par des créations et des transferts d'activités dans le mobile. 273 postes supprimés en région parisienne En France, c'est la région parisienne (Vélizy + Villarceaux) qui reste la plus frappée, puisqu'elle supporte les deux tiers des suppressions d'emplois à elle seule (soit 273 postes). La fermeture du site de Châteaufort est, par ailleurs, programmée pour 2008. Ses 850 salariés seront « redéployés » sur Villarceaux et Vélizy. Si les suppressions d'emplois dans cet établissement ne sont pas prévues dans le plan présenté par la Direction, l'intersyndicale évoque le risque de départs « hors plan », du fait de possibles refus de mobilité. Les salariés des sites de province, s'ils sont moins touchés, n'en sont pas pour autant rassurés sur leur avenir. En particulier, le site d'Ormes passera sous la barre des 500 salariés. Même constat pour le site de EU, dont les effectifs sont également revus à la baisse. La moitié des départs se feront par des préretraites et l'autre moitié par des projets externes, majoritairement en région parisienne, et ce, dans le cadre d'un projet qui devrait être terminé fin 2008. La procédure de consultation du CCE démarrera à la mi-février. (...)
(01/02/2008 16:56:27)Les administrations françaises à la traîne pour recruter en ligne
La deuxième édition de l'étude Monster/Acteurs Publics sur le recrutement en ligne dans les administrations européennes en 2007, confirme deux grandes tendances déjà amorcées en 2006. La migration des offres du support papier vers le online, d'une part, et le retard des administrations françaises en matière de recrutement sur Internet, d'autre part. L'enquête montre en effet que les employeurs européens du secteur public semblent avoir compris les avantages du Net en accompagnant le processus de modernisation du service public. Elle indique parallèlement que l'usage du Net pour recruter reste notablement plus développé dans les administrations du Nord qu'au Sud de l'Europe. Parmi les 27 membres de l'Union, les 10 pays qui, en proportion de leur nombre de fonctionnaires, utilisent le plus Internet, sont tous situés dans le Nord du Vieux Continent. Les Pays-Bas, l'Irlande et la Suède qui s'octroient la tête du classement. La France arrive seulement en neuvième position, mais elle devrait rapidement rattraper son retard. Pour faire face à l'augmentation de ses besoins en recrutement dans la fonction publique suite aux départs massifs à la retraite, l'Hexagone devra recourir à de multiples outils pour publier ses offres d'emploi, dont Internet. En outre, le développement généralisé de l'administration en ligne et plus largement de la modernisation du service public, devrait entraîner de profondes modifications en matière d'usage Internet, notamment dans le domaine des ressources humaines en France comme dans le reste de l'Europe. (...)
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