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Carrière
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(29/10/2007 17:48:35)
Les universités parisiennes préparent leur révolution numérique
A partir de la rentrée 2008, les étudiants des universités de la Ville de Paris devraient pouvoir disposer d'un environnement de travail numérique. C'est en tout cas ce qu'a annoncé le Conseil de Paris hier, sur proposition de Sandrine Mazetier, députée de Paris et adjointe chargée de la vie étudiante. La Ville disposera d'une enveloppe de deux millions d'euros pour équiper ses universités parisiennes. Un dispositif de Web conférence permettra de visionner des cours en direct, une plateforme SMS pourra alerter les étudiants sur les changements de planning de dernière minute ou sur les convocations. Une bibliothèque virtuelle donnera la possibilité de consulter les références et ouvrages de la bibliothèque universitaire. Enfin, figure également au programme un service d'accès au dossier social étudiant piloté par les services du Crous. Depuis cette année, les étudiants des universités parisiennes ont déjà accès à une carte « multiservices ». Grâce à cette carte qui fait office de porte-monnaie électronique, ils peuvent d'ores et déjà régler leur repas au Crous, ou bien encore l'utiliser comme n'importe quelle carte Moneo (pour les parkings notamment). Pour la rentrée de 2008, la Ville envisage d'intégrer à la carte le pass Imagin'R qui donne accès à des tarifs réduits sur les transports d'Ile-de-France pour les 15 à 25 ans. A terme, tous ces éléments pourraient aboutir à une carte unique d'étudiant, commune à toutes les universités de Paris. Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche vient d'ailleurs de créer un blog pour développer l'usage des technologies numériques dans l'ensemble des universités de l'Hexagone. Le site Universitenumerique.fr pose six grandes questions à la communauté universitaire, sur la stratégie numérique à prendre, les obstacles au virage numérique, les implications pédagogiques, l'encadrement juridique et les technologies à adopter. (...)
(29/10/2007 17:39:58)Oxiane ouvre une session de formation supplémentaire à SOA
Le cabinet de conseil et de formation Oxiane, spécialiste des technologies objet et des architectures orientées services (SOA), ouvre une session de formation supplémentaire. Les cours auront lieu du 5 au 7 novembre prochains, dans les locaux d'Oxiane, à Boulogne, et aborderont les principes architecturaux d'une SOA, en s'appuyant sur des retours d'expériences projet. Ils visent les chefs de projet, les architectes techniques et fonctionnels, et également les DSI. « Nous répondons actuellement à une augmentation de la demande qui émane de tout type d'entreprises, éditeurs et SSII, expose Jean-Louis Rousselin, directeur général d'Oxiane. Nous avons donc décidé d'ajouter une session supplémentaire à notre offre de formation, qui indiquera quelles sont les pistes méthodologiques à suivre pour initier une démarche de SOA » Après une brève introduction aux architectures orientées services, les sessions brosseront un panorama des techniques et normes actuelles permettant sa mise en oeuvre. Seront illustrés à travers des travaux pratiques, la modélisation BPMN , la mise en place de services web avec Java, et l'utilisation de BPEL dans un ESB (Enterprise services bus). Le tout pour 1 200 € HT par personne. (...)
(29/10/2007 17:34:27)Les syndicats d'Alcatel-Lucent appellent à débrayer
Les fédérations syndicales CGT, CFDT et CFTC d'Alcatel-Lucent appellent les salariés du groupe à cesser le travail pendant une heure, mercredi 31 octobre. Cette mobilisation interviendra au lendemain du conseil d'administration de l'équipementier des télécommunications. En effet, mardi 30, la directrice générale Patricia Russo commentera les résultats du 3ème trimestre et annoncera les prévisions du 4ème trimestre. Elle présentera également les grandes lignes d'un nouveau plan d'urgence, à la demande du conseil d'administration. Pour les organisations syndicales, ce plan d'urgence pourrait signifier l'arrêt de projets, l'externalisation ou la vente d'activités, et la fermeture de sites. Ce qui donnerait lieu à une nouvelle vague de suppressions d'emplois. (...)
(26/10/2007 14:22:14)AOL France supprime 90 postes et transfère ses activités à Londres
La France n'échappera pas au plan de réduction des coûts lancé par AOL : 90 postes sur 140 seraient menacés, tandis qu'un transfert partiel des activités françaises pourrait être organisé vers le siège européen d'AOL à Londres, selon les informations de la CFDT. Il s'agit de la seconde phase d'un plan de transformation annoncé par la filiale Internet du groupe Time Warner, à la mi-octobre, et qui devrait se solder par la suppression de quelque 2 000 emplois dans le monde, soit 20% de son effectif. Ces restructurations font suite au changement de modèle économique d'AOL, qui a abandonné ses activités de fournisseur d'accès à Internet pour se tourner vers le marché de la publicité en ligne. La CFDT a demandé l'ouverture de négociations sur ce sujet, mais s'est vue opposer une fin de non recevoir par la direction. Menacés par un troisième PSE (Plan de sauvegarde de l'emploi), les salariés d'AOL France ont décidé d'immortaliser l'événement dans une vidéo, prise dans les locaux de l'entreprise, et publiée sur le site Dailymotion, où ils chantent 'L'amour à la française' des Fatals Picards. (...)
(25/10/2007 16:13:36)42 000 euros, le salaire annuel des informaticiens selon l'Apec
En 2007, le salaire brut annuel moyen des cadres en poste s'est établi à 47 000 euros. Et celui des informaticiens en activité se situe autour de 42 000 €. C'est ce que montre l'Apec dans son étude annuelle sur les salaires, publiée ce matin. L'association relève cependant d'importantes différences de salaires entre les cadres, en raison d'une grande diversité de situations. En effet, l'âge, le sexe et la fonction, tout comme la taille de l'entreprise, l'origine du diplôme ou la zone géographique, sont des facteurs qui modifient la rémunération. Ainsi, les femmes cadres restent toujours pénalisées dans la course aux salaires. Leur rémunération médiane reste en effet inférieure de 17% à celle des hommes. Parmi les autres critères liés à l'individu, la durée de l'expérience, l'âge et la formation initiale s'imposent comme des facteurs de poids. Les cadres titulaires d'un diplôme de niveau bac + 4/5, qui représentent à eux seuls plus de la moitié de la population étudiée, perçoivent un salaire légèrement supérieur à celui des cadres moins diplômés, soit 43 000 € pour cette catégorie, contre 41 000 € pour les niveaux bac + 2/3. + 35% pour les informaticiens à l'international Les écarts de salaires entre les diplômés d'écoles d'ingénieurs et les universitaires persistent (45 000 € de salaire médian pour les grandes écoles, contre 40 000 € pour les universités). La zone géographique influence également les niveaux de rémunération des informaticiens de manière très sensible. Ainsi, en Ile de France, le salaire médian des informaticiens est supérieur de 18% à celui de leurs collègues des autres régions. L'écart est encore plus marqué entre ceux qui travaillent à l'étranger et ceux qui résident dans l'Hexagone. Ainsi, les informaticiens employés à l'international gagnent 35% de plus que leurs collègues franciliens et 50% de plus que ceux employés en province. Dans la filière R&D, les écarts de salaires entre l'international et l'Hexagone dépasse les 40%. L'association a également dressé une photographie des salaires des cadres à l'embauche. Dans les SSII, 80% des rémunérations se situent dans une fourchette de 24 à 48 000 €. Avec l'expérience, la rémunération augmente. Elle démarre à 28 000 €, en moyenne, pour un jeune diplômé et peut monter à 58 000 € pour les informaticiens ayant plus de 10 ans d'expérience, sachant que ces derniers représentent seulement 9% des recrutés. Enfin, les trois quarts des salaires à l'embauche sont conformes à ce que les recruteurs avaient envisagé en amont de leurs recrutements. (...)
(25/10/2007 11:09:25)Les salariés manquent de motivation, en France et dans le monde
Les salariés sont engagés et prêts à s'investir dans leur travail, mais estiment que l'entreprise ne les encourage pas suffisamment dans cette voie. C'est ce que révèle l'édition 2007 de l'enquête mondiale Global Workforce Study sur l'engagement des salariés, réalisée par le cabinet de conseil Towers Perrin. En effet, si les Français, comme les autres salariés dans le monde, affichent un niveau d'engagement à la hausse (12% des personnes interrogées se déclarent fortement engagées contre 9% en 2005), ils ont néanmoins le sentiment que leur entreprise ne fait pas le nécessaire pour stimuler cet engagement, voire qu'elle freine leur élan. Seulement 25% des personnes interrogées estiment que leur entreprise les motive à faire de leur mieux, et moins d'un quart (23%) disent avoir des opportunités de carrière excellentes au sein de leur organisation. « Bien que les salariés français affichent un niveau d'engagement plus favorable que lors de la précédente enquête, ils semblent encore en retrait par rapport à leurs homologues européens dont l'optimisme et la confiance, tant en leur propre avenir qu'en celui de l'entreprise, est plus affirmé », commente Gérard Silve, directeur associé de Towers Perrin. La direction générale constitue le premier facteur d'engagement, tout en étant cependant très critiquée en France, comme dans l'ensemble des pays européens. Bien qu'une grande part des salariés s'accorde à lui attribuer les succès de l'entreprise (40% des personnes interrogées estiment que la direction générale de leur entreprise prend les mesures nécessaires pour garantir la réussite à long terme de cette dernière), un Français seulement sur quatre pense que la direction générale s'adresse à eux de manière franche et honnête. (...)
(24/10/2007 17:40:54)82% des salariés français souhaitent se reconvertir, selon Monster
Selon l'une des dernières enquêtes conduite par Monster, spécialiste de la gestion de carrière en ligne, plus d'un salarié européen sur deux envisagent la possibilité de changer complètement de carrière. C'est en France que la proportion de personnes souhaitant réorienter leur parcours est la plus élevée : dans l'Hexagone, 82% des salariés interrogés se déclarent en effet prêts à changer de voie, à plus ou moins long terme, alors qu'ils ne sont que 8 % à être satisfaits de leur carrière actuelle. Une proportion équivalente d'Espagnols se déclare également tentée par une reconversion, tandis qu'en Finlande, 70% des salariés étudient la possibilité de réorienter leur parcours. Ces résultats montrent qu'à travers l'Europe entière, les salariés expriment une insatisfaction diffuse à propos de leur carrière. Bon nombre d'entre eux cherchent à explorer de nouvelles voies pour améliorer leurs conditions et leur style de travail. Preuve que les entreprises doivent travailler aux opportunités de développement professionnel de leurs collaborateurs, pour générer leur engagement et les fidéliser. (...)
(24/10/2007 15:57:00)La direction d'IBM La Gaude, sommée d'évaluer la souffrance de ses salariés
Les salariés d'IBM à La Gaude seraient-il victimes de souffrance psychologique au travail ? La direction du travail a en tout cas décidé d'en avoir le coeur net, en obligeant la direction du site d'IBM des Alpes-Maritimes à évaluer les risques professionnels de souffrance psychologique de ses salariés. Le chef d'établissement devra remettre, sous quatre mois, une étude exhaustive et détaillée, qui concernera tous les services de l'entreprise. Seront évaluées, la fixation d'objectifs, la notation-évaluation, la surcharge de travail et les contraintes liées à celui-ci, les relations sociales, les modalités de management, ainsi que les mobilités géographiques et professionnelles. A l'origine de cette décision, une procédure d'alerte engagée par le C.H.S.C.T. pour dénoncer des risques de souffrance affectant les salariés d'IBM La Gaude, et une situation dangereuse rapportée par l'inspecteur du travail, résultant du non respect des dispositions visant à la préservation de la sécurité et de la santé des salariés (article L230-2 du code du Travail). La direction du travail des Alpes-Maritimes considère parallèlement que la direction aurait dû donner suite aux solutions préconisées par le médecin. Cette mise en demeure intervient alors que les salariés du site de La Gaude sont sous la menace d'un transfert vers AT&T Une manifestation de protestation, lancée à l'appel de la CGT, aura lieu demain jeudi 26 octobre, à partir de 10 heurs, devant le site d'IBM La Gaude. (...)
(23/10/2007 17:37:01)Augmentation des partenariats grandes écoles/entreprises
Les relations entre les entreprises et les écoles d'ingénieurs n'ont jamais été aussi bonnes. Les résultats d'une enquête réalisée par nos confrères d'Industrie et Technologies montre en effet que le volume d'affaires totalisé par une centaine d'établissements de l'enseignement supérieur avec leurs partenaires, a dépassé les 300 M€, soit une hausse de +17 %. L'Ecole des Mines de Paris arrive en tête du classement des écoles qui affichent la plus forte progression de leur chiffre d'affaires avec les entreprises, devant l'Insa de Lyon et l'Ensam de Paris. Parmi les 10 premières écoles, l'Insa de Toulouse et l'Ecole Centrale de Lyon, avec + 62% et + 52%, affichent les plus fortes augmentations de leur volume de partenariat. Sur l'ensemble du classement, la palme revient à l'Esme Sudria de Paris et l'Ecole de Chimie de Mulhouse, qui ont respectivement triplé et doublé leur volume d'affaires avec les entreprises. Ces bons résultats seraient liés aux initiatives des écoles, mais aussi aux récentes structures favorisant la recherche partenariale comme les Pôles de Compétitivité et les Instituts Carnot. (...)
(23/10/2007 17:04:24)Troisième semaine de grève pour le salariés de Gemalto Orléans
Cela fait un plus de trois semaines que les 362 salariés du site du fabricant de cartes à puces Gemalto à Orléans sont mobilisés autour d'un piquet de grève. S'ils bloquent le site du Loiret, à raison de 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, c'est pour protester contre le plan de restructuration annoncé au cours de l'été par la direction. Ce dernier devrait se solder par la fermeture de leur entreprise (soit 362 postes supprimés), mais aussi par 46 licenciements sur le site de Meudon et 76 sur celui de Gemenos. Cette mobilisation a été lancée à l'appel de l'intersyndicale CFDT, CGT - FO, fermement opposée à la fermeture du site. Au programme des revendications des organisations syndicales, l'étude d'une solution alternative pour l'usine d'Orléans, un plan de revitalisation du bassin d'emploi d'Orléans, des mesures sociales et des moyens pour reclasser les salariés et des mesures financières adaptées à la hauteur des enjeux et préjudices subis. Hier, les syndicats ont réussi à obtenir la réévaluation du montant d'une enveloppe d'indemnité spécifique aux préjudices, qui passe désormais à 20 M€, contre 14 M€ initialement prévus. (...)
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