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(17/07/2007 16:54:04)

Non signature de l'accord de méthode BO soumis aux salariés Cartesis

La direction de BO a soumis aux organisations syndicales un projet d'accord de méthode, dans le cadre de l'acquisition de Cartesis, avant même la clôture de l'opération. Disposition du droit du travail français, l'accord de méthode désigne la faculté, offerte aux organisations syndicales, de définir par voie d'accord, un certain nombre de dispositions, le cas échéant dérogatoires, en cas de possible annonce d'un PSE (plan de sauvegarde de l'emploi). Un tel accord permet ainsi à une direction de simplifier les règles légales de consultation du comité d'entreprise qui s'appliquent dans le cas d'un PSE, et de disposer d'un calendrier des consultations figé et réduit dans le temps. Aucune garantie contre des licenciements secs Mais il comporte également ses pièges et ses limites : ainsi, une déclaration commune émanant de la CFE-CGC, la CGT, et CGT-FO souligne qu' « idéalement, et dans l'esprit de la loi, l'intérêt d'un accord de méthode qui incite à des départs volontaires est de libérer, et donc de créer, des postes disponibles pour le reclassement des doublons potentiels suite à une fusion ou à un rachat. En pratique, dans le monde réel, de tels accords ont souvent pour principal but l'optimisation du rendement « boursier » des fusions ou acquisitions ». En tout état de cause, le projet d'accord présenté aux syndicats n'offrirait aucune garantie contre des licenciements secs car la direction restera souveraine dans ses choix. Selon les organisations syndicales, rien ne garantit que les postes libérés par les départs volontaires correspondent aux profils des salariés qui seront en doublon et menacés d'être frappés par un plan de sauvegarde de l'emploi. L'incitation aux départs volontaires ne réduira pas forcément le nombre de licenciements secs. Existe-t-il une réelle volonté de réduire les licenciements contraints ? Ou s'agit-il plutôt d'atteindre un objectif prédéfini de réduction d'effectifs en saisissant l'opportunité de se séparer des salariés les moins attachés à l'entreprise ? En tout état de cause, et estimant les préjudices et les risques trop importants, les syndicats ont décidé de ne pas signer cet accord de méthode. (...)

(17/07/2007 16:46:50)

Centres d'appel SFR : Jugement renvoyé sur le fond

Le comité central d'entreprise (CCE) de SFR et la CFDT, qui souhaitaient obtenir la suspension du plan d'externalisation de trois centres d'appel (Lyon, Toulouse, Poitiers), annoncé fin mai par l'opérateur, et employant 1 900 salariés, ont été déboutés par le juge des référés du tribunal de grande instance (TGI) de Paris, le 10 juillet dernier. La direction de SFR a alors indiqué qu'elle "continuerait à mettre en oeuvre le calendrier d'information-consultation du comité central d'entreprise", entendant ainsi poursuivre le transfert des trois centres d'appels. Reste que le secrétaire du CCE et la CFDT considèrent que le rejet de leur demande n'est pas une défaite, puisque l'affaire est renvoyée pour être jugée sur le fond. L'intersyndicale constate, en effet, que « les requérants n'ont pas été déboutés et que leurs demandes n'ont pas été rejetées ce qui prouve la légitimité qu'il y avait à entreprendre ces démarches ». Sortie de conflit possible D'ailleurs, la possibilité d'un renvoi au fond prouve bien la recevabilité des demandes. Mais étant donnée la nature complexe du dossier (accord GPEC, projet d'externalisation, négociations parallèles, etc.), la présidente a estimé qu'il était nécessaire qu'un juge du fond se prononce sur l'interprétation de l'accord GPEC du 12 octobre 2006. Il convient de noter qu'elle n'a, en particulier, pas tranché sur le fait que le projet d'externalisation était ou non compatible avec l'accord GPEC. L'intersyndicale continue de croire qu'une sortie de conflit est toujours possible si la direction de SFR confirme qu'elle est capable de changer de méthode en remettant le projet d'externalisation au rang des hypothèses et en laissant le temps nécessaire pour que d'autres analyses et propositions soient faites. (...)

(13/07/2007 16:06:11)

Apollo SSC enrichit son catalogue de formations

Apollo SSC, SSII spécialisée dans l'ingénierie informatique, annonce aujourd'hui le lancement de 300 offres de formations supplémentaires, ce qui porte le nombre de formules à 420. Apollo surfe - entre autres - sur l'opportunité apportée par l'application du DIF (droit individuel à la formation). Cette loi de 2004 accorde aux salariés la possibilité de bénéficier de 20 heures de formation par an, cumulables sur six ans. En 2007, 25% des salariés devraient suivre des formations dans ce cadre. Les modules de formation s'adressent aux professionnels de l'informatique, comme les développeurs, les administrateurs réseaux, les webmasters, les infographistes et les DSI. La plupart de ces formules ont des thématiques tournant autour de l'Open Source (MySQL, PHP, Perl, Samba, ainsi que les différentes systèmes d'exploitation Linux). Les utilisateurs finaux ne sont pas négligés. Apollo SSC leur a concocté des formation sur Pack Office 2007, le décisionnel, l'offre SAS et la gestion de projet. Pour le moment la cellule formation ne réalise que 20% du chiffre d'affaires d'Apollo, mais vu son succès, il est fort à parier que la société développera cette activité, afin de se positionner en tant que réel organisme de formation IT. Créé en 2004, Apollo SSC devrait réaliser un chiffre d'affaires de 1,2 M€ cette année, contre 741 000 € l'an dernier. Afin d'accompagner la croissance de la société, le nombre de collaborateurs passera de 15 à 25 personnes d'ici à 2008. (...)

(13/07/2007 11:57:14)

Osiatis recrute 800 personnes

Osiatis, SSII spécialisée dans l'ingénierie et l'infogérance des systèmes d'information, revoit ses prévisions d'embauche à la hausse. Elle annonce en effet 500 recrutements de plus en France d'ici à la fin de l'année, ce qui porte le nombre d'embauches à 800 personnes en 2007 (contre 650 en 2006). La SSII recherche deux types de profils : des ingénieurs confirmés et spécialisés métier (banques, assurance, distribution, énergie, industrie, transport, etc.) ainsi que des profils spécifiques (chefs de projet, consultants, ingénieurs, etc.) couvrant des prestations variées : architecture, administration systèmes et réseaux, conseil, hot line, production, etc. Les nouvelles recrues interviendront dans les trois secteurs principaux de l'offre d'Osiatis : infogérance et tierce maintenance applicative (TMA), ingénierie applicative et d'infrastructure, ainsi que maintenances des systèmes critiques. Osiatis a également annoncé son souhait d'intégrer des ingénieurs stagiaires intéressés par l'infrastructure et le développement, et ce, dans un souci de préparer l'avenir. Basé à Vélizy, Osiatis emploie près de 3 000 personnes et possède des filiales en Belgique, au Luxembourg, en Espagne et en Autriche. La SSII a réalisé un chiffre d'affaires de 223,9 M€ en 2006, dont 89% en France (CA 2007 non communiqué). (...)

(10/07/2007 10:02:47)

Les syndicats pétitionnent contre les projets de relocalisation d'Atos Origin

L'inquiétude concernant l'avenir de 988 salariés situés en Ile-de-France ne fait que se confirmer chez Atos Origin. Trois syndicats (la CGT, FO et la CFDT) viennent de lancer une pétition contre les baisses de salaires annoncées par la SSII. D'après eux, sous couvert d'une proposition de « départs par volontariat » et de « redéploiement stratégique », cette restructuration présente trois risques : la dévalorisation des rémunérations en région parisienne, l'éviction des « gros salaires » et, au final, la délocalisation progressive des activités de la société. La pétition rédigée par les trois syndicats exige le retrait du plan, ainsi que la création d'un véritable programme de formation. Les signatures ont commencé à affluer sur le Web. L'annonce du plan de restructuration d'Atos Origin date du mois d'avril dernier. La société emploie 7200 personnes dans le monde, dont 3800 en France. (...)

(05/07/2007 17:39:32)

HP recrute 10.000 personnes

Après avoir supprimé près de 15 000 emplois en 2005 (dont 1240 en France), HP est en pleine phase d'embauche. 10 000 postes sont en effet à pourvoir d'ici la fin de l'année. Le recrutement s'effectuera en majorité via les relations que le constructeur entretient de longue date avec les universités et les écoles d'ingénieurs (sous la forme d'accords de recherche ou de participations aux enseignements). Marcela Perez De Alonso, chargée des ressources humaines du constructeur au niveau mondial, n'a pas souhaité fournir davantage de précisions sur l'implantation géographique de ces nouveaux emplois. Seule certitude, « ces recrutements concerneront essentiellement les responsabilités commerciales, que ce soit dans les pays matures ou émergents ». (...)

(05/07/2007 14:30:45)

Cegid revoie son plan d'embauche à la hausse

Janvier dernier, Cegid annonçait la mise en place d'un programme de recrutement de 100 personnes. Vu les bons résultats enregistrés ces derniers mois, l'éditeur de solutions de gestion informatique revoie ses prévisions à la hausse : la société souhaite en réalité se doter de 150 collaborateurs supplémentaires. A travers cette campagne, Cegid espère accompagner la croissance de son activité. Trois typologies de profils sont particulièrement recherchées : ingénieur commercial, consultant formateur et ingénieur développement. (...)

(04/07/2007 15:55:06)

SII recrute 150 ingénieurs

SII, société de conseil bretonne, spécialisée en ingénierie et en nouvelles technologies, continue sur sa lancée de recrutement massif. Après sa campagne d'embauche de 2006 (qui a permis de porter le nombre de ses collaborateurs à près de 2000 personnes, soit 300 de plus qu'en 2005), SII poursuit son développement en annonçant l'embauche de 150 ingénieurs supplémentaires dans les prochains mois. D'après Eric Matteucci, directeur de la filiale de Rennes depuis 2005, cette bonne santé résulte du fait que « traditionnellement, la Bretagne a toujours privilégié la proximité entre prestataire et client, une des caractéristiques de notre société ». Cette politique d'embauche s'appuie également sur les bons résultats enregistrés au niveau régional et national, ainsi que sur les prévisions, revues à la hausse. Forte d'un chiffre d'affaires annuel de 127,32 M€, avec une progression de plus de 20 % par rapport à l'année précédente, SII annonce en effet un chiffre d'affaires compris entre 145 et 150 M€ pour le prochain exercice. (...)

(04/07/2007 09:34:29)

Avolys épaule les seniors de l'informatique

La société de formation Avolys a élaboré un programme de reclassement des seniors de l'informatique. Cofinancé par les Assedic et par Microsoft, ce plan prévoit de revaloriser l'expérience des consultants informatiques, ainsi que de pallier à la pénurie de compétences dans les SSII. « Tout est question de mentalité, explique Pierre François, PDG d'Avolys. Il faut débloquer certains préjugés au moment de la sélection à l'embauche. Dans certains secteurs, comme les PGI (progiciels de gestion intégrés), l'âge ne représente plus un handicap. Au contraire : c'est un gage de qualité ». Cette opération de formation entre dans la politique du GARP (groupement des Assedic de la région parisienne), dont l'objectif est double : aider les entreprises à recruter et accompagner les demandeurs d'emploi vers un poste correspondant à leurs attentes et ce, quel que soit leur âge. Le programme a débuté le 25 juin dernier. Quelque 54 consultants Microsoft Dynamics AX suivront un cursus de 630 heures. A la clé : une certitude d'embauche chez l'un des partenaires d'Avolys (C2A, Arès, Euriware, Apsia). Une réunion d'information est organisée le 12 juillet prochain. (...)

(29/06/2007 16:06:40)

La Chine encore loin d'être une superpuissance technologique, juge l'Ifri

« La Chine est encore loin d'être une superpuissance technologique. » Dans son introduction à une étude pour l'Ifri (Institut français des relations internationales), Frédérique Sachwald, tente de démêler la part du mythe chinois dans l'approche généralement faite par le monde occidental. Elle indique pourtant que la Chine est aujourd'hui le premier exportateur mondial de produits TIC. « Depuis 2000, ces exportations ont augmenté rapidement, et ont dépassé celles des Etats-Unis. Cette forte croissance contraste avec la stabilité des exportations japonaises sur les dix dernières années. L'Allemagne, la Corée du Sud et les Etats-Unis ont également augmenté leurs ventes, mais sans commune mesure avec la Chine, pour qui elles ont plus que triplé depuis 2000. » Premier pays exportateur et premier assembleur de TIC L'étude montre que si on calcule la contribution des industries de haute technologie à la balance commerciale en tenant compte à la fois des exportations et des importations, la Chine paraît clairement dépendante des importations de composants. Ce qui prouve qu'elle doit surtout être considérée comme le « premier exportateur de travail d'assemblage dans les TIC ». A titre de comparaison, au cours de la dernière décennie, le poids des produits de haute technologie dans la balance commerciale a beaucoup varié : en Corée du Sud et au Royaume-Uni par exemple, la spécialisation manufacturière dans les produits de haute technologie a augmenté d'une manière importante, mais elle a diminué au Japon. De son côté, la Chine s'est surtout spécialisée dans des activités de production intensives en travail, répercutant ce dynamisme sur ses exportations de produits TIC, aidée par une monnaie largement sous-évaluée. La Chine absente des autres secteurs de haute technologie En affinant l'analyse, Frédérique Sachwald relève un paradoxe : la Chine demeure absente des autres secteurs de haute technologie, comme l'industrie pharmaceutique ou l'aérospatiale, alors que les taux de croissance des investissements en R&D sur son territoire sont impressionnants. La Chine est en effet le troisième pays au monde pour le volume des dépenses en R&D, juste derrière les Etats-Unis et le Japon et depuis la fin des années 1990, le nombre de chercheurs en Chine a augmenté à tel point qu'il dépasse les effectifs japonais et s'approche du record américain. Toutefois, le nombre de chercheurs rapporté au nombre de Chinois travaillant est très faible, ce qui relativise cette évolution. De plus, la Chine ne se préoccupe que des activités de développement : elle destine seulement 5,7% de ses fonds de R&D en recherche fondamentale, alors que dans le même temps, les Etats-Unis en allouent 18% et la Corée du Sud 13,7 %. Rapporté en PIB, les chiffres montrent un écart plus impressionnant : les Etats-Unis dépensent 0,5% en recherche fondamentale contre 0,1% pour la Chine soit cinq fois moins, alors que l'intensité en R&D de la Chine n'est que la moitié de la capacité américaine. Le rapport indique aussi que la Chine a pris conscience de ce déficit. Elle a mis en place d'importantes réformes du système éducatif avec un budget passant de 2,5 % du PIB en 1997 à 3,3 % en 2002. Avec 19,4 millions d'étudiants en 2004, la Chine forme autant d'étudiants que les Etats-Unis et l'Union européenne et poursuit dans cette voie, puisque le nombre d'inscrits et de diplômés du troisième cycle a été multiplié par 2,6 entre 2000 et 2004. Dans les années qui viennent, son défi va être de former des étudiants et des chercheurs de qualité, pour inverser la tendance et ne plus apparaître comme « l'usine » du monde mais comme son « bureau de recherche ». (...)

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