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(23/10/2006 18:02:05)

Plus 6,5% dans le secteur des logiciels et services pour le début de l'année, annonce le Syntec

Reprise d'activité accrue dans l'informatique : le Syntec Informatique (chambre professionnelle des SSII et des éditeurs de logiciels) indique une hausse de 6,5% au premier semestre 2006 par rapport à la même période l'an dernier, dans le secteur des logiciels et services. Son président, Jean Mounet, ose même augurer « une croissance comprise entre 6,5% et 7,5% sur l'année 2006 ». La plus forte progression pourrait être réalisée dans le domaine du conseil (entre 7% et 8%). Ces données sont dans la haute moyenne européenne (de 5% à 7%). « Seuls les Pays-Bas à égalité avec l'Espagne font mieux (7%-9%) », indique-t-on du côté du Syntec, sans omettre toutefois d'évoquer les Etats-Unis qui devraient connaître une croissance dans une fourchette de 7,5% à 8,5%. Quant à la Chine et l'Inde, elles sont toutes deux classées hors catégorie avec une augmentation annuelle de 20%, prévue jusqu'en 2010. 10 000 créations nettes d'emploi en 2006 « La croissance est fondée sur une reprise de l'investissement IT des entreprises », analyse Jean Mounet. Cette bonne santé économique doit être mise en corrélation avec le redémarrage de nombreux projets, après les années noires qui ont suivi l'explosion de la bulle Internet. Conséquence directe : un recrutement en forte hausse - confirmé par l'APEC. Ainsi, le Syntec prévoit 40 000 créations d'emplois dont 10 000 nettes sur l'ensemble de l'année 2006. La moitié de ces offres concerne des Bac+5 et près d'un quart des jeunes diplômés entreraient dans le domaine des L&S. Aucun secteur de l'informatique n'est à la traîne, même si, une autre conséquence inhérente à ce nouveau cercle vertueux se profile : dans cette véritable « guerre des talents » que se livrent les entreprises, faire venir les meilleurs peut poser quelques soucis. Selon le Syntec en effet, deux tiers des entreprises déploreraient avoir des difficultés à recruter. Dans le même temps, plus de 30 000 informaticiens issus du secteur L&S sont encore au chômage (ils étaient plus de 51 000 en 2003)... (...)

(20/10/2006 17:20:13)

L'intelligence ambiante au menu des élèves-ingénieurs de l'Isep

Un marché naissant, qui a déjà suscité 7 milliards d'euros d'investissement en R&D au sein de l'Union européenne, ne peut laisser indifférent les écoles et universités préparant les futurs cadres. A la croisée de l'informatique, de l'électronique et des télécoms, l'Isep (Institut supérieur d'électronique de Paris) prend ses marques dès à présent pour ajouter, à la rentrée 2007, un cursus dédié à l'intelligence ambiante en option de troisième année (parmi les sept options proposées au choix des élèves, dont cinq enseignées en anglais, et en collaboration avec cinq autres écoles d'ingénieurs). Au delà du déferlement médiatique autour des technologies de RFID, la notion d'intelligence ambiante fait allusion aux multiples composants électroniques interconnectés et autonomes, implantés dans note environnement quotidien (automobiles, bâtiments, routes) qui interviennent dans les domaines de la prévention (incendies, accidents), l'assistance (guidage, contrôle à distance), la logistique. Un fort essor des applications sous cette bannière est attendu dès 2010 dans les domaines des transports, de la santé, de la communication, de la sécurité civile, de la domotique. Première du genre, du moins jusqu'à ce jour, l'option de l'Isep fera large place aux projets (quatre dans l'année) et études de cas, comme celle déjà mise en place pour l'approche des systèmes embarqués avec des professionnels de Astrium, Peugeot, Renault et Thales, ou pour l'intégration de systèmes et le management de projet (enseignée en anglais). Au total, une option de dernière année de cycle d'ingénieur représente 350 heures de cours et de projets, suivies d'un stage de cinq mois minimum. (...)

(20/10/2006 17:20:45)

Une pratique originale pour fidéliser les jeunes recrues: le rapport d'étonnement

Dans un contexte de forte croissance des effectifs (+50% par an) , la SSII Nexeo, spécialiste de l'informatique financière (salles de marché, etc) mise sur la contribution de ses salariés, et plus particulièrement des nouveaux arrivants, à l'amélioration de ses pratiques de gestion des ressources humaines. L'astuce: dès la confirmation de leur embauche en fin de période d'essai (trois mois), les jeunes recrues (de 0 à 8 ans d'expérience) ont un mois pour donner leur première impression sur le fonctionnement de l'entreprise, la façon dont ils ont été accueillis, leurs propositions d'amélioration. Cette pratique du "rapport d'étonnement", connue de certains grands groupes et instaurée depuis juin 2006 chez Nexeo, s'avère d'autant plus intéressante que le personnel concerné est dispersé, en mission chez les clients et que la société "à taille humaine" est amenée à mettre le turbo pour répondre à la demande (soit 25 consultants en plus pour l'exercice 2006-2007). Un point, au sujet des remarques et suggestions ainsi remontées, est fait régulièrement (trimestriel) avec l'équipe dirigeante, Philippe Smolders et Antoine Darcet qui, en tant que pdg, assure la fonction de DRH. "Au delà des critiques, négatives ou positives, et des bonnes idées qui nous sont transmises, par exemple le souhait d'avoir un suivi de formation personnalisé ou de miser plus encore sur l'intranet pour réduire la paperasse administrative, c'est une façon efficace, entre autres moyens, de favoriser le sentiment d'appartenance", commente Caterina Gamoulou, responsable du recrutement et de la formation de Nexeo. (...)

(19/10/2006 17:35:20)

Recrutement des cadres informatiques : + 48% en un an

Avec une augmentation de 48% des emplois destinés aux cadres en informatique par rapport à septembre 2005 et de 23% par rapport à août 2006, le marché de l'emploi est dans une phase euphorique. Le cabinet conseil en recrutement Advancers executive, filiale du Groupe Vedior France, annonce ces chiffres à partir d'un baromètre mensuel (conçu à partir de ses propres sources, ainsi que celles de Cadremploi, Monster et l'Apec). « Fortes de leurs bons résultats des trois premiers trimestres 2006, les entreprises préparent activement leur budget 2007, en croissance bien sûr, et veulent avoir leurs équipes au complet pour le 1er janvier au plus tard », analyse Advancers executive. Ces chiffres s'inscrivent dans un contexte global de reprise : + 23% entre août et septembre 2006 et + 17% par rapport à septembre 2005, toutes activités confondues, pour les cadres. (...)

(19/10/2006 17:33:43)

Université.Net : une bonne piste pour évoluer !

Si Java et J2EE restent des compétences extrêmement recherchées sur le marché de l'emploi en France, les spécialistes en .Net reçoivent aujourd'hui pléthore d'offres. Une bonne nouvelle ? Pas forcément pour les entreprises qui recrutent. « Nous constatons depuis plusieurs mois une multiplication du nombre de projets en entreprise autour de .Net. Il se profile une pénurie de compétences .Net que nous nous devons d'anticiper », indique Frédéric Bojman, responsable marketing, audience développeurs chez Microsoft France. L'éditeur a donc pris la mesure de la demande et mis en place Université.Net. Les informaticiens peuvent postuler via le site msemploi, ou lors de salons organisés par Microsoft. Les entreprises partenaires du programme s'engagent à recruter des candidats et leur permettre de suivre une formation .Net dans un centre agréé, à Paris ou en province. Celle-ci dure de 3 semaines (informaticiens proches de l'environnement Microsoft) à 4 mois (partenariat avec l'Unedic pour le programme long, destiné à des personnes en recherche d'emploi). Aucune connaissance en .Net n'est requise, mais une expérience minimale en développement est exigée. Autres profils concernés : développeurs en poste, spécialisés dans d'autres technologies et souhaitant se mettre à .Net, ou jeunes diplômés n'ayant pas cette compétence. « Le programme a été ouvert en juin en phase pilote. Déjà 90 informaticiens ont été formés. Les entreprises partenaires sont très satisfaites. Aujourd'hui, Université.Net sort de la phase expérimentale pour devenir pérenne », conclut Frédéric Bojman. (...)

(18/10/2006 17:41:22)

Des polytechniciens branchés "règles métiers", mais c'est à Singapour

Les systèmes de gestion de règles métiers d'Ilog servent de support à une initiative originale de formation visant une population de 2100 élèves-ingénieurs de Singapour à former dans les trois ans à venir. Avec l'école Polytechnique de Nanyang et la société Singapore Computer Systems, le champion français du BRMS (Business Rules Management Systems) se propose d'initier ces futurs diplômés au développement et à la maintenance d'applications sur la base de cas pratiques. "L'une des missions essentielles du nouveau centre de formation sera de monter des projets « proof-of-concept », qui démontreront la valeur économique et opérationnelle des technologies de BRMS. A mesure que ces « proof-of-concept » seront réalisés et validés, les règles métier des différents secteurs seront stockées dans un référentiel centralisé, afin d'aider les entreprises à accélérer les premières étapes de la création de leurs nouvelles applications", explique l'éditeur. Depuis cet été, une vingtaine de maîtres de conférence de cette école polytechnique ont été formés à Gentilly et à Mountain View, les sièges français et américains de l'éditeur. Pour preuve de faisabilité (proof of concept), trois des enseignants singapouriens déjà formés ont développé, en trois mois, une application de gestion des demandes d'achats pour une banque locale, soit la moitié du temps nécessaire à des programmeurs pour coder en dur l'application. Une initative justifiée par le fait que "dans de nombreux secteurs, les BRMS sont considérés comme des solutions de base pour relever les défis engendrés par l'accélération des cycles opérationnels et par le vieillissement des architectures logicielles qui ne peuvent plus faire face au changement suffisamment rapidement". Selon le cabinet IDC, le segment de marché des BMRS devrait poursuivre sa croissance à un taux de croissance annuelle composite de 16,6% d'ici à 2009, pour atteindre un chiffre d'affaires supérieur à 300 millions de dollars en 2009. A quand des X (ou des Gadzarts ou des Enarques) branchés sur les systèmes de règles métiers? (...)

(18/10/2006 17:41:47)

Les projets en environnement Oracle en quête de professionnels

Pour Oratech, SSII spécialisée dans l'ingénierie de projets et la formation en environnement Oracle (bases de données, serveurs d'applications, outils de développement), le cap est mis sur une croissance de 20% des effectifs avant la fin de l'année, pour passer d'une force vive de 45 à 55 ingénieurs et technico-commerciaux. En dépit d'une démarche de cooptation volontariste, avec prime, Bruno Croizat, pdg d'Oratech, constate que la frilosité des profils qualifiés en place risque bien de faire obstacle à l'atteinte de cet objectif. "Est-ce la crainte d'une rechute du marché?", s'interroge-t-il. Pour les petites structures positionnées sur ce créneau, il est aussi difficile de débaucher à la concurrence que de dénicher des jeunes déjà opérationnels. A quoi s'oppose la bonne santé des affaires dans cette spécialité: au dernier exercice bouclé au 30 juin 2006, Oratech affichait une croissance de 20% du chiffre d'affaires et un bénéfice multiplié par quatre par rapport à 2005. (...)

(18/10/2006 17:49:04)

Ingres s'implante en Inde

Poursuivant sa stratégie de développement mondial, Ingres vient d'ouvrir des bureaux en Inde. L'éditeur vient de recruter Vivek Bhatnagar pour diriger sa nouvelle implantation de New Delhi. Vivek Bhatnagar est un ancien d'Informatica. Il sera chargé de développer l'activité d'Ingres sur le sous-continent indien. Sur place, l'éditeur a déjà conclu des partenariats avec des prestataires de services locaux dont, notamment, Cognizant et netCustomer. Hors des Etats-Unis et outre l'Inde, Ingres dispose de bureaux en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. Mais Ingres cherche désormais à toucher les marchés émergents, notamment l'Inde, le Brésil et l'Europe de l'est. En juillet, Ingres a procédé à sa première acquisition depuis son indépendance en novembre 2005 avec le rachat de Thinking Instruments. Cette opération a permis à l'éditeur de s'ouvrir l'Europe centrale. Ingres entend reproduire l'expérience sur d'autres marchés, notamment européens. (...)

(17/10/2006 17:45:46)

Le rachat d'Hummingbird par OpenText engendre 500 suppressions de postes

Le rachat du Canadien Hummingbird par le spécialiste de la gestion de contenu d'entreprise OpenText va résulter en un plan de réorganisation, censé placer l'acquéreur "en ligne avec [sa] vision à long terme et [ses] plans stratégiques", selon un communiqué du groupe. Conséquence de cette restructuration : OpenText va supprimer 15% des 3500 postes que comptera le nouvel ensemble, soit 525 emplois. Les fonctions impactées concernent les postes redondants ou n'étant pas directement liés à la vision stratégique du groupe. Les détails restent toutefois à déterminer, ce qui devrait être fait au cours du deuxième trimestre de l'exercice fiscal 2007. "Les changements que nous allons apporter impliquent des décisions difficiles, déplore John Shackleton, le PDG d'OpenText. Malheureusement, cela est nécessaire pour éliminer les redondances qui surgissent invariablement lorsque deux sociétés s'unissent". OpenText entend notamment faire converger ses solutions de gestion de contenus Web, issues du rachat de Gauss Interprise, avec celles d'Hummingbird, provenant de l'acquisition de Red Dot. (...)

(17/10/2006 17:42:05)

Augmentation des licenciements dans le domaine IT aux USA

Décidément, les études se suivent et ne se ressemblent pas ! Dernière en date, réalisée par le cabinet de réinsertion professionnelle Challenger Gray & Christmas : les licenciements aux Etats-Unis dans l'informatique auraient augmenté de 74% au troisième trimestre, alors qu'au trimestre précédent ils avait chuté à leur plus bas niveau depuis 2000. L'analyse indique que les coupes sont plus importantes de 23% par rapport à celles annoncées il y a un an dans les télécommunications, l'électronique, l'informatique (secteur le plus touché) et le E-commerce. A noter toutefois que ces pertes d'emplois seraient un phénomène conjoncturel, essentiellement liées aux réductions de coûts, aux restructurations ou fusions. (...)

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