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(11/01/2011 11:32:21)

L'UTBM et l'UTT se regroupent pour créer l'Université technologique de France

Les universités de technologie de Belfort-Montbéliard (UTBM) et de Troyes (UTT) - situées à 260 kilomètres de distance - ont décidé de s'engager dans un projet de fusion pour constituer le noyau d'une « Université technologique de France ». Grâce à ce regroupement, un établissement scientifique français pourra se situer sur le même pied d'égalité que d'autres universités technologiques européennes réputées comme celles de Delft, Munich, Copenhague ou Lausanne. «Actuellement, les établissements technologiques de l'Hexagone ne disposent pas d'un budget comparable à celui de leurs homologues européens, souligne Christian Lerminiaux, président de l'UTT. En France, la technologie est malheureusement  considérée comme une sous science, à l'inverse de l'Allemagne où celle-ci fait figure de domaine d'excellence. »

Des fonds qui devraient doubler

Le rapprochement de l'UTBM et de l'UTT permettra à la nouvelle  structure de renforcer sa dimension internationale. Elle rassemblera  5 000 étudiants, 390 enseignants chercheurs. et elle bénéficiera dans un premier temps de 80 millions d'euros de budget annuel. Ses fonds  devraient augmenter du double d'ici une dizaine d'années. L'accent sera également mis sur le renforcement de la formation tout au long de la vie pour renforcer l'employabilité des seniors. Selon les principes de base du projet, l'Université technologique de France conservera les sites actuels de Troyes et de Belfort-Montbéliard, avec des spécialisations au niveau de la recherche. Le conseil d'administration de l'UTBM a approuvé ce projet en décembre 2010, tandis que l'UTT l'a validé le 6 janvier dernier. Le dossier sera soumis aux autorités de tutelle dans les prochains mois. Ainsi, le futur établissement pourra  voir le jour à partir du 1er janvier 2012.

Illustration: les locaux de l'UTT. Crédit photo: D.R
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(10/01/2011 10:55:41)

Baromètre HiTech Pros/CIO : Compétences IT en retrait en décembre

Le mois de décembre 2010 confirme la tendance de la fin d'année avec une baisse des demandes clients de 9% sur le marché des compétences informatiques par rapport à décembre dernier selon le Baromètre HiTechPros/CIO.

Sur cette période, les catégories techniques les plus demandées sont toujours les mêmes. Cependant, les compétences liées à la catégorie « Systèmes, réseaux, sécurité » (29%) prennent la place des catégories les plus recherchées, ex-æquo avec les « Nouvelles technologies » et plus loin derrière « Consulting Expertise » avec 15 % des demandes.

Ce mois-ci, la catégorie technique « Systèmes, réseaux, sécurité » augmente donc de +37,9 % par rapport à décembre 2009.

Les catégories techniques affectées par la plus forte baisse de la demande ce mois-ci sont consulting Expertise (- 3,6 %), CRM (- 19 %) et surtout Nouvelles technologies (- 20, 8 %).

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(10/01/2011 10:58:41)

Cognitis recrute 250 informaticiens

Cognitis France et sa filiale Vanilla (700 collaborateurs) poursuivent le rythme de leurs embauches. Après avoir intégré 150 consultants et ingénieurs IT en 2010, le groupe spécialisé sur l'ensemble des marchés du tertiaire financier table sur 250 recrutements supplémentaires d'ici la fin de l'année. L'entreprise recherche des spécialistes fonctionnels et/ou technologiques pour ses activités de cash management, de risques, de tenue de compte, d'épargne, de prévoyance et de santé.

Posséder entre 2 à 10 ans d'expertise

70% des postes à pourvoir concernent des profils de niveau expérimenté :   il s'agit de consultants en BI, MOA et QSI (qualité des systèmes d'information), d'ingénieurs d'études Java/C++/.NET, d'homologateurs/testeurs, de coordinateurs de projets et de consultants PMO (product managers office - gestion de projets de haut niveau). La SSII recrute également  des concepteurs fonctionnels et techniques, des architectes et des urbanistes, et également des chefs de projets IT et scrum.  Les candidats devront posséder entre 2 à 10 ans d'expérience et être issus d'écoles d'ingénieurs ou d'universités. Les offres sont principalement basées en Ile-de-France.  

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(05/01/2011 10:36:02)

Morcelé, le marché de la mobilité cherche à recruter

Le secteur de la mobilité numérique représente 47 000 emplois dans l'hexagone, hors opérateurs télécoms, selon le Syntec Informatique, qui est le syndicat de l'industrie informatique en France. Côté budgets, en 2009, les entreprises françaises ont dépensé en tout 2,2 milliards d'euros pour la mobilité numérique (hors factures de téléphone et de SMS, mais y compris les abonnements aux réseaux de données des opérateurs). Environ un tiers de ces dépenses a été consacré à l'achat d'appareils de type smartphones, terminaux durcis, PC portables etc, et un peu plus de 20% correspond aux abonnements de mobilité data des opérateurs mobiles. Le reste, c'est à dire presque un milliard d'euros a été consacré aux achats de logiciels et de services informatiques pour des applications mobiles.

L'offre de services est particulièrement émiettée. Et ce n'est pas nouveau tant les compétences nécessaires sont multiples face à l'explosion des systèmes d'exploitation et des facteurs de forme pour les terminaux (netbook, tablettes, smartphone). Le Syntec identifie pas moins de 5400 éditeurs et SSII qui travaillent dans le domaine de la mobilité pour les entreprises. Un véritable écosystème se met en place sur le territoire, avec de grands acteurs nationaux et internationaux mais aussi de petites structures qui ont développé une compétence dans le domaine de la mobilité. Notamment 10% de ces prestataires ne travaillent que dans les applications mobiles, et il s'agit principalement de petites structures de moins de 5 salariés. On trouve quelques entreprises de taille moyenne (de 10 à 30 salariés) dont la mobilité numérique est le coeur d'activité. Mais majoritairement (à 65%), les applications mobiles sont prises en charge par des entreprises pour lesquelles cette activité n'est pas majoritaire mais où elle enregistre une forte croissance. Il faut ajouter à ces acteurs les fabricants d'équipements (smartphones, ordinateurs portables, terminaux durcis, composants M2M) ainsi que les opérateurs de télécommunications.

Quelques difficultés pour trouver des compétences

Au bout du compte, les éditeurs de logiciels et les SSII emploient en tout 32 000 personnes dédiées à la mobilité numérique tandis que les entreprises utilisatrices de plus de 500 salariés emploient en tout 15 000 personnes dédiées. La très grande majorité des effectifs sont employés pour des usages B2B. On n'en trouve que 17% travaillant pour des usages B2B2C, 16% pour des usages M2M et 4% pour des utilisations B2C.

Le secteur va avoir de gros besoins dans les années à venir. Les applications mobiles ayant le vent en poupe dans les entreprises. Les éditeurs de logiciels et les SSII prévoient ainsi de recruter 11 000 collaborateurs d'ici 5 ans. Les métiers les plus porteurs seront la conception-réalisation, l'intégration-déploiement et l'assistance. Les bons profils ne sont toutefois pas légion. 24% des éditeurs et 25% des SSII ont des difficultés de recrutement principalement pour les profils conception et réalisation, et de manière moins importante pour les métiers de l'assistance, l'AMOA, l'intégration et le déploiement. Le Syntec regrette que face à ces besoins, il existe peu de formations spécifiques et peu de visibilité de la part des organismes de formation sur le futur de la mobilité numérique. Une action déterminée en direction des formations initiales et des formations continues est indispensable, demande le syndicat. 

Cette étude du Syntec a été réalisée entre les mois de janvier et mai 2010. 80 entretiens qualitatifs ont été réalisés avec des fournisseurs du secteur, des entreprises utilisatrices, des organismes institutionnels, des organismes de formation et des salariés du secteur. 300 entretiens téléphoniques ont été effectués aux mois d'avril et de mai auprès d'entreprises utilisatrices de plus de 500 salariés, des éditeurs de logiciels et des SSII.

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(04/01/2011 14:02:05)

Les iPad font leur entrée au MBA de l'Essec

Popularisée par l'iPad, la tablette tactile commence à trouver sa place sur le marché des professionnels. L'intégration de ces équipements au sein des entreprises commence à faire son chemin aux Etats-Unis et également en France. Emboîtant le pas à Natixis ou Mercedes-Benz, l'Essec a également choisi de s'engager dans la voie de la mobilité en en distribuant des iPad aux cadres supérieurs inscrits en formation continue. «Nous avons décidé de créer un environnement de travail réservé aux dirigeants en partant d'une réflexion qui devait conduire à dématérialiser nos supports de formation, indique Phlippe-Pierre Dornier, professeur à l'Essec, l'iPad nous est alors apparu comme un déclencheur énorme. Grâce à ces terminaux, les participants n'utilisent plus aucun supports papiers. Mais ils doivent apprendre à travailler différemment. »  Une cinquantaine d'ardoises Apple équipent actuellement les cadres de la promotion 2010 suivant le programme Management général. L'établissement compte distribuer, à partir de mars prochain, une cinquantaine d'iPad supplémentaires aux personnes qui suivront le Master Executive MBA. Les  participants inscrits à la prochaine promotion du programme Management général seront également équipés de 50 iPad.

Une refonte organisée autour de quatre axes

La refonte des processus et la conduite du changement a été assurée par le cabinet de conseil en gouvernance informatique Neoxia qui a coordonné les différents acteurs, équipes pédagogiques et pôle système d'information. « Notre mission portait sur l'implantation d'un dispositif numérique au sein du département SI dans le cadre d'un projet comportant quatre volets, souligne Florence Dietsch, consultante. Il s'agissait de refondre la base de données documentaires transmise aux participants, d'assurer la partie accompagnement sur les usages de l'iPad, de fournir une classe virtuelle  pour que les participants puissent communiquer entre eux, et enfin de mettre en place des outils de collaboration comportant à la fois des vidéos et des documents PDF ». Pour la consultante, les entreprises ont tout intérêt à s'engouffrer dans la brèche des tablettes digitales. « Les ardoises ont des avantages certains dans le milieu professionnel, considère t-elle. Les documents et supports en ligne sont facilement accessibles, l'encombrement est, par ailleurs, considérablement réduit, l'allumage s'effectue plus rapidement comparé aux PC traditionnels et la lecture se fait également plus aisément »  Sans compter les avantages, en terme de mobilité et également d'image qu'elles véhiculent. « Un collaborateur équipé d'un iPad se sentira davantage valorisé dans l'entreprise », assure Florence Dietsch

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(04/01/2011 10:13:27)

Arès, les repreneurs connus le 6 janvier

Le calendrier s'accélère pour Arès, qui a déposé son bilan fin novembre. C'est le 6 janvier au plus tard que les candidatures à la reprise du groupe doivent être déposées. Le choix du repreneur devrait ensuite être annoncé par le tribunal d'Evry 15 jours après. Si les administrateurs judiciaires restent discrets sur l'origine des candidatures déjà déposées, il semble que plus de 10 entreprises se soient déclarées. « Le comité d'entreprise d'Arès ne doit pas être écarté plus longtemps de la procédure : il est responsable et souhaite comme tout le monde que le plus grand nombre d'emplois soient sauvegardés », indique Mina Chichib-Deydier, déléguée syndicale CFDT de l'entreprise et d'ajouter « cela étant, le tribunal ne fixera pas son choix uniquement sur le nombre de salariés repris, il prendra également en compte la pérennité des projets et défendra les intérêts des créanciers. Il est important et logique que les salariés soient impliqués dans cette analyse. »

Les salaires sont versés

Les 457 salariés d'Arès savent pertinemment qu'un plan social sera mis en place quel que soit le repreneur. Mais le nombre de licenciements reste une variable inconnue : il va d'une quarantaine (principalement le personnel administratif) à plusieurs centaines. En attendant le choix du tribunal d'Evry, ils étaient surtout impatients de percevoir leurs salaires pris en charge par le régime de garantie des salaires (AGS), qui s'est substitué à Arès, en cessation de paiement. « Le temps presse car le premier capital de l'entreprise est l'ensemble des compétences qu'il a accumulé, précise Mina Chibchib-Deydier. Pour l'entreprise comme pour eux-mêmes, les salariés n'ont aucun intérêt à quitter Arès avant que des décisions soient prises courant janvier. » Au final, la crainte du comité d'entreprise est que le choix soit justement déjà fait...

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(27/12/2010 12:44:07)

Moins d'informaticiens inscrits au chômage en novembre 2010

Sur un nombre d'inscrits à Pôle Emploi en hausse de 2% sur un an dans la catégorie A (personnes sans emploi*) et de 0,8% par rapport à octobre dernier, on note à l'inverse une légère baisse, dans le classement par métiers, pour les professions liés aux systèmes d'information et de télécommunication. Entre octobre 2010 et novembre, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits pour ces métiers est passé de 27 100 à 26 500 personnes en France métropolitaine, dans la catégorie A. Il y a un an, fin novembre 2009, ce groupe comptait 28 500 personnes.

En ajoutant à ces demandeurs d'emploi les personnes inscrites dans les catégories B et C, c'est-à-dire celles ayant exercé une activité réduite sur la période, la Dares (**) a comptabilisé, en France métropolitaine, 32 900 demandeurs d'emploi en novembre 2010, contre 33 400 le mois précédent, sur les métiers liés aux systèmes d'information et de télécommunication. Fin novembre 2009, ce groupe comptait 33 900 personnes.

Il s'agit de données brutes, non corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables.

NB : Rappelons que la Dares a réorganisé sa classification métiers au début de cette année, faisant passer les professions de l'informatique dans la catégorie « métiers des systèmes d'information et de télécommunication » et reclassant au passage une partie des postes sur d'autres métiers. Ce nouveau décompte avait fait baisser le nombre d'inscrits assimilés jusqu'alors aux métiers de l'informatique

(*) 2 698 100 personnes inscrites à Pôle Emploi fin novembre 2010 en France métropolitaine dans la catégorie A qui recense les personnes sans emploi n'ayant exercé aucune activité dans le mois.
(**) La Dares (Direction de l'Animation de la Recherche, des Etudes et des Statistiques, Ministère du travail, de la solidarité et de la fonction publique) indique qu'au total, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle Emploi de catégories A, B (ayant eu une activité d'au plus 78 heures au cours du mois) et C (ayant eu une activité de plus de 78 heures dans le mois) s'établit à 4 019 000 fin novembre en France métropolitaine (4 272 200 en incluant les DOM).

Source : Séries mensuelles nationales brutes de la Dares.

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(21/12/2010 12:27:14)

Smile recherche près de 200 spécialistes Open Source

Avis aux passionnés du web et des logiciels libres.   L'intégrateur français de solutions Open Source Smile (430 collaborateurs en France et à l'international) cherche à recruter 180 informaticiens en 2011. Les profils recherchés sont majoritairement des ingénieurs confirmés et environ 25 % de juniors. Les postes proposés ciblent principalement des ingénieurs d'études et développement, des experts techniques, des chefs de projet, des consultants et des ingénieurs d'affaires.

Plus de 60 postes ouverts aux stagiaires

Ils se situent au siège de la société à Paris, également en région (à Lyon, Nantes, Bordeaux, Montpellier) de même qu'à l'international (Amsterdam, Barcelone, Genève, Casablanca ou Kiev). Après leur intégration dans l'entreprise, les candidats pourront bénéficier de plus de 3 200 heures de formation et passer des certifications internes ou externes. Plus de 60 stages de fin d'étude, préludes à des embauches définitives, leur seront parallèlement offerts.

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(20/12/2010 14:52:13)

Bilan emploi 2010 : Une reprise de l'emploi IT en demi-teinte

Après une année 2009 exécrable, le marché de l'emploi informatique semble avoir retrouvé quelques couleurs. L'an dernier, les embauches de cadres dans la fonction informatique avaient baissé de 24%,  contredisant les prévisions des recruteurs qui escomptaient une hausse sur ces postes au début de l'année. Dans le même temps, environ 30 000 professionnels de l'informatique étaient inscrits au chômage, sur une population évaluée à 500 000 informaticiens en France. Malgré tout, cette année, la profession a mieux résisté que d'autres domaines. L'enquête besoins en main d'oeuvre (BMO) 2010 publiée au printemps dernier par Pôle emploi dénombrait pas moins de 48 564 projets de recrutement IT dans l'Hexagone. De son côté, la note trimestrielle de conjoncture du marché de l'emploi des cadres diffusée fin octobre 2010 par l'Apec indiquait que neuf entreprises sur dix avaient recruté des informaticiens au troisième trimestre 2010, contre huit sur dix au troisième trimestre 2009.

35 000 embauches d'informaticiens réalisées en 2010

L'organisme tablait également sur des prévisions de recrutements en hausse de 4 point, précisant, par ailleurs, que 69% des entreprises IT ayant embauché au troisième trimestre indiquaient avoir engagé des jeunes diplômés. Même son de cloche pour Syntec numérique. La fédération professionnelle des éditeurs, SSII et sociétés de conseil en technologies confirmait également la retour progressif à la normale sur le front de l'emploi high-tech. Sous l'effet du redémarrage de l'activité et de la reprise du turnover 35 000 recrutements d'informaticiens (dont 26 000 cadres IT) étaient attendus d'ici la fin de l'année pour un total de 3 000 à 5 000 créations nettes d'emploi. La projection sur 2011 laissait apparaître une prévision de 3% de hausse pour l'industrie des logiciels et systèmes et une croissance montant à 4% pour les éditeurs, et de  1 à 1,5 % pour les SSII.
Pourtant, le chômage et la précarité touchent toujours les  informaticiens : d'abord  les jeunes ingénieurs, dont le taux d'emploi a fortement reculé en 2010, avec seulement 70% des diplômés de 2009 en poste, soit une baisse de 10 points par rapport à ceux de la promotion 2008 et de 21 points par rapport à ceux de 2007. Ensuite, les victimes des plans de  licenciements, conséquence de projets de réorganisations suite à d'importants rachats, comme celui de Sun par Oracle.

Crédit photo: D.R
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(20/12/2010 11:28:54)

Apple recrute des développeurs spécialisés cartographie et navigation

Les annonces précisent qu'Apple souhaite embaucher quatre (ou plus) personnes pour son équipe de développeurs iOS qui ont une expérience en développement de logiciel de navigation. Les recrues pourront ainsi « nous aider à construire à partir de rien les meilleurs plates-formes hébergées au monde sur une grande échelle ». Les postes sont situés dans la vallée de Santa Clara. La firme de Cupertino recherche des personnes avec plus de trois ans d'expérience « en développement de haut niveau sur des systèmes logiciels reconnus. » C'est un plus si elles ont « une connaissance approfondie de la géométrie algorithmique ou la théorie des graphes. »

L'application par défaut pour les cartes sur iOS a été créée par Google depuis le lancement du premier iPhone en 2007. Maintenant que l'éditeur de Mountain View est devenu un concurrent sérieux dans le monde du système d'exploitation mobile, Apple cherche à minimiser sa dépendance envers les services de Google.

Une démarche déjà engagée


Les offres d'emplois ne sont pas le premier signe qu'Apple s'intéresse au marché de cartographie. Elle avait ainsi abandonné, au profit de sa propre base de données, les informations de localisation de Skyhook et Google lors du lancement de l'IOS 3.2 sur l'iPAD. Elle a également acquis en juillet dernier Poly9, société de logiciel de cartographie et Placebase en juillet 2009. Cette dernière était en concurrence avec Google Maps en proposant des outils de personnalisation, comme le moyen d'ajouter des données sur les cartes.

En novembre 2009, Apple avait proposé un emploi à quelqu'un qui pourrait aider à « travailler, repenser la façon dont les utilisateurs utilisent Maps ». Il semble qu'avec les nouveaux recrutements, le développeur en question verra son équipe s'étoffer.


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