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(06/11/2009 14:49:20)

Microsoft confirme 800 suppressions de postes de plus dans le monde

Microsoft a confirmé une troisième vague de licenciements dans le monde, dans différentes entités et services. Huit cent suppressions de postes de plus sont prévues, un quart d'entre elles concernant apparemment la région de Seattle, selon le site d'informations TechFlash qui couvre l'actualité de l'industrie high-tech sur la côte Pacifique Nord des Etats-Unis. En janvier dernier, Microsoft avait indiqué qu'il engageait un plan de 5 000 suppressions de postes sur dix-huit mois, dans ses départements R&D, marketing, vente, finance, juridique, ressources humaines et IT. Dans son dernier rapport trimestriel à la SEC (Securities and exchange commission), l'autorité américaine de contrôle des marchés, l'éditeur dit avoir déjà supprimé 5 000 postes au 30 septembre et réduit son effectif de 4 600 personnes dans le cadre de son plan annoncé en début d'année. 1 400 personnes avaient été licenciées dès janvier, les autres départs étant intervenus au mois de mai. « Nous nous sommes aperçus que nous devions aller un peu au-delà de ces 5 000 suppressions de postes », a admis Lou Gellos, l'un des porte-parole de Microsoft. Conformément à sa politique habituelle, l'éditeur procédera ultérieurement à des réajustements sur son effectif si cela s'avère nécessaire, a-t-il ajouté. (...)

(06/11/2009 11:55:48)

Les députés de la commission « souffrance au travail » se rendront chez France Télécom

Selon l'AFP, le groupe de travail de députés UMP et Nouveau Centre qui planche sur la souffrance au travail tiendra sa prochaine réunion plénière le 19 novembre prochain dans un établissement de France Télécom où il rencontrera les salariés. « Une réunion plénière de conclusion aura lieu le 10 décembre et nous rendrons public notre rapport le 16 décembre », a précisé Jean-François Copé, qui co-préside la commission. Il a ajouté que le groupe de travail étudiait la piste d'un « bonus/malus pour dire que l'entreprise qui investit beaucoup dans le capital humain, dans la formation, dans la sensibilisation au problème de la souffrance au travail mérite d'être encouragée ». (...)

(05/11/2009 17:36:44)

L'Afdel adhère au CICF Informatique pour y renforcer le poids du logiciel

« Entrer dans les instances qui permettent de peser sur la convention collective Syntec-CICF afin d'y intégrer davantage les métiers du logiciel était l'une des préoccupations de l'Afdel », a rappelé hier Patrick Bertrand, président de l'association française des éditeurs de logiciels. C'est désormais en très bonne voie. A l'occasion de son assemblée générale annuelle, à Lyon, ce mercredi 4 novembre, l'Afdel a annoncé son adhésion à CICF Informatique, l'un des onze syndicats constitutifs de la Chambre de l'Ingénierie et du conseil de France. L'association professionnelle d'éditeurs, créée il y a quatre ans, pourra ainsi intégrer les instances paritaires (organisations syndicales et patronales) qui gèrent la Commission de la convention collective nationale 'applicable au personnel des bureaux d'études techniques, des cabinets d'ingénieurs-conseils et des sociétés de conseil du 15 décembre 1987', dite 'Syntec-CICF'. Faire entendre les besoins des éditeurs en matière de formation Dans ces instances, la fédération CICF dispose de 40% des sièges patronaux (soit 4 sièges), aux côtés de la Fédération Syntec (6 sièges), explique son président François Amblard. Elle y cogère également la Commission paritaire nationale de l'emploi et le Fafiec, c'est-à-dire le fonds d'assurance formation de l'ingénierie, de l'informatique, des études et du conseil. « Nous souhaitons participer à l'offre de formation de la branche via le Fafiec et faire comprendre qu'il faut affecter massivement des budgets vers les éditeurs de logiciels », a expliqué Patrick Bertrand en rappelant qu'en tant qu'association professionnelle, l'Afdel ne pouvait avoir jusqu'alors de relations avec les partenaires sociaux. Par son adhésion au CICF, l'Afdel va pouvoir bénéficier d'une représentativité dans ces instances syndicales. Elle proposera dans la foulée de nouveaux services à ses adhérents, notamment l'accès à des rencontres thématiques et une hot-line. Le syndicat CICF Informatique a été créé il y a trois ans au sein de la chambre syndicale CICF, elle-même fondée en 1912. Il couvre quatre lignes de métiers : le conseil en système d'information, l'ingénierie système, l'infogérance Web et l'édition de logiciels. Ses cinq commissions thématiques se répartissent les questions de communication, de gestion (juridique, référentiel des métiers...), de compétence (formation, recrutement...), d'économie (marchés, financement...) et de développement durable (Agenda 21 TIC, Green IT...). Rassemblant une centaine de membres, CICF Informatique pèse environ 8% du CICF. En 2009, il a participé à la refonte du référentiel des métiers des TIC. (...)

(28/10/2009 11:40:32)

EffiTIC affiche ses ambitions et espère embaucher 100 personnes d'ici 3 ans

Au mois de mai dernier, les dirigeants de Prologue Eric Dermont et Luc Pévère (*) reprenaient, avec des investisseurs, l'activité services applicatifs d'EDS. Ils créaient pour cela la société EffiTIC (à partir du mot « efficience »). Parallèlement, ils continuaient à exercer la direction de Prologue, éditeur et intégrateur, dont Eric Dermont a pris la tête et assumé le redressement depuis 2004. L'activité reprise sous le nom d'EffiTIC représente 43 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA). L'intégralité des contrats est poursuivie, dont 25 parmi des grands comptes, nous explique Eric Dermont qui annonce un objectif de 100 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) d'ici trois ans et une centaine d'embauches pour cette fin d'année 2009. De quoi rassurer les sceptiques, sur sa capacité à redresser une activité non rentable chez EDS et à assumer la présidence de deux sociétés différentes, un éditeur-intégrateur (Prologue) et une SSII (EffiTIC). La société compte 530 personnes, le tiers des cent recrutements se fera en Ile-de-France, le reste en régions, où la société compte six directions régionales. Deux types de compétences sont recherchés : l'intégration de systèmes et le testing applicatif. Début 2010, EffiTIC va également mettre sur pied une Academy chargée de former ses ingénieurs. « Nous allons déployer des moyens importants pour les mettre au top niveau que ce soit en technologies (virtualisation, outils de développement par exemple) ou pour le management » souligne Eric Dermont. (*)Luc Pévère fut directeur général des services applicatifs d'EDS pour la France, l'Espagne et le Portugal de février 2007 à juin 2008. (...)

(27/10/2009 08:32:14)

Le Crédit Agricole pourrait supprimer 1 000 postes dans ses entités informatiques régionales (MAJ)

Le Crédit Agricole avait annoncé en avril dernier son projet Nice (*) visant à constituer un seul système d'information d'ici cinq ans. Aujourd'hui les ressources informatiques des cinq caisses régionales ne sont pas totalement homogènes. Historiquement, chaque caisse a développé ses propres solutions informatiques sans grande concertation avec ses voisines. Ainsi une transaction financière effectuée dans une caisse régionale, déposer un chèque par exemple, pourra être plus longue à créditer dans une autre caisse régionale que dans une banque extérieure au groupe, nous expliquait un informaticien du groupe. Ce chantier de rationalisation informatique pourrait conduire à supprimer 1 000 postes qui font doublons dans les entités informatiques régionales, passant de 2 500 à 1 500 postes. La banque doit investir 400 millions d'euros dans ce projet de refonte et prévoit de créer de nouveaux métiers, a précisé en fin de semaine dernière à l'AFP le directeur du projet Hichem Jaballah. Ce dernier a cité en exemple à l'agence la maîtrise d'ouvrage, « à mi-chemin de la banque et de l'informatique », qui devrait ainsi employer 400 personnes. (*) Projet Nice pour « Nouvelle Informatique Communautaire Evolutive » (...)

(22/10/2009 16:05:34)

APEC : pas de remontée des offres pour les cadres IT en septembre

En septembre, l'Apec a reçu 5 269 offres d'emploi de cadres destinées aux professionnels de l'informatique, soit une baisse de 38% par rapport à l'an dernier. Si l'on considère le cumul des offres reçues par l'Apec dans ce domaine depuis le début de l'année (45 230), on constate un recul équivalent (-38%) par rapport aux trois premiers trimestres 2008. Dans le secteur de l'informatique, 81% des entreprises ont recruté au moins un cadre sur cette période et 76% prévoient d'en recruter un sur les trois derniers mois de l'année, contre 81% au troisième trimestre 2008. A noter qu'une entreprise sur trois du secteur informatique qui ne recrute pas invoque la mauvaise conjoncture économique, contre seulement 20% seulement pour l'ensemble des entreprises qui ne prévoient pas d'embauche. Globalement, les recruteurs semblent trouver un peu plus facilement des candidatures correspondant aux postes proposés : 53% déclarent en effet avoir eu des difficultés pour recruter, alors qu'ils étaient 60% à s'en plaindre l'an dernier. L'Apec l'explique par une remontée du nombre moyen de candidatures par offre : 48 contre 34 il y a un an. Toutefois, dans ce paysage, « les offres de la fonction Informatique sont toujours celles qui attirent le moins de candidatures, 23 en moyenne », très en dessous, donc, des 48 candidatures reçues en moyenne sur l'ensemble des offres. (...)

(21/10/2009 12:09:17)

Sun supprime 3000 postes, en attendant son rachat par Oracle

Sun Microsystems va se séparer de près de 3000 employés dans les 12 prochains mois (10% de l'effectif). Une information qui est loin d'être une surprise. En effet, en attendant que la Commission Européenne donne son aval à Oracle pour le racheter, le constructeur californien perdrait en effet environ 100 M$ chaque mois, aux dires Larry Ellison, CEO d'Oracle. Dans un communiqué envoyé mardi 20 octobre aux autorités de régulation des Etats-Unis, Sun confirme procéder à ce plan de licenciements à cause du "retard pris dans le processus de clôture de l'acquisition." Le constructeur ajoute que cette démarche permettra "d'aligner ses ressources avec ses objectifs stratégiques et économiques." Le Californien estime entre 75M$ et 125 M$ la charge associée à ces départs, essentiellement en primes de licenciements. Une charge qui devrait surtout peser sur les 2e et 3e trimestre de son année fiscale, c'est à dire entre octobre 2009 et mars 2010. Ces licenciements semblaient inévitables, quoi qu'il arrive. Avec ou sans les retards de validation de l'acquisition. Tony Sacconaghi, analyste spécialisé dans la technologie pour Sanford C.Bernstein&Co., Oracle pourrait supprimer jusqu'à 10000 postes, une fois l'opération conclue. En novembre 2008, Sun avait déjà annoncé entre 5000 et 6000 licenciements pour améliorer sa position financière. Une porte-parole du constructeur a précisé que les coupes annoncées mardi venaient bien s'ajouter à ce nombre. Si le DoJ (Department of Justice, ministère américain de la justice) a approuvé le rachat de Sun par Oracle pour 7,4 Md$ en août, la Commission Européenne a préféré lancer une enquête approfondie avant de se prononcer. Cette investigation pourrait se prolonger jusqu'en janvier. La Commission s'inquiète en particulier des conséquences sur le marché de l'Open Source, du passage de MySQL entre les mains du numéro un mondial des SGBD. (...)

(20/10/2009 16:59:24)

SAP BusinessObjects et Centrale Paris ont inauguré leur chaire de Business Intelligence

La Business Intelligence est devenue une discipline de recherche. Pour Bernard Liautaud, fondateur de la société Business Objects il y a dix-neuf ans (à droite sur la photo), l'inauguration le 14 octobre d'une chaire d'enseignement et de recherche dans le domaine de la BI, par SAP et l'Ecole Centrale Paris, c'est un peu une consécration. C'est ce qu'il a confié à cette occasion, avec un sourire, en appréciant que la BI ait acquis « ses lettres de noblesse ». Ce qui se présentait au départ comme « une innovation simple, une surcouche de 'requêtage' au-dessus d'une base de données, pour qu'un utilisateur dialogue avec son système d'information dans son langage de tous les jours (...) est devenue une manière d'optimiser le fonctionnement de l'entreprise. Des entreprises sur le point de faire faillite ont retrouvé une nouvelle vision avec la BI », n'hésite pas à affirmer l'entrepreneur français, qui siège depuis juin 2008 au directoire de l'éditeur allemand SAP, acquéreur de Business Objects en septembre 2007. Un professeur de classe internationale La chaire de Business Intelligence inaugurée la semaine dernière est opérationnelle depuis mai 2008. Elle est axée sur la gestion des données, méta-données et connaissances, ainsi que sur la visualisation de l'information et les interactions utilisateur/machine. Cette chaire est intégrée au laboratoire de Mathématiques Appliquées aux Systèmes de Centrale Paris. D'ici la fin de l'année, elle aura accueilli huit stagiaires de 3e année, six doctorants et trois post-doctorants et participé au dépôt de plusieurs brevets, ainsi qu'à plusieurs projets nationaux et européens. Les membres de la chaire travaillent avec l'entité Academic Research Center de SAP BusinessObjects. « Cette chaire nous permet de recruter un professeur de classe internationale qui nous apportera excellence et visibilité », a estimé lors de l'inauguration Hervé Biausser, directeur de Centrale Paris (à gauche sur la photo ci-dessus). Construites sur un modèle de co-innovation entre une entreprise, qui investit pendant cinq ans, et l'Ecole Centrale, ces chaires « sont extrêmement précieuses, car elles nous permettent de hisser la qualité de l'équipe d'enseignants de l'école », a insisté Hervé Biausser. Il rappelle par ailleurs que les projets de Centrale sont « tirés par l'aval, par les besoins des entreprises ». Prendre le temps de la recherche en BI A l'initiative de cette chaire de recherche, Hervé Couturier, vice-président exécutif de SAP Technology Development, y voit l'opportunité de renforcer la puissance de frappe intellectuelle de SAP et d'étendre ses possibilités de recrutement. Centralien lui-même, à l'instar de Bernard Liautaud, Hervé Couturier chapeaute 5 000 personnes, ingénieurs et développeurs, dont 500 en France. « Nous embauchons entre 250 et 300 ingénieurs par an. Ce que nous faisons en France est nécessaire, mais pas suffisant. Les ingénieurs en Inde, au Canada, en Bulgarie ou en Israël sont aussi bien formés que les Français. En nous associant à l'Ecole Centrale, je souhaite participer au rayonnement de l'ingénierie française ». Il rappelle aussi que, dans l'entreprise, il faut aller le plus vite possible, de l'idée à l'objet, pour arriver sur le marché et vendre un produit ». Cette chaire permettra à l'inverse de prendre le temps d'approfondir la recherche dans ce domaine. Quelques minutes plus tôt, Pascal Rialland, DG de SAP France, confiait que 50% des ventes de logiciels chez SAP sont désormais réalisées autour des technologies Business Objects, contre 1/5e seulement lors du rachat de BO en 2007. Pour Bernard Liautaud, si la BI est la ligne de produit qui a la plus forte croissance chez SAP, « nous sommes encore au tout début de cette transformation ». Le fondateur de BO évoque les perspectives que laisse entrevoir la fusion entre la BI classique et les moteurs de recherche, c'est-à-dire l'accès à l'information de type 'search' qui fait maintenant partie de la vie quotidienne des internautes. « Il y a énormément de sources disponibles à exploiter pour disposer d'informations en temps réel de façon quasi instantanée sur tout type de terminal ; des informations associées de telle façon qu'elles deviennent une vraie intelligence. » L'intérêt de la chaire de recherche accueillie par l'Ecole Centrale, a-t-il rappelé, c'est aussi de pouvoir travailler et avancer sans être entravé par « les considérations purement commerciales de l'entreprise ». L'un des défis de Business Objects, aujourd'hui, c'est de conserver « la capacité d'innovation que nous avions lorsque nous étions une start-up », reconnaît Bernard Liautaud. « On peut créer pour cela de petites structures dédiées, ou faire intervenir des stimuli externes comme avec Centrale. » Il serait d'ailleurs ravi d'étendre le partenariat noué avec l'Ecole Centrale à l'Allemagne ou aux Etats-Unis, avec Stanford ou le MIT. Une représentation sémantique unifiée des données structurées et non structurées La chaire SAP BusinessObjects de Business Intelligence est dirigée par Marie-Aude Aufaure (voir photo), professeur à l'Ecole Centrale Paris en science informatique, au sein du Laboratoire de Mathématiques Appliquées aux Systèmes. « La BI vise à aller de la donnée à la décision en générant de la connaissance », a-t-elle rappelé en préambule de la leçon inaugurale qu'elle a donnée ce mercredi 14 octobre. Elle a d'abord retracé, de façon générale, quels impacts avaient sur la BI les récentes évolutions de la société de l'information. Celles-ci impliquent de transformer toutes les données -y compris non structurées- en information, de favoriser la simplicité d'utilisation sur les nouveaux terminaux tels que l'iPhone, de faciliter la collaboration et de s'intégrer avec les processus métier. Autant d'évolutions qui fournissent des problématiques à explorer au niveau de la chaire de BI. Plus technique, la deuxième partie de l'intervention de Marie-Aude Aufaure s'est penchée sur l'élaboration d'une représentation sémantique unifiée des données structurées et non structurées. (...)

(15/10/2009 16:08:26)

Deux informaticiens sur trois veulent changer de poste pour gagner plus

Deux tiers des informaticiens en poste envisagent de changer de poste pour doper leur salaire, et 38% aimeraient le faire dans les six mois. C'est ce que fait apparaître l'étude menée en juin dernier sur près de 3 700 professionnels de l'informatique par Expectra et LesJeudis.com (*). C'est dans le groupe des 30/49 ans que l'on trouve surtout les candidats au changement, ainsi que parmi les salariés des SSII et des éditeurs. Les professionnels de l'audit et du conseil sont eux aussi partants pour bouger, contrairement à ceux qui évoluent dans le développement, plus stables. Enfin, on montre davantage de velléités à évoluer lorsque l'on a entre 3 et 10 ans d'ancienneté dans son entreprise ou lorsque l'on est collaborateur d'une structure de plus de 500 salariés. 37% des professionnels de l'informatique interrogées par Expectra / LesJeudis.com jugent que la crise aura des conséquences négatives sur leur carrière, principalement parmi le groupe des 40/49 ans qui sont 45,5% à se trouver dans cet état d'esprit. Les professionnels du développement pensent la même chose à 45%, de même que les salariés des SSII, à 47%. A titre de comparaison, Expectra met en regard de ces chiffres ceux de l'étude qu'il a conduite sur le même sujet auprès des ingénieurs. Plus confiants, ces derniers ne sont que 30% à se déclarer affectés par la crise. Malgré tout, chez les informaticiens, il se trouve tout de même 40,3% de répondants qui considèrent que la crise n'a aucun effet sur leur carrière et 22,8% qui vont jusqu'à estimer que ces turbulences peuvent même avoir une influence favorable sur leur parcours. 64% des professionnels IT voient dans la virtualisation des perspectives d'évolution Les informaticiens qui entendent changer de poste souhaitent en premier lieu accéder à des fonctions d'encadrement (dans 32,7% des cas) ou développer leur expertise technique (23,6%). 12,9% aimeraient évoluer vers le conseil, 9,8% monter leur propre structure et 6,2% aspirent à ... changer totalement d'activité. Pour plus de la moitié des professionnels de l'informatique interrogés, la conduite de projet est hissée au rang des fonctions les plus attractives (55,4%). Suivent, un peu plus loin, le conseil (32,7%), le développement logiciel (30,1%), l'ingénierie des systèmes et réseaux (25,8%), l'administration et l'exploitation (25,5%), la configuration et la maintenance (22,3%), le support aux utilisateurs (21,3%), l'architecture IT (19,8%), l'ingénierie logicielle (17,2%). L'administration de bases de données arrive en bout de liste avec 10,6% des suffrages. L'étude souligne par ailleurs que 64% des professionnels IT interrogés voit dans la virtualisation une innovation qui leur offre d'importantes perspectives d'évolution de carrière. C'est ce que pensent en premier les 20/29 ans et les professionnels de l'exploitation ou des systèmes et réseaux. A l'inverse, le Green IT n'est cité que par 45% des répondants comme un levier pour avancer dans leur parcours. (*) Méthodologie : Etude conduite entre le 2 et le 15 juin 2009 auprès de 3 689 professionnels de l'informatique. 58,4% des professionnels des répondants avaient un statut de cadre, 21,7% étaient techniciens et 7,9% agents de maîtrise. 10,8% d'entre eux avaient un autre statut. La répartition des répondants par domaine d'activité se répartissait ainsi : 29,5% dans le développement, 27,3% dans les systèmes et réseaux, 17,5% dans l'audit, le conseil et l'étude, 9,8% dans l'exploitation et 15,4% dans d'autres secteurs. (...)

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