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(11/06/2009 18:14:07)

Les avocats autorisés à endosser le rôle de CIL

Les cinquièmes assises du Correspondant informatique et libertés se sont déroulées hier, mercredi 10 juin, en présence d'Alex Türk, président de la Cnil. Organisée par l'AFCDP (Association des correspondants à la protection des données personnelles), cette journée a accueilli dix pays et 150 experts de la protection de données qui ont tenté d'esquisser la silhouette du « CIL du futur ». Les avocats sont désormais autorisés à endosser le rôle de CIL. « Le contenu juridique et le caractère indépendant par nature de la mission du CIL font de l'avocat un intervenant naturel susceptible, à l'évidence, de prendre en charge une telle fonction », avait plaidé Guillaume Le Foyer de Costil, membre de la Commission des Règles et Usages, à l'Assemblée nationale en mars dernier. C'est cette position qu'a suivie le Conseil national des Barreaux en complétant son règlement intérieur national (RIN). Celui-ci est désormais doté d'un artivle 6.2.2 organisant l'activité de CIL par les avocats. La compatibilité entre les principes essentiels auxquels sont astreints les avocats et la mission du CIL est néanmoins susceptible de poser des difficultés : les avocats CIL doivent en effet concilier des principes fondamentaux comme le respect du secret professionnel avec l'obligation de signaler la commission d'infractions dans le cadre du traitement de données. La Cnil a cependant tenu a rassurer la profession en soulignant qu'aucune obligation de dénonciation ne planerait sur les avocats remplissant une mission de CIL. Les CIL peut-être bientôt obligatoires et mieux formés Ces assises étaient également l'occasion de dresser un bilan du CIL en Europe. L'Hexagone accuse encore un certain retard dans ce domaine. D'autres pays comme l'Estonie, la Hongrie, la Slovaquie ou la Suède ont opté pour le régime CIL avant la France, où ce statut existe seulement depuis 2005 (suite à la transposition d'une directive de 1995). Il reste facultatif, alors qu'en Allemagne cette fonction est obligatoire pour les organismes de plus de neuf employés depuis 32 ans. La Suède remporte la palme du pourcentage le plus important de CIL dans les entreprises, avec 1,21% contre 0,23% en France. Alex Türk a réitéré son message envers les collectivités et les banques, les encourageant à se doter d'un délégué informatique et libertés. Le président de la Cnil s'est appuyé sur le rapport « La vie privée à l'heure des mémoires numériques », rédigé par deux sénateurs. Paru il y a une semaine, ce rapport comprend quinze volets dont un portant exclusivement sur le CIL. Les deux sénateurs, Anne-Marie Escoffier et Yves Détraigne, plaident pour « rendre obligatoire les correspondants informatique et libertés dans les structures publiques et privées de plus de cinquante salariés ». La formation (juridique, organisationnelle et technique) ainsi que la professionnalisation des CIL étaient également au coeur des débats. Aux Pays-Bas comme en Suisse, le correspondant dispose de moyens humains (assistant) et matériels (locaux, équipements informatiques) et en Slovaquie leur formation est obligatoire. Le délégué général de l'AFCDP, Xavier Leclerc, a présenté une étude réalisée auprès des CIL membres de l'association qui révèle que 63% des personnes interrogées pensent qu'un contrôle des connaissances est primordial. (...)

(11/06/2009 15:04:04)

Les salariés administratifs d'IBM France dénoncent l'absurdité de la délocalisation en Espagne

Les salariés du pôle administratif d'IBM situées à Noisy-le-Grand ont adressé hier une lettre de quatre pages au PDG, Sam Palmisano. Le courrier est intentionnellement rédigé en français, « notre langue maternelle, [...], celle de la clarté, celle que nous pratiquons au quotidien en permanence avec nos clients, nos collègues et nos familles. » Dans ce « testament pour dénoncer des patrons qui ne rechignent pas à détruire nos vies après les avoir exploitées en fonction de leurs besoins », les salariés d'IBM (essentiellement des femmes) condamnent l'annonce - faite en anglais par un représentant américain, le 11 mai dernier - de la fermeture de l'activité administrative France, sans toutefois préciser le nombre de personnes concernées. A partir du 30 juin, elle sera gérée à Madrid. « Nous souhaitons savoir pourquoi des collègues espagnols qui ne connaissent pas nos clients, qui ignorent nos us et coutumes, nos cultures, ces territoires particuliers que nous gérons depuis plusieurs générations, devraient prendre en charge des spécificités strictement françaises ». Le mécontentement des clients français grandit Et de citer une série d'exemples pour illustrer l'absurdité, selon eux, d'une telle décision, qui ne fait que créer des complications, des retards et du mécontentement du côté des clients dans l'Hexagone. Madrid enregistre des propositions non conformes aux termes juridiques et financiers des clients, l'historique des entreprises leur est totalement inconnu, les relances se succèdent et les lettres d'erreurs ou de mécontentement s'accumulent sur les bureaux des employés d'IBM, à Noisy-le-Grand. Certaines propositions qui, autrefois, se réglaient entre le bureau administratif et le client doivent désormais obtenir l'approbation de l'Autriche, sous peine de bloquer l'activité administrative de toute l'Europe. Les « ménagères en sursis », comme elles se nomment elles-mêmes, demandent des comptes à IBM. Elles veulent connaître le salaire de leurs collègues espagnoles, vérifier si le nombre d'emplois créés équivaudra au nombre de ceux qui sont supprimés, si l'inspection du travail a été prévenue de ces mesures subites ou encore si le groupe compte rembourser aux collectivités locales le manque-à-gagner entraîné par cette délocalisation. Les employées s'interrogent également sur les économies que réalisera IBM en supprimant cette activité en France. En avril dernier, il a annoncé que sa rentabilité augmenterait en 2009, et ce malgré un bénéfice net en légère baisse à 2,3 Md$ au premier trimestre. En dépit de cette bonne santé, Big Blue a annoncé qu'il pourrait supprimer jusqu'à 16 000 personnes dans le monde, soit 4% de ses effectifs, et a même légèrement augmenté la rémunération de son PDG (21 M$). (...)

(11/06/2009 14:17:43)

Les députés tentent de clarifier la définition du prêt de main d'oeuvre

La proposition de loi pour faciliter le maintien et la création d'emplois, adoptée mardi par les députés, entend poser des jalons juridiques autour de la notion de prêt de main d'oeuvre. A l'heure où les entreprises et leurs salariés sont confrontés à une crise systémique, cette pratique consistant en un prêt provisoire d'un ou de plusieurs salariés d'une société à une autre sans rupture de leur contrat de travail est présentée comme un recours contre le chômage partiel ou les licenciements. La proposition de loi présentée par Jean-Frédéric Poisson et adoptée par 305 voix contre 146 vient modifier le Code du travail, en précisant ce mécanisme de prêt de main d'oeuvre. Il s'appuie en premier lieu sur une convention tripartite, signée entre les deux entreprises - prêteuse et emprunteuse - et le salarié, et définissant les modalités du prêt. Si le contrat de travail du salarié se trouve modifié, il devra être complété par un avenant. Enfin, le salarié peut refuser d'être prêté par son employeur sans risquer d'être sanctionné. C'est du moins la teneur de la loi votée par les députés : dans les faits, les syndicats redoutent que les salariés n'aient guère le choix et soient contraints d'accepter les décisions prises par leur employeur. Jusqu'à présent, le prêt de main d'oeuvre était autorisé dès lors que l'entreprise prêteuse ne poursuivait pas de but lucratif, c'est-à-dire qu'elle était contrainte de facturer à la société emprunteuse un montant ne pouvant dépasser celui auquel revenait le salarié prêté. En contrevenant à ce principe, les entreprises se rendent coupables d'un délit de marchandage, à moins d'être reconnues comme des sociétés d'interim. Avec la proposition de loi de Jean-Frédéric Poisson, la notion de lucre est censée être précisée : « Il n'y a pas de but lucratif dans une opération de prêt de main d'oeuvre quand l'entreprise prêteuse n'en tire pas de bénéfice ». L'opposition a fustigé le caractère flou de cette notion de bénéfice, la majorité estimant au contraire le texte limpide et laissant le soin aux tribunaux d'interpréter ce qui ne le serait pas. Plus largement, les députés de l'opposition ont critiqué ce qu'ils décrivent comme le « détricotage du droit du travail ». Patrick Roy, député socialiste du Nord, regrette ainsi que « le statut du salarié en interim offre très peu de garanties. Avec cette proposition tout à fait curieuse et quelque peu révoltante de prêt de main d'oeuvre, vous voulez faire de l'interim au rabais, sans expliquer ni les conditions ni les contours ». La proposition de loi pour faciliter le maintien et la création d'emplois a également consacré l'entrée du télétravail dans le code du travail. (...)

(11/06/2009 11:40:44)

Octo Technology : les méthodes agiles doivent se compléter par un coaching orienté « styles sociaux »

Savoir constituer des équipes projet est évidemment un facteur clé de la réussite du projet. Les méthodes agiles sont de plus en plus considérées comme un atout pour le bon déroulement des développements. Néanmoins, ajoute Jean-François Helie, consultant chez Octo Technology et membre de l'association Agile France, dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, il ne faut pas négliger l'importance des styles sociaux dans le coaching d'équipe. « Il s'agit d'expliquer comment il est possible de parvenir à un objectif (conception d'un logiciel, migration d'un système informatique...) plus rapidement et plus efficacement en identifiant, dès le début, les talents et les lacunes de ses coéquipiers, afin de les exploiter ou d'y pallier au mieux », explique Jean-François Helie. Cela ne vient pas en opposition aux méthodes agiles, mais en complément. Pour lui, les principes de l'agilité « ne servent à rien s'ils ne sont pas introduits au bon moment. Les imposer peut créer une réticence au changement, une déstabilisation (voire une déresponsabilisation) de l'équipe par rapport au projet et finalement un échec sur toute la ligne ou un retard dans la livraison du projet ». LeMondeInformatique.fr est partenaire média de l'Université du SI 2009 (les 1er et 2 juillet prochains), où Jean-François Helie développera son point de vue. (...)

(10/06/2009 15:31:17)

Index Freelance.com : les spécialistes de Cobol se hissent à la troisième position

L'indice du site Freelance.com, qui propose aux entreprises les services d'informaticiens indépendants, signale la montée en puissance de deux compétences dans le top 10 des profils les plus recherchés. Il s'agit du langage de programmation Cobol, qui monte en troisième position, devançant Java et SAP, et de Domino, qui prend la quatrième place. Pour le troisième mois consécutif, Oracle conserve la pole position, suivi par Unix. En fin de classement, J2EE perd 2,5 points, suivi par PHP. Les compétences en système d'exploitation AIX et en système de gestion de bases de données D2B clôturent ce top 10. Le classement des spécialités les plus prisées reste relativement stable. Les langages de programmation dominent, notamment grâce à la forte progression de Cobol et de PHP. Les spécialistes de bases de données comme Oracle se placent en deuxième position, suivis de près par les logiciels de gestion. Freelance observe en outre une progression de 9% pour les spécialistes réseaux, qui passent ainsi de la huitième à la quatrième place. Les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée sur l'ensemble des postes à pourvoir, soit un panel représentatif de 258 offres de projets informatiques disponibles au 10 juin 2009. (...)

(10/06/2009 15:14:36)

Le télétravail à l'orée du Code du travail

Les députés ont adopté la proposition de loi consacrant l'entrée, dans le Code du travail, de la notion de télétravail. Thème cher à Nathalie Kosciusko-Morizet, qui en a souvent vanté les mérites, le travail à distance reste marginal en France. Les débats sur ce texte ont régulièrement rappelé que seuls 7% des salariés bénéficient de cet aménagement des conditions de travail dans l'Hexagone, contre 13% dans l'ensemble de l'Union européenne. Rendu largement possible dans la majorité des entreprises grâce à l'avènement des TIC, il présente pourtant un triple avantage : il répond à une demande sociale ; il participe de la préservation de l'environnement ; il permet aux entreprises de réaliser des économies. A travers la proposition de loi pour faciliter le maintien et la création d'emplois, approuvée par 305 députés contre 146, les élus du Palais Bourbon ont défini le télétravail comme une modalité particulière de l'exécution du contrat de travail. Il s'agit donc uniquement d'une forme d'organisation du contrat et pas d'un contrat de travail spécifique : « le télétravail désigne toute forme d'organisation du travail dans laquelle un travail, qui aurait également pu être exécuté dans les locaux de l'employeur, est effectué par un salarié hors de ces locaux de façon régulière et volontaire en utilisant les technologies de l'information dans le cadre d'un contrat de travail ou d'un avenant à celui-ci ». Le fait, pour un salarié, d'opter pour ce régime ne modifie que les conditions dans lesquelles il exerce son activité, et ne remet donc pas en cause les droits et devoir qui lui incombent. En particulier, il dispose « des mêmes droits que tous les autres salariés de l'entreprise, il est soumis aux mêmes conventions collectives, aux mêmes accords d'entreprise. Il a les mêmes droits de vote, les mêmes avantages sociaux », souligne Jean-Frédéric Poisson, le rapporteur du texte. La proposition de loi dispose par ailleurs qu'un employeur ne peut imposer à ses salariés de télétravailler et doit, pour ceux qui choisissent cette forme d'activité, prévoir dans le contrat de travail les conditions de retour à un travail dans les locaux de l'entreprise. Seules des « circonstances exceptionnelles » - non définies mais illustrées dans la loi par l'exemple d'une pandémie - peuvent permettre d'imposer le télétravail au salarié. Dans tous les cas, l'entreprise devra prendre en charge « tous les coûts découlant directement de l'exercice du télétravail », ce qui inclut, notamment, le matériel, les logiciels, les abonnements téléphoniques ou à Internet, etc. Parmi les amendements rejetés - outre celui de Frédéric Lefebvre qui entendait permettre le télétravail pendant les arrêts maladie - plusieurs députés ont regretté celui qui visait à faire profiter les entreprises d'un crédit d'impôt égal à 50% des dépenses réalisées pour mettre en oeuvre les technologies d'information ou de communication pour le travail à distance. Le gouvernement s'est opposé à cette mesure mais s'est engagé, via NKM, à « trouver une solution fiscale pour le développement du télétravail ». La proposition de loi doit maintenant être examinée par le Sénat. Il faudra que les deux Chambres aient adopté des versions identiques du texte pour que celui-ci soit définitivement adopté. (...)

(10/06/2009 14:24:44)

Quatre DSI sur dix ont élagué leur budget IT au premier trimestre

La crise économique a des effets drastiques sur les dépenses des DSI. Au premier trimestre de l'année, selon Gartner, 42% ont tranché dans leurs dépenses IT et seuls 4% d'entre eux les ont augmentées. Le pourcentage de DSI ayant réduit leurs dépenses a doublé en un an. En moyenne, les budgets IT ont été amputés de 4,7% alors qu'en janvier dernier, Gartner tablait sur une stagnation, voire une augmentation de 1,6 % des dépenses informatiques. Après plusieurs années de croissance continue, (3,3% en 2008, 3% en 2007, 2,7% en 2006, 2,5% en 2005 et 1,3% en 2004), les dépenses IT basculent dans le rouge. Mark McDonald, analyste chez Gartner, indique que la renégociation des tarifs avec les fournisseurs (24% des sondés) ainsi que la réduction des coûts (y compris en passant par celle des effectifs et par le gel des salaires) ont été les deux grands préoccupations des DSI au cours des derniers mois. Les réductions budgétaires n'épargnent quasiment aucune entreprise, quelle que soit sa taille, sa localisation géographique ou le secteur industriel sur lequel elle est positionnée. Seul le domaine de la santé échappe à la règle (croissance de 2% des dépenses IT). Tous les autres secteurs se serrent la ceinture : -10% dans les services professionnels ainsi que dans les télécoms et l'IT, -8% dans la fabrication, -4% dans le secteur public et la finance. Les DSI interrogés par Gartner ne prévoient pas de serrer davantage la vis d'ici à la fin de l'année, mais ils n'envisagent pas non plus une reprise des investissements IT avant le premier, voire le troisième trimestre 2010. Dans une autre étude, le cabinet encourage d'ailleurs DSI et acteurs IT à préparer l'après-crise s'ils ne veulent pas être dépassés par la concurrence. Pour réaliser cette enquête, Gartner a interrogé 900 DSI dans le monde entre les mois de mars et d'avril et a comparé les résultats à une étude similaire, effectuée auprès de 1 500 décideurs informatiques entre septembre et décembre 2008. (...)

(09/06/2009 15:53:19)

Indice Monster : baisse de 16% des offres d'emploi dans l'informatique en mai

L'indice mensuel publié par le site de recrutement en ligne Monster a enregistré une baisse générale de 14 points entre le mois d'avril et le mois de mai. Sur les douze derniers mois, le volume des offres d'emploi mises en ligne a chuté de 56 points (ce qui correspond à une baisse de 35%). L'informatique fait partie des secteurs les plus fortement touchés par cet effondrement. L'indice, stabilisé à 100 depuis le début de l'année, perd 16 points pour atteindre 84, son niveau le plus bas depuis sa création en janvier 2005. Dans la filière R&D, les recrutements sont également en baisse : l'indice perd 15 points en un mois et 63 points en un an. Même chute drastique pour le secteur de l'ingénierie (-59 points). Les professions intellectuelles et scientifiques, les emplois non qualifiés ainsi que les techniciens et les professions intermédiaires font partie des catégories socioprofessionnelles les plus touchées, contrairement aux métiers de l'artisanat. D'un point de vue géographique, aucune région n'est épargnée. L'Ile-de-France accuse la baisse la plus radicale, avec un indice divisé par deux en un an (75 points contre 141 en mai 2008). Les autres régions perdent en moyenne 20 points en l'espace d'une année. La baisse est générale en Europe (-7 points entre mai et avril), mais c'est la France qui détient le record de la dégringolade la plus conséquente. Pour la première fois, Monster note un net recul de la demande dans le secteur public (défense, éducation, collectivités...), habituellement gros pourvoyeur d'offres d'emploi dans l'informatique. Catherine Reichert, directrice du marketing Europe du Sud chez Monster souligne en outre que « les entreprises sont frileuses, fragilisées par la crise économique. Même si la reprise ne saurait tarder, il faudra du temps avant qu'elles ne reprennent confiance et qu'on puisse observer un redémarrage de l'emploi. » (...)

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