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Carrière
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(05/12/2008 17:04:28)
Index Freelance.com : très nette hausse de la demande en développeurs PHP
En novembre, la demande en spécialistes Unix a encore progressé sur des missions de courte durée. Cette catégorie reste donc toujours en tête au palmarès des compétences les plus demandées, rang qu'elle occupe déjà depuis plusieurs semaines. Dans cette filière, les besoins des entreprises concernent des analystes, des ingénieurs et des administrateurs. Oracle et SAP suivent de près et viennent compléter le trio de tête.
Autre tendance relevée en novembre par Freelance : la très nette augmentation des besoins en développeurs PHP : cette catégorie parvient à se hisser à la 4e place du top 10, place qu'elle n'avait, jusqu'à ce jour, jamais occupée. A l'inverse, la demande concernant Java perd 6 points par rapport à octobre. Freelance signale aussi l'arrivée de trois nouvelles compétences au top 10 des spécialités les plus recherchées : il s'agit des spécialistes de SQL Server, du système d'exploitation Novell et du logiciel de courriels GroupWise.
Méthodologie : les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 416 offres de projets informatiques disponibles au 10 11 2008
(...)
Le secteur informatique boude les accords sur la gestion des compétences
Seules quatre entreprises informatiques sur mille rattachées à la branche Syntec (Études, Conseil, Informatique et Ingénierie) seraient couvertes par un accord de GPEC (Gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences) ! C'est ce qu'indique une étude sociodémographique de la branche des bureaux d'études réalisée par LH2 pour le compte de l'Opiiec (Observatoire paritaire des métiers de l'informatique, de l'ingénierie, des études et du conseil). Cette enquête, en cours de validation, montre en outre que 1,1% des entreprises informatiques de la branche Syntec envisagent de signer un accord de GPEC. Cette tendance se vérifie dans plusieurs secteurs d'activités, comme le conseil informatique (où 0,3% des entreprises ont signé un accord), la réalisation de logiciels (0,2%), ou le traitement des données (1,8%). La gestion prévisionnelles des emplois et des carrières ne semble pas faire partie des préoccupations de ces entreprises, puisque la quasi-totalité (89,2%) d'entre elles n'envisagent pas de signer un accord. (...)
(05/12/2008 10:20:36)En France, la dépense informatique offshore pourrait atteindre 1,7 Md d'euros en 2009
En 2008, la dépense informatique en offshore des entreprises françaises s'est montée à 1,2 Md d'euros, en croissance de 40%. Elle devrait atteindre 1,740 Md d'euros en 2009, soit une hausse de 45%. La tendance est forte, mais cette démarche s'est profondément modifiée. Au lieu de la simple réduction de coûts salariaux envisagée il y a quelques années, on se retrouve avec des démarches plus matures. « Le côté économique je n'y crois pas trop, même si on ne peut l'oublier, c'est la flexibilité qui amène à l offshore, plaide Jérôme Hérard, directeur général de l'Ile des Média qui fait développer en Tunisie (*). « Il ne faut plus se focaliser sur les seuls coûts salariaux ». La démarche offshore oblige également les entreprises à être plus rigoureuses. « Avec le nearshore, nos cahiers des charges sont beaucoup plus carrés et gagnent en qualité, poursuit Jérôme Hérard». « Il nous faut par exemple bien séparer le cahier des charges fonctionnel du cahier des charges technique ». Les premières expériences en offshore et les premières déceptions ont en fait amené les entreprises à mieux contrôler ces démarches et d'abord à mieux les définir. « La démarche offshore révèle les défauts de méthodologie d'une entreprise » souligne Eric O'Neil, consultant. Plus facile de recruter en Tunisie qu'en France [[page]]L'offshore et le nearshore amènent pourtant des avantages inattendus, comme la possibilité de trouver plus facilement es compétences pointues, contrairement aux idées reçues qui associent offshore et recherche de ressources de premier niveau. « Ma société de 15 personnes cherchait des développeurs JEE, c'est très difficile à trouver à Bordeaux notre siège, impossible sur Paris, j'ai rencontré GetIT sur un salon, ils m'ont soumis quatre dossiers. J'ai fait affaire avec la société tunisienne Discovery » témoigne Jean-Charles Duplaa, gérant de Afib et président du Syrpin. Même démarche de L'Ile des Médias qui avait besoin de développeurs Dot Net en Saas et n'a trouvé qu'en Tunisie. Après une sélection des CV soumis par Get IT, les premiers entretiens ont eu lieu sur Skype, avant des entretiens approfondis sur place. La Tunisie est à 2h30 de Paris ce qui facilite les relations. Sur place, les ressources sont importantes, avec 6 000 ingénieurs informatiques en Tunisie, 10 000 dans deux ans. Les ingénieurs sont de qualité et apportent les compétences qui peuvent faire défaut en France, mais l'encadrement n'est pas forcément au rendez-vous. « Le gros problème de l'offshore ce n'est pas les compétences mais l'encadrement de ces compétences », témoigne Jérôme Hérard (20 développeurs à Paris, 10 en Tunisie). (*) Les informations de cet article sont issues d'un petit déjeuner organisé par Get IT, un GIE formé par 11 entreprises tunisiennes il y a trois ans pour proposer en nearshore des prestations informatiques. (...)
(04/12/2008 16:31:03)Représentation du personnel : les salariés sur site voteront dans leur SSII ou chez le client
Désormais, tous les salariés mis à disposition par une SSII, présents dans les locaux d'une entreprise utilisatrice et y travaillant depuis au moins un an, doivent être pris en compte dans le calcul des effectifs de l'entreprise (Article L. 1111-2 du Code du Travail). Syntec informatique engage ses adhérents à faire application de cette solution législative qui découle des nouvelles modalités de la loi du 20 août 2008 portant sur la rénovation de la démocratie sociale Concernant les élections des délégués du personnel, l'article L. 2314-18-1 stipule que ces collaborateurs devront avoir une condition de présence de 12 mois continus pour être électeurs et de 24 mois continus pour être éligibles. Ils devront préciser s'ils exercent leur droit de vote et de candidature dans la SSII qui les emploie ou dans l'entreprise utilisatrice. S'agissant des élections du Comité d'entreprise, le nouvel article L. 2324-17-1 édicte le principe selon lequel les salariés mis à disposition et remplissant la condition de 12 mois de présence continus peuvent être électeurs mais non éligibles dans l'entreprise utilisatrice, « afin de limiter le risque de diffusion d'informations stratégiques par un salarié mis à disposition ». Ils auront également le choix d' exercer leur droit de vote dans la SSII qui les emploie ou le donneur d'ordre. (...)
(04/12/2008 14:42:21)Adobe clôt l'année moins bien que prévu et supprime 8% de ses effectifs
L'éditeur Adobe fait à son tour les frais du ralentissement économique. A l'occasion de la publication, mercredi dernier, des résultats préliminaires de son quatrième trimestre fiscal, le groupe a indiqué qu'il allait supprimer l'équivalent de 600 postes dans le monde, soit 8% de ses effectifs. Sa nouvelle gamme Creative Suite 4, qui comprend des produits comme Photoshop et Dreamweaver, ne se serait pas vendue aussi bien que prévu en raison de la baisse des investissements des entreprises. "La crise économique mondiale a touché de manière significative notre chiffre d'affaires au cours du quatrième trimestre", s'est ainsi justifié Shantanu Narayen, PDG d'Adobe. L'éditeur prévoit sur son quatrième trimestre fiscal un chiffre d'affaires compris entre 912 et 915 M$, alors que ses précédentes estimations s'établissaient entre 925 et 955 M$. Les bénéfices, en revanche, seront plus élevés qu'attendu, entre 0,59 et 0,60 dollar par action avant charges (les analystes tablaient sur 0,51 dollar). Pour le premier trimestre de son exercice 2008-2009, le groupe table sur un chiffre d'affaires de 800 à 850 M$ (alors que les analystes attendaient 944 M$). Serait-ce également des raisons économiques qui ont conduit Adobe à ne par participer à la prochaine grand messe annuelle du Monde Mac ? En tout état de cause, l'éditeur a fait savoir qu'il n'exposerait pas au MacWorld Expo 2009 à San Francisco, sans préciser si cette décision résultait d'un souci de réduction des coûts. (...)
(03/12/2008 15:09:45)Une proposition de loi sur le télétravail qui peine à convaincre
En soumettant fin octobre une proposition de loi visant à promouvoir le télétravail, les députés UMP Jean-Pierre Decol et Bernard Gérard rejoignent l'un des grands axes du plan Besson France numérique 2012. Mais si l'idée paraît séduisante sur le papier, des doutes subsistent quant à sa réelle utilité. D'abord, le texte ne fait que reprendre les termes de l'accord national interprofessionnel de juillet 2005, qui découle d'une directive cadre européenne de 2002. « Cet accord a démontré son inefficacité car les entreprises qui télétravaillent préfèrent employer les termes de mobilité ou d'externalisation pour échapper aux conséquences légales, fiscales, voire sociales qui découlent du travail à distance », estime ainsi Cyril Slucki, fondateur de CyberWorkers.com, un réseau de prestataires en télétravail. Les travailleurs indépendants exclus de la proposition Ensuite, des questions se posent sur la définition même du terme télétravail, qui reste extrêmement flou. «Depuis la généralisation du haut débit, le fait de consulter ses courriels ou d'effectuer une recherche sur Google à distance peuvent être assimilés à du télétravail », ajoute Cyril Slucki, Mais la vraie question qui se pose réside dans la seule prise en compte du travail salarié dans ce projet de loi : « On regrettera la non intégration des télétravailleurs indépendants dans cette proposition de loi, notamment ceux qui ont recours au portage salarial », déplore le PDG de CyberWorkers.com. Le texte propose en effet une réduction d'impôt aux entreprises qui offrent à leurs salariés la possibilité de télétravailler, mais cette déduction ne s'applique pas aux indépendants qui travaillent à distance et qui effectuent leurs missions en s'appuyant sur du portage salarial. (...)
(02/12/2008 12:34:09)Linagora annonce plus d'une centaine de recrutements pour 2009
La crise économique actuelle ne semble pas avoir d'effet sur l'emploi des professionnels de l'Open Source. Ainsi, après avoir recruté un peu plus d'une centaine de nouveaux collaborateurs en 2008, Linagora annonce un plan de recrutement quasi équivalent pour l'année 2009. La SSLL a en effet décidé d'ouvrir 120 postes dans l'Open Source à Paris et également en région, dans des domaines diversifiés : administrateurs systèmes et réseaux (Paris), développeurs Drupal (Paris), développeurs PHP (Paris et Toulouse), ingénieurs développement J2EE (Paris), intégrateurs OBM (Paris et Toulouse), responsables d'agence (Lyon), et ingénieurs commerciaux (Toulouse). La société compte actuellement plus de 160 personnes, en France (Paris, Lyon, Toulouse et Marseille), en Belgique et aux Etats-Unis. (...)
(02/12/2008 11:01:31)Open World Forum : Les métiers de l'Open Source privilégient l'expérience
Le Forum mondial du Libre (Open World Forum) se tient jusqu'à ce soir à Paris, à la Maison de la Chimie. En une quarantaine de sessions réparties sur une dizaine de « cheminements » thématiques (sécurité, éducation, qualité, offres...), la manifestation a cherché à couvrir l'ensemble des domaines du logiciel libre. Si le public est essentiellement français, il faut mentionner la forte présence de délégations étrangères, notamment en provenance d'Inde ou du Brésil. La session d'ouverture, hier, a été consacrée à la problématique des ressources humaines dans le domaine des logiciels libres, avec notamment la question de la formation et de la reconnaissance des compétences acquises. Selon Cyril Pierre de Geyer, de Anaska Formation, les prestations de formation en logiciels libres croissent ces derniers temps de près de 30% par an. Mais les disparités sont fortes : les formations autour du « poste de travail » (OpenOffice, Thunderbird...) sont en déconfiture, les produits ne nécessitant aucune formation particulière lors d'une migration depuis des produits propriétaires ; celles dédiées aux infrastructures sont presque stables, en légère croissance, marque d'une maturité du créneau ; à l'inverse, la formation aux progiciels et surtout au décisionnel sont en pleine explosion. Pour Rodolphe Quiédeville, du site emploi Lolix, les demandes en compétences se recentrent d'ailleurs sur les progiciels et délaissent les langages (Java notamment). L'expérience prime toujours sur les diplômes L'une des particularités du domaine des logiciels libres est la grande place donnée à l'expérience par rapport aux diplômes. Le meilleur moyen d'être reconnu et d'obtenir des missions ou un emploi autour des logiciels libres semble être, aussi bien en Europe qu'en Inde ou au Brésil selon les différents intervenants, d'intervenir dans des développements communautaires. Les diplômes ne sont pas un sésame. Cette situation en devient presque un handicap car développer correctement un logiciel suppose d'avoir de bonnes bases théoriques (algorithmique...). D'un autre côté, l'enseignement en informatique en général et en logiciel libre en particulier est globalement déficient. Jean-Pierre Archambault, enseignant et chargé de mission à l'Education Nationale, a ainsi regretté qu'on puisse être ingénieur sans avoir de réelle formation en informatique au delà des basiques de la bureautique et qu'il n'existe peu ou pas de formation aux questions relatives à la propriété intellectuelle et aux modèles économiques. Mais il est vrai que rien n'est fait pour faciliter l'enseignement précoce en informatique, notamment au lycée (même s'il y a, dans les cartons, un projet de module informatique dans les lycées pour la rentrée 2009) : il n'existe ainsi aucun corps d'enseignants certifiés ou agrégés en informatique dans l'Education Nationale. (...)
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