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Carrière

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(25/09/2008 10:13:33)
Semestriels : le CA de Neurones progresse de 19%
La SSII Neurones a enregistré un chiffre d'affaires de 89,4 M€ au premier semestre de l'année, soit une hausse de 19%, dont 16,5% en organique. Le résultat opérationnel gagne 30%, à 7,3M€, ce qui représente 8,2% du CA de la société. Le premier semestre de Neurones a été marqué par le rachat de RS2I, qui lui a permis d'enrichir son pôle applicatif (SOA, intégration SAP et BPM, projets Web Java et .Net, décisionnel...) ainsi que d'étendre sa couverture clientèle à des grands comptes dans les secteurs de la banque, de l'assurance et des médias. Neurones a d'ailleurs créé l'an dernier Finaxys, une filiale spécialisée dans le conseil pour le secteur financier. Les cinquante salariés de RS2I viennent donc renforcer cette filiale avec leur expertise. RS2I a réalisé un chiffre d'affaires de 7 M€ en 2007, pour un résultat opérationnel de l'ordre de 15%. Neurones emploie actuellement 2300 personnes, et compte passer le cap des 2500 salariés d'ici la fin de l'année. Luc de Chammard, PDG de la société, déplore d'ailleurs que l'embauche constitue un frein de taille à la croissance, en raison du turn-over et de la pénurie de cadres. La SSII confirme ses objectifs annuels, à savoir atteindre les 179 M€ de chiffre d'affaires, pour un taux de résultat opérationnel oscillant entre 8 et 9%. (...)
(25/09/2008 09:17:12)+3,4% pour les salaires minima des ingénieurs et cadres
La fédération Syntec Informatique a conclu un nouvel accord sur les bas salaires des ingénieurs et des cadres. Selon les dispositions du nouvel avenant du 12 septembre 2008, la valeur du point des ingénieurs et des cadres relevant de la convention Syntec est fixée à 19,04 euros bruts. Mais les nouveaux seuils proposés par la chambre professionnelle sont loin de satisfaire les représentants syndicaux. « Syntec a relevé les minima de 3,4%, avec une mise en application fixée au 1er janvier 2009 seulement, s'indigne Yvan Béraud, secrétaire national de la F3C-CFDT. » Les minima des ingénieurs inférieurs à ceux de certains techniciens » Le représentant relève, par ailleurs, une totale incohérence des grilles concernant les bas salaires. « Au-delà de la non signature de l'accord 2008, il s'agit d'avoir une grille cohérente, significativement décrochée du Smic pour les employés, avec un démarrage, pour les cadres, qui doit se situer au-dessus des plus hauts niveaux des techniciens. Ce qui n'est visiblement pas le cas de la grille Syntec puisque, dans certains cas, selon les positions et différents coefficients, on s'aperçoit que les minima des salaires de certains ingénieurs et cadres de niveau Bac +5 sont inférieurs à ceux de techniciens de niveau bac +2 ! « [[page]]Ainsi, le salaire minimum d'un ingénieur de coefficient 100 - débutant travaillant en bureau d'études et diplômé de grande école- s'établit à 1 903,82 euros mensuels brut, contre 1 994,72 pour un Etam (employé, technicien agent de maîtrise) coefficient 450. Rappelons que Syntec avait déjà fait, début juillet 2008, une proposition d'augmentation des minima qui avait suscité la grogne des représentants syndicaux (...)
(24/09/2008 14:38:48)La Web TV emploi de l'ANPE met les métiers de l'informatique en vidéo
L'ANPE a décidé d'élargir les services proposés sur sa Web TV emploi, lancée il y environ deux ans. Désormais, le site anpe.fr présente des vidéos destinées à informer les internautes sur les métiers, et l'informatique est bien entendu en bonne place. L'agence a choisi de commencer par faire la lumière sur les métiers des réseaux. Elle a choisi pour cela de faire appel à Internet.fr, l'un des spécialistes des solutions d'hébergement et de l'infogérance. L'entreprise ainsi un portrait vidéo du responsable réseau, en vue d'attirer des candidats potentiels. Une vingtaine de vidéos de présentation de la filière IT La Web TV emploi de l'ANPE s'articule autour de quatre rubriques. Un catalogue regroupe plus de 200 métiers présentés en vidéo et organisés par secteur professionnel. Une vingtaine concernent l'informatique et les télécoms. L'espace recrutement, lui, présente en quelques minutes des dispositifs d'aide à l'embauche, ainsi que des témoignages de recruteurs. Une rubrique « aide et conseil » fait le point sur les structures et les aides à l'emploi, la voie de l'alternance, l'accès à l'emploi pour les seniors. Une rubrique initiative présente des exemples de création d'entreprise et de parcours professionnels, des reconversions et des témoignages de retours à l'emploi réussis. (...)
(23/09/2008 12:25:32)Oracle et ses partenaires de nouveau réunis pour recruter des consultants
Les entreprises ont de plus en plus de mal à recruter des profils spécialisés sur les applications d'entreprise. Dans un contexte où la demande ne cesse de croître, Accenture, IBM, KSA, Logica, Stéria, Capgemini, et Sopra, partenaires d'Oracle, ont donc décidé de se retrouver pour recruter des consultants métiers. Ces rencontres font partie du programme Oracle Community, dispositif conçu il y quatre ans par l'éditeur pour aider ses partenaires à former et embaucher des spécialistes des ERP en ressources humaines, en CRM (Gestion de la relation clients) et en marketing relationnel. 170 consultants métiers recrutés depuis la création du programme [Depuis sa création, le programme mis sur pied par Oracle a permis de recruter et former 170 consultants en ERP, en s'appuyant sur un dispositif qui se démarque des événements de recrutement plus axés sur la communication, telles les soirées festives « salsa », « poker », et autres, organisées ces derniers temps par des SSII, et dont certaines se sont avérées catastrophiques. [page]]Dès le 15 septembre les candidats pourront s'inscrire sur le nouveau site d'Oracle Community pour passer les étapes de présélection orchestrées depuis le début de l'initiative par un cabinet de recrutement indépendant (Alter Ego Solutions) et découvrir les différentes entreprises. Sur la page d'accueil du site, un mur vidéo proposera à chaque entreprise de se mettre en scène afin de fournir aux candidats une vision plus réelle de l'ambiance et l'environnement de travail qu'ils pourront trouver. (...)
(22/09/2008 17:13:34)Emploi des seniors : les entreprises en défaut pourraient verser une pénalité
Les entreprises et les branches qui n'auront pas conclu d'accords sur la gestion des âges et l'emploi des seniors d'ici au 31 décembre 2009 verseront une pénalité de 1% de leur masse salariale. C'est l'une des mesures prévues par le gouvernement pour inciter les entreprises à conserver ou à embaucher leurs salariés seniors. Le ministre du Travail, Xavier Bertrand avait déjà évoqué la question avec les partenaires sociaux dans le cadre du plan en faveur de l'emploi des seniors présenté au début de l'été. Mais aucune sanction n'avait été évoquée avant ce texte préparatoire du budget 2009 de la Sécurité sociale, cité par l'AFP 1% des rémunérations versées par l'employeur serait affecté à la Cnav des travailleurs salariés En effet, selon l'agence de presse qui s'est appuyée sur un document transmis aux partenaires sociaux, «les entreprises sont soumises à une pénalité à la charge de l'employeur lorsqu'elles ne sont pas couvertes par un accord ou un plan d'action relatif à l'emploi des salariés âgés. Le montant de cette pénalité est fixé à 1% des rémunérations versées par l'employeur et son produit est affecté à la Caisse nationale d'assurance vieillesse des travailleurs salariés ». Cette possibilité de pénalité intervient dans un contexte où le marché du travail n'est pas très favorable à l'emploi des informaticiens seniors, formés dans les années 80. En effet, d'après les statistiques de l'emploi enregistrées ces dernières années, les informaticiens de quarante ans et plus, semblent rencontrer d'importantes difficultés à trouver un emploi. Surtout dans les SSII, un secteur où la moyenne d'âge se situe autour de 30, 35 ans... (...)
(22/09/2008 14:17:09)Google ferme de nouveau un de ses centres de R&D
Google s'apprête à fermer l'un de ses laboratoires de recherche américain, deux ans seulement après son ouverture. Vendredi dernier, le géant des moteurs de recherche a en effet annoncé que son centre de R&D de Tempe (Illinois), cesserait son activité. Une décision justifiée par « l'éclatement » des travaux qui y étaient menés. Le laboratoire d'ingénierie de Tempe, qui emploie actuellement une cinquantaine de personnes, fermera donc ses portes le 21 novembre prochain. Le géant a arrêté deux autres laboratoires cet été La direction a indiqué que de nouvelles opportunités seraient proposées aux salariés concernés par cette fermeture. Google avait déjà annoncé cet été la fermeture de deux autres laboratoires, à Denver (Colorado) et Dallas (Texas). Pourtant, à l'origine, le Californien entendait développer l'activité de ces centres, pour assurer la domination de son ingénierie sur l'ensemble du continent américain. Le groupe a cependant précisé qu'il maintenait ses laboratoires de Thornton et à Boulder (Colorado) Le virage pourrait surprendre pour une firme, actuellement en pleine ascension. Google vient de recruter 450 nouveaux collaborateurs entre mars et juin 2008, ce qui porte son effectif total à 19 600 salariés. La firme de Mountain View envisage même de nouvelles embauches et propose une longue liste de postes à pourvoir sur son site Web. (...)
(22/09/2008 11:04:07)Le e-learning progresse chez les cadres et les commerciaux
Entre juin 2007 et juin 2008, la pratique du e-learning est en légère baisse. Pourtant, Cegos note qu'elle progresse pour certains profils de personnes. 34% des sondés(*) par le groupe de formation disent avoir eu recours au e-learning, contre 37% l'année précédente. La pratique de ces outils en ligne a surtout progressé chez les commerciaux (58% de ceux qui ont été sondés disent y avoir eu recours contre 43% en 2007) et chez les cadres (56% contre 47% en 2007). Les administratifs, en revanche, sont un recul sur l'utilisation de ces formations (36% contre 44% en 2007), de même que les employés et ouvriers (23% contre 31%). Les secteurs d'activité les plus friands de ces technologies de formation sont toujours les banques, l'assurance, l'informatique et les télécommunications. Le secteur industriel et le commerce y recourent moins fréquemment. La préférence va aux formations mixtes, avec un professeur Comme on avait pu le constater depuis quelques années déjà, le e-learning est plus apprécié lorsqu'il est couplé, au bon moment, avec l'intervention d'un professeur en présentiel. Cette pratique est qualifiée de « blended » (mélangée) puisqu'elle mêle deux modes. Le niveau de satisfaction sur ces formations mixtes a sensiblement progressé : 82% des utilisateurs en ayant bénéficié leur donne l'appréciation "très bien" (38%) ou "assez bien" (44%). Ils n'étaient que 70% l'an dernier. Néanmoins, même parmi les personnes s'étant retrouvées seuls devant les outils en ligne, on compte 66% de satisfaits (contre 56% en 2007). Le contenu technique prime [[page]] L'enquête de Cegos confirme aussi que le contenu technique constitue le critère le plus important du e-learning (cité en premier par 43% des répondants), suivi par la qualité visuelle du modèle (38%) et la facilité avec laquelle on y accède (24%). On trouve ensuite l'interactivité, la facilité de navigation, le réalisme des situations présentées et l'aide en ligne. L'usage de la vidéo apparaît moins recherché. Enfin, sondés sur leurs attentes, la moitié des salariés interrogés aimerait que le e-learning et les formations mixtes (en salle/en ligne) se développent. Ils sont presque autant à souhaiter des actions de type coaching, des formations sur le terrain, des outils de formation collaborative (blogs, forums, wikis). 43% parlent de ressources de type podcasts et de formations sur téléphone mobile. Parallèlement, ils sont tout de même 60% à vouloir que soient maintenues les actions de formation. (*) 900 salariés d'entreprises de plus de 1 000 personnes (...)
(19/09/2008 16:13:35)Mobilité forcée ou télétravail pour 73 salariés de HP en région
Parmi les neuf agences régionales dont dispose HP sur le territoire français, celles d'Aix-en-Provence, Bordeaux, Rennes, Rouen et Villepinte pourraient fermer leurs portes d'ici janvier 2009. Pour l'heure, il ne s'agit que de la concrétisation d'un projet de la direction de HP France dont les salariés ont été informés en juillet dernier. Il traduit localement la volonté du constructeur de réduire ses coûts immobiliers au niveau mondial pour consacrer les sommes épargnées à d'autres investissements, notamment des acquisitions. Les fermetures n'entraîneront pas de licenciements Ce projet de réduction de la voilure immobilière ne prévoit pas de licenciements. Selon la direction de HP France, ce volet n'aurait donc rien à voir avec l'annonce des 25 000 suppressions de postes du début de la semaine. En effet, les 73 salariés des cinq agences menacées devraient avoir le choix de rester dans leurs régions respectives en tant que télétravailleurs ou de rejoindre les agences de Toulouse (pour ceux de Bordeaux), de Lyon ou de Nice (pour ceux d'Aix-en-Provence), de Nantes ou les Ulis (pour ceux de Rennes). (...)
(17/09/2008 16:03:04)Indicateur Apec : l'emploi informatique progresse encore de 31%
Le dernier indicateur des offres d'emploi cadres diffusées sur Internet et publiée par l'Apec place, une nouvelle fois l'informatique en tête des filières (en volume). Ainsi, le nombre de postes à pourvoir dans la profession a encore progressé de 31% sur la période de septembre 2007 à août 2008, par rapport à cette même période en 2007. Avec quelques 6 000 nouvelles offres déposées le mois dernier, dont la moitié en informatique de gestion, le secteur IT totalise un peu plus de 91 000 offres, en cumul sur douze mois. Les métiers de la R&D, avec près de 15% des offres, affichent une croissance élevée de + 63%, grâce à la très forte augmentation du nombre de postes à pourvoir dans les projets (+71%, soir 1 021 nouvelles offres déposées) et les études techniques (+61%, 2015 nouveaux postes en août 2008). (...)
(17/09/2008 09:32:43)La SSII indienne Satyam pourrait supprimer 4 500 emplois
Satyam, quatrième SSII en Inde, pourrait supprimer 4 500 emplois. Selon la presse locale, qui s'est basée sur des sources internes à l'entreprise, ces réductions représenteraient 9% des effectifs de la société de services indienne. Vendredi dernier, 400 salariés de l'entreprise auraient déjà reçu une lettre de licenciement, rapporte The Times of India. Le quotidien économique précise que 1 500 autres salariés de Satyam seraient actuellement sur la touche, pour n'avoir pas atteint les objectifs fixés dans le cadre d'un plan interne d'amélioration des performances. La direction aurait également menacé 3 000 autres collaborateurs, en leur supprimant une prime, et en les sommant de s'améliorer ou à défaut de quitter l'entreprise. Des SSII tributaires des entreprises américaines Pour certains, la crise américaine des « subprimes », la volatilité du dollar auxquelles s'ajoute la menace d'une crise économique européenne, ont provoqué une baisse des investissements des entreprises vers les SSII indiennes. Du coup, celles-ci n'hésitent pas à explorer différentes pistes qui leur permettraient de réduire leurs coûts. Des SSII comme Tata Consultancy Services, Wipro ou Infosys, notamment, sont tributaires du marché américain, où elles réalisent les deux tiers de leur chiffre d'affaires. (...)
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