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Cloud computing

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(04/10/2011 11:45:47)

Juniper lance une offre cloud de réseaux virtuels pour les tests

Juniper a présenté Junosphere Lab, un environnement virtuel pour la conception, le test et l'exploitation des réseaux utilisant des éléments du constructeur. Junosphere Lab est une offre cloud, conçue pour permettre aux entreprises et les clients des fournisseurs de services, de créer et exécuter des environnements réseaux à la demande pour modéliser, tester et planifier à une échelle impossible à supporter sur un environnement physique.

Les entreprises peuvent «louer» les réseaux de Junosphere Lab pour 50 dollars par jour, soit 5 dollars par machine virtuelle, avec un minimum de 10 VM. Le constructeur souligne que le coût est plus bas que l'exploitation d'un laboratoire physique sur site. Avec le laboratoire virtuel, les clients peuvent déployer des services plus rapidement, améliorer la planification et mieux se préparer aux changements du réseau, précise l'équipementier.

Un connecteur et des partenaires technologiques

Les entreprises peuvent également utiliser cette offre comme un substitut ou un complément à à leur laboratoire physique. Pour ce faire, Juniper a également introduit Junosphere Connector, une application optionnelle qui permet de relier les deux types d'environnement.

L'offre comprend et fonctionne avec des applications et des produits de partenaires de Juniper, comme la gestion du trafic et la simulation de Cariden Technologies, la modélisation d'application par Mu Dynamics, Spirent pour le test et la validation de la performance sur des environnements virtualisés et dans le cloud​​, enfin Wandl s'occupe de la planification de réseau, la conception et l'optimisation.

Junosphere Lab est disponible dès maintenant.

(...)

(29/09/2011 14:35:36)

Cloud Personal : Microstrategy cible les utilisateurs Excel

MicroStrategy espère que, avec le service Cloud Personal, offert gratuitement pour l'instant, son logiciel de business intelligence (BI) trouvera un public auprès des utilisateurs de Microsoft Excel qui souhaitent élargir leur environnement de travail. Pour utiliser Cloud Personal, actuellement disponible en version bêta publique, rien de plus simple : après avoir créé un compte pour accéder au service, les utilisateurs envoient leurs données vers le datacenter de MicroStrategy, pour ensuite les exploiter à l'aide d'une série d'outils de visualisation et enfin les partager éventuellement avec d'autres personnes via les sites de réseautage social ou par mail.

Ce service de création de tableaux de bord personnels en mode hébergé prêt à l'emploi accepte des fichiers Microsoft Excel et les organise en tableaux. Une contrainte, la première ligne de chaque colonne doit être identifiée par un titre. Par ailleurs, « pour le moment, les fichiers comportant des tableaux croisés dynamiques, ou d'autres formats de fichiers, ne sont pas traités », comme l'a expliqué Microstrategy dans une FAQ. « Cloud Personal peut notamment travailler avec des ensembles de données publiques, comme celles que l'on trouve sur des sites institutionnels du genre Data.gov (nom adopté aux Etats-Unis), » a ajouté Microstrategy. Grâce à un framework de sécurité, les utilisateurs peuvent déterminer qui a le droit de voir leurs rapports et révoquer les autorisations données à un individu pour voir ses tableaux de bord à tout moment. La solution tourne entièrement dans l'interface d'un navigateur Internet, et ne nécessite pas d'installation locale. Cependant, elle a besoin du Player Flash d'Adobe pour fonctionner. MicroStrategy a prévu, pour les possesseurs d'iPad, une application mobile gratuite qui leur permet de télécharger les fichiers PDF et voir les tableaux de bord créés avec Cloud Personnal.

Une adoption par le gratuit


Microstrategy aimerait inciter les utilisateurs à soumettre « leurs tableaux de bord les plus pertinents» sur un site web, et en faire profiter tout le monde. Environ 20 modèles de tableaux de bord ont déjà été mis en ligne sur le site. Cloud Personal prend un peu exemple sur des entreprises comme Tableau, qui a offert pendant un certain temps une version gratuite de ses outils de visualisation de données. L'objectif est de sensibiliser les utilisateurs au produit et de rendre ses fonctionnalités indispensables, pour ensuite vendre des licences payantes aux entreprises qui les emploient.

MicroStrategy poursuit ainsi sa stratégie de fournir des services de BI prêts à l'emploi et de proposer des outils que les salariés d'une entreprise peuvent adopter sans passer par le service informatique.

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(29/09/2011 09:58:06)

L'UEFA choisit le cloud d'Interoute pour son informatique et les télécoms

L'Union des associations européennes de football (UEFA) a choisi les services cloud paneuropéens d'Interoute pour supporter l'ensemble de son activité, les compétitions et les événements, durant les trois prochaines années. Interoute hébergera tous les systèmes et applications directement utilisés par l'association européenne, dont la plateforme FAME (Football Administration and Management Environment) et le site web uefa.com.

FAME est la plateforme informatique sur laquelle reposent les principaux services de l'UEFA, comme les réservations des médias, les accréditations, la gestion des compétitions, mais aussi les services pour les arbitres et les partenaires commerciaux. Quant au site web, il nécessite une infrastructure robuste, en raison du grand nombre de visiteurs et de contenus multimédias proposés. Lors de la finale de l'euro, la plateforme a été visitée par 343 millions d'internautes.

Daniel Marion, Directeur des Technologies de l'Information et de la Communication de l'organisation, explique: « Interoute a conçu, construit et déployé avec succès une plateforme qui nous fournit à la fois la fiabilité et la stabilité que nous demandions, mais aussi une souplesse d'adaptation aux événements. Le site uefa.com est l'un des dix sites web les plus visités au monde pendant les grands rendez-vous de football, il fournit des vidéos de haute qualité aux amateurs de football à travers le monde. Nous avons trouvé en Interoute le partenaire capable d'allier les hauts niveaux de performance avec la qualité dont l'UEFA et ses compétitions ont besoin.»

ictjournal.ch

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(28/09/2011 12:22:02)

Une solution IBM pour gérer les places de parking dans les villes

« Les systèmes de gestion des villes sur les capacités de stationnement sont assez inefficaces », a déclaré Vinodh Swaminathan, directeur des systèmes de transport intelligents d'IBM. « Pensez à une place de stationnement comme un actif fiscal. Avec la possibilité d'analyser ces actifs, nous pouvons les gérer beaucoup plus efficacement » précise le dirigeant. En collaboration avec Streetline, société basée à San Francisco, qui propose des capteurs de distance, IBM a donc créé une plateforme. Les capteurs sont capables de déterminer si un espace de stationnement est occupé par une voiture. IBM fournit le logiciel d'analyse via un service cloud, qui agrège les données des capteurs pour comprendre comment les places de parking d'une ville sont utilisées au cours du temps.

Pour cette offre baptisée Smarter Parking Starter Kit, Streetline va intégrer deux capteurs pour chaque espace de stationnement. Le premier déterminera si une voiture occupe la place et le second lira le compteur, pour savoir si l'automobiliste a payé et pour combien de temps il reste au compteur. Les données collectées sont transmises à travers un réseau mesh sans fil. IBM utilise son logiciel de BI Cognos, pour analyser les données et générer des rapports et des statistiques visibles sur un tableau de bord et mis à disposition des autorités publiques. Big Blue a déjà intégré des rapports pré-définis, comme les recettes des parkings, l'efficacité opérationnelle des compteurs, calcul du temps d'occupation des places de parking ou cartographie des zones où les stationnements sont le plus utilisés. Les villes peuvent développer leur propre analyse en utilisant ces données. Ils pourraient ainsi optimiser les recettes des places de parking en appliquant une politique tarifaire plus adaptée. Ils peuvent anticiper la demande pour les places de parking et fournir des alternatives à proximité. Un tel système pourrait rendre les villes plus agréables pour les utilisateurs et les touristes.

A l'attention des automobilistes aussi.

Vinodh Swaminathan n'a pas révélé de prix pour le kit Starter Smarter parking, mais il se dit prêt à négocier les tarifs avec les villes qui souhaitent adopter ce système. Il a indiqué que ce programme fait gagner de l'argent aux villes grâce à la surveillance et la gestion de leurs espaces de stationnement. Plus tard, ce système pourrait aussi fournir des services plus avancés, comme la possibilité pour les utilisateurs d'étendre la durée de stationnement grâce à une application pour smartphone.

Côté automobiliste, ils peuvent bénéficier des données de Streetline via une application gratuite, appelée Parker, pour iOS et Android. Ce programme permet d'alerter le conducteur d'une place libre à proximité. (...)

(26/09/2011 16:03:37)

Capgemini et EMC vont lancer une offre de stockage dans le cloud

Au cours des prochains mois, Capgemini et EMC vont proposer ensemble différents services à la demande dans le cloud, qui seront déclinés au niveau mondial. Le premier d'entre eux sortira courant 2012 et portera sur des solutions de stockage avec services associés. Cette offre, présentée sous le nom de « Storage as a service », comportera plusieurs « paliers de stockage » en fonction des besoins du client, expliquent les partenaires dans un communiqué, en précisant qu'ils ont développé une architecture de stockage commune et reproductible dont les coûts et les niveaux de service sont prévisibles. Elle reposera sur les systèmes haut de gamme VMAX et sur les baies VNX d'EMC (et non sur l'offre cloud Atmos pour le moment). La tarification de ces offres packagées n'est pas encore fixée.

Les entreprises disposeront ainsi de capacités de stockage sans avoir besoin d'anticiper leurs besoins, l'option cloud leur permettant en outre de réduire leurs coûts de possession. Ce faisant, Capgemini entend proposer des « prestations enrichies, différenciées et compétitives », indique Patrick Nicolet, responsable de l'activité infrastructures Services de Capgemini au niveau mondial. Les deux sociétés rappellent qu'elles avaient déjà réalisé ensemble, en 2002, un service de stockage assorti d'une facturation à l'utilisation.

Plus tard, une offre « Messaging as a service »

Dans le cadre de cet accord de cinq ans entre Capgemini et EMC, d'autres services dans le cloud doivent suivre, dans les douze à dix-huit mois. Déjà baptisé « Messaging as a service », le suivant s'appuiera sur les logiciels de messagerie de Microsoft. Sur ce terrain, une autre SSII française, Atos, a indiqué la semaine dernière qu'elle lançait une offre de cloud privé pour le secteur public autour des services de messagerie Office 365, de Microsoft.
Les services dans le cloud élaborés en commun par Capgemini et EMC seront principalement disponibles en France, en Amérique du Nord, au Royaume-Uni, en Allemagne, aux Pays-Bas et dans les pays nordiques, ainsi qu'en Chine et au Brésil.

Illustration : Patrick Nicolet, responsable de l'activité infrastructures Services de Capgemini au niveau mondial (crédit : Capgemini) (...)

(26/09/2011 15:21:54)

GDrive, le stockage en ligne pour Google Docs se précise

Selon cette photo, il semblerait que Google Drive se présente comme un dérivé de Google Docs, où les internautes peuvent déjà aujourd'hui stocker des documents. Il pourrait même y être totalement intégré. Ce qui fait peu de doute, c'est que le service sera accompagné d'un logiciel de synchronisation, à installer aussi bien sur un ordinateur que sur des appareils mobiles, à l'image de ce que propose déjà Dropbox par exemple.

Une forte concurrence


Aucune information en revanche n'a filtré sur une date de lancement ou sur la capacité de stockage alloué, gratuit et payant. Google permet déjà de sauvegarder 1Go de données gratuitement et 25 Go pour 5 dollars par an. Sur le marché du « cloud », l'éditeur va se retrouver confronté à de nombreux rivaux, à commencer par Apple qui, via son application iCloud, propose déjà à ses abonnés 5Go d'espace gratuit (et plus, en mode payant), mais aussi à Amazon.

Quoi qu'il en soit, Google Drive sera une étape primordiale pour imposer auprès du grand public Chrome OS, dont la philosophie est de dématérialiser à la fois les programmes et les données.

Illustration: Photo prise par le bloggeur Johannes Wigand

Crédit Photo: D.R

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(23/09/2011 15:12:54)

Diablo, mise à jour majeure pour l'architecture cloud OpenStack

La mise à jour de la plate-forme cloud Open Source OpenStack enrichit le logiciel d'une interface graphique revue et d'un système unifié de gestion des autorisations. Comme l'a déclaré Jonathan Bryce, président de la fondation OpenStack Project Policy Board, l'objectif de cette version était de « rendre OpenStack facile à utiliser et à administrer. » Les développeurs ont aussi continué à apporter des améliorations pour les infrastructures Cloud de grande taille. « Nous ne parlons pas ici d'utiliser OpenStack pour faire tourner un cloud de 100 ou même de 1000 serveurs, mais de dizaines de milliers de serveurs. Même si certaines options ne sont pas encore à cette échelle ». Au total, cette version nommée Diablo comprend plus de 70 fonctionnalités et améliorations.

Parmi les nouvelles fonctions, plusieurs sont adaptées aux infrastructures de très grande taille. Le logiciel présente un planning distribué pour le déploiement de machines virtuelles partout au niveau du système, même si les noeuds sont dispersés dans différents datacenters à travers le monde. Une fonction de synchronisation de conteneur multi-cluster peut être utilisée pour répliquer les données entre différents clusters distants. La gestion des images disques permet désormais aux utilisateurs de rechercher des instances de machines virtuelles spécifiques, une fonctionnalité qui peut s'avérer très pratique pour les fournisseurs de service qui ont un nombre important de clients à gérer.

Un projet développé à l'origine par la NASA

D'abord développé par la NASA dans le cadre de son projet Nebula Cloud Project, OpenStack est un ensemble de logiciels Open Source capable de faire tourner des installations cloud de grande envergure. Rackspace, l'hébergeur qui participe au programme, prévoit aussi de proposer des déploiements OpenStack dans ses propres services. OpenStack est constitué de trois composants : OpenStack Compute, OpenStack Object Storage et OpenStack Image Service. Selon la fondation, à ce jour, la pile logicielle a été téléchargée plus de 50 000 fois. La plateforme de trading latino américaine MercadoLibre, qui sert plus de 58 millions d'utilisateurs, utilise le logiciel. Walt Disney et le CERN (l'Organisation européenne pour la Recherche nucléaire), aussi.

L'interface utilisateur de Diablo, en grande partie développée par Nebula, un fournisseur de service OpenStack, permet aux administrateurs de gérer le provisionning des ressources via un portail. Dans les versions précédentes d'OpenStack, les administrateurs devaient contrôler le logiciel en utilisant des lignes de commande, ou à l'aide de leurs propres programmes par le biais d'une API OpenStack. « Le nouveau tableau de bord avec l'interface graphique est téléchargeable séparément, mais il peut être facilement branché à la pile logicielle, » a expliqué Jonathan Bryce. Essex, la prochaine version d'OpenStack, intègrera directement l'interface graphique dans son programme.

Intégration avec Active Directory

Le logiciel dispose également d'un système de gestion unifié des identités, appelé Keystone OpenStack, lequel peut relier les différents systèmes d'authentification précédemment déployés pour des composants autonomes. « Le système vient remplacer les choix d'authentification existant dans l'architecture OpenStack, » a déclaré le président de l'OpenStack Project Policy Board. « Il offre une signature unique pour tout. » Il peut également s'intégrer à des systèmes d'annuaires externes, comme Microsoft Active Directory ou d'autres systèmes d'authentification basés sur LDAP (Lightweight Directory Access Protocol). Comme OpenStack DashBoard, Keystone est disponible en téléchargement indépendant, et sera intégré dans la prochaine version du logiciel Open Source. Enfin, OpenStack Quantum, une fonctionnalité qui permet aux utilisateurs de configurer des réseaux virtuels au moyen d'une API, est également disponible en téléchargement séparé.

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(21/09/2011 15:08:19)

285 millions d'euros pour Andromède, le cloud souverain français

Pour concurrencer les principaux clouds publics d'origine américaine, IBM, HP, Microsoft, Amazon Web Services ou Rackspace et surtout échapper au fameux Patriot Act US, la France aura son cloud public national : un projet baptisé Andromède et lancé en 2009 par François Fillon. Le 18 janvier 2010, le premier ministre déclarait : « Mon souhait est que ce nouveau type d'infrastructure de service fasse l'objet d'un partenariat public-privé grâce aux fonds du programme pour les investissements d'avenir. Il faut absolument que nous soyons capables de développer une alternative française et européenne dans ce domaine, qui connaît un développement exponentiel [...] Force est de constater que les Nord-Américains dominent ce marché, qui constitue pourtant un enjeu absolument majeur pour la compétitivité de nos économies, pour le développement durable et même, j'ose le dire, pour la souveraineté de nos pays »

En partie financé par le grand emprunt, ce cloud souverain a été relancé en aout dernier avec la signature d'un protocole d'accord entre la Caisse des Dépôts, et ses partenaires privés France Telecom/Orange, Thalès et Dassault Systèmes alors que Capgemini a préféré se retirer du projet. La Caisse des Dépôts investira 135 millions d'euros, France Telecom et Thales apporteront 60 millions chacun et Dassault Systèmes 30 millions, rapporte le quotidien Les Échos.

Un cloud souverain pour réduire les coûts des SI de l'Etat ?

Pour réduire les coûts de fonctionnement de ses systèmes d'informations - la principale mission de Jérôme Filippini, le directeur interministériel des systèmes d'information et de communication - l'État est bien obligé de mettre en place les recettes qui fleurissent dans le privé. Mais pour garantir la sécurité et la confidentialité des données, le gouvernement a décidé de confier ces infrastructures stratégiques à 3 groupes bien français. Nulle dimension européenne dans ce projet, alors que la standardisation des infrastructures cloud au niveau continental est le seul moyen de proposer des plates-formes aussi compétitives que celles d'Amazon ou de Microsoft. Si le projet Andromède n'est qu'un nouvel avatar du génie français qui consiste à faire plus cher et moins interopérable, les objectifs de réduction des coûts vont passer à la trappe au profit du discours habituel sur l'excellence française.

Selon Les Échos, « Orange fournira les infrastructures en colocation à Andromède et l'ensemble de la connectivité nécessaire aux clients d'Andromède ».  La partie sécurité sera assurée par Thalès, une de ses spécialités. On ne sait pas encore quelle sera la contribution technologique de Dassault Systèmes, pas vraiment un poids lourd du cloud computing. « Ca avance dans le bon sens, mais on ne peut ne rien dire de plus pour l'instant», nous a simplement confié un porte-parole de Dassault Systèmes.

Enfin selon une source syndicale, le projet Andromède concernera tout d'abord « le domaine de l'e-santé, des données personnelles, mais aussi d'accueillir les données de type e-gouvernement ».

 

 

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