Flux RSS

Cloud computing

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

904 documents trouvés, affichage des résultats 221 à 230.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(22/08/2011 16:43:47)

Concours de start-up d'Amazon Web Services : 100 000 dollars à la clé

Il reste six semaines, jusqu'au 2 octobre 2011, pour participer à la 5ème édition du concours de start-up lancée début août par Amazon Web Services. L'opérateur de cloud public cherche à donner de la visibilité aux entreprises exploitant de façon innovante sa plateforme et les solutions qu'elle intègre. Les candidats seront non seulement jugés sur la manière dont ils l'exploitent, sur l'originalité de leur réalisation, mais aussi sur l'évolutivité de leur projet et sur leur capacité à répondre aux besoins du marché dans la durée. Pour être admissible, l'entreprise candidate ne devra pas avoir généré plus de 10 millions de dollars de chiffre d'affaires annuel brut, ni reçu plus de 10 millions de dollars de fonds externes.

Elargi cette année au monde entier, ce concours désignera 15 demi-finalistes, également répartis entre les trois grandes zones géographiques : le continent américain, l'EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) et l'Asie-Pacifique. Chacun recevra 2 500 dollars en crédits AWS. De cette sélection sortira six candidats qui recevront 10 000 dollars en crédits AWS et se verront offrir le voyage à Palo Alto (Californie) pour participer à la finale. A la clé pour le grand gagnant : 100 000 dollars dont 50 000 en crédits AWS.

Dassault Systèmes sur AWS avec 3DS version 6

AWS insiste sur l'opportunité qu'il offre aux jeunes entreprises en mettant à leur disposition une infrastructure technique que leurs ressources  limitées ne leur permettraient pas de déployer en interne. « De petites entreprises peuvent ainsi construire de nouveaux services très rapidement », Terry Wise, responsable du développement de l'activité AWS, en soulignant que, de la même façon, à l'autre bout du spectre, cette infrastructure apporte aux grandes entreprises ou à d'autres organisations ayant besoin d'analyser d'importantes quantités de données. Il cite la banque espagnole Bankinter qui, en s'appuyant sur du calcul haute performance (HPC) sur AWS, effectue en 20 minutes en moyenne, contre 23 heures auparavant, des simulations sur les risques liés au crédit.

En mai, l'éditeur de solutions de gestion SAP a de son côté annoncé la disponibilité sur AWS de ses applications décisionnelles BusinessObjects et de ses solutions Rapid Deployment. Et en juin, c'est le Français Dassault Systèmes qui a indiqué qu'il proposait d'utiliser sur AWS sa technologie 3DS version 6 pour collaborer en ligne. Au sein du cloud EC2, il a recours aux services Elastic Block Store et Simple Storage Service d'Amazon pour stocker d'importants volumes de données de conception. En France, une société comme Pagesjaunes s'appuie sur AWS pour mettre en oeuvre son service Urbandive.com.

Les entreprises réticentes à confier leurs applications à un cloud public évoquent souvent les risques d'interruption de service pour expliquer leur prudence. Comme en écho à cette inquiétude, le cloud EC2 a connu quelques déboires au début de ce mois, à la suite d'une coupure de courant dans son datacenter à Dublin, touché par la foudre. Le fournisseur vient de dresser un bilan de l'incident et indiqué qu'il allait renforcer la sécurité de ses générateurs.

Illustration : D.R.
(...)

(22/08/2011 12:37:40)

Dell embarque l'offre Hadoop de Cloudera dans ses serveurs PowerEdge C

Dell a annoncé pour début septembre des serveurs embarquant la solution Apache Hadoop de Cloudera, complétés de composantes réseaux, d'outils d'administration, de services et de support pour en assister le déploiement. Avec cette offre, le constructeur vise les secteurs des services financiers,  de l'énergie et des télécoms, de la distribution de détail, des médias et de l'Internet, ainsi que les organismes de recherche. En combinant logiciel et matériel optimisé pour l'offre Open Source Hadoop, Dell cherche à proposer un coût de possession moins élevé que certaines offres propriétaires pour mettre en oeuvre les applications analysant d'importants volumes de données (complexes et évoluant de façon dynamique).

L'offre repose sur la ligne de serveurs PowerEdge C, modèles C2100, C6100 ou C6105, conçus pour être utilisée dans les projets de traitement à grande échelle, notamment par leur taille et leur consommation électrique réduite. Elle intègre la distribution Hadoop de Cloudera (CDH), ainsi que sa suite d'outils d'administration. Pour gérer la mise en place, elle inclut le logiciel Crowbar, de Dell. Côté équipements réseaux, l'offre comprend un jeu de commutateurs PowerConnect 6248 Gigabit Ethernet à 48 ports. Un déploiement reposant sur cette architecture peut aller de 6 à 720 noeuds.

« Cette offre est une réponse directe à ce que nous entendons de la part de nos clients », a expliqué Joseph George, directeur du marketing cloud chez Dell. Selon lui, une part importante d'entre eux envisagent l'utilisation d'Hadoop ou y ont déjà recours.  « Cela devient un standard de facto », ajoute-t-il en expliquant que Dell a placé une architecture de référence au-dessus d'un serveur adapté à cet environnement.

Le coût démarre à 118 000 dollars

Créé par Doug Cutting, un spécialiste des technologies de recherche, Apache Hadoop est monté en puissance au sein des entreprises devant passer au crible d'énormes quantités de données non structurées, telles que les connexions aux serveurs. Outre Hadoop, l'offre CDH de Cloudera regroupe différents composants, parmi lesquels l'infrastructure de datawarehouse Hive, Pig (langage de programmation MapReduce), la structure de stockage de données HBase, les bibliothèques Whirr pour exploiter des services cloud, ou encore Zookeeper, Flume, Hue, Oozie et Sqoop. Les serveurs peuvent être installés sous différents systèmes versions de Linux, Red Hat Enterprise Linux 5.6 ou 6, CentOS, Ubuntu ou Suse.

Le coût d'une configuration minimum démarre entre 118 000 dollars et 124 000 dollars suivant les options de support retenues. Cela inclut un an au support de Cloudera et les mises à jour. Ce package est similaire à celui que Dell a annoncé fin juillet pour son offre de cloud privé reposant sur OpenStack, Michael Dell, PDG de Dell, ayant confirmé son intention de proposer davantage de solutions complètes intégrant matériel, logiciels et support. Ce faisant, le fournisseur renforce aussi ses offres s'appuyant sur des composantes Open Source.

Illustration : les composants de CDH, la distribution de Cloudera incluant Apache Hadoop (source : Cloudera) (...)

(22/08/2011 10:22:23)

Amazon revient sur la panne de ses services début aout

La récente panne du service de cloud d'Amazon EC2 - les 7 et 8 aout - a conduit l'entreprise à se remettre en question. Dans un premier rapport sur les événements, la société reconnaît qu'elle était mal préparée à une telle panne de courant. Selon son rapport, Amazon avait de gros problèmes avec les générateurs de secours qui ne se sont pas enclenchés automatiquement. C'est ce qui explique que presque toutes les instances d'EC2 et 58% des volumes EBS aient été privés d'électricité. Il a fallu environ une heure pour parvenir à remettre en service les générateurs. Alors que l'électricité était rétablie, une partie du cloud d'Amazon est restée indisponible pendant environ trois heures, du fait d'un bug logiciel.

Un crédit à titre d'excuses

Pour éviter que cette panne ne se reproduise, Amazon va ajouter de la redondance de ses Programmable Logic Controllers, qui sont utilisés pour contrôler ses générateurs. Par ailleurs, Amazon va créer un système pour informer les clients sur les événements inhabituels.

Pour compenser les pertes éventuelles, tous les clients européens d'Amazon - qu'ils aient ou non été affecté - recevront un crédit. Enfin, Amazon, sachant ses services essentiels pour sa clientèle d'entreprises, a tenu à s'excuser. Elle a promis qu'elle allait faire de son mieux pour apprendre de ce problème et de l'utiliser pour améliorer ses services.

ICTJournal.ch

(...)

(22/08/2011 10:14:43)

Office 365 de nouveau indisponible en Amérique du Nord

En effet, mercredi dernier les utilisateurs se trouvant en Amérique du Nord se sont temporairement retrouvés dans l'impossibilité d'accéder à leurs emails ainsi qu'à la gestion de leur compte. En outre, le service de sauvegarde en ligne SkyDrive était également affecté par la panne.

L'entreprise a indiqué que son centre de calcul pour l'Amérique du Nord avait souffert de problèmes de réseau, l'Europe n'ayant pour sa part pas été touchée. Selon un porte-parole de l'entreprise, les perturbations constatées au sein du service Dynamics CRM online auraient une cause différente, et se seraient limitées à quelques organisations en Amérique du Nord. Microsoft a réitéré son engagement à dédommager les personnes touchées. En effet, elle garantit une disponibilité de son service en ligne à 99,9%.

A noter que ce n'est pas la première panne que connaissent les services cloud de Microsoft cet été. Début aout, l'accès à la suite en-ligne BPOS (produit prédécesseur d'Office 365) avait également été interrompu en Europe, à la suite d'un coup de foudre qui avait touché un centre de données basé à Dublin.


ICTJournal.ch (...)

(12/08/2011 15:41:29)

CloudSwing permet d'assembler des composants cloud Open Source

Avec CloudSwing, les développeurs et les départements informatiques des entreprises auront bientôt à leur disposition une autre option pour proposer du PaaS (Platform as a Service). La future offre d'OpenLogic s'appuie sur son coeur de métier qui consiste à fournir du support technique dans le domaine du logiciel open-source.

Les clients de CloudSwing pourront utiliser la nouvelle plate-forme pour assembler des piles logicielles provenant à la fois de produits open-source et commerciaux, et les utiliser pour des services cloud hébergés dans des infrastructures de type Amazon EC2 (Elastic Compute Cloud). Comparée aux offres commerciales PaaS comme Azure de Microsoft, laquelle limite le choix des composants de la pile, l'offre apportera une plus grande flexibilité, avance Kim Weins, vice-présidente senior du marketing d'OpenLogic. Une version test de CloudSwing est actuellement disponible en version bêta privée. Elle sera suivie par une version DevTest comportant plus de fonctionnalités plus tard dans l'année. « La version de production est prévue pour le début de l'année 2012 », a précisé Kim Weins.

En plus d'une série de piles intelligentes préconstruites, CloudSwing offrira un ensemble d'outils basés sur le Web qui permettra aux développeurs d'ajouter et d'enlever facilement des éléments, a précisé OpenLogic. Les piles CloudSwing pourront être gérées à partir d'un portail unique sur lequel les clients auront accès à un ensemble d'outils adaptés à chaque composant. Le service fournira également des outils de contrôle pour chaque composant, qui dépasseront de loin, selon OpenLogic, les offres clouds publics, notamment en matière de CPU et de capacité mémoire. « Pour commencer, OpenLogic proposera un support technique pour CloudSwing sur EC2 d'Amazon, mais ciblera ensuite les services cloud de Rackspace, avec des offres de cloud privés », a déclaré la vice-présidente.

Objectif : bâtir rapidement un prototype

« La version test offre la possibilité de créer rapidement une pile de démarrage à des fins de prototypage », explique Kim Weins. « Une étape dans le développement cloud qui concerne actuellement de nombreuses entreprises. » Un aspect très novateur de CloudSwing concerne une fonction de gestion des dépenses qui permet de suivre le coût des services Cloud relatifs à plusieurs projets. « Nos principaux clients, en l'occurrence de grandes entreprises, ont recourt à des services de cloud public de type pay-as-you-go pour une grande partie de leur prototypage. Ils partagent ces services entre plusieurs équipes de développement et parfois plusieurs sous-traitants », explique Kim Weins. Ce mode de fonctionnement fait que les responsables informatiques ont du mal à suivre l'ensemble des coûts liés aux nombreux petits projets. CloudSwing récupère les données nécessaires directement sur EC2 et les réunit en un seul endroit. Les gestionnaires peuvent également définir des seuils de dépenses à ne pas dépasser sur certains projets. « Le système envoie des alertes quand les limites sont atteintes », indique Kim Weins. « Nous pensons que le service sera très attractif. CloudSwing sera vendu par abonnement et sur une base horaire, mais le prix n'a pas été encore fixé ». Le support technique pour les piles logicielles sera probablement vendu séparément, également sous forme d'abonnement.

Un petit air d'OpenShift et CloudFoundry

CloudSwing ne se limite pas aux composants open-source, mais OpenLogic ne pourra pas offrir un support technique complet pour les composants logiciels commerciaux d'une pile donnée. « Tous nos clients travaillent dans des environnements hybrides », a déclaré Kim Weins. « Nous ne pourrons pas nécessairement corriger un bogue dans un produit Oracle, mais nous pourrons aider notre client à résoudre son problème et à savoir si celui-ci provient ou non du produit commercial qu'il utilise. »

Le service CloudSwing a suscité une réaction mesurée de la part de Jay Lyman, analyste du Groupe 451. D'un côté, « ce service a l'air de ressembler à d'autres services Open Source PaaS, comme OpenShift de Red Hat et CloudFoundry de VMware », a estimé l'analyste. « Mais la fonction de gestion des dépenses est assez unique et intéressante, en particulier pour certains clients qui ont du mal à maîtriser les coûts de licence dans le cloud computing. » Globalement, estime Jay Lyman qu'il est difficile de prédire la réaction du marché à une offre comme celle de CloudSwing, dans la mesure où, comme c'est le cas pour beaucoup d'autres offres dans le domaine du PaaS, l'essentiel du produit reste encore à venir.

Illustration : « choisissez une pile, personnalisez, déployez », annonce le slogan d'Open Logic.

(...)

(12/08/2011 14:38:37)

IBM déclare la fin de l'ère du PC, Microsoft parle de l'ère PC-plus

Est-ce nous vivons désormais dans un monde «post-PC» ? Steve Jobs pense définitivement que oui. Selon le patron d'Apple, l'iPad a fait entrer le monde informatique dans l'après-PC. Le voilà désormais soutenu par un responsable d'IBM, Mark Dean, CTO pour le Moyen Orient et l'Afrique, qui vient d'affirmer que Big Blue avait eu raison de sortir de l'activé du PC.

Ce 12 août, IBM fête le 30e anniversaire de l'IBM PC 5150, considéré en général comme la machine qui a marqué le début de l'ère du PC. Pendant des années, l'entreprise informatique a montré la voie pour faire en sorte que, dans chaque foyer, on puisse trouver un ordinateur personnel. En retour, cet objectif a stimulé une industrie qui vend aujourd'hui des centaines de millions d'ordinateurs chaque année. Si l'on songe que Mark Dean a lui-même fait partie de l'équipe qui a aidé à façonner l'activité PC d'IBM, sa déclaration est stupéfiante.

Il félicite IBM d'avoir vendu ses activités informatiques à Lenovo en 2005. « Alors que beaucoup d'acteurs de l'industrie technologique doutaient à l'époque de la décision d'IBM de quitter le secteur, il est aujourd'hui clair que notre entreprise a été à la pointe de l'ère post-PC », vient-il d'écrire dans un blog. Oui, il a vraiment dit ça, ajoutant qu'il n'utilisait plus lui-même de PC. Sans dévoiler la marque du terminal qu'il utilisait, le CTO d'IBM a admis que son outil informatique principal était maintenant une tablette tactile. Selon lui, le PC n'est plus à la pointe de l'informatique. Mark Dean pense que ce sont avant tout les services, plutôt qu'un autre type de terminal, qui poussent dans cette direction. La montée des réseaux sociaux semble lui donner raison. C'est le service lui-même qui est la clé, pas le matériel sur lequel il est utilisé. C'est vrai aussi pour d'autres secteurs de l'industrie informatique.

PC Plus, plutôt que post-PC ?

Evidemment, tout le monde ne partage pas ce point de vue. Dans un autre blog, Frank Shaw, le directeur de Microsoft Corporate Communications, dit pour sa part que l'informatique d'aujourd'hui lui apparaît comme une époque du « PC-plus », ajoutant par ailleurs qu'au cours de la seule année 2011, il se sera vendu plus de 400 millions de PC dans le monde. « Nous allons continuer à faire évoluer cette industrie pour que cette technologie atteigne un, deux ou six milliards d'individus sur la planète », écrit-il de son côté. « Nous le ferons, comme nous l'avons toujours fait, en travaillant avec nos partenaires pour offrir de nouvelles expériences étonnantes aux individus et aux entreprises. » Il semble donc que, pour Microsoft, le PC va encore durer longtemps, très longtemps.

Mais les positions de Steve Jobs - et aujourd'hui celle de Mark Dean - se défendent. L'ordinateur PC que nous avons connu n'est plus. A mesure que l'activité informatique se déplace vers le cloud, la puissance de calcul brute a de moins en moins d'importance. Les traitements importants se font sur le serveur et pas sur l'ordinateur personnel. C'est comme si le monde informatique s'était renversé. Mais est-ce tellement surprenant, dans une société interconnectée en permanence ?

Photo : Mark Dean, CTO pour le Moyen Orient et l'Afrique (crédit : IBM)
(...)

(08/08/2011 12:53:11)

Stockage : Fusion-IO rachète IO Turbine pour 95 millions de dollars

L'Américain Fusion-IO, fabricant de cartes PCIe équipées de mémoire flash, vient d'annoncer qu'il rachetait l'éditeur de  logiciels IO Turbine pour 95 millions de dollars. En passant cet accord, Fusion-io compte étendre ses solutions de cache au secteur des environnements virtualisés. Les logiciels développés par IO Turbine, sous le nom d'Accelio, permettent en effet au stockage en cache sur des serveurs d'être partagés sur plusieurs machines virtuelles. Ils viendront compléter les produits de Fusion-IO, qui utilisent des  disques SSD comme un cache pour les données massivement utilisées, afin de réduire la quantité de données qui transitent sur les réseaux de stockage. Jusqu'à présent, les solutions de Fusion-io se bornaient à fonctionner avec des applications exploitant des données de façon intensive dans des  environnements non virtualisés, a rappelé David Flynn PDG de Fusion-io, dans un communiqué. Dans le domaine des mémoires flash attachées aux serveurs, ce rachat va donc permettre à la société de doubler le marché auquel elle peut s'adresser.  « A présent, il n'existe plus aucune application qui ne puisse tirer profit de Fusion-io », considère son PDG.

Une transaction importante pour Fusion-io

Fusion-IO va verser 95 millions de dollars en cash et en actions pour s'offrir IO Turbine, avec une part en espèces qui ne devrait pas excéder les 35 millions de dollars. La transaction devrait être conclue d'ici la fin du mois. La société intégrera les 25  employés de IO Turbine (dont le siège est situé à San José), à ses équipes d'ingénieurs. Fusion-io, dont le siège social est situé à Salt Lake City (Utah), dispose aussi de bureaux à San José où Le Monde Informatique s'est rendu en juin 2010.

C'est un achat important pour Fusion-IO, qui est entré en bourse en juin dernier et a levé 218,9 millions de dollars. Mais il devrait aider l'entreprise à faire son entrée sur un segment qui constitue l'une des plus grandes tendances de l'informatique d'entreprise et pourrait aussi l'aider à pousser la technique d'accélération de données qu'elle a lancée. En ce moment, la concurrence devient plus vive dans ce domaine. Jeudi dernier,  Le fabricant de SSD (solid-state disk), STEC vient d'annoncer la sortie de mémoires flash intégrées à des cartes PCIe et d'une plate-forme logicielle pouvant être utilisée avec n'importe quel disque SSD.

Illustration : le logiciel Accelio d'IO Turbine (...)

(04/08/2011 18:54:38)

Dossier : Cloud computing, où sont les standards ?

Depuis deux ans, on assiste à une déferlante du cloud computing qui veut, rappelons-le, qu'un client  ne soit plus propriétaire de son infrastructure, mais locataire d'un service rendu par un fournisseur. Et, le client paye ce qu'il consomme. Les solutions et les offres de cloud se multiplient chez les fournisseurs. C'est même devenu la priorité pour les DSI, selon les différentes études menées par les principaux cabinets Forrester, IDC et Gartner. Une priorité, certainement ... mais toujours très complexe, car les DSI se posent de nombreuses questions sur la pérennité et la sécurité des offres, les standards à retenir et l'interopérabilité des différents clouds.

Crédit photo : D.R. (...)

(03/08/2011 09:48:35)

L'Etat aurait trouvé des partenaires pour son cloud

Le gouvernement souhaite localiser des données en France, donc susciter des investissements en infrastructures sur le territoire national. Vendredi dernier, selon l'Agence France Presse, un accord aurait été signé entre l'Etat et un consortium de trois partenaires : Orange, Thalès, Dassault Systèmes.

Cet accord ne sera rendu public qu'à l'automne, après consultation des instances représentatives du personnel. Il s'agit en effet de transférer dans ce consortium des structures et des personnels, en datacenters, déjà existants. Le financement et la gouvernance du consortium restent également à définir.

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >